Par Albert (Albert) le mardi 04 mars 2003 - 07h47: |
Jessy,
Il est exactement 7 heures 35, et je viens de lire ton message.Pour la première fois depuis presque un an , je me trouve désarmer devant ton écrit, je ne sais quoi répondre devant de si belles paroles, je te rends grâce de m'avoir fait découvrir en cette aube tardive, un homme raffinè et de bonne culture, nous irons planter les choux ensemble, c'est promis.
RABBY MYAK...
Que c'est joli. JESSY.....Que c'est joli...
ALBERT BREITOU ABRAHAM...
MERCI....
Par Jessy94 (Jessy94) le mardi 04 mars 2003 - 00h00: |
Albert, tu en as rêvé...Jessy te l'offre!
Une vrais fausse critique:
On a le coeur serré de pitié, à considérer le sort promis aux naifs qui entrent sans armure dans la bataille!
Biches candides dans la foret, malheureux et malheureuses,les pires destins vous attendent à la lecture, hélas, autoriséé du " petit theatre de Breitou";
Consommé indigeste de petites recettes graces et cuisinières pour échangistes édentés et vieillissants! Je ne vous conseillerais jamais assez, en vous encourageant à préférer la lecture culinaire de Rabelais ou de la Comtesse de Ségur...
La vie littéraire est, comme la vie soumise aux lois naturelles. Aujourd'hui ceux qui ont définitivement chu en roman feuilleton leurs réminiscences disposées en auréole sur fond "de sans famille", pourront s'ils le désirent, recueillires le fruit de leurs larmoiements pathétiques en relisant " La passion de Joseph Pasquier" de G. Duhamel!
Braitou, n'as tu pas songé que l'amour passe par la manière de le transmettre!
Tres cher BREITOU, enfant du "saboun", tu m'as demandé une mauvaise critique, et une bonne critique, voici celle que j'ai sincérement ressentit à la lecture de "ton petit theatre"...
Il m'est rentré un sentiment de reconnaissance à la découverte de ton théatre! Tu nous conduis, tu nous façonnes à tes grés.Nous trouvons en toi notre maitre et nous admirons ton art, ton habileté à trouver les mots, à les assembler, à jouer de leur musique pour nous placer dans l'état d'âme ou tu veux nous mettre!
Nous rendons grâce à ton savoir faire, toi qui joue si bien avec le plus intime de nous même, nos souvenirs de l'esprit, du goût et du coeur!
Que Rabelais et la Comtesse de Ségur, sont pâles de goût devant tes mets de rois et la litterature triste d'images devant l'expression de ta passion!
N'est-il pas merveilleux de savoir qu'il existe un "petit théatre" qui s'oriente chaque jour davantage, vers la transposition en action de la memoire, comme une source vive du réconfort!
Merci, d'avoir songé que l'amour passe par la manière de le transmettre...
amities, jessy
Par Anonyme (Anonyme) le lundi 03 mars 2003 - 22h04: |
Par Albert (Albert) le lundi 03 mars 2003 - 21h08: |
SAHA PRINTANIA je prepare les colleurs d'affiches.
Par Printania (Printania) le lundi 03 mars 2003 - 20h20: |
Albert, j'ai la rate qui se dilate.
Je suis mort de rire.
Cha Cha !
Yâtik essah’a !
Par Albert (Albert) le lundi 03 mars 2003 - 20h04: |
Dans un hôtel, en Belgique, un belge prend tranquillement son
petit-déjeuner : café, croissant, baguette, beurre et confiture. Un
touriste américain mâchant son chewing-gum s'installe en face de lui. Bien que le belge l'ignore, l'américain engage la conversation : - L'américain : Vous les Belges, vous mangez tout le pain ?
- Le Belge (de mauvaise humeur) : Oui.
- L'américain ( après avoir fait une grosse bulle avec son
chewing-gum): Nous aux States, on mange juste l'intérieur. La croûte,
on la met dans des containers, on les recycle en faisant des croissants
et on les vend aux Belges.
L'américain a un petit sourire sur le visage, le Belge écoute en silence.
- L'américain persiste : Vous mangez la confiture avec le pain ?
- Le Belge : Oui.
- L'américain (une grosse bulle éclate sur sa figure et d'un coup de
langue habile, il ravale son chewing gum et continue à mâcher) : Nous
pas,aux States, on mange des fruits frais au petit déjeuner. Et on met
les pelures, les pépins et les restes dans un container, on les recycle en faisant de la confiture et on la vend aux Belges.
