Par Printania (Printania) le lundi 27 janvier 2003 - 20h46: |
Albert, tu parles de neurones, c’est quoi cela ?
Pour un goulettois, c’est un plat, un fruit, un jeu, un sport ?
Nous, à part la table de multiplication, et encore, que savions-nous ?
Jouer au « Tiro », aux billes, au noyau, à la pièce contre le mur, à la toupie.
Et ces jeux variaient suivant les saisons, sans nous donner le mot, nous étions prêts.
Tu parles de ganawiya et tu as oublié le goût de la bézoula de ta maman.
Ne retombe pas en enfance, Albert, tu veux que l’on rigole et que d’autres nous rejoignent, qu’ils viennent donc !
Par Albert (Albert) le lundi 27 janvier 2003 - 20h42: |
Mon ami Printaniaaaaaa..
Mais qu'est ce que tu me narre là…? La 'fenêtre' le libraire sur l'avenue Paul Doumer. qui depuis sa 'cage à barreau, il n'est sorti que deux fois dans sa vie , nous servait nos cahiers à crédit avec les mains 'balhitnasssss' ( tachées) avec de la bsal ou loubia si ce n'est pas avec des hlélèm collés sur ces buvards…Attends mon ami, tu as réveillé d'un seul coup mes neurones dormantes, déjà qu'elles ne sont plus comme avant, et puis je n'arrive plus à sauter comme avant…Le volley?????? Gigi le Barbu à Paris qui avant insultait tout le monde sur les terrains et qui aujourd'hui est devenu loubia avec un paquet de gnaouiè qu' il venait me rendre visite dans ma boutique…Et il me disait…
'Ma femme va me faire une gnaouiè mta rabi' Sans doute l'odeur de la foi, et non plus celle des fumets délicats d'avant a reveillè en lui une chounba ( enchois) .Tu as titillé aussi mes narines ankylosées par tant de souvenirs….Attends mon cher que je mette mes 'meringues' en marche et on va se rappeler tous les sites pas celui là, mais ceux de notre chère Goulette céleste….Attends patience…Ne me prends pas au dépourvu…Iyaichèk..
MERCI…PRINTANIA…
Par Printania (Printania) le lundi 27 janvier 2003 - 20h22: |
Albert, qu’est-ce qui te prend donc ?
Tu me vouvoies ? Et pourquoi ne me parles-tu pas avec plus de déférence ?
Votre Altesse, est-elle satisfaite ? Que Monseigneur veuille bien m’excuser !
As-tu oublié que le vouvoiement avait était banni du langage goulettois, bien avant l’hébreu et l’arabe ?
Comment t’adressais-tu à Max, à Pierrot ou à Gigi, quand tu jouais au volley-ball, pour te passer la balle avant un smash ?
-S’il vous plaît, daignez me passer la balle, que je la smashasse !
-Merci, mon cher ami, je vous en sais gré !
Je vois d’ici la tête de Jojo (z.l.) et j’imagine sa réaction.
Allons Albert, nous sommes entre voyous goulettois, respectons notre verbiage, car notre plumage est unique.
Pour répondre à la question que tu m’as posée, concernant mon introduction dans ton théâtre, tu oublies que nous avons une odeur particulière, un fumet délicat, fait d’eau de mer, de briks à l’œuf et de café Rex.
Où que tu sois, je te suivrai à la trace de tes effluves.
Et si tu me sors par la porte, je rentrerai par la fenêtre.
A propos de « la fenêtre », c’est une autre histoire que je te raconterai plus tard.
