Par ROCH Claudine (Abigamiel) le samedi 28 septembre 2002 - 22h39: |
Janet,
Voilà je crois que maintenant les voiles sont levés, nous pouvons nous appeler par nos prénoms.
Vous me posiez la question s'il est bon de consommer les cuisses de grenouilles. Alors sur un plan religieux, je vous répondrai que non, vous savez autant que moi que les grenouilles ne sont pas casher. Ensuite, sur un plan culinaire, avec une bonne sauce au beurre avec persil et ail, je vous répondrai que c'est bon.
Ce qui est intéressant avec vos grenouilles, c'est que malgré leur statut d'impures sur un plan théologique, elles peuvent être une source de bénédictions.
En effet, l'éradication des moustiques - insecte étant tout de même d'après vos recherches à l'origine de la folie meurtrière/suicidaire de pantins humains en nombre assez élevé - peut se concrétiser à l'aide de grenouilles.
Ainsi les grenouilles constituaient pour l'Egypte une des 10 plaies, de même qu'elles servaient d'avertissement au égyptiens pour libérer les hébreux.
Intéressant comme analyse ma chère Janet. Malheureusement, mes ânes ne vous seront d'aucune utilité pour renforcer votre projet qui est le mien aussi.
Il est vrai que mes ânes sont attachants, ils sont beaux. Quelquefois, ils me rappellent Bambi. Leurs yeux me font craquer et ils savent si bien faire vibrer leurs longs cils.
En revanche, ils sont têtus. Souvent, ils se querellent "grave" entre eux mais lorsque l'un d'entre eux fixe son attention sur les 2 lamas de Cherbuin (un cadeau offert par Jean-Paul II), sitôt ils oublient leurs différents et s'unissent pour faire la guerre à ces 2 pauvres bêtes étrangères. Je crois que les ânes sont jaloux de la toison fournie des lamas.
Je tiens à préciser que le champ de Monsieur Cherbuin est juxtaposé au mien.
Gros bisous à Janet.
Comtesse Abi des Pieds du Jura.
Par Albert Simeoni (Albert) le samedi 28 septembre 2002 - 20h30: |
Mon cher BINGO,
Vous venez de commettre 'une crème de lèse majesté 'en dévoilant au public mes activités 'noirâtres , magiques et de sorcelleries' , 'couac' que j'en ai déjà parle à plusieurs reprises.
Ma chère JANET, vous êtes enfin sorti de votre torpeur et grâce à vos grenouilles qui 'coassent' , à qui je rends un hommage appuyé, je voudrais vous dire que LA BARDOT va vous coller un procès quelque part car vos bestioles voyagent dans des conditions indignement humaines. Donc reprenez du poil de la bête et ne vous grattez pas trop vos neurones. J'ai comme un pressentiment que grâce à la COMTESSE DU JARRET et à Monsieur LE COMTE, son mari, nous allons 'élucubrer à l'infini. Continuez, je vous trouve formidable.
Madame LA COMTESSE, j'ai eu vent qu'une grande soirée masquée va se tenir dans votre Château, je n'ai pas reçu encore mon invitation et je vous serai gré de remédier à cet oubli. Pensez aussi à Breitou et à Belebou.
JANET houtte ââlik….
MERCI, votre dévoué Albert Comte de La SIMEONI….
Par Janet (Janet) le samedi 28 septembre 2002 - 18h17: |
Chere Abigail
Remettez moi en place si vous trouvez que je deviens obnosquieuse, triviale et familiere trop vite...
Vous savez ,ou vous ne savez pas et je vous l'apprends,aux Etats-Unis ils sont tres visqueux et sang bleu ou non,on vous appelle aussitot par votre prenom,et meme ils le racourcissent,sans pitie...on m'appelle souvent Jaja a ma grande fulmination...mais qu'y puis-je ?//meme si Comme l'a dit l'autre Noblesse oblige
on ne peut rien leur enseigner d'aristocrate...la cause est perdue
Mais le sang bleu,comme le sang des autres,monte a la tete de l'amitie et veut se transmettre comme certaines autres facultes de creation
Je dois avouer que vos renseignements ont provoque chez moi,un plaisir intense,mais je n'aurai pas du lire votre message aujourd'hui,car il est absolument interdit par le plastic surgeon qui a refait mon menton et quelques rares rides qui me genaient,d'avoir la moindre reaction ,meme du sourire....
Je vous remercie de ne pas avoir use d'humour et ainsi j'ai pu lire sans reaction interdite
Question :
est-ce que vous croyez que notre ami Albert de Simone peut me debrouiller le Rexona..et la Suisse ne fait pas tres bien son travail de marketing..je n'en connaissais pas le nom !!
je n'en ai jamais entendu parler,mais ce que vous m'en dites me convient,surtout qu'il n'est pas fatal a l'ingestion,parce que je dois avouer que j'ai le defaut de vouloir gouter a tout ce qui est nouveau.....
ah !! le bruit des grenouilles,,,ce sera un cauchemar,mais je les ferai anesthesier,ce n'est pas lethal,je crois ??
