Par Albert (Albert) le lundi 10 février 2003 - 23h13: |
My tailor is rich SIRE....!
Par Printania (Printania) le lundi 10 février 2003 - 23h12: |
Mais non, Albert ! Surveille ton vocabulaire.
Des « Miro-ir » aux alouettes, tu voulais dire, je pense.
Par Albert (Albert) le lundi 10 février 2003 - 23h09: |
Printania
Tu veux me parler des miroirs aux alouettes que l'on placait sur le terrain du charbonnier???
Par Printania (Printania) le lundi 10 février 2003 - 22h45: |
Albert, tu ne connais pas ce spécimen, ce genre de faux jeton..
Il t’appelle au téléphone d’outre-Atlantique, il t’offre des « Comment vas-tu mon frère ? », il te parle en arabe pour t’amadouer, il te raconte des histoires à dormir debout.
Ensuite il entre dans le vif du sujet pour te demander :
-Dis-moi, celui qui a tel pseudo, tu sais qui il est ?
-Et celle-la, tu ne trouves pas qu’elle exagère, j’ai beau lui en parler au téléphone, je ne comprends pas comment Jaco la laisse encore entrer.
-Tu ne trouves pas que les commentaires de tel et de tel se ressemblent ?
-Et tel autre ? Et tel autre ?
Ces simagrées se poursuivent pendant plus d’une heure.
Après il s’en va colporter des fausses informations, des « on dit », des supputations, qui sont reprises par des personnes incapables de se défendre correctement.
Si vous êtes deux à leur dire leurs quatre vérités, vous ne pouvez être qu’un seul divisé par deux.
Elles ont leur cour, on leur fait des ronds de jambes, on les encourage dans leur xénophobie, dans leur intolérance.
Ce genre de mec est comme le cahier d’écolier qu’on avait à l’école de la Goulette.
Sur une face il y avait une balancelle, et sur l’autre une table de multiplication.
Va savoir pourquoi sur les deux faces il n’y avait pas de balancelle
Par Albert (Albert) le lundi 10 février 2003 - 22h07: |
Printania et même que je connais ADAMA HOUT , il vendait des petits oeufs de mulet assis sur un oeuf d'autruche...Ce jour là , il a eu un caca nerveux et à 'pontè' tout une dynastie de bébès mulets...Qui ressemblaient étrangement à des goujons habillès en sardine bref c'est peut dire...Ye khouyè...
Par Printania (Printania) le lundi 10 février 2003 - 22h03: |
Albert et le japonais.
As-tu connu ce garçon qui s'appelait:
Tamoto Adératé?
Son père était le roi des bricks à l'oeuf.
Par Albert (Albert) le lundi 10 février 2003 - 21h09: |
Ye Printania,
J'ai trois cent traducteurs à mon service, et encore t 'as rien vu j'écris en chinois sur la tête de ma belle soeur TITINE.....China tien na meh li kou la machi mi nye kalye ni fi zab bir triknah ..li long oil mi ti ka li vi tou AHHHHHHHHHHHHHHHH..
rire jaune..
Par Printania (Printania) le lundi 10 février 2003 - 20h39: |
Albert. Je suis littéralement émerveillé.
L’arabe, le russe, l’hébreu, le zoulou, le français, mais comment fais-tu ?
Si Monsieur Gaspari te lisait ?
Par Albert (Albert) le lundi 10 février 2003 - 20h37: |
EXEPTIONNELEMENT....POUR LA SOIREE DE L'AID...
EL..
EL HAJ KLOUF….' 26
Dans le rôle de SI EL HAJ……………..BREITOU
…………………SIDI ALi………………….JEX…..
…………………OMI TRAKi……………….CHANEZ
…………………ECK'HTI ZOHRA……………..BICHETTE
Mise en scène ALBERT…………..Paroles d' ABRAHAM
DECOR……….SLIM BEN DEBA…
MUSIQUE…….TAWFIK L'INDOU…..
LE BIJOUTIER MOUMOU………FERNAND.
1° Assistant……………………………J.P.P.
2° Assistant……………………………WNES
3° Assistant……………………………ZBIB EL AKRI.
Joué au théâtre de LA GOULETTE CASINO …Sous la direction de Monsieur MEYER…..Assisté par Monsieur Hai Victor.
