Par Albert (Albert) le jeudi 08 décembre 2005 - 18h35: |
23°
La découverte….
Maxiton…
-‘…Nous tournons tous en rond… !’
Ils pénètrent enfin après avoir fait un sur place au cœur de la montagne.
De très jolies stalagmites pendent au-dessus de leurs têtes. De véritables aiguilles aux pointes affinées. Ils évitent les trous et petites crevasses remplis d’eau limpide et sûrement glaciale.
Ils marchent, par moment courbes ; la voûte se rétrécit par endroit.
Mais ils sont fascinés par le spectacle qui s’offre à leur regard.
Une véritable merveille, manque seulement un orchestre pour accompagner ses bruissements de gouttes d’eau qui glissent sur des parois recouvertes de mousse verdâtre pour venir nourrir un long filet d’eau qui chemine d’entre les cavités creuses des flancs de la montagne.
…..La grotte bleue.
On croirait entendre une symphonie magistralement jouée par un ensemble philharmonique composé de stalagmites et de stalactites faisant office d’orgue dans une cathédrale avec en arrière -fond, un roulement de tambour qui répercute un écho divin.
La nature est reine dans ce lieu enchanteur.
Un bleu mêlé de vert émeraude vaporeux se reflète sur les murs humides et invite au respect. Toutes les parois semblent être badigeonnées par cette clarté comme si des mains inconnues, bien inspirées, s'étaient laissées emporter dans l’artistiquement sublime pour faire naître des décors hors du commun. Des tableaux vivants et mouvants à chaque détour, comme si la montagne leur offrait ce qu’elle à de meilleur dans son ventre, à ces étrangers pacifiquement venus d’ailleurs.
Il semble que L’ Artiste D ieu, maître de l’univers dans tout ce qu’il y a de splendeur, loge ici, loin des hommes mal inspirés sur beaucoup de choses.
Nos amis progressent. Prenant soin de ne pas trébucher sur des têtes de pierres en forme de pics affûtés qui émergent du sol. Ils sont toujours encordés.
Après une heure de marche, une grande lumière apparaît au fond de ce qui peut s’apparenter à un long corridor; il semble être une issue. La lumière est si belle et intense qu’ils peinent à la fixer.
Silence, pas un mot dans ce sanctuaire protège par un grand esprit clément et invisible dans les entrailles de la Hoq’na.
Enfin, nos amis arrivent vers cette intense clarté pour se retrouver au bord d’un précipice.
Une haute falaise qui domine un large cirque.
La beauté du lieu laisse nos amis sans paroles. Pantois.
Un chemin escarpé se dessine à leurs yeux.
Ils s’y aventurent toujours avec précaution.
La descente est par moment abrupte.
Au bout d’une d’heure d'une descente douce, ils atteignent le fond de la cuvette.
Une grande étendue d’eau stagne sous leurs pieds.
Ils la contournent. Arrivés aux bords du lac, ils ne peuvent s’empêcher de lever les yeux vers la voûte de la grotte ; le plafond retient leur attention.
Une multitude de reflets se croisent et se recroisent sans pause. Un spectacle inédit qui dépasse l’ingéniosité d’un metteur en scène dans la composition des lumières.
Aucun projectionniste ne peut donner vie à ce manège ivre de couleurs dont on pense apercevoir des anges aux ailes chatoyantes qui se meuvent latéralement à une vitesse sub-sonique. Un merveilleux florilège d’ombres et de lumières multicolores qui se croisent et s’enchevêtrent pour donner naissance à une grande fresque où le bleu et le vert dominent cette immense toile de pierres ciselée par la nature. Le tout accompagné par une chanteuse invisible à la voix de soprano qui se nomme déesse ECHO.
Aussi belle que la voûte céleste est la voûte terrestre de la montagne ‘..HOQ’NA..’.
Qu’on de le dise.
Soudain, le professeur tombe en arrêt sur une chose qu’il croit reconnaître.
Il n’en croit pas ses yeux. Il veut parler mais ne peut. Il est saisit par l’émotion.