Entre nous,est-ce que vous me conseillez d'en garder quelques unes pour en manger les pattes comme font les francais???
mes respects,ma chere
j'espere que nous saurons rester en contact
Par Bingo (Bingo) le samedi 28 septembre 2002 - 18h14: |
Notre cher Webmaster m'ayant charge d'extermine les virus qu'il a trouve dans son site, noblesse oblige, j'ai du executer ce travail fastidieux non sans l'aide precieuse de nos amis Breitou, Claudius et bien entendu Jex.
On aurait pu faire appel a jane la castree par les moustiques vecteur du virus du nil terroriste ou a notre nouvelle comtesse des anes voyageurs, mais nous nous sommes dit que c'est une affaire d'hommes.
Jex nous emmena deux grands couffins de Sfax, je suis parti moi meme les cherches a l'aeroport d'orly, bien entendu ces couffins etaient destines a transporter les virus d'Harissa vers leurs lieu d'extermination en l'occurence vers la suisse romande ou il y un grand incinerateur atomique destinee a bruler les virus informatique et aussi les couches SUMOANES.
Je pense que notre nouvelle comtesse connait bien cet endroit.
Bref je dus livrer nos deux couffins dans boutique de Breitou, Oh la la, quelle boutique?
De la musique de Farid el Atrache, pour les oreils
Des batons d'encens, pour les narines, des crucifix pour la priere, des idoles de divers saints pour les idolatres, des prieres pour les simples d'esprits, des peruques pour les chauves, des bougies pour sorcieres, les tombes et les diseuses de bonnes avantures, les poudres et les herbes magiques, bref un bric a brac digne de notre cher Breitou.
Mais je m'appercu que notre cher Breitou vendait de tout et surtout beaucoup de boniments, du vent et diverses poussieres.
A suivre.
Par ROCH Claudine (Abigamiel) le samedi 28 septembre 2002 - 16h57: |
Chère Janet de la Castration" (oh pardon de La Castre),
Je suis heureuse de faire enfin votre connaissance. Certains esprits finissent par se rencontrer un jour. Tout d'abord, j'aimerais vous dire que j'admire beaucoup votre courage pour avoir organisé un transport de grenouilles d'Afrique. Qu'est-ce que cela a dû être bruyant ? Comment avez-vous pu supporter tous ces coassements ?
Je trouve personnellement remarquable votre investissement dans les oeuvres humanitaires - dépenser de l'argent pour éradiquer les moustiques, horribles responsables du virus irrationnel du Nil, transformant hommes et femmes en pantins de mort.
Pour répondre à vos questions, je dirai que j'utilise un déodorant de marque Suisse (enfin j'en suis sûre qu'à 99%) et son nom est REXONA. En Suisse nous pouvons parler librement des marques à la télévision et même les montrer dans les reportages. Ce n'est pas un tabou.
J'utilise Rexona parce qu'il ne me lâche pas, c'est le leitmotiv de leur publicité qui est le reflet de la stricte vérité. Du reste, j'en suis un témoin vivant parce qu'un jour, ma curiosité et mes angoisses devenant insupportables, je l'ai testé. Suite à une indigestion de fromages français, la vie me parut si puante que je décida d'y mettre un terme. Et dans un élan, je courru pour me précipiter en bas de la Tour de Gourze (tour située dans les alentours de la riviera vaudoise, près de Vevey) et le miracle arriva, une main inivisble m'a empêché de sauter. Merci Rexona, tu ne m'as pas lâché.
Il est si puissant qu'Axe à côté c'est de la nioniote tandis que que Rexona agit sur les voies respiratoires de telle façon que les odeurs extérieures même infectes (telles que fumier, vomit et autres) sont maîtrisées uniquement par son action. C'est presque magique !
C'est pourquoi - et j'avoue que ça m'a coûté cher en bombonnes le jour de mes tribulations à Kigali - avant de grimper dans l'avion, j'ai parfumé mes ânes et moi. Donc, je n'ai pas été incommodée par les odeurs présentes mais devenues grâce à Rexona virtuelles.
En ce qui concerne les frais de nettoyage dans l'avion, il n'y en a pas eu. Je me suis organisée avec un voisin d'Albert à Paris pour m'octroyer des COUCHES POUR SUMO (ça existe oui, les sumos ont de gros problèmes d'incontinence, ils ont tellement de graisse qu'ils ne sentent plus leur pipi venir). Donc mes ânes sont arrivés "culotés" à Kigali.
Voilà très Chère Lady Jane de la Castre. J'espère avoir répondu à vos questions.
Aves mes aimables salutations.
Comtesse Abigamiel des Pieds du Jura
Par Janet (Janet) le samedi 28 septembre 2002 - 15h03: |
Chere Comtesse
Bienvenue a bord de notre site qui me semblait devenir un peu trop republicain
Grace a vous et a moi, bien sur,nous redonnerons quelques traces de la noblesse presque disparue sous la guillotine au temps de Louis XVI...
je vais afficher mon nom entier,pour la premiere fois sur l'internet..je dois dire que vous m'avez donne le courage d'avouer que j'ai aussi du sang bleu..
