Par Belebou (Belebou) le mardi 27 décembre 2005 - 22h39: |
‘…Glibette, Mesdames et Messieurs… !’
‘…OUAIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIS….’
Glibette attend sur le côté droit de la scène. Cachée derrière le rideau.
Elle est debout, ses mains tremblent.
Albert la réconforte.
Elle est habillée par Giorgio Lemani….Pantalon lamé noir. Veste légèrement ouverte qui laisse apparaître un très beau chemisier bleu ciel. Un médaillon en or, un Hai est accroché à son cou. Ses yeux verts illuminent son visage bien régulier.
Elle avance et se trouve encerclée par le rond de lumière qui frappe la scène…
Musique silence.
‘…Mon nom d’artiste… !’ Albert.
§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§…
‘…Mon nom d’artiIIIste..////.. Ressemble à une pépite…§§§§..
Cette fameuse graine, bien sèche mais saléEEEEe..§§§§§§….
Connue par tous les tuUUUUUUUnes de mon pays perduUUUU..///..§§§§§
Non.//// Je n’ai pas oubliée ma graine…./////..§§§§§§
Coincée entre le pouce et l’index..
Je la porte entre mes inciIIIIIIIsives..§§§§§§§
Pour la presser et en faire sortir le fruit..§§§§§..
Sans jamais me lasser, je recommence sans bruit..§§§….
Car je suis Glibette pas du tout coiIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIncée...§§§
Je n’ai paAAAs…///… Le profil de ma graine, j’ai les atouts
Qu’il faUUUUUUut qui ne laissent personne indifférent
Cependant je ne laisse le soin à QuiconqUUUUUe..De me croquer
Car je suis une bonne graine qu’on se le diIIIIse….////§§§§§
Ma graine je la poOOOOOrte avec moi..§§§§§§§§§§§§§§§
Contre vents eEEEEt marées, rien que pour..§§§§§§…..Moi, comme mon médaillon d’or ..§§§..§§§§….§§§§……J’en prend même de la pépite et ce soir
HAPPY….. S’TARTEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEESS……….§§§§§…
Le chœur.
‘…Mon nom d’artiIIIste..////.. Ressemble à une pépite…§§§§..
Cette fameuse graine, bien sèche mais saléEEEEe..§§§§§§….
Connue par tous les tuUUUUUUUnes de mon pays perduUUUU..///..§§§§§
Non.//// Je n’ai pas oubliée ma graine…./////..§§§§§§
Elle termine en beauté avec un sourire aussi large que la proue d’un bateau.
Heureuse et fière par la prouesse qu’elle vient d’accomplir.
Albert va vers elle et lui dit ‘…Que de grâce ma chérie… ! Quelle élégance
dans le verbe ma graine… ! T’es une pépite bien rare et pour rien au monde
Je ne voudrais perdre ton amitié…. !’
Elle l’embrasse sur les deux joues devant les spectateurs euphoriques qui battent
des pieds le plancher du P.T.B. Une tonne de graines de tournesol s’abat sur elle.
A n’en plus finir.
Les ‘gloubs’ ont envahi le parquet et il a fallu balayer durant l’entre acte à la va vite….
Par Belebou (Belebou) le mardi 27 décembre 2005 - 22h35: |
Le plateau se rallume..
'...LA MIGNONNE POUPEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE...!'
Puis tout en haut, sur la première marche apparaît dans la pénombre, une jeune fille très belle.
Deux tresses pendent à hauteur de ses épaules.
Elle a la tête baissée. Elle regarde le sol…
Un halo de lumière l’encadre.
Elle est magnifique Poupée du haut de ses 15 ans. Elle a les yeux verts gris acier , des joues fines légèrement saupoudrées, un rouge à lèvres discret fait briller ses lèvres.
Habillée par Jean-Paul Bottier, elle porte un costume masculin, veste et pantalon noir sur une chemisette blanche. Une belle allure.
D’ailleurs le public est surpris par tant de classe et le fait savoir en criant son nom d’artiste.
Je vous le répète, une fille qu’on aimerait bien sortir avec.
Elle descend les premières marches timidement en prenant soin de faire attention aux marches et elle se retrouve au centre de la scène…
D’une voix douce, elle entame le premier refrain….de .‘….Nos chers Parents….’
Musique.
Mais qu’importe l’âge d’une mamAAAAan… !!
Qu’elle aie ….. 80 ou 120 aAAAAAAAns ….
