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Discus: Le Petit Théâtre de Breitou: Archives 2002: Pages 1 a 20: Page 20

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Ben Debba, Slim (Slim) le jeudi 26 septembre 2002 - 15h41:

Ya Wynes, tu ne connais pas le nom de notre grand ecrivains Anglais? Ce n'est pas Cheikh Spir, c'est Cheikh Zubaier (d'apres Gaddafi):-)
To drag en anglais veut dire pull around, mais draguer (en francais) c'est plutot"to hit on", "to charm",ou bien "to Cruise". Au fait, je ne pense pas qu'il y ait un equivalent exacte de Draguer(quoi que Hit on soit l'experssion la plus proche). En Tunisien, on dit "Qaaed Ibezness"" soit disant "il fait du Business"

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert Simeoni (Albert) le jeudi 26 septembre 2002 - 07h37:

Mon cher TAWFIK,

Je profite de ton sommeil angevin pour te resouhaiter la bienvenu dans ce théâtre.Je vois que le mot KAHAL, t'as fait sortir de 'tes ornières ' c 'est un grand pas AMSTRONGIEN,et je constate que tu as mis les pieds sur terre.
Ta LEVY TATION étant términè pense à venir souvent nous voir sans 'tekhil' car je sais pertinement que tu nous lisais comme un KAHAL sans intervenir.Depuis hier c'est chose faite, tu re-entre dans le cercle lumineux des 'écrivains'
comme nous, et comme on ne se compte plus à la pelle ici, ta présence nous réchauffe le coeur et les orteils. Je suis heureux qu'un mot 'oubliè' comme TAFARAS ou KAHALE t'ai donnè de l'inspiration, je vais chercher encore un autre mot dans le dictio 1515 (Epoque Charles Quint ) pour dénicher une perle rare.

ALBERT qui ne fut ni kahal, ni tafard seulement une fois mateur malgrès lui à 18 ans. C'était lors d'un spectacle de rue, un couple de chien se donnait l'accolade collè-sérrè.

Albert le breton.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Toufiq (Toufiq) le mercredi 25 septembre 2002 - 23h26:

pour draguer avec les yeux,comme le font les dragueurs de la marine ,(a ne pas confondre avec les dragueurs de la narine,qui eux draguent avec le nez)il faut avoir des yeux tres solides et bien ancres ou a defaut une monture de lunettes
en beton arme avec des anneaux en acier,ou alors des verres de contact soudes a l'oeuil plus nerf optique renforce avec cables d'acier.bien entendu tout le monde ne peut pas etre "kahal"de choc car tout l'equipement coute tres cher.autrement dit pas a l'oeil!

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Wnes (Wnes) le mercredi 25 septembre 2002 - 22h49:

Salut à Toi Ya Toufiq !

Je ne prétends pas parler l’Anglais, je ne sais que l’imiter, tant pour parler l’Anglais il faut être Anglais. Si tu m’entends un jour parler l’Anglais, tu réaliseras à quel point ce que je dis est vrai !ZZZZZ !

Car dans ce cas je fais avec la bouche, un bruit qui ressemble à l’Anglais, mais ce n’est pas de l’Anglais, ou alors c’est de l’Anglais pour un Turc !

Concernant le terme « Draguer « , mes connaissance dans la langue de Cheikh Spir, sont quand même suffisantes pour donner une traduction comme « Pulling Around « or « To Pull Around « !

Salut à Tous !

Berdah

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Toufiq (Toufiq) le mercredi 25 septembre 2002 - 22h02:

dictionaire: kahal - draguer avec les yeux ou bien draguer tout court.
en anglais: to "kahal". "kahaling" "kahaled" ect..

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert Simeoni (Albert) le mercredi 25 septembre 2002 - 20h26:

TEKHIL = Regarder avec insistance toute chose.
TEKHILE = Action de regarder.

Alors que TAFFARDcomme le dit mon ami Wnes, veut dire 'Tripoter' 'Toucher'.

Mon cher Ami Wnes,
La précision que tu as apporté sur ce mot de 'Taffard' est exact et va dans le bon sens. Je te remercie de l'avoir remis à sa juste valeur.
En effet, à cette époque, nous confondions souvent ces deux usages, préférons le second au premier car pour nous même 'regarder intensément ' équivaut à toucher du regard.
Le 'KAHAL' est un mateur souvent timide alors que l'autre était plus ' osant ' plus téméraire.
Mon ami HENRI, dictionnaire des années passes, m'a aussi éclairé sur ces deux sens.
Je change tout de suite les termes dans mes originaux.
MEA CULPA.
Darmon, merci pour tes rares rentrées. Tes chansons sont comme des fleurs dans cet espace.
Elles nous embaument.
Pour le texte d'hier LA FIN EN VIRTUEL, le passage 'érotique' incriminé a soulevé une tempête dans un verre d 'eau. Je vais me voiler la face d'un voile de pudeur et faire en sorte que pareille description ne figure plus dans mes récits …..Disons moins HARD.
Je m'excuse auprès de mes lecteurs et présente mes excuses. J'ai oubliè que je suis dans une syna et que des jeunes peuvent me lire. C'est à proscrire pour mon avenir littéraire.
Merci de me l'avoir signifié.