J'ai une importante question a vous poser..
j'ai lu que vous avez du vous occuper du chargement,par avion, d'une quantite d'anes.....
vous avez eu des problemes et je le comprends..
Qui a ete charge du nettoyage apres le debarquement??????Une societe ????
Vous voyez ce que je veux dire,j'espere...tous ces anes !!!
et les odeurs......
quel deodorant assez puissant employez-vous ???? //
n'ecrivez pas de nom sur le web,ce serait de la publicite,mais je vous donnerai mon adresse privee
Pourquoi cet interet,devez-vous vous demander...
vous allez comprendre...
j'ai ete chargee,moi-meme, d'organiser un transport de grenouilles d'Afrique, que nous disperserons dans les nombreux ponds des villas de nos nombreux milliardaires..
Ces ponds contiennent des eaux qui stagnent et qui ont facilite la naissance de moustiques dangereux ...qui,eux, communiquent une maladie mortelle...le virus du Nil... vous avez du en entendre parler dans vos montagnes blanches et vierges,j'en suis sure...
Moi,je pense que ce virus a ete disperse par des terroristes ,mais....bouche cousue.....
D'ou le transport des grenouilles supposement devoreuses d'oeufs de moustiques...
maintenant ma question :::
Aurai-je d'aussi grands problemes que les votres aux aeroports??
Le deodorant serait pour lutter contre la pollution des parfums francais qui ont envahi les marches americains et qui nous ont offert les allergies diverses comme resultats....
Merci d'avance
Lady Janet de la Castre
Par ROCH Claudine (Abigamiel) le samedi 28 septembre 2002 - 13h25: |
C'est encore moi, j'ai une annonce à passer.
Je tiens du fond du coeur à remercier la personne habituée du site qui m'a gracieusement mis à disposition son JET privé. Sans elle, le trajet Genève/Kigali n'aurait été possible, ni pour moi (risque de kidnapping) ni pour mes 242 ânes et encore moins pour la durée de consommation de mes 3000 poireaux. Encore un tout grand merci à toi Monsieur "X" d'avoir pu faire ce voyage dans un confort total entourée de mes chers ânes. Nous nous sommes régalés de caviar et j'avoue que le champagne bu dans l'avion m'a permis de voir mes ânes moins gris que d'habitude.
Pour des raisons de discrétion, je tairai l'identité de mon généreux bienfaiteur.
Avec mon affection.
Comtesse Abigamiel des Pieds du Jura.
Par ROCH Claudine (Abigamiel) le samedi 28 septembre 2002 - 10h31: |
A mes chers fans,
Un tout grand merci pour votre chaleureux accueil parmi vous. Mon âme en est charmée. Nombreux êtes vous à me demander des nouvelles de mes vaches. Rassurez-vous elles sont toujours vivantes.
Par contre, mes 3000 poireaux ont été depuis belle lurette consommés à Kigali. A vrai dire, j'ai souffert lors du contrôle douanier de mes poireaux. En pus de l'ultra son, les douaniers suisses ont même utilisé un microscope pour passer au peigne fin ma marchandise. Rien à signaler ! aucune substance illicite dans mes poireaux. Ils sont donc considérés comme "respectables". Comprenez-moi, du fait que Paris a refusé de m'acheter mes poireaux, j'ai dû rapidement penser à une solution avant qu'ils ne périssent dans une "certaine" cave. Pareil à la vitesse du son, une mot lumineux traversa don mon esprit. KIGALI. Son marché noir est connu jusqu'aux extrémités de la terre. Arrivée sur place à l'aide mes 242 ânes pour le transport - à la douane aussi, j'en ai bavé pour faire rentrer mes ânes dans l'avion - de nombreux admirateurs de poireaux suisses se tenaient devant moi, groupés, écarquillant de gros yeux gourmands et dans ce contexte, je n'ai rencontré aucune difficulté à les négocier.
Donc - pour en revenir à mes vaches (qui appartiennent un peu à ma tante et un peu à moi sentimentalement) - ces dernières vont redescendre tantôt de l'alpage (l'herbe se faisant rare) pour rejoindre leur domicile habituel: l'écurie.
Et nous habitants de l'Abergement allons fêter leur retour par notre fête annuelle du mois d'octobre intitulée: "bal de la désalpe" avec tombola, repas et orchestre.
Aux amateurs de cloches, y en aura de magnifiques à gagner. Les plus heureux recevront les plus belles, les mieux décorées et aussi les plus grosses tandis que pour les derniers, ils devront se contenter des plus petites et d'apparence plus modestes.