- Le Belge demande alors : Faites-vous l'amour aux States ?
- L'américain : yeah bien sûr, très souvent dit-il avec un large sourire.
- Le Belge : Et que faites vous des préservatifs utilisés ?
- L'américain : Et bien comme tout le monde, on les jette.
- Le Belge : Pas nous. Une fois utilisés, on les met dans des
containers, on les recycle, on en fait du chewing gum et on le vend aux States....
Par Printania (Printania) le lundi 03 mars 2003 - 08h19: |
Cher (tu remarqueras) Wnes.
Tu es des nôtres à présent, tu as bu ton verre comme les autres.
Bienvenue dans l’équipe des jeteurs de cartable.
Si tu étais assez grand pour t’en souvenir, il y avait un client particulier chez Lacta.
Il s’y rendait TOUS les soirs que D… faisait, pour déguster son « litre » de crème glacée.
Si, par un malheureux hasard, il manquait son rendez-vous, chez Lacta c’était l’inquiétude d’une mère qui ne voit pas rentrer son fils à l’aube.
Je salue au passage cet amateur des glaces de Lacta, et pour éveiller en toi son souvenir, je te dirais simplement qu’il tenait boutique en face de la grande synagogue de Tunis et que c’est un photographe comme on n’en fait plus de nos jours.
Mon cher Wnes, Lacta pour nous jeunes, c’était synonyme de café vert, de café des nattes, de l’hacienda ou de Bichi, et ce n’est pas peu dire.
Maintenant que nous sommes encore plus amis, tu me refileras bien une recette, par exemple celle de la glace à la pistache, mon pêché mignon.
Ciao, ciao bambino!
Tu peux gratter ta guitare.
Par Wnes (Wnes) le lundi 03 mars 2003 - 00h27: |
Ya Printania !
Ma dernière intervention avait surtout pour but de tester les INITIES ! LACTA appartenait à mes parents, et le bled s'appelait Aïn Zaghouan, 11ème Kilomètre route de Tunis à La Marsa.
Bravo de t'en souvenir.
Si loin que ce soit, même petit, j'arrivais toujours à m'échapper, pour rejoindre mes potes, au concours de plongeons, et de traversé CRAWL du canal de Hak El Ouet, sans oublier l'école buissonière du Lycée de Carthage, avec les cartables jetés dans des tonneaux, ou des barques sur la plage, pour aller nager et pêcher dans le Triangle des Bermudas !ZZZZZ!
Ciao Bambini
Berdah
Par Albert (Albert) le dimanche 02 mars 2003 - 15h51: |
Ben figure toi Printania ce lapsus malheureux de ma part me vaut de rectifier, en effet tu as raison.N'empeche que ce vénèrè rabbin a fait partie du premier conseil municipal de la GOULETTE avec monsieur CHAIX , il parait qu'il était aussi aimè par les musulmans. A cette époque.MEA CULPA...Tu vois qu'on est prèssé on fait des betises.... Bon mais je pense que tout le monde a compris...
Par Printania (Printania) le dimanche 02 mars 2003 - 12h16: |
Albert, je viens à peine de réaliser et je suis glacé d’effroi.
Tu as donné un prénom musulman à un vénéré rabbin, comment as-tu pu faire une "boulette" pareille ?
La rue en question s’appelait "Rue Rebbi rah’mine (et non pas Abderahmine) Chmila."
Rebbi (Chmila) y chamh’ak ya Breïtou !
Par Printania (Printania) le dimanche 02 mars 2003 - 11h18: |
A l’anonyme « Kiffeur » dans ADRA.
Tu vois, quand je lis que tu fais un kif en mangeant une tarte aux pommes ou un gâteau au chocolat après un couscous-pkaïla, ou une Téfina, je me dis que la notion de kif a méchamment évolué.
Mais après-tout, me diras-tu, chacun trouve le kif là où il le trouve.
De ce point de vue, je ne te contrarierai pas.
Moi je préfère encore une belle orange maltaise ou un citron doux.
Par Printania (Printania) le dimanche 02 mars 2003 - 10h40: |
Albert, au sujet de la villa dont tu parles, elle s'appelait "Villa mon rêve", elle était effectivement inhabitée.
Le gardien s'appelait Béji, on n'y voyait effectivement personne.
Quelquefois, Béji faisait une apparition, mais personne ne peut prétendre avoir visité cette villa.
Les propriétaires, deux frères, habitaient toute l'année à la Marsa.