ALBERT

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Darmon (Darmon) le mercredi 25 septembre 2002 - 16h22:

Tout d'abord je voudrais dire que je suis très, très heureux des évenements récents sur le site!
Effectivemet rien de plus beau que les différents messages de Rahel21 et de Albert, notre "père" a tous!
Je suis très heureux, que l'intélligence et la sensiblité reprenne le dessus sur la méchanceté et la bassesse, qui a "flirté" avec le chat réçamment! Ca remonte le moral!!
Merci également a Janet, pour sa gentillesse et son honêteté!!

Alors, comme promi, je vous ai trouvé une autre chanson, toujours d'Eric Clapton, ce super guitariste,Anglais!

Layla (eric clapton and jim gardon),

What'll you do when you get lonely
And nobody's waiting by your side?
You've been running and hiding much to long,
You know it's just your foolish pride.

Layla,you've got me on my knees
Layla, I'm begging darling please.
Layla, daling won't you ease my worried mind

I tried to give you consolation
When your old man had let you down.
Like in a fool, I fell in love with you
You turned my world upside down

chorus

Let's make the best of the situation
Before I finally go insane.
Please don't say We'll never find a way
And tell me all my love's in vain

chorus
chorus

Cette chanson assez agée (in the 70ies) a été reprise par Clapton dans son célébre Unplugged de 1992, qui a été ré-edité en DVD,le concert est fabuleux!

L'histoire raconte l'amour impossible entre Clapton et la femme de son meilleur ami de l'époque, Keith Garret, guitariste des "Rolling Stones"
C'est une période très prospère misicalement pour Clapton, mais très sombre personellemnt, qui notamment a cause de ses déboires sentimentaux et personnels, se réfugie dans la drogue et sûrtout dans l'alcool.

Je voudrais également saluer la victoire du Maccabi Haïfa, face aux Grecs du Olympiacos le Pirée! 3-0 ! (même si le premier but aquis gràce a un pénalti simulé, n'aurait jamais dü voir le jour!!)


a bientôt, darmon, l'enfant d'ici, d'ailleurs!

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Wnes (Wnes) le mercredi 25 septembre 2002 - 14h35:

Message d’El Fenech

Ya Bébert, pour le dictionnaire 1515 il faut s’adresser à Madame Marie Nian, quand je parle du bac , c’est celui de Hak El Ouet, d’ailleurs je l’ai aussi conquis de hautes luttes, à force d’avoir traversé le canal à la nage à sa poursuite ! ZZZZZ! …

Il est vrai que c’est bien Hak el Oued, mais dans mon bled Aïn Zaghouan, tous les copains disaient Hak El Ouet patois oblige ! Donc je persiste et signe !

Ton texte sur les Taffards, m’a beaucoup interpellé tant il est véridique ! et il m’a superbement remémoré d’excellents souvenirs, donc tu peux conclure que ces divagations me plaisent aussi, continue Ya Bébert, persiste et signe, pour notre kif à tous.

Berdah

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert Simeoni (Albert) le mercredi 25 septembre 2002 - 08h33:

Excuse moi pour la sémantique du mot TAFFARD....
Je n'ai pas le dictionnaire 1515 et pas de bac plus 7.....Quant à mes divagations,je crois qu'elles plaisent aux divagateurs comme moi.A propos, HALK EL OUET s'écrit je crois sans ouvrir une polèmique , et d'après le dictionnaire de mon ami HENRI FITOUSSI, HALK-EL-OUED...Bon peut etre que je me trompe de sémantique, vérifie toujours dans ton dictionnaire 1515...Merci Wnes et surtout
bonnes fêtes.
ALBERT

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Wnes (Wnes) le mardi 24 septembre 2002 - 22h23:

Chronique d’El Fenech : Taffard Goulettois !ZZZZZ !

Ya Houïa Bébert !

Je vois que tu possèdes le sujet sur le bout des doigts, pour ne pas dire autre chose...comme par exemple sur le bout du... nez.

Toutefois en tant que possesseur d'un bac +7 en la matière, je me dois de rappeler que le vrai taffard, (orthographe selon le Littré édition 1912 de la librairie de la rue du Voile), est avant tout un manipulateur plus qu'un contemplatif!

Je te rappelle que dans un film joué par Raimu, intitulé : « Ces Messieurs de La Santé «, celui-ci incarnait :

Le banquier véreux Jules Taffard alias Gédéon, récemment évadé de la prison de la Santé, qui pour échapper aux recherches de la police, se fait engager comme gardien de nuit et homme à tout faire chez Madame Génissier, dont le magasin est spécialisé dans la vente de corsets.

Petit à petit. " Gédéon" gagne la confiance de son employeuse et se propose de faire fructifier son capital. Encouragée par des premiers résultats spectaculaires, Madame Génissier laisse bientôt à Gédéon le soin de prendre en main les destinées de son entreprise. Avec l'aide d'un petit escroc, Zwerch.

L'ancien banquier se retrouve bien vite à la tête d'un nouvel empire économique qui, sous couvert de vendre des corsets, pratique toutes sortes d'opérations plus ou moins légales allant même jusqu'au trafic d'armes.