Les gens diront elle est vieille…En vous tournant le dos….§§§§§§§§
Car chez eux, elle n’est pas la leur…§§§§§§§§§§§§§§§
Breitou, 25 ans…Rentre sur le côté de la scène.
Il est habillé en smoking blanc, ses cheveux sont gominés.
Il est chaussé de chaussures dites ‘Diplomates’…Blanches.
Un look d’enfer qui fait craquer Mademoiselle Poupée.
Elle le regarde et va vers lui…
La foule retient son souffle, le duo sous les spots est sublime.
Il reprend….
Mais qu’importe l’âge d’un péEEEEEEEEEEEEEEEEEEre…§§§§§
Qu’il ait….80 ou 120 anAANNNNNNs….
Les gens diront, il est vieux en tournant les talons…§§§§
Je parle d’une mèEEEEEEEEEEEEEre qui nous a couvé EEEEE….§§§§…
Et que je vois vieillir chaque jour un peu plus avec regret…§§§§
Usée par la viIIIIIIIIIe. ..§§§§§§§§§§§§§§§
Jusqu’à marcher péniblemeEEEEEEnnt….…§§§§§§
D’avoiIIIIr .////…. Trop fait pour nous….§§§§§§§§§§
De nous avoir trop aimEEEEE..§§§§§§§§
……………. Trop choyé….. §§§§§§
Les soucis l’ont usés….Aussi…§§§§§…
Poupée…
Puis arrive cette heuUUUUUU Eure……………… Que l’on SOUHAITE toujours tardiIIIIIIIIIIIIIve…. ..§§§§§§§……Où l’on vous annonce dans un combiné gris par surprise…… Qu’il ou qu’elle est hospitaliséEEEEEEEe… A deux pas d’iIIIIIIIIIIIIcIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII
§§§§§§§§§§§§§…..Dans un service d’urgence …..Car il y a eut urgenNNNNce….§§§§§§
Pendant la nuiIIIIIIIIIIIIIII….iiiiit..§§§§§……..
Ensemble…Ils se tiennent par la main… Et se regardent dans les yeux…
‘…Mon D ieu …Mon D ieEEEEEEEEEu ….EUUUU…EUU……Qu’elle tristesse
Mon D ieu…Mon D iEEEEEeu quelle tristEEEEEesse…§§§§§§§§§§§§§§§§
De voir tout d’un coup ressurgir son passe, son enfance à leurs cotès…§§§§§§
Breitou….
Alors …///…..On se lève du lit..§§§§§… Laissant le conjoint …§§§….
Les yeux hagards et la mine défaite..§§§
On ne cherche plus à plaire ni comment s’habiller..§§
On met n’importe quoi sans oublier ses clopes..§§§§§§§§§
Pour aller à la rencontre de son cher parent bien aimé……..§§§§§….
Sans doute allongé..§§§§ La nuit va sembler longue…§§§§§
Ensemble…..Enlacés par les épaules…
‘…Et l’on se refuse à ima…GineEEEEEEEEEEEEEEEEr..§§§§§§ le pire…..////…
La mauvaise nouvelle qui nous faira craqueEEEEEEr ….§§§§§…
Car l’on se dit sur- le-champ en surveillant le cadran…
… ???? Rien que pour se consoler..§§§§
Aurai-je le temps d’arriver …..AvaAAAAAAAAAAAAAAAAAnt…§§§§§§
Voir son cher parent…..§§§§§§§§§§…..
Breitou….
Juste pour le regarder dans son dernière instanANNNNNNNt….§§§§§
Ne serait-ce que deux secondes….. Mon Dieu ….§§§§§§… L’embrasser sur le front..§§§§§
Avant qu’il nous quitte pour un monde meilleur là bas DANS LE FIRE….MAMAN…....
Et lui dire en larmoyant…‘….Je t’aiIIIIIIII …AIMMMMMMM….me .. !’…. !’
Elle…Un éclat lumineux dans ses yeux….
Commence la longue attente…§§§§ ..Le regard rivé sur la porte close… §§§§§… Guettant l’interne qui passe et repasse sans rien dire….Devant NOTRE ANGOISSE qui de lit même à des Inconnus….……..§§§§§§§§§§§§….Et commence l’ attente…Souvent en solitaire… ……§§§§….Assis sur un banc de fortune d’une salle anonyme qui sent l’odeur du formol….§§§…. Impatient devant des murs monotones..§§§…§§§§§§…Les pensées accrochées à sa vie..§§§§§§§…
Ensemble…
‘…En espérant qu’elle ou qu’il vive le plus longtemps Con………TINUEEEEEEEEEEEEEEEEEEE A nos côtés….§§§§§§§§§§§ ……
Les deux artistes terminent en beauté devant une salle émerveillée par ce duo hors-paire.