J'espère cette année gagner la plus belle des cloches. Je crois la mériter. Jusqu'à présent et après 6 ans de fidélité au bal de la désalpe, je n'ai eu droit qu'à des clochettes ridicules. Si je gagne la plus belle, mon âme en sera grandie (et cela apportera aussi de la valeur ajoutée à mon rang de Comtesse). Tenir dans mes mains pareil symbole, quelle joie ! Je la ferai vibrer, tintiller. Ah mes amis, une cloche qui résonne en mon coeur et dont l'écho favorable parvient à mes oreilles comme la voix du bien aimé par de là les collines et les vallées. Déjà, je jugule d'impatience, je perçois les prémices d'une fusion future: ma cloche et moi. Quelle joie et quel honneur !
Heureux(ses) les simples(simplettes) d'esprit car ils(elles) verront le royaume de D....
A bon entendeur.
La Comtesse des Pieds du Jura aux doux mollets.
(pour des raisons de coquetterie féminine, je préfère dire aux doux mollets qu'aux mollets de vieux suisse).
Par Albert Simeoni (Albert) le samedi 28 septembre 2002 - 08h45: |
Mon cher BINGO,
J'applaudis ton retour en force , quand à mes vices les miens sont masquès.Madame la COMTESSE
n'aime pas jouer avec les nerfs de boeuf et de vaches , elle est plutôt du genre férmière qui proteste si on triture 'les pies sans lit'. Alors ne soufflons pas trop sur elle, et gardons la comme notre mascotte attitrèe car le nombre de femmes qui nous suit ici est si élevè que nous allons je crois en renvoyer quelques unes qui font tapisserie. Elles cherchent je pensent la rentrèe comme notre ami EMILE TUBIANA qui n'a pas encore mis sa plume ici, bref on attendra .....
Claudius ca tombe bien pour toi, Claudine...Claudius.....Je vais changer mon pseudo en Claudette.....Comme ca on sera tous assortis...à nos vêtements....
ALBERT
Par Bingo (Bingo) le vendredi 27 septembre 2002 - 23h52: |
Chere Comtesse,
Le proverbe dit:
Se glorifier de ses ancetres, c'est chercher, dans ses racines, des fruits que l'on devrait trouver dans les branche.
J'ajoute: Noblesse oblige, ou, Noblesse vient de vertu.
Donc, je suis sur que votre vertu virtuelle, qui, va bientot se devoiler sur le net, apportera la joie et l'humour sur notre,
"grand theatre de Breitou."
Attention une maxime de La Rochefoucault dit:
Nos vertus ne sont, le plus souvent, que des vices déguisés.
Ce n'est qu'une petite mise en garde.
La porte du theatre vous est grande ouverte et je vous souhaite, la bienvenue, Merkhaba, Baroukaba...et beaucoup de chance....
Par Claudius (Claudius) le vendredi 27 septembre 2002 - 20h16: |
Claudine,
Mon pseudo m'autorise, du moins j'ose l'espérer, à vous souhaiter la bienvenue en ce lieu où la poésie est de rigueur.
Vos divagations, ou celles de vos vaches, sont les bienvenues.
Par Albert Simeoni (Albert) le vendredi 27 septembre 2002 - 19h53: |
Ma chére COMTESSE DU MOLLET DU JURA,
Quelle joie de vous lire ici.....! Mais je n'en reviens pas.Soyez la bienvenue parmi nous, nous les 'kholporteurs' et les diva-gasionistes que nous sommes....Et vous nous faites honneur...Madame la COMTESSE.
Messieurs, mes amis, Madame ROCH est une dame noble , en effet elle descend d'une haute lignèe bourgeoise qui avait de grands domaines en POITOU ET CHARENTES MARITIMES. Les aléas de la vie et la Révolution française ont presque décapitè leur fortune mais aujourd'hui gràce à
D ieu et au dédomagement qu'ils ont bénèficiè depuis l'avènement de CHICHI CHIRAC, ils ont pu faire valoir leur droit. Sa famille vit en SUISSE dans les montagnes, face au MONT BLANC qui prend sa source au Mont JERBIEN DU JEK, donc cette dame pleine d'esprit nous suivra dans nos élucubrations.
Souaitons lui longue vie et surtout beaucoup d 'écrits dans le theâtre DE BREITOU.
MERCI ROCH, je sais que dans ta tête est pleine de bonnes choses.Vas y c'est ouvert.Les portes du paradis te sont ouvertes.
ALBERT
Par ROCH Claudine (Abigamiel) le vendredi 27 septembre 2002 - 16h33: |
Chers amis,
Je suis heureuse d'avoir rejoint le théâtre de Breitou dont j'espère en ma qualité de "Comtesse du Pied du Jura" apporter un peu d'humour parmi les vicissitudes de la vie.
Je suis fière d'avoir réussi enfin à pouvoir me faire enregistrer. Excusez moi ma timidité. Il est vrai que j'ai quelques craintes de rejoindre l'équipe et de savoir que je vais être lue. J'espère ne pas trop dire de bêtises. Merci de prier pour moi.