Par Albert (Albert) le lundi 27 janvier 2003 - 20h11: |
Printania ,
Excusez-moi, mais c'est presque un miracle pour ce théâtre POUSSIEREUX, comme me l'a dit un ami, merdique même, que vous faites là…Je n'arrive pas à croire qu'un goulettois, du moins je le suppose, un vrai et non pas un pseudo-goulettois qui a du lire mes textes anciens et qui veut se faire passer pour tel , rentre ici pour me rappeler un petit fait d'avant…Le cafè Jilani…? Le stade Gèo André ( j'internerai une photo d'une joyeuse assemblée assise sur ces gradins ) anciennement nommé, je crois, Young Perez que mon cher papa Ayouch ( le connaissiez vous..??) fréquentait assidûment….Quelle époque...Monsieur…! Yè hassra comme on dit….Monsieur permettez-moi de vous appeler Printania tout court….Par quel porte êtes vous rentrè ici alors que des chevronnés, des savants en poèmes et autres n'osent même pas s'aventurer, franchir le petit portail poussiéreux de cet antre mythique????
J'espère que vous ne vous êtes pas trompés…d'endroit…?
Ici Printania, c'est des récits d'époque…des souvenirs….des chants…de la poésie en couleur…..des rires…des larmes….de l'émotion….du sang parfois…des opéras…. La mort et le deuil auront leur place aussi...Ici la libre expression est permise Printania et surtout je ne pense pas que l'on puisse te déplacer comme une lèpre parce que vois tu mon ami, déjà je me confie à toi, l'Anglais qui nous a bercé depuis notre tendre enfance vaut mieux que le judèo sur certains endroits alors qu'il a sa place ailleurs cet anglais…ce tfaz'yik de bon aloi que je ne traduirai pas, est incompréhensible pour moi…je vais être celui qui aiguillonnera comme la mouche, le coche…l'emmerdeur qui dira sa vérité ici sans honte car vois-tu mon ami la liberté d'expression ne doit en cas souffrir, seul D ieu ne peut être critiqué alors les directeurs, les pédègès et autres intervenants je les critiquerai ici avec mes sous-entendus que cela plaise ou pas, c'est ça l'essence du théâtre et de la libre pensée. Je vous invite à en faire de même envers moi Printania si par moment vous pensez que je suis dans le faux. On va rire et s'amuser de tous ces gens dans la dérision, De la plus pure tradition goulettoise….Tout un art…Mon ami…Quant à toi Printania évoque moi d'autres phases de notre cher 'pays' d'avant si tu en connais…Je me ferai un plaisir de répliquer dans la bonne humeur et l'humour…Je te présenterai par la suite certains de mes amis et amies qui sont sincères envers moi à mesure que je les citerai…Je te conseille aussi, afin d'être dans le bain d'aller voir dans les archives d'Harissa mes quelques écrits…Tu va revivre un bon temps…Tu vas respirer l'air marin et écouter le cri des mouettes qui rasaient du bout de l'aile les égouts dormants de notre chére ville…
Ici tu es chez toi…Fais en ta guise et accompagne moi…Merci Printania…On voit que tu as du courage comme le sont les Printaniers….Tu as peut être donné un nouveau souffle au moribond. R.M.
Tu viens d'ouvrir plein de chapitres dans ton entrée en matière..…TGM et le reste…Nous allons en parler tout au long de nos échanges. MERCI
NB/ Mes occupations ne me permettant pas de te répondre directement parfois, je me laisse le temps de le faire un peu plus tard…Et puis on se mettra d'accord ici sur la façon de procéder si tu le désires…Dans le respect mutuel…
-NAO J'ai perdu ton adresse e –mail…Peux tu me la redonner par retour de courrier merci..
BREITOU…
Par Printania (Printania) le lundi 27 janvier 2003 - 09h28: |
Albert, toi qui a connu Gaspari, as-tu connu également Mademoiselle Carcopino, si oui, sais-tu où elle habitait à la Goulette?
Tu connais cette histoire, qui n’a rien à voir avec ce qui précède ?
Au café Jilani, on parlait foot, UST, Espérance, Club Africain et un monsieur âgé nous a demandé s’il pouvait venir avec nous au stade.
Alors, le dimanche, nous prenons le train, puis le tram, destination le stade Géo André, c’était une rencontre à haut risque, du genre PSG/OM, nous c’était UST/EST
On s’installe du côté des juifs avec des paquets de glibettes blanches et noires et la rencontre commence.
Nous, les supporters de l’UST, nous encouragions notre équipe par des chants du genre, « Maboul, maboul maaaaboul ! » à l’adresse de l’adversaire.