Sketch en UN ACTE…de naissance.
Bessmèllah èl raham èl rahim…
Breitou mtâ Sidi Mardoum, ou Halfa- Ouini yè narri… I kââ'dèlkôm… Vous présente….
'…EL HAJ KLOUF….'
( Celui qui se mêle de tout)
( Le couscous)
A la maison……
Lui……' Yè si Trèki……! El cos'kssi mtâ si COUHIN HAI…..Bnin….!
('Le couscous des Cohen est meilleur que le tien….!')
Tréki sa femme……..' Ech tèk'ssèd….! Mta'yi mchoum….?'
('Que sous-entends-tu par là…! Que le mien est mauvais..?')
Lui……………………'En tâ'yak ah'mar ou yè'sser har….!'
('Le tien est trop rouge et piquant….!')
Trèki…………………' Kô'li mèllè mè yès'lahch…! Ha….?'
('Dis moi alors, qu'il ne vaut rien….! Hein…?')
Lui……………………' Yèssèr ahmar ou mèchouch…! Ou har….! Ou khfif….! Ouuuuuuuu…!'
('Trop rouge…Fade….Piquant….Léger….et…..!')
Trèki………………….' Ouuuuuuuuu..nti bet mââ èl djèj 75ans ou'kômt él youm tkâ'ki….!' Mnih mèllè yè si El Haj….!Mâ'ya'tch coskssi….!'
('Ettttttttttttt……toi ça fait 75 ans que tu couche avec une poule et tu t'es levé ce matin en caquetant…?..Bon puisque il en ainsi Monsieur le Haj….! Il n'y aura plus de couscous dorénavant…!')
Lui……………………' Mèlla échnouè èlli fèmè fi blastou….?'
('Il y aura quoi à la place…?')
Traki………………….' El yôkdét mta si HAI COUHIN myâ'wèm fèl zit sfakèss….!'
('Les rognons en akoud de Monsieur Cohen baigné dans de l'huile de Sfax…!')
Lui……………………' Yè ghè'chèchè….!
(' Calembourienne….!'
Dédiée à mes amis Slim, Tawfick, Jex, Amsou, Chanez et Reine.
D'après une inspiration de Hamouda Mï'ïali..
('Toute ressemblance avec des personnes récentes ou passées n'est que pure coïncidence…)
Par Albert (Albert) le lundi 10 février 2003 - 20h29: |
' …ANNA ILIANOVITH….' Suite…..Chapitre III
Résumé.
Anna Ilinovitch est abandonnée, bébé, sur le perron de l'église du village. Sa maman Miya décide, après quelques années, de chercher et de retrouver sa fille. Elle rencontre le père Grégory qui se souvient du fait.Le prêtre lui donne quelques renseignements. L'Allemagne est réunifiée. Sa fille, Anna âgée de 31 ans, habite Berlin Est. Elle afait la connaissance de Sergueï, quatre ans plus âgé, un jeune officier devenu informaticien dont elle tombe amoureuse. Ils projètent de se marier.
'…..Miya ne perdit pas de temps. Elle commença ses recherches en se rendant à l'adresse de l'ancienne caserne que lui avait donné le prêtre. Une fois sur place, elle ne put que constater que l'endroit était désert, laissé à l'abandon. Une vieille dame lui précisa dans sa langue que la garnison avait déménagé, il y six mois, en prévision de ce qui allait se passer en secret. Et qu'elle ignorait ce qu'elle était devenue. Ce premier échec loin de la décourager, lui fit comprendre que la tâche serait ardue et qu'il fallait être persévérante dans ses recherches.
Elle s'en retourna découragée, hélas, chez elle, remettant à plus tard, ses recherches. Sans baisser les bras, et s'armant de patience, elle s'en retourna trois jours plus tard, revoir la vieille gardienne des lieux. Elle poussa la porte en fer, mal en point et tomba nez à nez avec la vieille dame.
Sous la neige.
En russe…
-'Zdrastvouite gaspaja….!Vii gavarite po rousky…?'
('Bonjour madame…..! parlez-vous russe…? )
-'Mai roditelei rouskie, iz Vladivostoka…!'