Amitiés de la Comtesse Abigamiel
Par Wnes (Wnes) le jeudi 26 septembre 2002 - 23h57: |
La Paix soit avec Toi Ya Si Bébert : El Fenech te salut.
Il est effectif que la plume puisse se Dresser ! contre Toi Ya Houia ! ( D’où mes fraternelles salutations ), car les Suisses, gens de biens et loyaux, d’honneur et de probité, c’est surtout bien connu des services fiscaux de la République Française « Laïque et Fraternelle « , les Suisses Dis-je, parlent de … « Tailler une plume « ce qui ne veut pas forcément dire « Tailler une bavette « !ZZZZZ ! A toi de deviner quoi les Genevoises taillent !
En fait, si tu réfléchis longuement à la question, nous sommes tous des « Taffards «, car malgré la pudeur dont nous devrions nous draper, nous nous complaisons dans le Taffardage ! ce qui nous protège de l’illettrisme, des intégrismes, et autres machines infernales ! de même, cela nous protège aussi contre une mort intellectuelle certaine.
En fait, et à l’époque de notre folle jeunesse, nos plus gros phantasmes se cristallisaient au travers de Taffardage.
Pour exemple, au Lycée de Carthage, on gravait bien sur le bois de nos pupitres « Taffarder la Prof de … , « et toutes les matières y passaient, ou bien « Taffarder Une Telle … , « et toutes les copines de classe y passaient, la Tournante Quoi ! Comme on dit maintenant, à la différence qu’à cette époque, nous jouissions pleinement d’un orgasme intellectuel, alors qu’à présent il n’y a plus, ni Taffards, ni Jouissance, ni Orgasme !ZZZZZ ! Il y a juste la pierre à l’état brute, genre CHIFOURMI « J’te casse !
A notre époque bénie, le Taffardage, c’était Le Kif, La Cheïkha, au même titre que le huitième boukha, ou l’adam hout bouri, ou encore l’école buissonnière ! Seul des types comme ceux et celles qui ont connu cette trilogie, savent de quoi je parle, car nous somme je dois l’avouer, une espèce en vois de disparition, et que malheureusement ce monde sera éteint, quand nous serons passés à l’Orient Eternel ! Et il ne faut surtout pas compter sur les Godzillas, pour prendre la relève, ils n’ont pas vécu cette période, et de ce fait cela serait peine perdue !
Pour ma part, j’ai trouvé ton texte erotico-hard, plutôt rafraîchissant, me rappelant les proses virtuelles de Paris Hollywood, celles qui nous ont plutôt fait fantasmer, et si des Godzillas s’en offusquent, tant pis !, donc je t’en prie Ya Bébert, continuons nos divagations auto biographiques !ZZZZZ !, n’arrêtons jamais, au grand jamais, nos Taffardages !
Conclusion : Mission impossible que départager tes potes ! Please HELP !
Salut à Tous !
Berdah
Par Ben Debba, Slim (Slim) le jeudi 26 septembre 2002 - 21h19: |
Ya Breitou:
je connais un peu l'accent Judeo Arabe car certains Juifs Sfaxiens (pas tous) parlaient comme ca. Toutefois quand je rencontre des Tunisois maintenant, qu'ils vivent a Tunis ou ailleurs, ils parlent tous avec la Halla qu'ils soient Juifs ou Arabes, alors je me demande si l'accent Judeo Arabe n'a pas influence directement et indirectement l'accent Arabe Tunisois qui est bien vivant et parle partout a Tunis et ses banlieux!!!
Par Albert Simeoni (Albert) le jeudi 26 septembre 2002 - 20h50: |
Mon cher ami BEN,
Non, cette époque où le langage judèo-arabe bél hallè était à la mode n'existe plus à présent par manque de juif. Les résidents israelites à prèsent parle l'arabe populaire sans la HELLE..mais si tu veux un échatillon du parler d 'avant......
'Yè Titèèèèèèèè.....Ennèèèèè mouch kotlôt sakaarr èl bèèb....Téwèèèèè yèl trkhèllli rih fèl jnèb èl shissssssssssssss......!
(Et Titè, je ne t 'ai pas dis de fermer la porte car je peux attrapper un froid dans mon cotè solide) genre bendada..
ALBERT
Par Albert Simeoni (Albert) le jeudi 26 septembre 2002 - 20h33: |
LES MEMOIRES D’UN GOULETTOIS
L’ENFANT DE LA GOULETTE
PAR ALBERT SIMEONI (BEBERT)
18/06/89
Dans las série des personnages célèbres goulettois….….
‘L’ONCLE FRAGI ‘
(AGOUBE )
L’oncle Fraji (François Lellouche dit Agoubè, le père de Sydney de Jacob de Vanou(Yvan) et de Michelle) est décédé.
J’ai appris cette triste nouvelle par un certain jour de novembre à Charenton. Mon premier domicile fixe.
