Par Gérard SILLAM (Gerards) le samedi 18 janvier 2003 - 15h21: |
L'ALLIANCE ISRAELITE DE PARIS & RADIOMAZAL (WWW.RADIOMAZAL.COM) VOUS CONVIENT A LEUR GRANDES SOIREES DANSANTES TOUS LES DIMANCHES DE L'ANNEE 2003 DES 20H DANS LE CADRE PRESTIGIEUX DE LA DISCOTHEQUE
LE BACK UP 18 RUE DE LA CROIX NIVERT 75015 PARIS METRO CAMBRONNE
SOIREE INAUGURALE DEMAIN DIMANCHE 19 JANVIER 2003
DEUX FORMULES:
SOIT LE BUFFET DINATOIRE CASHER BETH- DIN A DISCRETION AVEC ANIMATION KARAOKE DE 20H A 23H ET
ENSUITE LA SOIREE DISCOTHEQUE A THEME AVEC SPECTACLE 40 EUROS DE 20H A L'AUBE AVEC UNE CONSO INCLUSE
SOIT LA SEULE SOIREE DISCOTHEQUE A PARTIR DE 23H 20 EUROS AVEC UNE CONSO INCLUSE
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Par Wnes (Wnes) le vendredi 17 janvier 2003 - 00h31: |
Si les Raëliens sont une secte, les Railleurs, sont chez Bébert !ZZZZZ!
Ciao Bambini.
Berdah
Par Albert Simeoni (Albert) le mercredi 15 janvier 2003 - 21h53: |
les Raëliens sont une secte que dire des Raleurs d'ici...!'Hein David...
Par Albert Simeoni (Albert) le mercredi 15 janvier 2003 - 21h29: |
SUITE DU VOYAGE IMAGINAIRE....ZANGBETTO...
Une voix nasillarde dans le haut-parleur….
' Monsieur le Comte Albert de la Gouletterie est attendu au kiosque des rencontres, au centre de l'Aéroport. Suivre le panneau lumineux. Merci.' Le titre de Comte ça compte…Mes Amis….!!!! Ahahahah….
Je m'y rendis. Mon ami Komi était là accompagné par ses deux jeunes filles, Shanon et Ashley, âgées de 23ans et de 19 ans. Habillées en jélaba coloré style fleuri. Aussi grandes que moi et je fus obligé de tendre mon cou pour les embrasser sur les joues..
'Bonjour tonton…! Me dirent -elles avec les yeux baissés..
'Bonjour Shannon et Ashley….! Mon D ieu comme vous avez grandi…!
Komi était vêtu d'un short, d'une chemise ouverte à carreaux et de tongs Il a vieilli mon ami, sa tête a pris de l'embonpoint, ses cheveux ont blanchi…gris –sel. Il prit une valise d'une main tandis que je traînais l'autre par mon bras droit. Son cousin Horatio assis sous une charrette nous attendait, sous le soleil étouffant de Lomé. Je décidais de me débarrasser de mon par-dessus, devenu trop encombrant. Les deux jeunes filles se proposaient de le tenir. Nous chargions donc mes affaires sur la carriole.Un ordre séc et péremptoire fit démarrer notre locomotion, le cheval…dare-dare … Lèl Dare…( A la maison)
' Ne t'inquiètes pas, Albert, nous y serons dans une demi-heure, j'habite à trois kms d'ici'.
Durant tout le trajet, nous avons palabré sur toutes ces années d 'absence, rappelant le passé et les faits d'avant, avec des éclats de rire tant certaines situations d'époque frisaient le cocasse et la paranormal.
' Tu te rappelles de l'antillaise….avec…
' Ses queues de rats qu'elles disaient acheter pour son mari impuissant…Ou alors l'autre..
'Ah…..Oui….! L'Haïtienne tombée en transe en plein magasin qui évoquait Urzulli Fredda…
'Non…..! D'Antor….!'
'Ah…..! Oui…! J'allais appeler les pompiers ce soir là…!'