Applaudissements à tout rompre, debout.
Il a fallu que Belebou intervienne pour faire revenir la calme.
Mademoiselle Poupée et Breitou saluent la galerie et sortent la main dans la main.
Breitou se penche et offre une rose à Mademoiselle Poupée.
La salle s’éteint.
Puis se rallume.
Belebou…
Par Belebou (Belebou) le mardi 27 décembre 2005 - 22h30: |
Une clameur assourdissante s’élève dans le ciel de Paris.
La foule hurle sa préférée, tape des mains à tout rompre.
Une ambiance psychédélique règne dans le grand stade.
Enfin les lumières s’éteignent et un long filet lumineux sorti d’un spot vient frapper le haut des marches.
On voit apparaître la jeune Mam’ili, habillée par Eugène de Monaco.
Elle est vêtue d’une jolie jupe plissée couleur émeraude de style écossais, avec des paillettes sur le devant. Un grand foulard de soie imprimé par des motifs de mains de Fatma, pend sur son côte droit. Des talons hauts.
LA VOIX DE BELEBOU DANS LE MICRO...
'..MAMILIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII...'!
Sa jupe est légèrement ouverte sur le côté tandis qu’un chandail à boutons qui laisse découvrir une généreuse poitrine dévoilant une belle gorge.
La foule debout applaudit à tout rompre.
Elle a un micro entre les mains. Elle entame la première marche lorsque les premières mesures de sa chanson donnent le ton…Elle regarde devant elle et d’une voix assurée…..
Violon….accompagnateur…Et cordes….
(‘… Souviens... Toi….’ Albert )
En entend Breitou en arrière plan chanter…
….MiIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII.......DniIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIght.....Not a souUUUUUUnd from the paAAAAAAAAvVVVVVemeEEEEEEnt..§§§§§§§
Has the mooOOOOOn lost her meEEEEEEmory
She iIIIIIIIs smiling aloOOOOOOOOOOOOOOOne...§§§§§§§§§§§§§§§§§
In the lampliIIIIIIIght.The withered leaves collect at my feet
And the wiIIIIIInd begins to moOOOOan...§§§§§§§......
.////…Arrêt…
SoOOOOOOOOOOOOuviens…..ToiIIIiiiii….///. §§§§§§§….
Nous marchiIIIIIIons coOOOOte à coOOOOOte
Sur les beEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEErges de la SeEEEine..///…§§§§§§
Les pigeons à nos piIIIIIIIIIIeds picoraient nos semis étalés en désoOOOOOOOOOrdre…§§§§§§…..Tu m’as apostrophé par ton regard teEEEEndre….§§§§§§§
MemoryYYYYYYYYYYYYYYYYYY, all aloOOOOOOOOOOOOOOOOOOOne in the mooOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOnlight
I can dreEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEam of the old days
Life was beautiIIIIIIful then...§§§§§§§.....I remeEEEEEEEmber the time I knew what happiness waAAAAs
Let the memoryYYYY live again.....Every streEEEet lamp seems to beat
A fatalistic warning
SoOOOOOOOOOOOmeone muUUUUUUUtters and the streeEEEEEEEt lamp sputters
Soon it will be morning.....§§§§§§§§§§§§§§§§§
Et làAAAAAAAAAAAAAAAA..§§§§§§§§§§§…. J’ai compriiIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIs daAAAAAns tes yeuUUUUUUUUUUUUUUUUUUx ton message craquaAAAAAnt et mon cœur a tressaill 2iIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII ///…§§§§§§§§§§§.
Tu m’as pris la mAAAAAAain à cet instant
Et j’ai serré la tiIIIIIenne….§§§§…
Tout s’est transformé, en un instant
Comme par maAAAAgie….§§§§§…..
Le déEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEcor s’est muUUUUUé en bleu eEEEEEEEEEEEEEEt blaAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAnc.
Les nuages ont disSSSSSparuUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUU …§§§§…..////
Comme pousses par un vent …§§§§….Et nous nous sommes enlacés
Tout en contemplant les sillons écumeux
Qui traînaient derrière les péniIIIIIIches grises….§§§§§§§§§§
Le chœur…
SouUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUviens…..ToiIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII….///. §§§§§§§….