A un moment donné, la rencontre s’échauffe, tacles, bousculades, pénalités.
Les joueurs tombent, se relèvent, courent après le ballon.
Alors, notre monsieur âgé, n’en pouvant plus, se met à crier :
-Relevez-le! L’enfant est tombé par terre !
Les enfants, qu’avez-vous, tout cela à cause d’une balle ?
Voilà, maintenant je vais vous acheter une balle à chacun de vous, et au nom du Créateur, ne vous disputez pas !
Par Albert Simeoni (Albert) le dimanche 26 janvier 2003 - 18h18: |
' Dans ma boutique….Accessoires cheveux, aphrodisiaques et magie…
' Monsieur les couleurs des bougies sont là derrière vous..?
-'Ah…..! Merci….! Dites -moi c 'est quelle couleur celle là…Verte…?
-'Non…! Bleue…? Vous êtes daltonien….?
-Non….! J'habite Créteil….!
Authentique.
Ma femme pour fermer la boutique doit se pencher pour introduire le cadenas.
Ce soir là, elle avait quatre paquets en main. Elle les pose à terre pour procéder à l'opération.
Passe un rebeu qui lui chipe un sac posé à terre.
Ma femme laisse faire pour ne pas être importuné. Elle va monter dans la voiture quand elle voit le
'voleur 'venir vers elle…Et par la vitre ouverte lui dire…
-Samahni ..! Yè Madame…! Je vous rends votre sac…! Excusez--moi…!
En fait il avait pris le mauvais sac qui contenait un kilo de fèves d'où sa déception et son remord. Sans doute a t'il pensé que ce larcin ne valait pas la peine de troubler sa conscience.
Elli yèss'raklok kilou foul, ziddou èl kchour
Celui qui t 'a volé un kilo de fèves ajoute lui les écorces..)
Par Albert Simeoni (Albert) le dimanche 26 janvier 2003 - 16h09: |
Lalou latino me coiffant pour ma 'communion' ( bar mitsvath) que j'ai faite jumelèe avec mon frère SAUVEUR. Nous étions
pauvres et mes parents nous 'ont 'communiès 'ensemble. A gauche de la photo ma maman et mon père .Juste derrière son
l'épaule de LALOU, mon frère qui attend son tour. Entre mon père et ma mère, mon frère RICHARD le troisième .Mon petit
cousin
BIJACCOU est a gauche de ma mère. Entre mon frère SAUVEUR et LALOU dans le coin on aperçoit la tete de Monsieur KAKI
KOSKAS ( décèdè) le papa de la comèdienne à Paris du même nom. Pas celle qui à écrit le livre, non celle qui fait des
sketchs.
Collection ALBERT.
Par Albert Simeoni (Albert) le dimanche 26 janvier 2003 - 12h15: |
Mon cher ami YOSSI,
Je désèspérais de vous lire ici, celà me fait plaisir que vous ayez osé et enfin sautè le pas car voyez vous un theâtre sans réplique et un theâtre qui se meurt et je vous franchement que je réflèchis à restreindre mes sorties ici.Faute de combattants, sachez cependant que vos répliques me font toujours plaisir et qu'elles vont dans le sens que j'attends. De l'humour et rien d'autre.Alors n'hésitez pas.
Merci JANET pour votre intervention.Vous vous faites rare. J'ai bien ris de vos remarques ce qui n'enlève rien au respect que je vous doit.Merci.
Je vais envoyer tout a l'heure une photo de la coupe de cheveux de ma communion ( bar mitsvat).
Albert
Par Yossi Matalon (Yossi) le dimanche 26 janvier 2003 - 11h46: |
Albert, vous allez être poursuivi pour crime de lèse-majesté.
Oser prétendre que le Secrétaire-Général des Nations Unies a des romances avec Sawavi, pourrait nous faire croire que dans les hautes sphères du pouvoir, tel un ancien président qui adorait les cigares, on pense plus à la bagatelle, qu’à régenter le monde et à mater le dictateur.