Tout le trajet à se remémorer….
Nous arrivons enfin devant la villa de mon Komi…Une villa, plein pied, entourée d'arbres fruitiers et de deux bananiers nains plantés là, comme des sentinelles, derrière la porte en fer forgée. Sa femme Dorothée nous attendait sur le seuil de la maison. Elle ' youyouta', striant l'air chaud par sa voix de soprano, attirant les regard curieux des voisins qui toisaient avec béatitude ce blanc débarquer dans leur patelin….Une nuée d'enfants, pareille à un essaim d'abeille, vint m'assaillir, me réclamant une pièce. Le Komi, tel un éventail, la repoussa en les insultant dans sa langue…' Avouvi….' ('Fils de chien) leur dit il…
Refrain..
'…§§§§….AboloOOOO…§§§§§… Fika yimMMMMM..§§§… NalèEEEEEE…§§§§..!
-'Abolo, où vas tu ….?'
'MèèèèèèèEEEE..§§§§§§….Yi naaaaaAAA…§§§§….De azianvIIIII….iiii..§§GbOOOOoooo…§§§..!'
-'Je vais chez ma dulcinée…!
Je pénétrais dans le grand salon. Des paillasses étaient jetées à terre. Un grand ventilateur brassait un air 'micro-ondè.
Dans un coin trônait une petite table basse. Le mobilier bien modeste mais de goût était en bois d'ébène. Il se composait d'une table, d'une armoire, de tableaux, en peinture naïve, étaient accrochés sur les murs représentant des scènes de chasse ( des photos me souffla Komi), des tabourets aux coins de la pièce. Un 'living' était planté majestueusement devant la table à manger. Des petits verres à bordure pailletée, peints de motifs d'animaux reposaient tranquillement autour d'une carafe en verre blanc fumé. Des petites miniatures de la même matière, représentant des animaux de la jungle, étaient debout ou assis. Comme des pions de lycée, assurant la sécurité de toute une smala animale, immobile sans poils. A poils.
Mellah raha pour mes histoires de tmènik, ils ne verront plus ni le jour.Ni la nuit.
A SUIVRE....
Par Albert Simeoni (Albert) le mercredi 15 janvier 2003 - 20h26: |
Dans le rôle de SI EL HAJ……………..BREITOU
…………………SIDI ALi………………….JEX…..
…………………OMI TRAKi……………….CHANEZ
…………………ECK'HTI ZOHRA……………..BICHETTE
Mise en scène ALBERT…………..Paroles d' ABRAHAM
DECOR……….SLIM BEN DEBA…
MUSIQUE…….TAWFIK L'INDOU…..
LE BIJOUTIER MOUMOU………FERNAND.
1° Assistant……………………………J.P.P.
2° Assistant……………………………WNES
3° Assistant……………………………ZBIB EL AKRI.
Joué au théâtre de LA GOULETTE CASINO …Sous la direction de Monsieur MEYER…..Assisté par Monsieur Hai Victor.
Sketch en UN ACTE…de naissance.
Bessmèllah èl raham èl rahim…
Breitou mtâ Sidi Mardoum, ou Halfa- Ouini yè narri…J J J J I kââ'dèlkôm… Vous présente….
'…EL HAJ KLOUF….'
( Celui qui se mêle de tout)
(AU MONOPRIX )
Haj Klouf entre dans un Monoprix, de la rue Charles de Gaulle…
Lui…………………………' Fémmè éch'koun élli i nèjèm i serbini….?'
(' Ya t'il qq un pour me servir …….?')
Une vendeuse arrive……….'Ett fadèl…!'
('A votre service…!')
Lui………………………….' Winèm él macarouna Morèli……?
('Où sont les pâtes Morelli…')
La serveuse…………………' Ma yatch èn jib'oum…!'
('On ne les vend plus..!')
Lui…………………………..'Allaisch…..? Nahouèm….?'
('Pourquoi….? On les a enlevé…')
La serveuse………………….'Femèh basta FOUED……! El moudir nè'hè'èm…!'