Mais tout le monde semble satisfait, à commencer par Hector et Fernande, le fils et la belle-fille de Madame Génissier, qui vivent désormais sur un grand pied. Emporté par son élan. Gédéon crée une nouvelle banque dont les Génissier seront les principaux actionnaires. Cependant, l'émission d'une série d'actions sur d'hypothétiques " mines de l'Esterel " risque soudain d'acculer la nouvelle banque " Gideon " à la faillite.

Qu'importe ? Jules Taffard se dénonce à la police : de cette manière, ses actions vont tomber au plus bas. Il ne lui restera plus alors, avec l'aide de Zwerch, qu'à les racheter à vil prix tandis qu'il purgera dans sa cellule de la Santé le dernier mois de sa peine. .

Taffardage se traduit d'ailleurs par "Pelotage" (Voir dictionnaire Francotune paru en 1515 aux Editions Marie NIAN).

Malgré cette grosse erreur de sémantique, j'ai pris bien du plaisir à la lecture de tes divagations qui traduisent une autobiographie certaine, et au plaisir de te lire prochainement, je t'adresse mes plus fraternelles salutations.

Berdah

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert Simeoni (Albert) le mardi 24 septembre 2002 - 11h34:

CERTAINS PASSAGES DE CE TEXTE SONT INTERDITS AU MOINS DE 18 ANS ET AU PLUS DE 77 ANS.

Mon cher LELOUP, dans un de tes messages personnels, tu m'invitais à créer une nouvelle.
Une histoire qui tiendrait en haleine nos amis du site. Je suis un personnage têtu et relève souvent les défis que l'on me propose sans trop grande prétention.

Je vais essayer donc, d'inventer comme à mon habitude une histoire qui commence bien mais qui fini mal..Bon attends de lire et de voir….
Pourrais-tu imaginer un jour, qu'un personnage d'un certain âge, accro d'un site ou plutôt d'un café puisse raconter sa fin en direct, oui en direct alors qu'il est allongé sur son lit d'hôpital à ses amis qui le soutiennent de loin dans ces derniers moments….Ne t'angoisse pas …lis et donne-moi plus tard tes impressions…
Sur cette……

FIN EN VIRTUEL…..


PARIS 2002.

Retraité et célibataire, cheveux grisonnants, allure sportive, Robert, a 62 ans, ne paraissait pas son âge.
Seulement voilà, il n'a pas eu le temps de chercher femme durant sa vie.

Il s'est dit qu'il était trop tard pour cela. L'ancien attaché commercial d'une grande marque de publicité vivait dans un trois pièces du côté de DAUMESNIL. Un bien immobilier qui lui appartenait. Dans une très belle résidence. Son appart, meublé dans un style très moderne, était de très bonne facture. Beaux cadres à chaque chambre, cuisine moderne etc……

Son seul compagnon était un ordinateur acquit depuis six ans mais ses occupations, son job, ne lui laissait guère l'occasion de farfouiller, ni son moteur de recherche ni les curiosités du site. Une jeune femme de ménage lui dispensait trois fois par semaine des menues charges domestiques. Elle avait trente ans. Dix ans qu'elle était à ses petits soins. Et six ans qu'elle regardait son patron en secret….du coin de l'œil.

En fait, Juanita, à l'insu du ' vieux ', a semé un petit grain d 'amour. Attendant le moment propice pour lui déclarer à sens unique sa flamme. Un soir, alors qu'ils dînaient ensemble –il lui arrivait de partager son couvert -autour d'une belle table aux chandelles, que la JUANITA avait préparé avec goût, elle mit en fin de repas, et au début d'un bon verre de champagne, une musique espagnole au titre prémonitoire.

'TEQUIERO' ( Je t'aime)

La dernière fois qu'elle fit l'amour, remontait du temps où un de ses cousins âgés de 40 ans, l'avait prise si maladroitement qu'elle en fut choquée. Elle avait à peine 16 ans, et depuis, les hommes ne l'intéressaient guère. Elle voyait en eux un mal jouissant, rallant, gémissant, bavant une sorte de liquide à l'odeur javellisée.

Une aventure dans son internat, vers les 20 ans, avec une amie de chambrée, un peu plus âgée, réveilla en elle des sensations qu'elle croyait perdues à tout jamais. Sa relation féminine, ne dura pas longtemps puisque ses parents l'exilèrent à Paris. Pour cause de travail. Le hasard fit qu'elle croisa Robert sur son chemin, par l'intermédiaire d'une agence de travail.

Devant ce fait accompli et par délicatesse, mu certainement par un instinct de plaire, il la prit par la main, à sa grande stupéfaction, et l'invita à danser au centre du salon, au milieu des sofas et de la table basse. A peine ont-ils esquissé quelques pas, qu'elle posa sa tête sur son épaule- elle était aussi de grande taille- lui faisant sentir son parfum d 'ambre et de vanille. Elle entoura ses épaules par ses longs bras aux ongles vernis tout en levant sa tête vers la sienne. Robert la dominait légèrement par sa taille. Il plongea son regard dans le sien, et, pressentant une réaction de sa part, elle prit son courage en mains, le cœur battant, pour lui déclarer ce mot qu'elle rêvait de lui dire et repoussait depuis six ans, reportant à chaque fois son échéance, à plus tard.

'TEQUIERO ROBERT…' lui dit -elle en le foudroyant des yeux.

