Par Mexico (Mexico) le vendredi 22 novembre 2002 - 17h12: |
ALBERTO
ZAVATA REUISSI!! (CA VA T'AS REUSSI)
VIVA ALBERTO! VIVA EL TEATRO! VIVA HARISSA!
CHABAT CHALOM
TOUTOURIEN
Par ROCH Claudine (Abigamiel) le vendredi 22 novembre 2002 - 16h54: |
AVIS AUX AMATEURS DU FUTUR CIRQUE D'HARISSA,
J'attends vos inscriptions. La rumeur prétend qu'un grand nombre d'entre vous sont intéréssés par ce projet insensé et magistral à la fois.
Suzi se propose de réaliser un rêve d'enfant par le dressage de lions. Elle a déjà dans son armoire la tenue adaptée pour cela. Suggest se propose de monter un lama en amazone en tenant dans sa bouche un "brochet" cru (gros poisson d'eau douce). Mon mari, Le Comte Roger du Pied du Jura, est d'accord malgré son rhumatisme de jouer du violon à un gros gorille dans le but de le faire danser la valse avec une candidate dont je pense que notre chère Val serait parfaite dans ce rôle, elle qui n'a pas froid aux yeux. Je pense aussi à mettre en scène une grande banque suisse transformée en repère de clowns de la finance.
Je vois aussi MM. Slim et Jex se donner au jonglage avec des bouteilles de bière.
J'attends vos réactions chers amis.
La Comtesse Abi du Pied du Jura
Par ROCH Claudine (Abigamiel) le vendredi 22 novembre 2002 - 16h20: |
Cher(ère) Amsou,
A propos du ridicule - je suis un prototype vivant du ridicule féminin personnifié (et après ma mort momifié également) et je ne suis pas morte. JE VIS - JE REVE - JE VAIS AUX WC - J'EXISTE.
Amitiés.
La Comtesse Abi du Pied du Jura
Par ROCH Claudine (Abigamiel) le vendredi 22 novembre 2002 - 16h16: |
Cher Comte Albert de la Goulette,
Je suis exténuée - je viens de rentrer des Indes pour affaires - je n'en peux plus - j'ai mangé une avalanche de légumes et autres mets épicés - tout cela pour faire plaisir au Marahadjha (quel gougat celui-ci, il a tenté à plusieurs reprises de m'embrasser, heureusement que j'ai pu m'en défaire en inventant une histoire d'allergie "gravement génétique" due aux poils de barbe).
Je voulais vous remercier d'avoir déposé le violon de mon ami dans la boîte aux lettres (hyper grande du reste). Il s'inquiétait à son sujet, craigant d'avoir été volé par quelques manons des lieux.
Je suis contente de retrouver mon logis, mon humble Château "Les Clées" dont mon arrogant donjon domine la plaine de L'Orbe. Je remarque que depuis quelques mois, plusieurs me haïssent sans raison et comme pour combler ce vide d'amour, d'autres se mettent aussi à s'intéresser à moi. Dieu est bon, il ne permet pas que nous ayons que des ennemis. Pourtant je suis une Comtesse simple avec du coeur. Certains habitants du village daignent à ce jour me saluer depuis que le Château est devenu officiellement ma propriété. Ca me fend le coeur de constater pareil indifférence, je crois que je vais leur proposer de mettre à leur disposition gratuitement les jardins du château pour leurs vaches. Peut-être, changeront-ils d'attitude à mon égard.
A l'intérieur de mes appartements, Mon Cher Comte, nous vivons des histoires fantastiques avec les domestiques. Un jour lorsque le temps me le permettra, je vous raconterai mes projets pour nous tous.
Je me réjouis de vous recroiser sur ma route et dans l'attente de notre prochain "clavardage" (= bavardage de claviers), je vous présente, Mon Cher Albert de La Goulette, les sentiments respectueux de ma franche amitié.
La Comtesse Abi du Pied du Jura.
Et pour notre cirque ? que doit-on faire ? Vous savez que ma fille Honorine (Johanna) tape du pied comme un lapin chaque fois que nous en parlons à table au point que nous devenions un zeste agacés.
Par Amsou (Amsou) le vendredi 22 novembre 2002 - 15h25: |
On dit que ce qui ne tue pas rend plus fort.
On dit aussi que le ridicule ne tue pas.
Donc le ridicule rend t'il plus fort ???