(' Il y a les pâtes Fouèd….! C'est le directeur qui les a enlevées…!')
Arrive un chef de service….' Mou labèss….?'
('Que se passe t'il….?')
Lui…………………………' Winèm èl macarouna Morèli….?'
(Où sont les pâtes….Morèli….?')
Le petit chef……………….'El moudir nè'hèm…!Fémè Fouèd….!'
('Le directeur les a enlevè….! Il y a Fouèd….!')
Lui………………………..' Jiboulli èl moudir….!'
('Que l'on m'appelle le directeur….!')
Le directeur arrive……….' Mou labèss…?'
('Que se passe t'il….?')
Lui………………………..' El macourouna Mor…..?'
('Les pâtes Mor….?')
Le directeur………………' El rais Ben Alilou nèhè'èm…!'
('C'est le PDG Ben Alilou qui les a enlevèes…!')
Arrive le Président Génèral Alilou…
Le Haj…………………….' Euhhhhhh…! El Mo….!'
('Euhhhhhhh…! Le Mo…..!')
Alilou……………………..' Mè thèbch èl macarouna Fouad…?'
('Tu n'aimes pas les pâtes Fouèd….?'
Le Haj…………………….' Eye …!En habèm…Mèlioum…!'
('Oui….! Je les aime à partir d'aujourd'hui…..!)
Alilou……………………..' Méllè sakar jérl'lètèk ou koul Fouèd….? OK…??' J J J
('La prochaine fois ferme ta gueule et mange Fouèd….')
Dédiée à mes amis Slim, Tawfick, Jex, Amsou, Chanez et Reine.
D'après une inspiration de Hamouda Mï'ïali..
('Toute ressemblance avec des personnes récentes ou passées n'est que pure coïncidence…)
Par Wnes (Wnes) le mercredi 15 janvier 2003 - 00h28: |
Chronique d’El-Fenech : Qui voulait gagner des millions au Casino de Hak El-Ouet, ya kbeul !ZZZZZ !
Qui veut gagner des millions ? (revu et visité à la mode Goulettoise)
- Alors, Monsieur le Jurisconsult, première question pour 1000 Dinars : A quoi vous fait penser le chiffre 22 ?
- On dit 22, v'là les flics
- Très bonne réponse. On continue pour 50.000 Dinars ?
- Oui, oui.
- A quoi vous fait pensez le chiffre 33 ?
- Euh, chez le médecin dites 33.
- Bien Monsieur le Jurisconsult. Alors pour 100.000 Dinars, un peu plus compliqué : A quoi vous fait penser le chiffre 69 ?
- Non, là franchement, je ne vois pas, je donne ma langue au chat.
- Excellent Monsieur le Jurisconsult : langue à la chatte, très bien.
Monsieur le Jurisconsult. Alors, pour 300.000 Dinars, là on retourne dans votre domaine: Qu'a dit Eve en se voyant pour la première fois dans la glace ?
- Non, là vraiment, j'ai un trou.
- Magnifique Monsieur le Jurisconsult, c'est la bonne réponse. Que fait-on ?
On tente les 500.000 Dinars ?
- Oui, oui, je suis joueur et puis c'est pour les oeuvres du Bey.
Goulette et Casino, je continue...
- Qu'a dit Adam en se voyant pour la première fois dans une glace ?
- Non, vraiment, c'est trop dur...
- Excellent Monsieur le Jurisconsult !!! Je suppose que nous tentons le million.
- D'accord, je me lance.
- Qu'a dit Adam quand il a su que Eve était enceinte ?
- Ah zut!... Je le savais, j'aurais dû me retirer plus tôt...
- Mesdames et Messieurs, c'est fantastique, nous avons aujourd'hui un millionnaire en Dinars !
Extrait du Livre d’Or du Casino de Hak El-Ouet aux temps de ses splendeurs.
Berdah
Par Lalla (Lalla) le mardi 14 janvier 2003 - 16h08: |
Brailletou,bravo et merci de penser ainsi.