Elle rapprocha son corps du sien et porta un baiser sur sa belle poitrine poilue, un instant, découverte.

Robert, tout surpris, se laissa apprivoiser par sa belle espagnole au corps élancé, si galbé et si bien fait que notre homme sentit monter en lui, une telle volupté oubliée depuis longtemps, qu'il ordonna à ses mains de pénétrer ses longs cheveux noirs allant jusqu'à caresser, du bout de ses doigts, son dos à demi- dénude. La belle andalouse aux yeux de braise, frissonna sous ces effleurements.

Ses mains de male, impudiques, se hasardèrent même à courir le long de son épine dorsale et à pincer ces fesses si féminines, si proéminentes, si moulantes qu'elle ne put se contenir, sous son excitation amoureuse, de lui dévorer les lèvres de la façon la plus fougueuse qui soit.

JUANITA laissa glisser sa robe, retenue par des bretelles, à terre. Il surplombait, un joli monument de corps de femme, à la chair si ferme et si beau qu'il se laissa entraîner dans les labyrinthes intimes de sa belle espagnole. Ils s étaient débarrassés de leurs accoutrements. Tout en dansant. Leurs vêtements gisaient en désordre sur la moquette.

Ils étaient toujours, debout, nus comme des limaces. Leurs deux sexes se frôlaient, pour la première fois, faisant connaissance, s'effleurant à la bonne hauteur, tandis que leurs lèvres s'entrechoquaient.

Leurs bouts de chair, leur langue frétillait et s'adonnait au plus beau manège qui soit, à l'intérieur de leur caverne prise par la fièvre d'un samedi soir. Leur haleine s'échangeait dans un tourbillon d 'amour.

La Juanita, légère comme une plume, s'agrippa à son cou, faisant remonter ses belles cuisses. Elle piégea les reins de son amant par sa taille, et, tout en restant soudés par la bouche, il sentit la moiteur de sa cave
mouiller son bâton berger, dressé comme la tour de la Concorde.

'Non …..!' lui dit elle ' Ne rentre pas tout de suite….Attends…..'

Ils restèrent, un instant, dans cette position, se donnant le temps de s'apprécier, avant que la belle espagnole ne redescende, tout inondée par son suc qui coulait comme une fontaine de jouvence. Elle mit genoux à terre. Ses cheveux noirs, couleur geai, étaient jetés en arrière. Elle se trouvait, à présent, face à face avec ce beau phallus tant désiré, si bien dressé, et pour la première fois, elle goba ce gland qui la fit tant fantasmer. Elle l'enclava dans sa petite bouche le trouvant alléchant et surtout au -delà de ce qu'elle avait imaginé dans ses délires.. Il était bien membré, son étalon.

Du haut de ses 1m 85, Robert regardait cette belle femme, accroupie, fouetter son pénis de sa langue, avec une telle dextérité qu'il se forçait à ne pas lui inonder la bouche. Il prenait un tel plaisir à sentir ces frissons monter en lui, qu'il lui faisait signe, par moment, de calmer ses ardeurs. Alors, elle s'arrêtait un instant, la salive aux coins des lèvres, levant ses yeux vers les siens.

Il la releva, l'invita à s'asseoir sur le sofa. Elle s 'exécuta, et, devinant ses intentions, elle cala ses fesses dans l'encoignure du divan, tout en écartant ses jambes. Elle présenta, tout en posant sa belle jambe droite sur son épaule gauche, sa belle fleur arrosée et allégée de ses poils, rasée en forme de cœur, à son amant, alors qu'il était à genoux. Il commença par lui baiser le cou tout en lui caressant légèrement avec son index son clitoris levé comme un doigt tendu. Il descendit sur ses petits seins aux bouts pointus tandis qu'elle lui caressait la nuque ajoutant encore plus de gémissements à ses frissons portés à leur paroxysme. Elle l'invita ensuite à boire dans sa moule. Robert était devant son sexe, dégoulinant de bonne sève. Il commença par lécher les à-côtés de son lys, , avant de porter sa langue entre les lèvres brunes de sa 'domestique'. Il fut surpris par la longueur de son clitoris qu'il coinça entre sa langue et son palais. Il 'fouaillait' son intérieure sous les gémissements de sa belle partenaire. Il sentait cette odeur suave qu'il avait oubliè depuis si longtemps…Elle prenait son pied sous les coups de boutoir de son 'mec'.

Elle eut la force de lui dire entre deux halètements….

'Prends moi et ne me respecte pas…..'

Il saliva sa queue et la fit glisser délicatement dans son fourreau humide soulevant en elle des soubresauts de plaisir. Il fit cependant attention à ne pas trop la défoncer mais elle lui intima presque l'ordre d'aller jusqu'au bout de sa garde. Robert succomba à son envie et pénétra son pot à miel. Elle ressentit une telle extase qu'elle cria de plaisir. Elle jouissait comme jamais elle avait joui. Robert sentait monter en lui son jus qui alla éclabousser le fond obscur de sa Juanita à demi inconsciente.

Ils restèrent un bon moment enlacès avant qu'elle ne se rhabilla.

Elle était devenue sa maîtresse. Sans qu'il n'ait rien demandè. Il accepta ce fait d'autant plus que la jeune femme était d'un caractère si doux et si docile qu'il s'était posé cette fatidique question….