('Et comment, mes parents sont russes, de Vladivostok…!')
-' Ah…! Kakoi chans…!'
('Ah…! Quelle chance…..! )
Et de lui expliquer sa démarche.
La vieille dame prise de compassion, essuyait de temps à autre, furtivement, une larme qui lui échappait intentionnellement à mesure que Miya narrait son histoire. Elle eut pitié de cette étrangère venue du fin fond de sa Russie pour retrouver son enfant, qu'elle a abandonné, il y a plus de 30 ans.
-' Vii znaete, ya hatcho vam skazat , zdies iest dve kazarmi, bolshaya na nomere 35 etoi oulitse sletchebnitsou a drougaya biila kazarma s ofitserserskii dispansier vasha dotch ppraktikovala tam..'
('Vous savez, je voulais vous dire, qu'il y avait deux casernes ici, la plus grande est celle du 35 de cette même rue alors dans qu'elle caserne/dispensaire votre fille a pratiqué…?')
-'Dve kazarmi…? No sviashtennik skazal mne adna…?'
(' Deux casernes….? Mais le prêtre m'a donné cette adresse là…?')
-' Vozmojno on ne znai….!'
-('Sans doute qu' il ignorait….!')
-' Boje moi , shito ya boudou delat…! Shito ya boudou….!'
( 'Mon D ieu que vais-je faire….! Que vais-je faire…!')
Dit-elle dans son trouble.
-'Skajite mne kak nazivaetsia vasha dotch...?'
('Mais dites moi comment s'appelle votre fille…..?)
-'.....Anna.....!Anna Ilianovitch.....Ona doljna imet 30 god sevodnia....!)
('…..Anna…..! Anna Ilianvovitch…..Elle doit avoir 30 ans aujourd'hui…!')
('Eto dlia mne nitchevo ne znatchit...!No vii znaete v izbou, v podzemie est tissiatchi fotografii soldati i ofitseri izostavleni zdies...!)
('Cela ne me dit rien…..! Mais vous savez dans la cave, au sous-sol il y a des milliers de photos de soldats et d'officiers laissées à l'abandon .….?')
-' Izbou...? Mojno ouvidet ih.. ....Fotografii, vii skazali...?
(' ….Des photos, vous dites….? Dans la cave….? On peut les voir…?')
-'Nou da...!Nikto ne prishol vziat ih, i ani v otchen plahovo sostoyanie.....! vii hatite poiti...Miya....?
'(Bien oui…..! Personne n'est venue les prendre, et puis ils sont dans un tel état que je ne vous raconte pas….! Vous voulez qu'on y aille…..Miya….? ')
-' Da...! Pajalouista.....!
('Oui….! S' il vous plait…..!')
Elle suiva la vieille, toute recourbée, vers la cave sans porte qui mène au sous-sol. Douze marches à descendre pour pénétrer sans lumière dans une odeur de moisissure à vous couper le souffle.
La vieille Irma, les pieds plongés dans l'eau sale, pressa sur l'interrupteur. Par chance la lumière y était encore. Sans doute que l'ancienne autorité compétente dans sa précipitation, oublia de couper l'éclairage de cette grande cave inondée.
Quelques souris s'affairaient autour de menus restes moisis, imbibés d'eau. Miya, scruta les alentours, et s'aperçut que des étagères, accolées aux murs, supportaient des cartons tandis que des centaines de photos surnageaient à la surface de l'eau et des excréments.
Irma…..
-'Ne goubite kouraj, kagda iskat, naidiot i vii iskali vashou dotch i eto ne nado vas obezkourajaet za shto vii boudet
dokosnat i ouvidet. OU menia ne biil tot shans,mai tri sina mertvii.Na voinou.Ne boudte otchayatsia, ya boudou vam pomojet.'
('Ne perdez pas courage, quand on cherche, on trouve et vous qui cherchiez votre fille cela ne doit en rien vous décourager et surtout pas ce à que vous allez toucher ou sentir. Alors si elle est là, vous trouverez sa ou ses photos. Je n 'ai pas eu cette chance, mes trois fils sont tous morts. Pendant la guerre. Ne soyez pas dégoûtée, je vais vous aider dans votre recherche.)