Par Albert Simeoni (Albert) le mardi 14 janvier 2003 - 15h40: |
Lalla,
Surtout si l'on pense 'Que la femme est l'avenir de l'homme..' ..Jean Ferrat.
Par Albert Simeoni (Albert) le mardi 14 janvier 2003 - 15h35: |
L'amour de D ieu. ..
Peut on aimer D ieu comme si cela était une personne physique…?
Chez nous cette relation, n'est pas charnel, elle est 'amour de l'esprit'. Le peuple d'Israël tout au long de son histoire a toujours voulu être le plus près possible de D ieu tant par ces actes que par sa pensée et cet amour disons le 'presque métà-physique ' nous impose ce rapprochement, au quotidien.
Cette soif que nous avons à lui donner un visage, à essayer de le connaître, de le comprendre, fait de nous un peuple ' de rêveur' car nous avons-la presque certitude que D ieu nous appartient. A nous juifs. Nous y mêlons curiosité et fatalité à vouloir deviner….et se poser cette fatidique question .. 'Mais qui donc se cache derrière toute cette puissance, cette force cette énergie….? Force est de reconnaître que, malgré toute notre intelligence à pousser cette connaissance de' lui', notre échec n'est que grandiloquent.
Si ce mystère était dévoilé notre amour pour cet 'inconnu' tomberait comme un château de carte.
C'est un peu comme une femme que l'on désire, que l'on croit aimer et une qu'une fois prise elle devient ' Madame tour le monde'. Or D ieu, dans son essence divine, nous apprend qu'il ne suffit pas de voir pour aimer, il suffit de deviner, de croire en quelque chose qui n'a pas de forme mais que l'on peut aimer si nous sommes enclins à le faire sans arrière-pensées. Alors cet amour non dévoilé, à double sens, nous réconforte dans cette idée que ce sentiment là, sans pareil, entre des fils différents et lui, doit être partagé par la croyance, par nos fois réciproques et qu'il existe bel et bien, sinon ne nous serions pas la. Et nous n'en saurions rien.
Alors aimons le sans en connaître les raisons, sans vouloir rentrer dans la 'Kabèlè'.
C'est aussi simple que ça.
Merci pour tous les intervenants qui on voulu débattre avec leurs moyens sur cette pensée.
Par Lalla (Lalla) le mardi 14 janvier 2003 - 15h23: |
a Albert,ce proverbe est un tout autre sujet bien interessant aussi;je continue a penser sans chercher noise a personne qu'il ne faut pas s'enfermer dans l'esprit de laThora seulement;dites,a propos,dans la priere du matin il est ecrit:...merci mon Dieu de ne pas m'avoir fait femme...Et moi qui suis si fiere d'en etre une et d'avoir enseigne a mes filles les privileges d'etre femme,digne et fiere de partager la vie de l'Homme...
Par Henri Bueno (Henri) le mardi 14 janvier 2003 - 14h23: |
Bebert ya houya
A 40 ans Rabi Akiva (qui etait le maitre de Rabi Simmon Bar yohai) a fait tchouva, et avant cela il detestait les rabins.
Notre Pere qui malgre ce que l'on peut faire de betises nous aime tant, qu'il est toujours pret a nous pardonner.
Et en prime une lecon que j'ai apris, de la facon dont je juge les autre on me jugera le temps venu.
Ai! ai! ai! J'ai grand interet a juger tout le monde avec beaucoups de bonte et de clemence.
Par Albert Simeoni (Albert) le mardi 14 janvier 2003 - 14h08: |
LES MEMOIRES D'UN GOULETTOIS
L'ENFANT DE LA GOULETTE
PAR ALBERT SIMEONI(BEBERT) 18/06/89
PHOTOS.
‘……….AU NOM DE TOUS LES MIENS…..VII
'.....NOTRE ONCLE AYOUCH..."
a mes cousins d’ ISRAEL’
'Le destin est gravé sur le front des hommes comme le mien côtoie celui de mon frère....'