'Mais pourquoi n'ai- je rien vu auparavant?'

Il avait exigé cependant que sa 'domestique maîtresse ' ne partage pas son appart. Il voulait être libre chez lui. Sans contrainte.

Robert était un passionné de l'ordinateur. Il écrivait surtout ses mémoires. Des pages et des pages qu'il avait fait venir de son pays natal, dans un cartable tout rabougri. Des vieux feuillets, tout cramoisis et humidifiés qu'il s'acharnait à réécrire avec plus de goût et plus d'entrain.

Il y mettait un tel sérieux qu'il rêvait de publier un jour ses manuscrits. Non pour la gloire, se dit- il mais pour la postérité qu'il n 'a pas. Bref, un passe temps plus qu'une consécration. Il partageait ses délires avec sa JUANITA qui l'encourageait à le faire, allant même jusqu' à lui souffler quelques conseils.

Il se replongeait ainsi dans sa famille, se souvenant de telles ou telles anecdotes, rectifiait tel fait ou au contraire en rajoutait. Il revoyait ses frères du temps où il habitait au pays, ses photos de grand sportif, ses amis, ses anciennes amies.

Les odeurs de sa ville venaient titiller ses fines narines, par moment il était pris par une grande émotion et là, il s'arrêtait d'écrire sous l'œil attendrit de sa 'domestique' qui lui posait souvent un baiser chaud sur son front.

Ses doigts, enfièvres et mobiles, allaient et venaient sur son clavier, tapaient avec frénésie ces caractères qui venaient se figer les uns derrière les autres, sur son écran vierge qu'il violait toutes les secondes. Son regard se promenait d'une feuille de brouillon à son écran. Il avalait dans sa tête, les phrases censées être strictement reproduites, avec un tel nervosisme, qu'il en sautait souvent la moitié.

Il reprenait ensuite ses oublis qu'il contractait afin de leur donner une plus grande simplicité et surtout moins de lourdeur. Il y ajoutait aussi beaucoup d 'humour comme s'il voulait se donner du plaisir et du rire. Et il en riait sous cape devant son espagnole émerveillée par son bonheur.

Parfois, elle s'asseyait sur ses genoux, laissant entrevoir sa belle jambe et son slip sous sa jupe fendue. Une invite. Il la soulevait dans ses moments là pour la poser sur le sofa, et là, pris d'une soudaine envie 'de fornication', il lui écartait les jambes pour lui ôter son mini slip pour mieux apprécier son bas ventre légèrement et surtout prêt à être enfourné. Elle était très belle la JUANITA dans ces moments de chaleur d'autant plus qu'elle ne s'empêchait pas de crier son plaisir pour celui qu'elle aime.
ROBERT par la force des choses en était devenu fou amoureux. Et puis un soir, contre toute attente et à sa grande surprise, il lui demande de venir partager son lit définitivement.

L'amour vous fait faire des choses dès fois….si bêtes et si incongrus….

Elle l'observait souvent agir sur son ordinateur à son insu, et, quand elle se rendait compte que son amant coulait des larmes, elle les lui essuyait sans rien dire ou plutôt en lui disant…

'Tèquiero….'

Elle les lui séchait de sur ses joues comme on ramasse, en automne, les feuilles de ficus de son ancienne Goulette natale, là où il naquit des années déjà.

ROBERT avait aussi des amis. Mais dans le virtuel. Oui, dans un cafè des dattes, sur un site. Il dialoguait dans un mutisme de bon aloi avec des gens aux pseudos bizarres, venus d'un peu partout, éparpilles sur son écran qu'il ne connaissait ni d'Adam ni d'Eve. Des étrangers au début. Un passe temps comme il le disait à sa maîtresse qui trouvait là une concurrence sérieuse. Mais Robert était raisonnable. Il s'était soumis à une discipline, ne pas dépasser les 22 heures.

Il était devenu si connu dans ce cafè que son absence, certains soirs, soulevait des protestations de la part de ses amis des deux sexes. Il était toujours parmi eux à les faire rire et sourire. Et puis il avait souvent ce mot dans la bouche qu'ils appréciaient tous. RABBY MYAK. C'était son signe de ralliement à un tel point que la plupart d'entre eux, le lui retournait quand il quittait la salle. EN PV. Il s'était habitué à eux et eux à lui.

Et puis un jour, ROBERT, tomba malade. Une grippe se dit-il. Pas bien grave.

Le médecin, pour plus de sécurité lui conseilla de faire des analyses. Robert s'exécuta et ces dernières ne furent pas bonnes. Il en fit part à sa maîtresse qui, sur le coup ne pouvait réaliser que le mal dont souffrait son amant était très grave. Robert était astreint à une thérapie bien lourde. Mais conscient de son mal, il espérait s'en sortir, il supportait avec courage ce que l'on lui imposait.

Jusqu'au jour où…..

'Monsieur Robert, il va falloir rester ici, chez nous à l'hôpital pour vos soins'.
'Et mes amis du cafè dit il….?'

'Quel café ……..? ' Répondit le médecin….

Et de lui expliquer qui sont ses amis.