La Douda s’en aperçoit et là aussi il est subjugué par ce qu’il voit.
Les autres membres enfin suivent les regards de nos scientifiques.
Ils sont pris sous le charme de cette chose qui est là à quelques mètres d’eux.
Dans une encoignure, sur une hauteur, dans la cavité d’un rocher, la chose se découvre majestueuse à leur vue, assise telle une reine d’Egypte. Plus belle qu’une icône au visage incrusté d’un diadème fait de gouttes d’eau pures qui semblent sertir sa face.
LE CLYSTERE est là, devant eux. FASCINANT. Ils sont fascinés.
Plus grand qu’une poire de vergers, elle se dresse fier comme un juif modeste que les siècles n’ont pas altèré.
Tawfiq et la Douda sont conquis. La troupe aussi.
Ils sortent leur pelle et couteaux tandis que Michka s’en approche ; elle mesure l’objet fait d’argile noble et humide ; 0, 50 cm de hauteur sur 0,20 cm de diamètre à sa base. Il ressemble à un corps de femme tronquée à hauteur des reins allant en se rétrécissant vers le col.
Il porte à sa base une inscription écrite en hébreu….Que je ne peux dévoiler ! Top Secret.
Toute l’équipe se met au travail et délicatement scie la base.
Cela dure une demi-heure. Enfin, le clystère se détache de son socle naturel.
Nos hommes la placent dans un coffret en bois imperméabilisé.
Nos aventuriers remontent par le même trajet.
A Suivre…Le retour.....LUNDI.....
Par Lza (Lza) le jeudi 08 décembre 2005 - 17h35: |
GRANDE MANIF AU DEPART DU BOULEVARD BARBES
non a la fermeture du PTB
des dizaines de famille ds la panade
un seul reponsable : le dirlo !!!
A VOTE BON COEUR MSIEURS DAMES !!!
Par Breitou (Breitou) le jeudi 08 décembre 2005 - 18h25: |
Reprise..
22°
Une grosse voix rauque se fait entendre au loin….
-‘…Cessez de vous disputeEEEEEEEr. ???? C’est le MIRAAAAAAA..ge du CLYST\-2\eeeeeee….reeee….eeeee……. !’
La montagne ‘…HOQ NA…’ a parle.
Ils se prosternent tous et demandent pardon à la Montagne HOQ NA mta zebi…
Maxiton profite de sa position pour….. Piquer une datte à La Douda.
Ils remettent de l’ordre dans leurs affaires, se dépoussièrent et avancent, tête repentante, vers l’objet de leur convoitise.
Une grotte apparaît à leurs yeux au pied de la montagne…
-‘…Restons unis et surtout ne nous séparons pas… !’ Conseille la Douda alors qu’ils sont tous encordés.
Ils entrent dans la grotte. Des boyaux se présentent devant eux.
-‘…Un vrai labyrinthe… !’ Dit Tawficus..
Ils allument leur lampe de poche.
Taw déplie un plan qu’il éclaire.
-‘…Bon, je pense d’après les inscriptions marquées sur cette voûte que nous devons prendre cette direction… !’
Ils suivent Taw…Le groupe avance dans la pénombre à la queu leu…Breït suit de très près Michka l’archéologue…
-‘…Nous avons affaire à un matériau friable et surtout poreux donc pas trop de bruits sinon tout s’af FESSE …. !’ Conseille t’elle.
Ils avancent à pas de loup.
Cinq minutes plus tard…
-‘…Ici, par contre nous avons à faire à du schiste de l’époque post-numidienne… !’
Ils avancent avec d’infinies précautions…
Dix minutes, plus tard..
-‘...Nous traversons un plateau néolithique… !’
Ils se font tout petits…
Ils rampent prudemment pour ne pas déranger le plateau mta el tmènique..
-‘…Là… ! Par contre… !’
Entracte…
Poupée en soubrette mini verte phosphorescent, elle a mit des socquettes violettes …
‘…Esquimaux, chocolats, hrouchoutes, frigolos, bambolonis, pipites…PamperSSSSSSSSSSSSSSSSSSSS….. !’