Lolllll
Amsou de retour
Bises a tous
Par Albert Simeoni (Albert) le vendredi 22 novembre 2002 - 08h27: |
C'est gagnè, mes pages de web ont atteint le niveau A sans ascenceur, nous avons un bail trois , six, neuf,merci pour votre soutien..
hassilou kaddèsh tèmmah nèch niyè fèl moundou hedda...Oukèn tèmmè JHA akher fèl dèniè hèdi ouha éhnè....
Mexico, ce n'est pas le moment de vous prendre pour ZAVATA, la révolution est terminèe puisuq'elle n'a jamais commencè.....enfin....
Jamais le theatre ne fut aussi rempli comme cela ce qui prouve que l'on nous lit WNESS...
Mennèh biya ââmèlta..
Par Mexico (Mexico) le vendredi 22 novembre 2002 - 03h09: |
WNES BERDAH Y EL FENECH DELLA GOLLETA
QUE BONITO LO QUE SE HA ESCRITO EN ESPAÑOL.
MUCHAS FELICIDADES!!!
CON TODA MI AMISTAD
Par Mexico (Mexico) le vendredi 22 novembre 2002 - 03h01: |
ALBERT
Un donnateur FORTUNE vient de t'avancer 100 000 pages?
En effet, il est certainement fortune, puisque celui qui donne recoit.
Hachem est avec toi, pour ton propre merite. Il est aussi avec nous tous.
De temps en temps Il nous secoue un petit peu pour se rassurer qu'on se rappelle de Lui.
Alors commencent les negociations...
Et oui, parfois ca prend un peu de temps, mais il faut tenir le coup!
QUE TOUTES NOS PRIERES SOIENT BIENTOT EXAUCEES.
AMEN VE AMEN
Par Wnes (Wnes) le jeudi 21 novembre 2002 - 23h53: |
Chronique d’El-fenech : E Viva El Toro Bravo que no conoce la muerte.
Una petition de todos nosotros : WNES BERDAH Y EL-FENECH ZZZZZ !
ODA AL SALVAMENTO DEL TEATRO DE BREITOU
ESCUCHAS JACO EL WEBMAESTRO !, PARAS UN POCO EL BRAZO !
NO VISTAS DEL TEATRO QUE ECHAS ABAJO
EL SANGRE ? CORRER, DE TODAS LAS ARTISTAS...
QUE VIVÍAN DEBAJO LA DURA CORTEZA
SACRÍLEGO MORTÍFERO !
SI AHORCAMOS UN LADRÓN
PARA ROBAR UN BOTÍN DE POCO VALOR...
ENTONCES, CUÁNTO FUEGOS, HIERROS, MUERTES, Y MISERIAS
MERECES TÚ MALO ! PARA MATAR NUESTRAS DIOSAS ....!
TEATRO DE LAS ZARZUELAS ! ALTA CASA DE LOS PÁRAJOS BOSCAJEROS
TAMPOCO EL INTERNAUTICO SOLITARIO, Y LAS BELLAS CABALLERAS LIGERAS,
NO PACERÁN DEBAJO TU LUZ.
TAMPOCO EL AMOROSO BREITOU
INFLANDO SUS CARAMILLO DE CUATRO AGUJEROS TALADRADO,
SU MASTÍN A SUS PIES
NO CANTARÁ MAS LAS ALABRANZAS A SUS BELLAS.
NI SÁTIROS NI PANS LLEGARÁN A TU,
EL FUEGO Y EL SED SARÁN POR SIEMPRE TUS MAESTROS INSACIABLES !
SON LAS SELVAS QUE PRECEDAN LOS HOMBRES
Y LOS DESIERTOS QUE LE SEGUAN.
PERO AMIGO JACO EL WEBMAESTRO, MI HERMANO DE LECHE !
NO LLORAS MAS ! PORQUE
LOS DESIERTOS SON TANBIÉN
FUENTES DE VIDA, DE LECHE, Y DE MIEL !
ASI HABLAVA A SU PUEBLO DEL TEATRO DE BREITOU, EL PADRE,
LO QUE SE LLAMAVA " EL BREITOU SALVADO DE LAS AGUAS ".
Y AMIGOS MIO
ESPERAMOS !
ESPERAMOS ! ESPERAMOS!