David mon père, que l'on surnommait Ayouch, avait deux frères et une sœur . Ayouch bis le benjamin, Élie le cadet et Fritné (Fortunée) entre les deux. Ils habitaient à la Hafsia (Tunis). Pauvres et orphelins dés leur jeune âge.
Mon père était l'aîné de cette fratrie . Ni études, ni cours, ni instruction. 'Yemchou neyk..' ( qu’ils aillent se faire niq…) a t'il du se dire. Les petits boulots de mon père , à droite et à gauche, rapportaient les sous qui nourrissaient la smala…'ses enfants' avant l'âge. La misère, qu’ils bouffent avec beaucoup de patience, les rassasiait. D.ieu n'abandonne jamais les orphelins.
Mon père, ‘doté’ par ma mère, et grâce à ses compétences et courage, a ouvert sa première marbrerie à la rue Carthagène (TUNIS).Un atelier de coupe et polissage, installé à la rue Navarin, jouxtant notre dépositoire, suivi.
Ayouch bis, mon oncle, le benjamin travaillait avec son frère (comme moi je le fus avec Max) comme coupeur - polisseur, et chef d'atelier . Un excellent marbrier. Les deux frères ont travaillé ensemble pendant 15 ans jusqu'en 1956/57, date du départ de mes cousins, cousines et tante Hayouna en Israël. Installation plutôt pénible au début.
A l'époque, mes proches et alliés habitaient la Hafsia. Mon oncle était d'une sympathie et gentillesse remarquable. Nous étions aussi ses enfants. En été, il louait un appartement sur rue, jouxtant notre immeuble, dans une impasse ( Hamouda Pacha) pas très loin de chez nous, à la Goulette. Je descendais souvent voir mes cousins. Ma tante Hayouna servait, par la fenêtre donnant sur l’impasse, les ragoûts tels que les 'bkailè' et 'tfinè' du Samedi matin que l’on dégustait, assis sur une ‘Hssira ( natte) posée franchement sur le goudron ‘gravillonnè’ Un régal. Mon oncle, ne restait jamais sur place ....un vrai yo-yo avec beaucoup d'humour, jovial et affable à souhait qui le faisait ressembler à mon père. Deux jumeaux au caractère cloné. Ma tante Hayouna était un peu dure d'oreille et mon oncle en profitait pour proférer des blasphèmes sans contrepartie.
'In yaddin ratèk.....wéyniyè yâdmè’ él rmèl.....?.ou l'yasbanna échbiyè ksirâ chebbat hèdda....?
( 'Juron...........ou est l'œuf de sable......et la saucisse pourquoi est –elle si courte ce Samedi.?)
Hayouna, gesticulant, me prenant à témoin me disait :
'Chnouè élli kal.....!'
(Qu'est ce qu'il à dit...!
'Rien ma tante.....rien.....'
'Mé nâhcbouch .....il est très gentil....'
'Je ne le compte pas.........)
Mon oncle Ayouch que j'ai revu en Israël en 1977 après des années, est décédé bien après mon père. Il m'a reçu comme un roi. J'ai retrouvé aussi mes cousins Hubert, Fraji, Moumou.....etc...dans leur marbrerie à LOD. Des hommes mariés et des cousines chargées d’une grande joie de vivre. Une telle gentillesse et chaleur dégagées lors de mon séjour, qui m’a ému.
Mon plus grand matana (cadeau) .. ? c'était il y à neuf mois ....Hubert, mon grand cousin m'a reconnu sur le site 'HARISSA.COM'. Après 23 ans de silence. Je les ai retrouvé comme nos pères ont du se retrouver certainement là haut gravant sur les tables de l'éternité
' …NOUS SOMMES FIERS DE VOUS…’
PHOTOS .
J’ai tenu à associer, à la suite de mon texte une famille dont le père Hai Bueno, correspond avec moi depuis longtemps….
Je ne peux le faire sans l'autorisation de mon ami HENRI.Je m 'en excuse.