A Suivre..
Par Albert (Albert) le jeudi 08 décembre 2005 - 18h15: |
Pendant l’entracte Tawficus est pressenti pour chanter sur la scène.
Il ne se fait pas prier et tout en ajustant ses lunettes, il grimpe les marches des feux de la rampe..
‘…Ma ......... !’ Paroles de mon ami Albert. ( zebi)
‘..§§§§§§§§§§§§§§§….Je vous l’avoue ce soir.///
Je la sort de mon tiroiIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII..r…§§§§§§§§§§§§§§§§§§.///
…Ma confidence...///….§§§ ( vous avez cru autre chose..?)
Mon trésor chérIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIi..§§§§§…Sans complaisance,
je suiIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII…IIIIIIIIIIIIIIIIIIISs…….Amoureux…///...§§§§}}
J’ai un petit faible pour elle .///
EEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE…Elle
qui vient chaque secoOOOOOnde inspirer mes pensèEEEEEEEEEEEEEEes……EEEEEEEE…EEEEE..§§§§§§§
Ouii…. ! Trêve de secret.. !.///.
Elle m’aime, me susurre à mon oreille deEEEEEs mots d’amouUUUUUr.//////
…Mon ouie et oui est grande ouverte je vous le confie sans chichi à vous mes amis… !
MaAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA…….MUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUU…
uuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuse…..m’ titille, m’ caresse, m’chouchoutte sans répit..
///..§§§§§§§§§§§§§§§§§ ….
.Sans se plaindre, je l’ serre dans mes bras….Dans meEEEEEs.. BRASSSSSSSS
SSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSS….AAAAAAAAAAAAAA
AAAAAAAAAAAAAAAAAAAA…AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA…. §§§§§§§§§§§§§§§§§§….
J’la respire, j’m’ennivre, j’délire car nous faisons cause commune eEEEnsemble….§§§§§§§§§§§§§§§
§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§
§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§..Je suis en elle,
elle est en moi….///..
Ma muse aux yeux clairs, chevelure d’or, cambrure de rêve, hanches en forme de bouteille de coke,
Parfum d’orient sur ma peau imprégnée par ma MUSE…Qui s’amuse, ruse, m’use et j’abuse et j’explose
Sans retenue…….MMMMMMMMMMMMMMMMMMMMmmmmmmmm…
.COMME JE T ‘AIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII……Me…///.§§§§§
‘…BRAVOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOO…. !
A suivre ....
Par Breitou (Breitou) le jeudi 08 décembre 2005 - 17h58: |
21°
Le soleil se lève tôt.
C’est le grand jour. Dans trois heures, ils seront en vue de la fameuse montagne sacrée.
Ils prennent d’assaut leurs vaisseaux.
Deux heures plus tard, enfin, les premières cimes de la Montagne ‘…El Hoq’na.. !’
Apparaît majestueuse, grande et belle à mesure qu’ils progressent. Elle semble encastrée dans un tableau où le bleu du ciel est dominant. Pas un nuage dans ce magnifique décor
Sa silhouette se détache d’entre les dunes couleur d’or. Elle porte comme un champignon qui coiffe son sommet. En réalité, un halo de vapeur qui fait office d’auréole et qui s’estompe à mesure qu’ils viennent à elle.
Les aventuriers s’en approchent lentement mais sûrement.
-‘…Bon, ma mission arrive à son terme… !’
-‘…Mais, nous sommes encore loin…. ?’ Grogne la Douda.
-‘…Je ne peux aller plus loin… ! Il vous ne vous reste plus que quelques mètres à faire alors.. ?’
-‘…Quelques mètres.. ??? Plutôt un kilomètre…. ! Oui…. ?’
-‘…Tout le monde à terre… !’
Si tôt dit, si tôt fait.
Le Mont ‘..HOQ’NA…’
Nos aventuriers se munissent de gourdes et de quelques instruments, telles que pioches, bêches, pioches, cordes et autres lampes. Chacun partage les charges.