Réticent au début, le médecin chef autorisa Robert à dialoguer de son lit d 'hôpital avec ses frères du cafè.
qui ont compris depuis quelques temps que leur ami est souffrant. Mais par pudeur, ils firent semblant d'ignorer la chose. Un soir, alors qu'il était au plus mal, il rentra…..

ROBERT EST RENTRE EN SALLE.

Bienvenu(e) sur notre chat. N'oubliez pas les règles de politesse élémentaire au cours de vos discussions.

Dialogue…..

22:38 Rahel 21………………………../' Roberrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrt'
22:39 Robert………………………/' Slt tout le monde'
22:40 (Josepeh)( Robert)………../ Rabby
22:41 (Robert) ( Joseph)………./ Myak
22:43 Maboulette……………….. / Robert comment vas tu….!
22:44 Jex…………………………/ Echnouè hwèllèk laziz…?'
22:45 Rose………………………./ Bonsoir Robert
22:46 Robert……………………./Les amis ….je souffre……je suis à l'hôpital sur mon lit…et je ne crois plus pouvoir venir vers vous, ce sera mon dernier soir…..'

Silence….

22: 50 Ofek……………………../ Robert qu'est-ce tu as….?'
22: 51 Maboulette………………/ Dis nous ce que tu as….?
22: 52 (Suzy) ( Robert)…………./ Ma Robert di mi, sono malato….?
22: 53 Dunkrat……………….../ Robert yè aazizi, mrid rabèk…?
22: 54 Elsa……………………../ Robert………………….t'es Breitou…..?
22:55 Leloup…………………../ Que sent- tu Robert….?'
22:56 Bichette…………………/ Robert tu veux qu'on vienne….?'
22:57 Joseph…………………./ Robert ….Ecoutes dis nous ce que tu ressens…..?'
22:58 Robert…………………./ Je sens comme des……des……'
22:59 Rose……………………/ Quoi des….des…..?'
22:60 (Maboulette )( Rose)…../ D'après toi, il ressent quoi…… des quoi……?'
22:61 ( Rose)(Maboulette)…../ Des choses qui lui font mal certainement….!'

SUGGEST ENTRE DANS LE SALON…

22:62 Suggest………………../ Ch'tai reconnu…!JJJJ
22:62 (Joseph)( Suggest)……/ Le type va mourir et tu lui dis ça…..?
22:63 Suzy…………………../ Les amis avez- vous remarqué l'heure……?'
22:64 Ofek…………………./ C 'est un miracle l'heure n'a pas tourné….?
22:65 Nechama……………./ C'est un miracle……
22: 66 Robert………………./ Ah…..Je……Je……..Va……….Mo…..aaaaaaaaddi…….je meu……
22: 67 Jex…………………../ Robertttttttttttttttttttttttttttttttttttttt…….!'
22:68 Rahel………………../ Roberttttttttttttttttttttt……non….sniffff…….'
22:69 Robert………………/ Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaat……..'
22:70 Rose………………../ ???????????…..'
22:71 Robert……………../ …TCHOUMMMMMMMMMMMM…..'
22:72 Leloup……………./ Oh toi…Tu nous emmerdes Robert…..'
22:72 (JEX) (Robert)……./ In yaddin rabbek
22:73 ROBERT…………/ Ben écoutez si on ne peut plus s'amuser…..

A la fin du miracle, l'horaire est revenu à 23heures 13.

Pour comprendre la fin du texte, il faut savoir que je fréquente le CAFE DES DATTES.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Rahelina (Rahelina) le lundi 23 septembre 2002 - 22h42:

merci albert pour ton message:)
alors je ferai de mon mieux pour ecrire des poemes digne du theatre.
je vous aimes chere famille .
rahel21

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert Simeoni (Albert) le lundi 23 septembre 2002 - 20h07:

Ma chére RAHEL,

Te faire une toute petite place dans mon theatre
????? Mais tu plaisantes ma chère, tu as toute la place que tu veux ici et ce n'est pas mon theatre.C 'est le theatre de tous ceux ou elles qui te ressemblent, qui nous ressemblent.
Tes écrits ont attirè mon attention depuis pas mal de temps et c 'est formidable ce que tu écrits.
Wness, viens de t 'offrir un joli poème et moi, j'essairai d 'en faire un autre.
Avec mes petits moyens.Continue à écrire ici, non seulement je ne suis pas sourd à tes cris de tendresse envers ton fiancè mais je trouve que ton sentiment est si fort et si sincère que je doutais de tes compètences, à prèsent je suis réconfortè par ta verve.
Vas y rentre autant que tu veux ici et exprime tes pensèes et sentiments.Nous les attendons avec
joie.A bientôt.
ALBERT

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Rahelina (Rahelina) le lundi 23 septembre 2002 - 18h04:

oh ,merci Berdah,ca me touche beaucoup,si tu pouvais voire mes joues commme elles sont rouges:)
vive la famille harissa!!!!
rahel21

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Wnes (Wnes) le lundi 23 septembre 2002 - 14h52:

Chronique d’El Fenech : Chanson à Rahelina !