EL CARTAGINÉS TAN BIEN ERRANTE
SUS HERMANOS
WNES BERDAH Y EL FENECH DELLA GOLETTA
Par Albert Simeoni (Albert) le jeudi 21 novembre 2002 - 21h29: |
MEXICO
Soyez patiente, toutes négociations demandent du temps et ben figurez vous qu'un donateur fortunè
vient de m'avancer 100 000 pages alors??? Vous voyez A CHEM ET AVEC MOI ET VOUS AUSSI.
Priez pour le theatre MERCI.
Allumez meme une bougie à la syna MEXICOOOOOOOOOOOOOOOOOO
MERCI
Par Albert Simeoni (Albert) le jeudi 21 novembre 2002 - 20h53: |
Les voyages imaginaires D'ALBERT.
Nouvelle
Suite …
Quelques années plus tard….
'…Au Château d' ABI….'
La cloche du portail tinta à l'intérieur du Château de la Comtesse Abi Du Jarret du Jura. Un jeune homme la quarantaine était debout. Coiffé d'un haut de forme, portant un joli costume gris-clair par-dessus son 'jilicou' Il était chaussé d'une bonne paire de chaussure, genre diplomate, au cuir reluisant.
Quelques minutes plus tard, une jeune dame, pas encore la trentaine, apparaissait sur la grande véranda qui domaine le vaste domaine, surplombant les ceps de vigne alignés à perte de vue. Elle lui fit signe de la main, d'attendre. L'homme patientait sous la cloche quand la jeune dame apparut devant lui. Elle était d'une grande beauté. Ses cheveux étaient d'un blond d'or, qui étincelaient sous les rayons du soleil, ses yeux couleur émeraude me fixaient comme s'ils essayaient de me cadrer quelque part.
Je l'avais reconnu Honorine, la petite fille que j'ai porté sur mes genoux. Autrefois. Je ne dis rien mais la contemplais avec une envie de l'embrasser. Sur les joues. Je me retins. Son petit nez et ses yeux en amande étaient incrustés comme des petits diamants sur sa jolie figure. Un minois si doux qu'elle fut surprise par la fixité du regard du jeune homme.
-' Vous semblez me connaître….? Monsieur…..!'
-' Je ne sais plus, Mademoiselle….! '
-'Voulez vous rencontrer quelqu'un d'ici, Monsieur….?'
-'Je suis venu rendre visite à Madame La Comtesse…..!'
-'Ma maman….?'
-J'e l'avais compris en vous regardant….!'
-'Vous me connaissez….?'
-'Madame votre maman est t 'elle là….?'
Elle fit entrer le monsieur dans la château, l'introduisit dans le boudoir. Dans ce boudoir qui 25 ans auparavant, il avait raconté à la maîtresse de maison son conte. En présence de ce bon monsieur le Comte.
'Asseyez-vous là, un instant Monsieur, je vais quémander ma mère, elle est un peu souffrante des oreilles, une mauvaise otite mal soignée la rendue presque mal intendante. '
Le jeune homme s 'encastra lentement dans le vieux fauteuil au cuir défraîchi. Des petites craquelures apparaissaient sur son assise comme des rides.
Ses yeux firent le tour du boudoir, et il se rendait compte que rien n'avait change, ni l'odeur de la lavande ni les objets accrochés. Le piano, au couvercle fermé, était toujours à la même place; paralysé sur son socle.
Les tentures, représentant une chasse à courre pendaient aux murs, n'ont pas bougé. Comme si le temps les avaient scotchés pour l'éternité !
Et là, il remarqua la présence du violon. Ses yeux pénétrèrent son corps de bois lustré et léger par ses deux orifices, ses deux S opposés, bien évasés, emprisonnant son âme dans le creux de son 'estomac'. Le célibataire se leva, faillit retomber sur son fauteuil mais se retint par les bras de ce dernier. Il s'avança devant la relique et ses doigts tout tremblants décrochèrent cet 'instrument de musique' avec une grande délicatesse. Il retourna à sa place puis posa son objet sur ses genoux, comme on poserait un bijou sur son écrin de velours. Il le regardait intensément.
Ses doigts caressaient ce bois enduit de vernis qui avait perdu de son éclat. Les premières notes de musique, que le bon Comte avait joué pour lui, il y a si longtemps, revenaient du fond de sa mémoire.
Il ferma les yeux et se laissa bercer, dans son imaginaire, par la douce mélodie de cet ancien morceau qu'il
n 'avait point oubliè . Il saisit le violon qu 'il cala entre son menton et son épaule droite. Il plaça l'archer entre ses doigts, et ses derniers commencèrent à remuer. A faire vibrer des notes de musique cachées dans l'écrin de bois. Il jouait du violon.