-‘…Bon…. ! Dans deux jours, comme convenu, vous me trouverez ici au même endroit… !
Si je constate un retard dans notre rendez-vous, je pars… ! A moins que…. !’
-‘…Moins que rien, que vous êtes… !’ Chuchote Elsa.
-‘…Vous ne donnez rien pour la tsedaka…. ?’ Lance Jacou.
Personne ne prenne attention..
-‘…Ah.. ! Ces yeou’di, toujours sourds à l’appel de la charité… !
Harnachée comme elle se doit, l’équipe prend le relais. A pied.
Ils marchent en groupe, tous unis comme des grains de raisins.
Solidaires et surtout encordés sur le plat des sables, aussi plat qu’une omoplate.
Une précaution vaut mieux qu’une déconvenue.
Un quart d’heure plus tard…
-‘…J’ai mal aux pieds… !’ Gémit Michka notre héroïne piquée au vif.
-‘…Otez vos talons enfin … ! Madame …. !’ Lui conseille MAXITON.
-‘…Je vous interdis de lui parler sous ce ….Au MAXI… TON , soyez plus indulgent envers elle… ! C’est la moumoute du groupe donc… !’
5 minutes plus tard…
Michka…
-‘…J’ai soif… !’
Tout le monde la regarde de travers….
Trois minutes…
-‘…Pipi…. !’
Trente secondes plus tard….
-‘…Ca….CAAAAAAA……. TOES….. ! Ah Ah…Je vous ai tous eu sur coup là… !’’
On la regarde…
30 minutes plus tard….
-‘…Ca y est, je la VOIS…… ?’ Hurle la Michka….Elle se met à courir…
Les autres pris au dépourvu et ne pigeant rien se mettent à courir comme des abs..cons….
( Merci le Figaro)
Meyer, le premier trébuche sur une racine sèche, La Douda au lieu de l’enjamber tombe sur lui tandis que Tawficus myope comme une taupe, emporté par son élan, vient s’encastrer sur les deux membres à terre, Michka s’en mêle les pattes dans les cordages…Et vient grossir le groupe ensablé. Breïtouniche, lui aussi, emporté par son euphorie se mêle au tas trémoussant, Girelle la pauvre tombe sur eux …Pareil pour Elsa.
Ce qui nous donne de profil, vue d’un hélico et de loin, une dune de personnage enchevêtré qui se débat pour s’en sortir…..
-‘…Lève ta jambe de mon coude … !’ Hurle Maxiton envers la Douda.
Meyer pioche le sable à la recherche de ces lentilles… Michka, tout en bas, a sa tête dans le grès moulu et voulant sortir de cette mêlée, attrape la jambe de Breïtounich…
-‘…LACHEZ MA JAMBE MADAME MICHKA…… !’ Vocifère Breït…..
-'...NON JE NE LACHE RIEN VOUS ETES PAYE POUR CELA....!'
-'...Mais enfin, je ne vais pas laisser ma jambe ici...?'
-'...Bon je vous augmente une fois sortie d'ici.....!'
-'...Combien..???
-'...Je réflèchis...! Si vous me laissez tomber je rompt le contrait là tout de suite...!'
-'...Dans l'état où vous êtes, vous feriez mieux de m'augmenter de 10 frs...!'
-'...VOUS VOULEZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZ.. ME RUINERRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRR...!'OK j'accepte..!'
Il la sort du sable dans lequel elle était engluèe///
-'...J'ai réflèchiIII...! Vous avez profitè d'une situation périlleuse pour me faire du chantage ( banatage), notre contrat est caduque...! Dés notre retour
au bercail et surtout...SURTOUT........................................NE ME PRENEZ PAS PAR LES SENTIMENTS...Je n'en ai pas oKKKKK....!'
-'...Cessez vos enfantillages vous deux, le moment est solenelle...!' Dit Meyer..( de quoi tu te mêles toi..!')
A suivre...
Par Albert (Albert) le jeudi 08 décembre 2005 - 17h49: |
21°
Durant l’entre acte, Albert se lève et va chuchoter à l’oreille de M. Halfon.