Je vous avoue que votre histoire ressemble étrangement à certaines qu’ont vécues des personnages originaires de la Goulette.
Et vous me direz que l’histoire ne se répète pas, allons donc !
Par Albert Simeoni (Albert) le dimanche 26 janvier 2003 - 11h44: |
MOTS……PELE MELE..
El fou'eïka……… Le hocquet.
El Tkan'jich……..S'acharner à cacatter…..Un autre sens dire de qq un qu'il pas génèreux..
'Chouffou kââd i kan'jèh'….' Il réflèchie à donner …Il hésite a mettre la main à la poche.
El chouè………...Un scandale.
El sak'lala……….Un scandale.
El fdiha…………Un scandale.
El fatériè………..Un gros dilemme…Un nœud…Une histoire presque sans issue…
Tlèk él fess……..Il a fait une grimace en pinçant sa langue avec ses lèvres et en émettant un son vulgaire.
Genre pet.
Tghéra………….Il a rotè.
Tbou'akh allinè…..Il a ' haleinè' ( soufflè) son vin sur nous..' Provocation.
Par Albert Simeoni (Albert) le dimanche 26 janvier 2003 - 11h35: |
EL kofra
Qu'est- ce que 'El kofra' ….? Et bien mes chers amis c'est le juron. Mais pas n'importe lequel. C'est un blasphème qui se veut être diriger contre quelqu'un en passant par D ieu en premier.
Nos péres, et encore moi aujourd'hui mais beaucoup moins à cause de mes enfants, 'blasphèmaient ' à la maison. Dans la rue c'est autre chose quand je suis très énèrvè Raby i samahni.
Donc voilà quelques versions sans faire allusion à D ieu. Il y a d'abord le prèfixe In … mais avant de prononcer le nom de D ieu je tourne le mot en ' Raadèk 'et plus Rabbèk'
In yaddin Ra'dèk..! On peut y ajouter après ' Twai'fèk ( tes ancetres) ..Omôk…Bouk….Zab…r Khèltèk ( le vagin de ta tante ) …..El msarène élli jèbouèk ( les intestins qui t 'ont accouchè - c 'est à dire la maman..) ..'..El rat'ssa ( la race ) …El zira wèl méh'bèchè mtayèk…( La racine de tes aieuiles) …El din ta jèd bouk…( La religion de ton père…etc……
Et bien quand est il aujourd'hui….? Il suffit d'aller à Bellevile ou dans les quartier tunes pour réècouter ces 'bonnes paroles ' dans lequel le divin n'a vraiment pas sa place dans cette littèrature.
Par Albert Simeoni (Albert) le dimanche 26 janvier 2003 - 11h31: |
Dans la série des voyages....
La suite de ZANGBETTO...
'.....Tels sont les commentaires qu'on pouvait entendre chaque fois que le séducteur Abalo se trouvait dans le pétrin.
' Ne eku ze deka ' (Qu'il meure une fois pour toute '..)
.'Ame siame la gbo dzoren' (Tout le monde aura la paix ) PASSE LE 23/1/2003
Telles sont quelques réflexions qui émanaient des paisibles habitants de ce bled qui semble perdu et sans histoire. Kofi avait déjà prémédité son meurtre, appelons un chat un chat, car il s'agit bel et bien d'un meurtre. Cynique et payant. Il avait en outre un vieux compte à régler avec le présomptueux Abalo. En fait Kofi s'est vu refuser les faveurs de la belle et séduisante Sewavi au profit d'une romance éphémère entre Abalo et cellequ'ili convoitait, il y a trois ans. Kofi nourrissait donc une rancune assez tenace envers ce destructeur de cœur, et la vengeance étant un plat qui se déguste froid, ce dernier cherchait depuis longtemps comment en découdre avec celui qu'il considérait comme étant la cause de son malheur, de son perpétuel célibat. En effet depuis sa mésaventure avec Sawavi, Kofi n'a connu que des flirts vraiment furtifs, sans lendemains, qui lui ont toujours laissé un goût amer. Il en a fait une dépression nerveuse suivie d'une tentative de suicide car il ne supportait pas à l'époque de les voir roucouler devant lui. Les railleries des autres l'ont poussé à faire le geste fatal. Pour une fois qu'il aimait….