La Goulette, lui ‘appartenait’. Fort en gueule, une démarche nonchalante et imposante, il alimentait tous les faits divers de notre cité balnéaire. Ses blagues, ses entourloupettes ses humeurs et son humour n’ont échappé à personne. Fascinés et découragés plus d’un. L’oncle dans les dernières années de sa vie fut victime d’une paralysie partielle. Son bras gauche tenu par une écharpe, il se déplaçait avec une béquille.
Je le voyais souvent arpenter ma rue qui mène à la syna de l’Hôpital. Un jour, je l’abordais et lui fit part de mon intention d’écrire mes mémoires sur la cité. Son enthousiasme débordant encouragea mon projet allant même jusqu’à m’inviter chez lui pour relater des histoires si drôles que j’en avais les larmes aux yeux .
Il fût aidé dans ses narrations par sa femme Lili. Sa prodigieuse mémoire était restée intacte et m’a beaucoup aidé. Il réveillait parfois sa femme en pleine nuit pour lui demander de noter tel ou tel fait qu’il devait me rapporter le lendemain.
La liste des surnoms qui ont paru ainsi que toutes les boutiques et échoppes ayant eu pignon sur rue à la Goulette, c’était lui. Je lui ai promis d’en parler au moment opportun. Je le fais donc avec une émotion et un plaisir assouvis aujourd’hui. Je regrette beaucoup son absence mais, je suis sur que de là où il est, près de sa fille et de mon père, mon texte ne passera pas inaperçu.
Une anecdote parmi tant d’autre me vient à l’esprit. En 1965, je devais ‘quêter’ des fonds auprès de nos supporters goulettois aux fins de ramener notre ancien joueur Max Fitoussi qui vivait à Paris. Une grande finale nous attendait contre l’Espérance de Tunis. (Je ne vous cache que nous fûmes tous déçus par la suite. La prestation de notre héros fut timorée) Une tâche vraiment ingrate pour moi. Timide et n’osant aborder les anciens goulettois quand il s’agit de débourser, je me confiais à lui.
‘Oncle voilà….’
Lui surprit …………….’Chnouè …in yadin rab… ! èchmâa…( écoutes) demain tu viens au café Rex à midi….je me charge de la chose…’
J’étais enthousiasmé par sa proposition car connaissant sa personnalité, je ne doutais pas un seul instant du résultat.
Le lendemain, à midi exact, je me pointais au lieu dit.
Lui de sa grosse voix et interrompant sa partie de belote..
‘Ya ould Ayouch ijjè ..in yaddik rab…’
(Eh… ! toi le fils Ayouch viens….juron..’)
Je m’approchais de la table de jeu. Lui, s’adressant aux protagonistes avec éclat de voix……
‘Echemayou ya jmèyé nayèkè……yanèh Fitoussi mèch en jibouhou…’
‘Ecoutez bandes d’enculés….nous avons Fitoussi que nous allons importer’)
La salle, d’habitude si bruyante, se trouva plongé dans un silence d’enterrement livournais..
Les gorges se serrèrent. Je crûs même apercevoir une larme couler dans l’œsophage d’un de ces ‘ futurs donateurs’. Un gémissement de douleur s’échappa d’une sourde oreille anodine tandis qu’une syncope non voyante, fût vite réprimée. Le sucre ‘Yè Bourâb ‘(Grand D.ieu)
a cessé de fondre dans le café devenu jaune. ‘Jèllou chefèyr’(=jaunisse). Le T.G.M , yè oulédi a sifflé trois fois d’angoisse alors que l’on ne lui demandait rien. Mozambo, le serveur noir a changé de couleur, gris blanc, bien qu’il ne fût pas concerné. Il demanda à ses clients..
‘Bon , mitenant ‘rassoulni li cafè..’
Il craignit un instant, que ces ‘zougoulous ‘ à court d’argent ne le paye. Les nouveaux arrivés rebroussèrent chemin de peur d’être taxés. Un drame se jouait à huit clos sous leurs yeux.
Le pont des Soupirs, ce jour là , était dans la salle enfumée du Café Rex.
Détournements de têtes, balbutiements bégaiements mirent une telle ambiance que Jules El Hajjèm prit d’une diarrhée pernicieuse et imprévue se leva quand….
‘Ekyâd yà méftouck…’
(Assieds-toi espèce d’éclaté..’)
Jules le coiffeur s’exécuta sur sa chaise sans ‘ mau..dire’. ( mot dire)
Il expliqua donc ma démarche, et, pour appuyer ses dires sortit de sa poche deux billets de 20 dinars qu’il étala avec fracas sur la table.
‘ Rhoud yà nèyèk sghir….awèdék bayi…’
(‘Tiens petit pédé, voilà ma part….’)
(‘C’était moi le petit pédé).
Les autres médusés par la prestation de l’oncle et ne voulant se dérober, consentirent avec beaucoup d’hésitation à faire parler leurs poches. Les 140 Dinars, montant du billet Paris /Tunis me furent remis, solennellement sans gaieté de cœur, sous les yeux ‘meurtris’ des écorchés vifs. Je ne réalisais pas mon sourd bonheur qui dura 5 minutes. J’empochais la somme avec un sourire dissimulé et surtout ravi que l’oncle par sa persuasion imposée, ait su ‘dévaliser’ ces pingres.