'Mon D ieu ….!' Il joue du violon…..!'.
Des notes si douces s'envolaient de la petite chambre, du boudoir, pour aller envahir toute la maison.
Il jouait le jeune, le virtuose du violon. Il avait appris à s'en servir durant de longues années.
Il était dans sa partition imaginaire quand il entendit des pas presque imperceptibles foulaient le tapis. Il voulut s'interrompre quand madame la Comtesse lui intima l'ordre de continuer. Elle était devant lui la belle d'autrefois, toujours aussi belle et imposante par son allure noble. Honorine, sa fille la fit asseoir auprès de lui, rapprochant le second fauteuil. Elle le regardait jouer avec une flamme de bonheur dans ses yeux. Ils étaient inondés de douceur. Les notes pénétraient leurs âmes à l'unisson pour soulever en eux, une intense émotion.
Honorine couvrit les épaules de sa maman par un châle épais. Avec au bout de larges franges qui allaient reposaient sur le parquet.
Il jouait cet ancien enfant affublé d'un titre , venu de sa Goulette natale il y a 25 ans, ce Comte Albert, pour raconter sa Légende. A celle qui lui avait demandé par curiosité de narrer son pays d'avant et qui ne sera plus celui de demain. Il s'arrêta un instant de jouer pour baiser tendrement la main de la douce Comtesse. Elle sursauta à son baiser, ouvrit les yeux et ….
-' Je ne vous ai point oubliè, mon cher enfant….!Mon mari non plus…! Nous attendions cet instant depuis votre départ d'ici …! Et vous voilà devant moi comme par magie….trop 'vieille' et trop mure pour me lever et vous embrasser….!
-' Ne vous dérangez pas Comtesse, mon seul désir était de vous retrouver encore ici et je remercie D ieu de ne pas m'avoir déplacé pour rien car je vis en Amérique du Sud. …'
Elle fit retomber sa tête sur sa poitrine certainement par lassitude. Honorine prit sa main dans la sienne, la caressa. Des pas se firent entendre, Monsieur le Comte faisait sa rentrè dans l'antichambre. Il était devant nous, avec son allure altière qui ne l'a point quitté. Il me reconnut tout de suite. Il portait des lunettes à présent. Il me tendit le main; Je la luis serrais tout en posant le violon sur mes genoux…Je le lui remis quand il me dit…
-'Je ne puis en jouer mon ami, mes doigts m'ont trahi, des rhumatismes ont fleuri sous ma peau …Hélas …! Mais rien ne vous empêche de jouer…Allez y…..Jouez…! J'allais commencer quand…
On sonna au portail. Mademoiselle Honorine, toujours aussi dévouée, se leva pour ouvrir. Elle s'absenta quelques minutes
et fit son entrée aux bras d'une dame. Je regardais cette vieille nouvelle venue qui franchissait avec une grande dignité l'encadrement de la porte. Ses cheveux blancs méritaient le respect. La Comtesse se leva et embrassa sa compagne. Elle me présenta Madame la marquise De la Castration. Que je connaissais déjà pour l'avoir vu en photo ! Dans les journaux New –Yorkais. Elle avait soulevé une grande émotion autrefois, une histoire de grenouilles et de virus venus du Nil qui avait envahit son quartier. Elle fut donc célèbre malgré elle.
Je fis semblant de ne pas la reconnaître. Je me levais tandis qu'elle ajustait son binocle pour mieux me 'taffarder'. Elle gloussa…
-'Mais qui es donc ce jeune homme Ma Comtesse….! '
-Une vieille connaissance ma chére….! '
-'Vieille….? Mais il paraît bien jeune…..! Serait -ce le fiancé d'Honorine…?'
Le jeune homme, sans perdre, sans sang froid…
-'Si madame la Comtesse consent à me donner la main de sa fille …...! Pourquoi pas….! '
Honorine baissa la tête, par la honte. Ses joues se pourprèrent, tandis que la Comtesse Abi avec sa franchise coutumière laissa échapper un soupir…
'Mais rien n'empêche ma fille à dire oui……ou non…..!'.
Elles se mirent à rire. Monsieur le Comte Octave se retira dans sa chambre laissant ces dames à leur cancan tandis que le jeune comte ALBERT des Fouchiks se leva par politesse pour prendre congé de ces dames.