Ta mère t'a donné comme prénom
Rahelina Jolie, oh quel joli nom
Au nom de tes ancêtres Goulettois
Il faut reconnaître que tu le portes bien

Rahelina, jolie, jolie, jolie
Tu plais à son père, tu plais à sa mère
Rahelina, jolie, jolie, jolie
Un jour ou l'autre, il faudra bien qu'on vous marie

Pendu dans sa cabane au bord de l'eau
Y'a des adam hout, y'a des noix de coco
Il'en a déjà goûté, Il n'en veux plus
Le fruit de ton âme serait le bienvenu

Rahelina, jolie, jolie, jolie,
Tu plais à son père, tu plais à sa mère
Rahelina, jolie, jolie, jolie
Un jour ou l'autre, il faudra bien qu'on vous marie

Il plongeras tout nu dans l'océan
Pour te ramener des poissons d'argent
Avec des coquillages lumineux
Oui, mais en échange tu sais ce qu’il veut

Rahelina, jolie, jolie, jolie
Tu plais à son père, tu plais à sa mère
Rahelina, jolie, jolie, jolie
Un jour ou l'autre, il faudra bien qu'on vous marie

Vous avez donné chacun de tout votre coeur
Ce qu'il y avait en vous de meilleur
Au fond de la cabane au bord de l'eau
Ce panier qui bouge, c'est un petit berceau

Rahelina, jolie, jolie, jolie
Tu plais à son père, tu plais à sa mère
Rahelina, jolie, jolie, jolie
C'est toi le fruit de nos âmes, bonjour petit


Extrait du livre : Les Chansons de l’Àme.

Berdah

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Wnes (Wnes) le lundi 23 septembre 2002 - 14h34:

Chronique d’El Fenech : La fille sauvée.

Il s'appelait BesBes, c'était un pauvre pécheur Goulettois.

Un jour, alors qu'il tentait de gagner la vie de sa famille, il entendit un appel au secours provenant du Bougase tout proche.

Il laissa tomber sa chebka, y nageat et y trouva une jeune fille enfoncée jusqu'à la taille dans la bouzaka, apeurée, criant et cherchant à se libérer.

Le gentil pécheur sauva la jeune fille de ce qui aurait pu être une mort lente et cruelle.

Le lendemain, un attelage élégant se présenta à la cahute du pécheur.

Un Bey, élégamment vêtu, en sorti et se présenta comme étant le Père de la fille que le pécheur avait sauvée.

- Je veux te récompenser, dit le noble. Tu as sauvé la vie de ma fille!

- Je ne peux accepter de paiement pour ce que j'ai fait! Répondit le pécheur Goulettois.

Au même moment, le fils du pécheur vint à la porte de la cabane.

- C'est ton fils? demanda le noble.

- Oui, répondit fièrement le pécheur.

El Fenech, le Jurisconsult qui était le pote du pécheur, passant par là, s’adressa au noble en ces termes :

- Noble Sir, permets moi d’intercéder, et de te proposer d'offrir au fils de mon ami le pécheur, la même éducation qu'à ta fille. Si le fils ressemble à son père, je suis sur qu'il sera un homme duquel tous trois seront fiers.

Le noble accepta et le fils du pécheur Goulettois suivit les cours des meilleures écoles et à la grande finale, il fut diplôme de l'Ecole d’Arts Culinaires de Hak El Ouet.

Porteur d'une grande aspiration, il continua jusqu'à être connu du monde entier, tant et si bien qu’un jour le fils du pécheur, fit trois grandes inventions, celle de l’Adam Hout, de la Boukha et du Complet Bouri.

Des années plus tard, la fille du même noble qui avait été sauvée de la bouzaka, était atteinte d'une envie de femme enceinte et se mourrait de langueur !

Qui lui sauva la vie cette fois ?... l’Adam Hout, la Boukha et un Complet Bouri.

Quelqu'un a dit un jour :
Tout ce qui s'en va revient...
Travailles comme si tu n'avais pas besoin d'argent.
Aimes comme si tu n'avais jamais été blessé,
Danses comme si personne ne te regardait.
Chantes comme si personne ne t'écoutait.
Vis comme si le Ciel était sur la Terre.

C'est la Semaine Internationale de l'Amitié. Envoie ce message a
tous ceux que tu considères tes amis, en incluant celui qui te l'a
envoyé. Envoies-le et tu amélioreras la journée de quelqu'un..
Il ne se passera rien si tu ne le fais pas. Mais si tu le fais,
quelqu'un sourira grâce à toi... !ZZZZZ !

Extrait du livre : Les Grandes Inventions Goulettoises.

Berdah

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Rahelina (Rahelina) le lundi 23 septembre 2002 - 01h03:

avant tout je voudrai remercier mon cher albert de me laisser une toute petite place dans son theatre,moi une simple jeune fille qui ecrit ses sentiments par bribes de phrases qui ne sont souvent pas professionel,je l'avoue.
Voici un petit poeme qui ne rime pas ,avec des maladresses mais qui vient tout droit de mon coeur et qui a ete ecrit en live au cafe des dattes,c'est pour cela que je ne veux pas faire de correction.
Ecouter le son de ta voix,je ne vois que toi,
Mon ame s'envole, en toi je me noie,
respirer ton air,goutter ton miel,ces mots d'amour aussi sucrees que le plus doux des miel,
nous nageons dans les eaux bleu de l'ocean,
je nage commme un poisson dans l'ocean infini comme l'est notre amour,
mon ame attire par la tienne ,recherche ta peau pour creer enfin une seule chair de nos deux corps,matiere terrestre qui relie le celeste,
tes yeux brille dans mon coeur et moi je fond de les voire se poser sur moi,
et la vie est tellement belle quand elle se vit pres de toi,
oh,mon amour,comment ais je pu vivre sans toi,ta presence m'est vital,
tu es mon oxygene ,mon eau,
une sensation incroyable de rencontrer sa nechama,
tu es l'autre moitie de mon ame,
a present je tes trouve,nous sommes soudes pour l'eternite,
tous les mots ne pourront d'ecrire mon amour pour toi,
mais je n'en ai qu'un seul en ma possession que je garde pres de mon coeur pour te devoiler mon ocean de bonheur,
JE T'AIME.
ta petite rahel,

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Wnes (Wnes) le dimanche 22 septembre 2002 - 22h08:

Chronique d’El Fenech : Le fils du chameau.

Une femme vint trouver El Fenech le Jurisconsult de Hak El Ouet, elle lui annonça :

- Ya Oueldi voici tes cent dinars, prends les, ils sont à toi, mon mari m’a répudié, et je désire rentrer chez mes parents, sans la moindre honte ! donc fais moi rentrer montée sur un chameau !
- Ya Omi, répondit le Jurisconsult, tu m’a l’air un peu dérangée, et s’adressant à son voisin chamelier de profession, il dit : « S’il te plait, fais la raccompagner montée sur un fils de chameau ! «
- O Jurisconsult – le Salut est sur Toi ! Je ne monterai que sur un chameau !ZZZZZ !
- Nous n’avons chez nous qu’un fils de chameau.
- Je monterai que sur un chameau !
- Femme ! s’exclama El Fenech en éclatant de rire, un chameau n’est-il pas un fils de chameau ?

La femme se mit sur sa monture et s’en alla vers ses parents.

Extrait du livre : Le Patrimoine Génétique.

Berdah

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Darmon (Darmon) le dimanche 22 septembre 2002 - 14h42:

Chère Janet, merci de votre mot, qui m'a énormément touché, au point d'en pleurer!
Je suis ouvert a toute discution, mon mail est:
erikdarmon@aol.com!
a bientôt, je l'éspère!!

Il y a une part de vrai dans ce que vous dites, d'où le mail!
mais j'aime a peu près tous les genres de musiques et pensais donner "un peu de tout, ici:
prochainement y'aura du Paul Simon!

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Janet (Janet) le samedi 21 septembre 2002 - 15h31:

M.D
Je ne vous connais,je l'avoue
J'ai aime ce que vous avez affiche,sans d'autres forme de proces..
Mais,sans etre psychologue,je devine que vous avez une certaine rancoeur contre ce monde et contre l'attitude des gens que vous pensiez etre vos amis
Vous devez etre encore tres jeune et trop intelligent
Quelquefois c'est un don mais souvent une source de soucis
Je vais faire comme les voyantes qui vous donnent un horoscope soi-disnt adequate a votre situation actuelle ,mais qui en general,n'en savent pas plus long que vous
je pourrai vous donner simplement un conseil
ne prenez rien au serieux...Avec vous ou sans vous,vous allez decouvrir que ce monde va son train-train en faisant tomber les coeurs autour de lui
C'est un veritable chaos et si vous ne trouvez pas le seul etre que vous attendez,et que vous souhaitez passionement connaitre,,car enfin,vous pourrez lui communiquer toutes vos opinions sans que l'on vous jette dans la poubelle de la critique ou que ,chose pire ,on ne vous compte plus du tout,vous continuerez a chercher tous les poemes et toutes les chansons les plus tristes
la fin est connue.......
C'est la depression,difficile a reconnaitre,et difficile a soigner........
Soyez prudent,car si ceux que vous croyiez vos copains devinent que vous n'avez plus envie de plaisanter ou de rigoler,ils vont essayer,par tous les moyens de vous eviter..ca s'appelle l'egoisme et la peur d'etre contamine...
Moi,je vous comprends,je crois,car mon experience a ete cruelle...
je ne me vante guere , votre humeur actuelle est la mienne...
j'espere que je me trompe,mais si vous voulez de plus profondes explications,postez votre adresse e-mail
C'est le moment de trouver de vrais interlocuteurs...

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Darmon (Darmon) le samedi 21 septembre 2002 - 12h54:

Chanson:Nobody Knows You When Your're Down And Out
Lyrics and performed by Eric Clapton.

Nobody knows you when you're down and out


Once I lived the life of a millionaire,
Spent all my money, I just did'nt care.
Took all my friends for a mighty good time,
Bought bootleg wiskey, champagne and wine.

Than I began to fall so low,
Lost all my good friens, nowhere to go.
If I get my hands on a dollar again,
I'm gonna hang on to it till that eagle grins.

'Cause nobody knows you
When you're down and out
In your pocket not one penny
And as for friens you don't have any.

When you finally get back on your feet again
Everybody wants to be your long lost-friend
Said it's might strange, without any doubt
Nobody knows you when you're down and out.

When you finally get back on your feet again
Everybody wants to be your long lost friend
I say it strait, without any doubt
Nobody knows you when you're down and out.

Eric Clapton