Par Albert (Albert) le dimanche 02 mars 2003 - 10h27: |
Printania,
Moi j'ai vu ma maman à la terrasse entrain d'étendre son linge et ma grand-mère remuer la tfinè harichè et mon père boire en cachette un demi de boukha et moi faire le con sur le balcon.
J'ai encore 2 plans à passer.Va voir celui de la semaine dérnière Goulette-Casino. Aujourd'hui vu de haut, tu ne vois plus personne de tous ceux qu'on a connu...El khlè khèli ou lââzar i dour...
ALBERT
Par Printania (Printania) le dimanche 02 mars 2003 - 10h21: |
Wnes, ne nous méprenons pas!
Le Bébert de Tunis dont tu parles, n'a rien à voir avec celui de la Goulette.
Il faut rendre à César, ce qui appartient à César.
Celui de Tunis, sur l'avenue de Paris, près du magasin de Zizi Taïeb, était un professionnel ouvert toute l'année, il n'avait pas de succursale à la Goulette, ses produits étaient toujours de première qualité.
L'autre était...
Par Albert (Albert) le dimanche 02 mars 2003 - 10h14: |
Ceci une feuille du carnet de voyage de ma fille Valerie qu'elle avait fait au MAROC.....Tel père telle fille....
VALÉRIE SIMEONI
17 ANS
“MOMENTS VÉCUS”
Malgré ma “courte vie “ à La Goulette, j’éprouve le besoin de m’intéresser à mes racines (alors ! pourquoi ne pas en faire profiter “Harissa.com ?)
J’avoue que je ne me souviens pas de grandes choses mais le peu qui me reste (le principal, je crois) est essentiel pour moi aujourd’hui. La France m’a fait perdre (un peu -beaucoup ) de ce qui me restait de mon pays natal. Surtout, la langue. J’ai eu l’occasion d’apprendre l’arabe grâce à notre femme de ménage que j’aimais beaucoup. J’étais très proche d’elle et nous passions pas mal de temps ensemble.
Elle m’a appris le ménage et la langue du pays. En outre de notre amitié est née une certaine complicité. Je l’aidais à laver le linge. On trempait le tout dans une bassine et frottait les vêtements avec le “saboun”(savon). Ma famille s’étonnait parfois de me voir autant mettre la main à la “pâte”. A 6 ans, j’étais capable de faire de vraies tâches ménagères.
C’est dans ces moments là, que j’apprenais l’Arabe. Nos voisins étaient surpris, dés qu’ils m’entendaient parler avec tant d’aisance cette langue très difficile (l’accent, en particulier).
Malheureusement , à 7 ans , mes parents prirent la décision de quitter le pays pour la France et le changement ( ou quelque chose d’autre) m’a fait tout oubliée. Je suis incapable , aujourd’hui de prononcer une phrase en arabe comme avant. Je ne comprends que quelques mots , mais rien de plus. Cela peut être surprenant mais c’est ainsi. Il y a dix ans, je maîtrisais parfaitement deux langues. aujourd’hui une seule a survécu......c’est triste...
Cette année, je suis allée au Maroc, pays du Maghreb, où j’ai été choquée par la réaction de ceux qui voyageaient avec moi ...Dans le car, à l’arrivée, j’ai adoré le paysage. j’étais complètement dépaysée alors que mes compagnons regardaient les habitants avec étonnement et même avec un peu de frayeur .....ils avaient l’air apeuré par leur comportement.
Pourquoi ? je ne saurai le dire ....Les touristes avaient l’air perdu .....moi par contre je ressentais une certaine nostalgie sans doute à cause de mes racines qui me lient à mon pays. J’aime observer un homme marcher pieds nus , seul , sur un bord de route...il me semble livré à son triste sort. J’en souris. Je me dis, alors que l’on parle affaire argent et politique sous d’autres cieux, ici le temps semble s’être figé.
Les marocains sont simples, chaleureux et familiers ....généreux même dans leur hospitalité. Loin d’être stressés, pressés, pensifs comme ici, ils arborent un sourire angélique avec tout le monde. Malheureusement presque personne ne s’en ai rendu compte ........certainement parce qu’il leur manque ce quelque chose que j’éprouve moi, qui est vécu à la Goulette. J’ai l’impression de voir ces touristes de quelques jours, s’ennuyer et hâter le pas afin de retrouver leurs chambres d’hôtel. Sont ils là pour la piscine .....le soleil...?..sans se mêler aux autochtones.