Le prix était même largement dépassé. J’escomptais faire un léger bénéfice pour efforts consentis, quand soudain, en pleine avenue et à quelques mètres de ma porte, une voix fort reconnaissable me héla.
‘Ya ould Ayouch ! in yadin rab….chèft kifféch nèktélèm èl flouch…ah ?
(‘Eh fils de Ayouch… ! juron… tu as vu comment je leur ai niqué l’argent… !)
Je le remerciais vivement quand brutalement, il me dit….
‘Ayè téwè yattini flouchi..’
(‘Bon maintenant rends-moi mon argent)
Ce que je fis instamment avec beaucoup de…. bonne grâce.
L’oncle était ainsi …
‘El kôfirà kènét sèkné fi fômmô, mèrchoukâh yallèh lsènou ou myalkâa mèbin droussou’
‘( Le juron habitait sa bouche, imprimé sur sa langue et accroché entre ses dents.’)
L’oncle ne méritait pas d’être contredit.
Au rami poker, les Jokers, dans ses plis augmentait considérablement . Il lui arrivait
d’ étaler ses ‘sorties’ avec 6 de ces figurines alors que nous en avions dèja deux dans nos plis. Mais qui donc pouvait protester… ? A une partie de rami, chez lui, il était à la ‘plaçable’. Une partie si sèrrée que les mouches finirent par se lasser de voler. Cette foutue carte tardait à venir. Les blasphèmes et les coups de poings sur la table, en présence de sa femme et des nièces Marlène et Claudine, ponctuèrent cette interminable partie. Sentant celle ci lui échapper, il tira une nouvelle carte du sabot qu’il plaça tout bonnement et avec sérieux dans son pli sans même la consulter……….
‘ Rhrèjt.. !’ (Je suis sorti)
Il balança son paquet parmi les autres compagnes stériles et sans valeur éparpillées au centre du tapis.
Sa femme choquée par cette façon peu cavalière lui demanda ..
‘ Yè Fraji .. ! mè ouaritnéch kiffèch rhrèjt…. ?
(‘Mais François.. ! Tu ne nous as pas montré ton étalage… ?’)
Il lança envers sa femme des regards en missile atomique gonflé à l’hydrogène.
Puis, frappant la grande table de ses deux poings, debout sur la pointe des pieds et fou de rage, il réitéra avec force et conviction sa première formulation…. Devant tant de fougue, d’ardeur , et surtout de peur, les nièces et moi-même avons pris le chemin des toilettes pour pisser nos fous rires. On n’en pouvait plus.
Ses tricheries, sans aucun égard pour nous, bien au-delà de la frontière ‘ Mauvaise foi’ étaient si innombrables et saugrenues qu’on finissait par lui laisser carte blanche. On perdait de l’argent et se laissait gruger, avec une telle bonne humeur que mes souvenirs sont restés encore vivants à ce jour.
‘Ya baba Fraji nètèlboulèk èl chemah affèlou rsarnâa..’
(‘Papa François…nous te demandons pardon même si nous avons perdu…’)
On t’aimait beaucoup. Fais attention à ta fille et surtout ‘Ellah lè yèchouik fi kâbrèk’.
ANECDOTES .
Un jour de grande chaleur, l’Oncle s’engage en voiture dans une impasse. Une autre voiture en fait de même mais en sens inverse . Aucun d’eux ne voulant céder le passage, à l’autre, ils arrêtent leur moteur avec la ferme intention de voir l’un d’eux capituler. Peine perdue puisque le chauffeur, d’en face, ouvre son journal. L’Oncle qui d’habitude est très nerveux, descend de la voiture au bout du quart d’heure.......
‘S’il te plait, peux –tu me prêter ton journal une fois que tu l’auras fini... ?’.
On ne sait qui de l’un d’eux à céder le passage à l’autre.
A Lilli , Sydney, Jacob , Michelle et Vanou . Qu’ils trouvent là toute ma gratitude.
La semaine prochaine Albert l’indigent…l’enfant de l’O.S.E.
OK BEN DEBBA , je relève le défi.
Je vais me mettre à la tache quoique j'ai déjà un sketch de OMMI TRAKI NASS MNEH
ALBERT L'ENFANT DE LA GOULETTE
Par Ben Debba, Slim (Slim) le jeudi 26 septembre 2002 - 20h27: |
Ya Breitou, toi qui connais les accents de Tunis tres bien, dites nous si avant, les Tuniois parlaient comme il le font maintenant avec beaucoup de Halla, un "la" (non) devient "Leeeeeeeeeeeeee", "s'habi" devient Souhabi, et je ne sais quoi d'autre. est-ce que cela a toujours ete le cas ou bien se sont les immigres des autres regions qui ont change l'accent Tunisois?