Miya ressentait ces chaudes paroles résonner dans la cave, comme une providence. Il y a encore quelques jours, elle n'était q'une étrangère dans une ville, qui a tant souffert dans sa 'chaire' et qui malgré tous les stigmates qu'elle porte sur son âme a sut émerger du néant et redevenir capital de la nouvelle Allemagne qui a renoué de bonnes relations avec le monde entier.
'…Alors pourquoi sa fille ne lui pardonnerai t'elle pas son geste si elle l'a retrouvée …. Oui…! Pourquoi ne serait t' elle pas ici parmi ses centaines de photos…..? Pourquoi la chance ne lui sourirait-elle pas pour une fois à présent…..? Pourquoi D ieu ne lui viendrait- il pas en aide maintenant que son repentir est sincère car la Miya fréquentait depuis l'entrevue avec le père la sainte église de D ieu…!' se dit elle dans son subconscient quand elle fut interrompue..
-'Miya....!Esli vii hotite, mii smojem natchnat sevodnia.....?'
('Miya….! Si vous voulez, on pourrait commencer dés à présent……?')
La Miya avait déjà relevé les bords de sa jupe qu'elle coinça sous la ceinture, laissant découvrir de très belles jambes gantées par des bas couleur chaire, ôta ses chaussures, releva les manches de son pull-over et se mit à l' œuvre sous le regard admiratif de la vielle concierge.
Huit heures à scruter des photos à moitié potable, des demis portraits déchirés, encornées, de soldats russes bien jeunes posant avec leurs officiers ou des jeunes femmes aux visages de talc et aux yeux clairs, des beautés de filles salves au visage plongé dans l'eau saumâtre. Elle s'arrêta un instant se releva, soupira tandis que la vieille en faisait de même. Marquant une pause. Elles décidèrent de reporter à demain leur travail de recherche.
'….EMMMMMMMMMM….§§§§§…….KAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA….§§§§§§…….LINNNNNNNNNNNN….§§§§§§……KA…§§§§…. KAKALINKA…§§§§§……..KAMOYA……….KALINKA KAKALINKA KAMOYA……§§§§§§§§§….AAAAAAAAAAAAHHHHH….§
SAAAAAAAAAAAA…§§§§§§…..DOU YAGOUUUUUUU….§§§§§…..DA MALINKA, MALINKA MOYAAAAAAAAAAAAA…..§§§§§…
KALINKA MALINKA, KALINKA MOYAAAAAAAA…§§§§….AAAAAAAAAAAA…………'
A suivre.
Par Albert (Albert) le lundi 10 février 2003 - 20h07: |
Le theatre de GOULETTE CASINO par la voix de son acteur BREITOU souhaite 'AID MABROUK' à tous ses fréres musulmans....KOL SNIN DEYMAÄ...
Par Wnes (Wnes) le dimanche 09 février 2003 - 23h55: |
A Bébert de Hak El Ouet :
Un soir le petit Albert était sur le point de s'endormir, il jeta un coup d’œil par la fenêtre et vit, dans son jardin de Hak El Ouet toute une pluie d'étincelles.
«Ya El Fenech!» cria-t-il. «Viens vite!,
«Ne t'inquiète pas Ya Oueldi», lui répondirent
le Jurisconsult et son neveux ZgouGou, lorsqu'ils comprirent
de quoi s'agissait. «Ce ne sont jamais que des lucioles.»
«Des ? ... »
Et nos deux compères d’ expliquer que les lucioles
étaient des bestioles
qui brillaient dans l'obscurité,
car elles portaient
toujours sous leurs ailes
de petites lanternes.
«Je voudrais tant avoir une lanterne
à moi dit Albert.
«C'est ce soir ton anniversaire.
Dirent en chœur les deux compères !
Peut-être que tu vas en recevoir une».
Et, quelques heures plus tard, Albert vit arriver un grand paquet
enveloppé dans du beau papier
sur lequel on pouvait lire : «Bon anniversaire, Bébert!
Avec tout l'amour de tes compères.»
Zekch ! ( Encore un dérapage mal contrôlé ! )
Avez-vous deviné ce que c'était? Une lanterne, bien sûr!
Longue vie à tous yéham oueldik !
De la part de Zgougou , El Fenech et Berdah