Apprécier les choses à leur juste valeur ....tel doit être le sens du voyage. Découvrir ceux que l’on ne connaît pas et s’ouvrir aux autres pour communiquer tel est l’indispensable.
Valérie qui vous a écrit une impression.....
Comme vous pouvez le constater, il n'y a pas de mystère....
Par Printania (Printania) le dimanche 02 mars 2003 - 10h02: |
Albert, ourass khouya, j'ai tout reconnu dans ton plan.
J'ai même vu ma maison et, comble de bonheur, j'ai retrouvé ma chambre et mon lit.
Tu es as encore des comme ça?
Par Fernand (Fernand) le dimanche 02 mars 2003 - 09h51: |
Un message d’Albert :
Voici comme promis le second quartier de la Goulette dit quartier TAKKET'S.
On reconnaîtra la cafè Amor, le Chalet goulettois, le Printania, La syna entre la rue H.Pacha et la rue Rebbi Abderrahmine
Chmila, les glaciers Bebert et Curatolo, les Oukala, le restaurant Bichi et Kahloun, la Pharmacie des soeurs Haddad...Etc...
Collection ALbert.
Par Albert (Albert) le dimanche 02 mars 2003 - 09h58: |
Wnes,
Tu sais à cette époque , il était rare que je m'aventure au delà d'une certaine frontière, c'est à dire que je devais être à portèe de voix de ma mère qui m'appellait du balcon, je n'ai donc pas connu la patisserie LACTA.
Printania, tu m'en apprends, si j'ai quelques souvenirs d'enfance , je pense bien avoir achetè quelques friandises et brioches de chez AMOR dont tu parles presque religieusement.
Je me souviens aussi, d'une certaine villa à l'abandon, dont j'avais une certaine aprèhension à passer devant.Je n'ai jamais vu les locataires ou propriétaires malgrè ma curiositè.J'ai toujours essayè de surprendre, à travers un trou fait dans le grillage 'le fantome' qui y habitait mais sans succès, encore aujourd'hui ce mystère est restè entier.Si tu as une idèe sur ce mystèrieux ou euse locataire raconte la moi.
Merci..
Par Printania (Printania) le dimanche 02 mars 2003 - 09h18: |
Wnes, qui n’a pas connu Lacta ?
En ce temps-là, il faillait avoir une voiture pour s’y rendre, mais chez Bébert ou Curatolo, on y allait à pied.
Acheter un sandwich Zabayon enveloppé dans son papier, le manger en allant au café vert, on se prenait pour le roi de la Goulette.
Albert, tu sembles privilégier Goulette-neuve au détriment de Goulette-vieille.
A Goulette-neuve, la plupart des commerçants ouvraient leurs portes durant la saison estivale, de juin à septembre alors que dans l’autre partie de notre ville, ils étaient à la disposition de leur clientèle, hiver comme été.
Je me souviens de ma jeunesse, la pâtisserie Ben Amor, installée en face du seul cinéma de l’époque, le « ciné-théâtre » était le rendez-vous des goulettois de « souche » ; le propriétaire de cette Maison était d’une gentillesse que je n’oublierais jamais, je ne parle pas de ses gâteaux, j’en ai encore l’eau à la bouche rien que d’y penser ; de l’autre côté, en allant vers « la jetée », il y avait la pâtisserie Nicolaï, qui proposait des gâteaux, mais qui fabriquait également de succulentes glaces.
Je salue au passage mon grand ami, responsable de cette spécialité, au doux surnom d’un Etat des USA, qui se reconnaîtra, je l’espère, en lisant ces lignes.
Mon cher Bébert, ce n’est certainement pas pour te contrarier, mais comparer les friandises des pâtissiers que tu as nommés avec ceux dont j’ai évoqué le souvenir, serait mettre en concurrence le couscous-boulettes de ma mère avec celui vendu en boîte au super-marché du coin.
Par Wnes (Wnes) le dimanche 02 mars 2003 - 00h37: |
Ya Printania Ya Bébert !