Ya Breitou, qu'est ce que tu nous fera rire si tu ecrivais une piece dans la quelle different accents Tunisiens s'interposes et se moque les uns des autres (un peu comme dans la piece "El Marechal Ammar"). Disons, un Sfaxien pur, un Juif de la Hara, et un Tunisois zaama zaama wild nanati.
Ech qaoulik?
Au fait, le dialecte de Bone (Annaba) ressemble aussi un peu au dialecte Beldi Tunisien.
Par Albert Simeoni (Albert) le jeudi 26 septembre 2002 - 20h01: |
Mon texte passé avant hier soir LA FIN DANS LE VIRTUEL, a soulevé, comme je l'ai dis, quelques plaintes en sourdine par l'intermédiaire de mon patron. Et bien sur, je me suis posé aussi cette fatidique question bien embêtante…
'Est ce qu'un écrivain ou un scribouillard juif comme moi, arrivé à un certain âge, a t'il le droit d'écrire des choses qui sortent du cadre du conventionnel et de la bonne conduite….?' car il faut être hard…i pour interner dans un site juif des paragraphes qui peuvent prêter à mal. Il y a une petite frontière entre L'érotisme et le Hard.
Je reconnais que j'ai faiS plus dans le Hard que dans l'érotisme. Sans doute que ma plume, un moment indisciplinée, a voulu se dresser contre moi. Et j'aurai tant désiré que ceux qui avancent des reproches, à les faire ici, au vu et au su de mes lecteurs potentiels, sans honte mais avec humour car j'aime l'humour de bon aloi, sans vulgarité. Avec diplomatie.
Des auteurs connus et pas des moindres, contemporains ou démodés ont laissé leur plume de paon parcourir les feuilles vierges, en secret ou en public pour décrire ce que le corps humain, marié à l'esprit et à ses phantasmes, a voulu ce qu'il soit: une nature qui parle par l'intermédiaire de son émotion. Sans hypocrisie.
Mes propos choquants ont peut être soulevé certaines ardeurs alors que d 'autres ont crié au scandale..!!!et comme me l'as dit un 'pseudo inconnu' au cafè, en privé, ' il n'y rien que ça qui marche…' en parlant de sexe.
Les écrivains ou accessoiristes juifs doivent donc ne pas se lancer dans des descriptions hasardeuses, décrire des attouchements corporels hors normes, qui pourraient troubler la morale et la conscience juives dans une société, même israélienne ou les gays et les homos ont leur défilé et leur reconnaissance. Sans parler, sans doute des films pornos que l'on visionne en cachette dans les chaumières dites 'cachèrisées'.
Bref, sans vouloir porter un jugement qui irait à l'encontre de la volonté juive de mes 'admirateurs' ou 'défaillants' , je me garderai à l'avenir comme je l'ai promis à qui de droit de m'interdire de narrer dans le détails certains récits.
Je serai curieux de connaître le sentiment de mes amis, à part Fernand qui n'a pas trouvé de ' fotes' d'orthographe car pour le reste il n'a rien vu ni entendu et surtout avoir aussi l'avis de Wnes qui lui ne brode pas dans la dentelle.
L'opinion de mes associés littéraires me réconforterait dans la suite de mes écrits.
De toute façon, je ne reviendrai plus sur de pareilles scènes 'obscènes' si je puis dire.
Excuse-moi Leloup, continue de jouer à la guitare et surtout ne saute pas à la corde, d'avoir fait une nouvelle si 'chaude' à ton attention. Je me rattraperai plus loin.
Dans une envolée lyrique du genre religieuse. AVE MARIA DE GOUINO.
Mon cher Wnes, je voudrai que tu m'éclaircisses sur cette phrase qui a interpellé bon nombre de mes amis sur le sens exact de ton propos afin d'éviter quelques mauvaises insinuations et interprétations……
Que voulais tu dire par '.
' ………Malgré cette grosse erreur de sémantique, j'ai pris bien du plaisir à la lecture de tes divagations qui traduisent une autobiographie certaine, et au plaisir de te lire prochainement, je t'adresse mes plus fraternelles salutations…..'
….car j'ai deux avis différents pour l'instant de mes amis. On pourrait croire par là je fus un grand taffard….
Alors départage-les. S'il te plait. Merci.
Par Toufiq (Toufiq) le jeudi 26 septembre 2002 - 19h01: |
mon cher bebert bien entendu je suis toujour avec toi et tous nos chers amis dans ton petit theatre.la politique on laisse aux autres.dans mon dictionaire personel "politique" signifie "faire tiquer tout le monde" (poly: tout ou plusieur) donc "poly-tique" tout le monde tique.
dans le parler constantinois,qui est proche du tunisois, le verbe "kahaler" provient probablement a l'origine des femmes voilees qui "kahalent" avec leurs yeux "mekhouline" (fardes avec du "khol".si on veut "kahaler" dur il faut employer de la (du) khol forte en appuyant bien du regard. les vendeur ambulants de "khol" s'appelaient "kholporteurs".