Il s'apprêtait à sortir quand la jeune Honorine…
-'Ma chére maman….! Pourquoi ne pas proposer au comte de dormir ce soir chez nous….? '
Le comte, tout surpris par cette invitation, voulut répliquer par la négative quand ….
-' Oui, cela nous fera énormément plaisir …..! D'autant plus que la solitude pèse ici….!
-'A qui le dites vous….Abi ….! Et moi donc….! Bref….Allez …! Allez Honorine…! Faites visiter le grand jardin à monsieur le Comte des Fouchiks et accessoires….! '
-' Venez Monsieur le Comte des…heu…heu…! Je vais vous faire visiter le domaine….!'
Ils sortirent ensemble, sous le regard curIeux et plein d'arrières-pensés des deux 'vieilles'.
-' Il serait très bien pour votre fille, ma chére Comtesse…..'
-'Elle est si jeune et je ne suis pas prête à m'en débarrasser. Le Jeune Duc de la Feranderie me tourne autour. Il attend une réponse de ma part sans tenir compte des sentiments de ma fille. Elle n'en a pas pour lui, pour 'instant.….!'
-'Oui en effet, mais dois -je vous rappeler que des comptes ouverts comme celui là, je veux parler du Comte Albert ( bèlyè fiè, je suis à découvert chro-niquement) …sont rares….!'
-' Mais vous le connaissez à peine, chére Marquise….?'
-'A peine…? Mais vous rêvez….! J'ai fais semblant de pas le connaître, mais lui par contre ne m'a pas remise…! '
-' Et alors Marquise….!'
-' Bien écoutez, je vais vous dire ce que je sais ou du moins ce que j'ai appris sur lui…Il est la troisième fortune mondiale …….! ' ( Fèl kchour mtâ èl foul…!= en écorces de fèves. N.D.L.R .)
La Comtesse se releva un peu…..
-'Ca tombe bien pour nous si elle l'épousait, nous avons de si grandes difficultés à classer nos factures et notre paperasse…..! D'autant plus que l' intendant aux finances, un cousin lointain, vient de nous adresser une jolie invitation….!.Une première vue sur nos comptes….! Je comptais l'amadouer avec quelques carrés de chocolat…! Mais mon époux a trouvé le présent par trop généreux…! '
-' Du chocolat….? Pour des gens que rien, pas même le caviar, n'émeut…! Quelle naïveté vous faites preuve là….!!Ecoutez …! Laissez moi faire et tout cela ne sera qu'un mauvais souvenir….!'
-'Ah bon…! Vous voulez dire que le comte Albert…! Peut faire quelques interventions judicieuses pour nous…?'
-'Et même plus….! Je connais son cœur et je lui soufflerai un petit mot entre sa brioche et son petit lait.
( Cher à mon ami Fernand )
-'Pourvu qu'il ne l'avale pas de travers votre petit mot…..!
-'Ou alors pendant le midi….! Entre son cassoulet et sa tranche de foi….!'
-'Je préfère chére Marquise, entre une cuisse du sanglier et son vin, ce soir…! L'ambiance sera plus détendue….!'
(Et pourquoi pas entre un caca et un pipi, bandes de vieilles chnoques…!
Comte de Fouchiks…Janet….??????…..Merci…! Je ne m'attendais pas à servir d'explosifs, bon pour cette fois ci…Ok….! Mais la prochaine fois essayez plutôt Banis-Bannis…! Hein…!)
Ben j'arrête ici et je vous laisse sur votre fin car voyez-vous, cette légende devez vous entraîner dans un roman policier dont vous aurez été les principales actrices '…..LE CHATEAU D 'ABI….'
ALBERT L'ENFANT DE LA GOULETTE.
Par Mexico (Mexico) le jeudi 21 novembre 2002 - 20h53: |
Merci Suggest pour cette proposition de manifestation de soutien. Helas, becaucoup d'entre nous ne vivons pas a Paris.
J'ignore la raison pour laquelle on a decide de fermer les portes du Theatre, mais si Albert nous demande de signer une petition, c'est la preuve que ce n'est pas lui qui a decide et qu'il est comme nous tres attache a cet espace.
Sans vouloir provoquer de prejudice a ce si prestigieux site, je propose aux personnes qui soutiennent cette cause de demontrer leur solidarite en participant a une greve de ne pas visiter harissa.com jusqu'a retablissement des choses.
TOUTOURIEN