Les Frigolos Bébert à la sortie du lycée, !ZZZZZ!, c'était le kif ! Mais ça vallait pas ceux de Lacta, qui a connu Lacta ( 11ème Km route de Tunis à La Marsa ), qui se souvient ?
Ciao Bambini
Berdah
Par Albert (Albert) le samedi 01 mars 2003 - 22h55: |
FRIGOLOS A LA GOULETTE.
Le marchand de 'frigolos' passait souvent les après-midis de sieste, en pleine canicule, sa boite à 'Djilat' en bandoulière. Il se faisait annoncer par son cri 'Frigolos..§§§§ Frigolos…!' De notre balcon, souvent ma mère, laissait prendre un couffin attaché à une corde, dans lequel il posait ces deux ou trois frigolos à 50 millimes pièce. Nous attendions la remontée avec impatience pour savourer ces petits rectangles de glace enrobés de chocolat aux divers parfums. Nous sucions jusqu'au bout le bâtonnet qui servait de support et souvent on trouvait qu'il trop finissait vite. Je regrettais cette fin précoce, et souvent je lorgnais sur celui de mon frère qui lui me regardait avec méfiance. C'était souvent ma grand-mère qui me disait…
'Khoud èl djilat mtèyi…! Yesser bérèd ââla chnèni…!'
('Tiens prends le mien…! C'est trop froid pour mes dents..')
Un prétexte pour assouvir ma gourmandise. Je dévorais ce morceau avec une envie insatiable.
Il y avait deux glaciers –pâtissiers à la Goulette. Bébert et Curatolo. Ils se concurrençaient. Distant de quelques mètres l'un de l'autre. Chez Bébert, je savourais aussi ces 'délicieuses', une portion de sorbet mise entre deux biscuits qu'il nous servait enveloppé dans du papier glacé. Il introduisait un biscuit au fond d' un petit appareil puis il intercalait le 'djilat ' ensuite il recouvrait le tout, avec un autre biscuit par dessus et il nous le faisait sortir en pressant sur un piston à ressort. Le tour était joué.
Chez Curatolo, c'était la brioche au chocolat qui était à l'honneur. Il ouvrait le petit pain et y ajoutait deux boules glacées au parfum choisi par nos soins. Il avait inventé la brioche-sandwich à la glace.
Il y avait aussi le sandwich biscuit. Un 'bescoutou,' toujours tranché par sa diagonale, rempli de sorbet.
Un délice que je prenais après la sieste avant d'aller au Café Vert, le lieu de rendez-vous de tous les jeunes à la mode branchée.
Il y avait aussi....BABA CHIDDI , tout celà est dans mes souvenirs glacès
Par Albert (Albert) le samedi 01 mars 2003 - 21h07: |
LES MEMOIRES D’UN GOULETTOIS
L’ENFANT DE LA GOULETTE
PAR ALBERT SIMEONI (BEBERT)
PHOTO 18/06/89 ( 4/2/2001)
‘…..MOI….ALBERT , GOULETTOIS ET ’INDIGENT…’
(l’ENFANT DE ‘L’ O. S. E.’)
Suivi par le môme de la Goulette.
L’O.S.E. ( L’œuvre de Secours de l’Enfance ou La Goutte de Lait ) était situé sur l’Avenue Franklin D. Roosevelt en amont du ‘Printania’. L'Institution juive crée dans les années 56 venait en aide aux indigents de notre communauté. Un organisme social de bienfaisance exemplaire, ouvert même aux musulmans et à certaines familles juives aisées qui profitaient de cette petite manne presque gratuite. Ma famille, nous, les enfants étions abonnés mensuellement et cela pendant quatre ans à la cantine et à la distribution des vêtements.
Mon père, fier comme un corse, ne voulait pas en entendre parler mais la situation du moment ( sa faillite) l’exigeait du moins jusqu’en 1960, année de la naissance de ma sœur. Nous avions une carte de couleur grise que nous présentions à toute réquisition. Monsieur Krief le poinçonneur, un homme de moyenne corpulence portant un béret et muni d’un petit bâton, était le responsable de l’ admission à la cantine tandis que Mr. Témime vérifiait la validité des coupons Son prix symbolique était fixé à 1 Dinar par mois. La salle- cantine, garnie d’une douzaine de grandes tables posées sur des tréteaux, pouvait recevoir plus d’une centaine d’enfants. Nous avions une demi-heure pour manger. Il y avait deux services. Le matin et le midi. Les plats étaient copieux ; une entrée , un plat de consistance et un dessert, servis par deux femmes de salle , Traki et Nelly, toutes deux dévouées pour la bonne cause.