Nous marchiIIIIIIons coOOOOte à coOOOOOtOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOe
Sur les berges de la SeEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEine..///…§§§§§§
Les pigeons à nos piIIIIIIIIIIIeds picoraient nos semIIIIIIis étalés en désordre…§§§§§§
Le public est emballe par le timbre de la voix de la jeune fille. Elle est émue.
Il applaudit à tout rompre. L’applaudimètres vole en éclat.
Elle continue en descendant les dernières marches du podium.
Elle arrive enfin sur la scène……
Elle toute seule….
DayYYYYYYYYYYYlight.........§§§§§......I muUUUUUUUUst wait for the suUUUUUnriIIIIIIIIIIse......§§§§§§§§§§§§§....I must think of a new liIIIIIIIIIIIIIIIIIIIfe and
I mustn't give iIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIn............§§§§§§§§§§§§§§§
WheEEEEEEn the dawn comes
ToniIIIIIIght will be a memory too
And a new dayYYYY will begiIIIIIn..§§§§§§§....
‘….Sou….VVVVVVVVVVVVVVViens toiIIIIIIIIIIIIII…§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§
C’était il y a un aAAAAAAAAAAAAAAAAAAAn…./////……Nous étions des incoOOOOOOOOOnnus qui se cherchaient
A travers la cohuUUUUUUUe..
Je me raAAAAAAAppelle de ce que tu m’as dis ce jour là
‘…Tu es bien ceEEEEElle que j’aiIIIIIiiii….me… !
MeEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEs yeux se soOOOOOOnt emMMMMMbués..§§ ALOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOrs….§§§§§§
Mes larAAAAAmes n’ont pu réEEE….siIIIIIIIIIster à cet assaut d’émoOOOOOtion… !..§§§§§§§
ETTTTTTt j’ai laisse couler mes perles sur ton épaule sans retenue…§§§§
OuIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII…… ! Je me souviIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIens nous marchions sur les beEEEEEEEEEErges de moOOOOn rêve …..§§§§§§§§§§§§§§……Et la Seine coulait en un flot de bonheuUUUUUUUUr…§§§§§……
Le chœur…
SouvVVVVVVVVVVVVVVVVVVViens…..ToiIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII….///. §§§§§§§….Nous marchiIIIIIIons coOOOOte à coOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOte
Sur les berges de la SeEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEine..///…§§§§§§
Les pigeons à nos piIIIeds picoraient nos semis étalés en désordre…§§§§§§
Elle termine en faisant une belle courbette pour saluer la foule. Sa bretelle arrière craque mais personne ne l’a remarqué sauf Belebou.
Albert va vers elle et lui offre un grand bouquet de fleurs en virtuel.
‘..Merci Albert… !’
Elle reçoit aussi une tonne de pétales de roses qui vient embaumer le par-terre de la scène..
‘…MERCIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII…. !MERCIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII……. !’
Le jury note la prestation de la diva. Le résultat s’affichera en fin de soirée . ‘…Tu as été géniale Mam… !’
‘…Merci Albert… ! R.M… !’ Elle envoie des bises factices à la foule.
Le plateau s’éteint. Le silence revient.
Par Breitou (Breitou) le mardi 27 décembre 2005 - 22h18: |
Par Belebou (Belebou) le mardi 27 décembre 2005 - 22h15: |
Par Belebou (Belebou) le mardi 27 décembre 2005 - 22h13: |
Par Albert (Albert) le mardi 27 décembre 2005 - 22h06: |
Et les amis KORJET MA SHABA..Esdalleqom...!
C'est normal ca????
Attends demain tu va voir qui va boxer l'autre...!
Par Albert (Albert) le mardi 27 décembre 2005 - 22h04: |
'...Allo Monsieur Kardoch...?'
'...Oui pour votre fille Mlle Michka...?'
'...Ecoutez vous me reveillez à cette heure là??? Elle est sortie avec ses cousines....!'
'..Ah pardon..!'
Par Belebou (Belebou) le mardi 27 décembre 2005 - 22h02: |
Par Breitou (Breitou) le mardi 27 décembre 2005 - 21h59: |
Michka n 'est pas encore arrivèe..
Tyajej fi rouha..
Elle se fait désirer...Pourvu qu'elle vienne.
Par Albert (Albert) le mardi 27 décembre 2005 - 21h57: |
Par Albert (Albert) le mardi 27 décembre 2005 - 21h55: |
blechi