Celui ci consent à chanter.
Il monte sur la scène. Il est très beau M. Halfon. Blond avec du charme et des chevaux gominés. Il est chauve en ce moment.
De sa voix fluette….
’…Sur invitation de mon ami Albert, je vais vous chanter
‘…A LA RECHERCHE DU MOT…. !
La salle se met à rire… Il parle lentement en appuyant sur les finales.
\‘…§§§§…Le mot est éni..Gme.////…
Je peine souvent à le déchiffrer, à le décomposer, à l’analy..Ser..///.
Il me prend parfois à défaut. Le moOOt.///.
Je cherche……..Je trifouille dans ma mémoire embrouillée…….. à saisir le mot compris à tout venant
Moi ….///….Qui suis bien compliqué………….. Je ne fais pas attention à la signification du mot.
Moi…///…. Je place le mot à la place qui lui sied sans ambiguïté parmi ses paAAAAires …..De lait..////
Il me faut alors le tourner, le retourner, le déplacer ou même carrément le supprimer …. Si…. Je n’arrive pas à le glisser parmi ses frères. Le MOT.///
Mot…Mal dit………..….? C’est pas réfléchi.
Mot …Choisi………….. ? C’est la grâce de l’écrit.
Mot…Bien défini……… ? C’est L’article qui se lit.
Mot …Sous entendu…… ? Blesse mes lentilles
Composées de mots ajustés et ordonnées.
Les mots…. Sont importants, ils donnent la force à l’expression et donne l’impression de ne pas se tromper.
Le mot …D’humour…. ? Est le meilleur Meyer, encore faut t’il le surprendre à travers bien des mots fades…Il est celui qui fait sourire et même rire les esprits légers……
J’en suis un…//// Bien léger….///…
REPRISE 21 BIS...SEQUENCE 1235 FFIK
Par Albert (Albert) le jeudi 08 décembre 2005 - 17h44: |
LA NAO METRO MEYER PRESENTE CE SOIR EXCEPTIONNELLEMENT...
Par Albert (Albert) le jeudi 08 décembre 2005 - 17h41: |
Rappel du dernier chapitre d'hier soir...
Ils se mettent en route donc vers les 6 heures du matin.
-‘….Ce soir, nous serons en principe en vue de la Montagne ‘..HOQ’NA… !’
-‘…Yeraya fi … Abat’iq..!’ Dit Breïtounich sous sa jellaba….
-‘…Je vous laisserai à 500 mètres parce que mes porteurs pensent que la montagne porte-malheur… !’
-‘…Combien… ?’
-‘…C’est gratuit, ils n’en veulent pas de votre argent sale… !’
La nuit se passe fort bien sous les tentes.
Entre-acte...Mr Halfon va chanter...
Par Albert (Albert) le jeudi 08 décembre 2005 - 17h36: |
Par Albert (Albert) le jeudi 08 décembre 2005 - 17h13: |
Je les compte sur les bouts des doigts mes vrais amis.....! Oui la Douda comme tu le dis, les critiqueuses sont comme les criquets, dés qu'il y a du blè ils tombent dessus...
Par Douda (Douda) le jeudi 08 décembre 2005 - 15h24: |
Douda :
Par suite de la grève générale des INTERMITTENTS DU SPECTACLE, du manque d’imagination
des NEGRES DE SERVICE, de la mauvaise foi des CRITIQUES, et de l’avarice des
SPECTATEURS envers les OUVREUSES, le DIRECTEUR du PTB, de connivence avec les
CHAMELIERS, décide de décréter RIDEAU sur le PTB !
Générique commandé par Bébert à l’artiste
Par Mamili (Mamili) le jeudi 08 décembre 2005 - 12h25: |
VAZY LZA !
Aucune pitié !retourne le couteau dans la plaie !
Vraiment ca te fait pas mal au coeur ? toute la peine qu'il s'est donné Breitou ! tout ce pognon
pour rien!
En tous cas moi je ne demanderai pas d'honoraires pour ma prestation !
Je vous demanderai d'en faire autant -Merci pour lui-