A l’approche de l’hiver et du Printemps, on nous distribuait, selon la saison , un paquet contenant deux paires de chaussures, un pantalon, deux chemises et deux paires de chaussettes le tout de marque anglaise offert par le Joint Committe ( Organisme américain) au prix de 1D.500. Souvent un peu étriqués ou trop amples, selon que nos mensurations changeaient aux grès des saisons. Nous suivons aussi, chaque jeudi et dimanche des cours hébraïques sous la direction de Maître Allal, Habib et Rebbi Akiba. Trois hommes formidables. Une ambiance et une chaleur extraordinaire régnaient parmi nous.
L’O.S.E existe toujours à la Goulette, sous une autre forme. Il s’est transformé en hospice moderne accueillant les vieillards juifs goulettois et ceux de la Hafsia et l’Ariana, je crois.
Comble de l’ironie, l’O.S. E à Paris est à une vingtaine de mètres de ma boutique. Son sigle inscrit en lettres rouges sur fond blanc représente pour moi, non pas une délicate période de ma vie mais une étape pleine de beaux et bons souvenirs. Rabbi mey nahich ‘ l’Ousi’.
(Lire le Dernier de la Goulette à ce sujet, publié sur Harissa ).
Pourquoi 'L'Enfant de la Goulette '......
J'y suis né la bas, grandi, ai vécu bien plus que mes amis d'enfance. Un enfant. ? C’est la meilleure partie de soi, celle qui vit comme une veilleuse en nous, malgré nos âges. L'enfance, c’est le réservoir de notre passé. Je prends pour preuve ceux qui arrivent au moment du grand départ. Ils évoquent souvent, dans leurs derniers instants , les images et les souvenirs de leur adolescence. Leurs parents, les frères et sœurs et parfois leurs aïeux. Et ne dit -on pas que ceux là, arrivés à âge très avancé font des retours d' âge ? Moi sans y être encore, ni sénile ou baveux, je retourne souvent en arrière parce qu’ être adulte et surtout 'grand enfant avec des enfants ', est une situation qui me remplie de crainte . Je ne veux pas vieillir, même si on peut avoir une belle vieillesse, je préfère encore garder ma 'jeunesse d'esprit dans mon vieil âge '. Je voudrais tant pouvoir jouer aux billes ou aux images avec mes petits enfants et surtout ne pas les fatiguer par 'mes futures débilités ‘ et conneries de vieux grincheux. J'aime les enfants ( et qui ne les aime pas.. ?) et en suis même jaloux car j'ai l'impression de ne pas avoir vécu pleinement cette ‘juvénilité’, d'avoir grandi trop vite et rater quelque chose ....et si parfois , je porte avec moi mon 'rétroviseur '......c'est pour ne pas heurter mon présent. Et puis je n' ai pas changé d'un 'dourou'.
Des amis viennent, quand ils ont le temps, me rendre visite dans ma boutique....d'autres dialoguent avec moi sur le net .......ou par téléphone.......et vous savez de quoi ?...ils m'entretiennent..ni philosophie...ni musique .... ni art ....mais de faits qui se sont produits à la Goulette, il y a quarante ans ..comme s'ils venaient se ressourcer ..respirer un peu d'air frais marin.......dont je suis encore imprégné......
Chaque individu ..laisse parfois, quand il a le temps, un testament écrit ou orale....d'autres, par pudeur laisse parler leurs yeux ...ou leurs pensées non dites, ni écrites...et bien sûr l'entourage comprendra le message, son désir ardent. Moi ..je vais clignoter des yeux, faire frémir mes pensées ..mais aussi balbutier 'mon dire' -rempli de trémolos - prendre soin de ma fille tout d'abord.....et puis apporter des toupies, des tiros, des quarts de noyaux .. mes frères et sœurs vivants mes maîtres et maîtresses qui sont pour la plupart décédés.......et ma mère qui m'aura devancée.....afin qu'ils jouent autour de ' Ma bière '. Je partirai en leur faisant un bras d’honneur et un ‘Yatikôm yasb…’.(qu’ils vous arrivent une saucisse )
.