On ne serait pas ici en train de vous narrer cette histoire n'eut-ce était la providence qui entraîna, à ce jour fatidique les pas d'un créancier de Kofi venu de bon matin chez lui réclamer ce qu'on lui devait. Il trouva le pauvre étendu sur son lit bavant et vomissant de temps en temps du sang. Le malheureux. Abalo avait vidé un litre de de Sodabi, un alcool frelaté à plus de 90 %. Ce créancier amena son débiteur à l'hôpital et il fut sauvé in extremis. Abalo, loin d'être rescapé de la mort, ne fut que trop exaucé par le sort qui lui refusa la faucheuse imprévue. La rancœur Kofi fut décuplée car l'objet de son tourment a poussé son ignominie jusqu'à venir lui rendre visite à l'hôpital. Dés lors toute sa vie n'eut qu'un but : frapper au plus mal cet homme qui lui a volè et détruit l'amour de sa vie. Sans se démonter et loin de renoncer à son funeste projet, il avait imaginé divers scénarios.La haine 'Kofniènne' ne pouvait s'apaiser que lorsque son 'ennemi 'juré passerait de vie à trépas dans des conditions que seul Kofi imposera à sa future victime. Le voir souffrir physiquement et mentalement.
Il décida de changer de tactique et planifia un plan machiavélique, devenir son ami afin de mieux le sécuriser et par la suite le trucider. Sans attirer de soupçon sur lui.
' Abalo, fika…§§§§ … Yim ralè…§§§§…. ( Où vas- tu comme ça…)
Demanda un jour Kofi à sa future victime/ami quand ils se rencontraient sous l'arbre à palabre.
' Me yi na..§§§§….De azianvi nye gbo….§§§§…. ( Je vais chez ma dulcinée)
Répondit Abalo pas trop surpris de ce volte face. En réalité Abalo n'en menait pas large car selon sa philosophie, les femmes ne sont que des jouets, des objets de plaisir. On en prend au maximum et quand elles se lassent, il faut s'en débarrasser et aller voir ailleurs. Le pauvre Abalo croyait que Kofi partageait son avis, et c 'est pourquoi le revirement de ce dernier malgrè une haine inextinguible à l'époque, ne l'avait pas du tout inquiété ou alertè. Il croyait son ami sincère.
Ah..! S'il pouvait deviner qu'à cet instant précis où il avait répondu rendre visite à une dulcinée, avait réveillé les mauvais instincts chez son interlocuteur., il se serait méfié de ce rapprochement inattendu de Kofi, 'ce nouvel ami'.
Et si Kofi s'écoutait à cet instant précis, il serait passer à l'acte: étrangler Abalo, la source de ses maux.
On ne s 'amuse avec la vertu et l'honneur des femmes. Qui sont porteuse de vie ! Néanmoins Kofi trouva assez de force pour contenir son projet et parvint à sa grande stupéfaction à maîtriser son action et à plaisanter.
' Eka yè…' ( Laquelle…? Je la connais…?') demanda t'il à Abalo…
' Awo, Akossiwa…! ( Je ne suis pas sur que tu la connaisse..!) . Telle fut sa réponse.
C'était le K.O pour Kofi. En effet Akossiwa venait d'arriver au village mais Abalo ne se doutait pas que sa nouvelle 'amie' qui est sa 'meuf' du moment n'est autre que la cousine de Kofi. Ce qui sous-entend que l'Abalo sortait avec un membre de sa famille.
'Le salaud ' se dit Kofi ' Tu me paieras en monnaie sonnante et trébuchante. Non seulement tu m'as privé d'un bonheur certain en m'arrachant Sewavi pour la jeter comme une chiffe molle plus tard, mais voilà que tu pousse le bouchon trop loin, allant jusqu'à mettre désordre dans ma propre famille. Cela ne se passera pas ainsi…'
A suivre...