Qu'ils se souviennent que 'L'enfant de la Goulette '- leur frère, leur père et grand-père (Bèzra Achem)- était vraiment un enfant dans sa tête, avec ses caprices ses joies, ses pleurs, ses angoisses, ses tristesses, ses défauts, ses phantasmes, son amour et surtout sa bonne humeur. Comme l’ était son père
Un enfant qui ressemble à tous les 'autres enfants goulettois...tunisois ou autres .
Je vous permets de le croire.
Par Albert (Albert) le samedi 01 mars 2003 - 08h53: |
HAJKLOUFFET, Si on me bandait les yeux durant un mois et on me disait 'quel soir somme nous' et bien je dirais sans hésitation , si c'est un soir de shabat, c'est vendredi soir....Avec ou sans odeur...C'est très particulier.
Printania hier soir j'ai eu ma fille et mon gendre, et ma femme nous a fais un couscous mè tèklouhou fèl farh, boulettes et bouillon pour les uns et couscous avec loubia moi j'ai prie les loubias, ça dégage, je te dis pas trois fois dans la nuit et moi assis chez notre ami JACOB Delafon; 'les faits cul lents' ne me vont plus
la prochaine fois je lui dirais de me faire 'gnaouiè' c'est mieux et puis c'est des 'faits divers' ceux là...
En salah i ji èl nar yè Hajkloufet, elli tayèbelà èl kchekchou èl bentèk méghir mard.
A Ce soir , YAMAR YA PRINTANIA EL CANOUN....
N'oubliez pas de me prèparer, non pas un couscous mais qq chose pour l'anniversaire de BREITOU..
Wnes et les autres OK...? Je vous donnerai la date butoire et surtout levez le pied de dessus sinon je vous bute tous... Sibylle toi aussi..Quelques comtes et comtesses se sont fait reconnitre en dernières minutes, ils sont invitès.
au mariage du Comte et de la Comtesse....Prèparez vous....
L'ÉTOILE DE MER...
"Alors qu'il marchait à l'aube sur la plage, le vieux vit devant lui un jeune homme qui ramassait des étoiles de mer et les jetait à l'eau.
Il finit par le rejoindre et lui demanda pourquoi il agissait ainsi.
Le jeune homme lui répondit que les étoiles de mer mourraient s'il les laissait là jusqu'au lever du soleil.
« Mais la plage s'étend sur des kilomètres et il y a des millions d'étoiles de mer, répliqua-t-il. Quelle différence cela va-t-il faire ? »
Le jeune homme regarda l'étoile de mer qu'il tenait dans sa main et la lança dans l'écume.
Il répondit : « Cela fera une différence pour celle-ci. »" MEGATOUR DRUN QUI M ENVOIE CA...MERCI MEGA.
Par Hajkloufette (Hajkloufette) le vendredi 28 février 2003 - 23h05: |
Tu sais Albert tu m as fait penser a quelque chose d unique tu sais quand on etait gosses je me souviens l odeur du Chabbat etait exceptionelle je revenais de l ecole et toute la maison avait cette odeur qui n existait que le vendredi meme si on refaisait le meme mets un autre jour il n avait jamais la meme odeur ... tout etait exceptionnel le pain , les gateaux le bouillon , meme l odeur du candil , car ma mere a toujours allume a l huile pour chabbat , tout contribue a cette odeur du chabbat . Et maintenant que je suis une adulte a mon tour , ma mere n est plus la malheureusement , mais l odeur du chabbat est toujours presente et elle me ramene toujours a mes souvenirs d enfance .
Aujourd hui ici en Israel c est pareil , et mes voisins me disent toujours , chez toi il y a toujours des odeurs incroyables ... et j ai un voisin qui le vendredi passe d abord ici prendre son plat avant de monter chez lui ... c est une brakha ... et ces odeurs si particulieres de nos mets elles aussi font partie de nos racines ...chabbat chalom et kol Tov