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Discus: Le Petit Théâtre de Breitou: Archives 2003: Archive Mars 2003: Archive jusqu'au 18/mars/2003
Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le lundi 17 mars 2003 - 20h15:

DE L'AMOUR !!!!!!!!!!!!!!!!!!!



Psyché était très jolie. Aucune créature humaine ou divine ne la surpassait en beauté.

Sa grâce était telle qu'elle conquît Cupidon, Dieu des amours, qui ordonna à Zéphyre de l'enlever dans les airs et de lui offrir le plus magnifique palais.

Psyché s'extasie de sa nouvelle demeure. Mais à la nuit tombante, elle entend une voix qui lui murmure ces mots :

"Ne crains rien, c'est moi le maître de ce domaine, je te le donne comme présent de nos noces prochaines. Exige et tu seras exaucée. Je n'attends qu'une chose en retour :
ne cherche jamais à me voir. A cette seule condition nous pourrons vivre heureux."

L'aurore point et l'être mystérieux disparaît sans que Psyché ne l'ait aperçu. Mais nuit après nuit, la curiosité la ronge. Aussi un soir, elle prend sa lampe, la dissimule
derrière les fleurs et attend.

Son époux ne tarde pas. Il s'étend et s'endort. L'instant est favorable : Psyché prend la lampe et découvre le visage de son aimé.

Elle ne peut se détacher de ce troublant tableau, l'émotion la gagne, sa main tremble, la lampe vacille et une goutte d'huile tombe sur le torse du dormeur qui se réveille…

Le charme est aussitôt rompu : plus de palais, plus de jardins, plus d'amour. Seul un roc sauvage sur lequel se lamente l'infortunée Psyché !

Cette triste histoire a traversé les époques pour nous rappeler que l'amour n'est pas un sentiment si puissant qu'il ne puisse être brisé par le temps, la routine et
une intimité trop grande.

Souvent, vous avez dû vous rendre compte que le mystère qui entoure votre compagne ou votre compagnon tient à peu de choses:

-Ne le surprenez pas dans des moments où il/elle voudrait rester seul(e), contentez vous de posséder sans enfermer, d'aimer sans vouloir contrôler, n'épuisez pas le parfum de l'amour en vous enivrant de sa saveur piquante.

-Apprenez la sagesse de la distance et vous augmenterez
vos chances de rester un couple solide et uni.

ca coule d eau de source DRUN

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le lundi 17 mars 2003 - 20h12:

Monsieur Castro,

Vous éclairez sous un nouveau jour votre maman Janet, quel délice de la redécouvrir grâce à vous.

Elle est partit avec un souhait accompli, un mensonge charitable, celui d'avoir goûté aux sucreries de notre ami Henri. Dans son esprit.
Merci Monsieur Castro.

Je me souviens de nos échanges par e mail et voilà que je tombe sur un texte que j'avais imprimé et mis de côté. C'est en rangeant mon fatras que je découvre une partie de son écrit…Plein d'humour.

'…….Ne vous inquiétez pas juste une mini incursion et je m'en vais, je ne voudrais surtout pas vous encombrer de ma présence si indésirable..! Well je viens sur moi, merci je n'en demandais pas tant, je suis désormais célèbre sur ce forum et peut être est-ce que je recherchais..? Célèbre et tant décriée juste pour avoir osé contester ce qui semble désormais être un monument:missieur breitou, albert, belebou , (bababou)????, ok autant pour moi: la ' Triha( la tannèe) que vous venez de m'administrer me suffit à me repentir:Pardon je ne recommencerai plus à toucher à notre Berrurier tune, désolée sincèrement si je l'ai ou vous ai tous blessés, mais sachez que j'assume ce que j'ai dis et essayer vous aussi de prendre un peu de recul; loin de moi également de déclarer la guerre à qui que ce soit ni de mépriser ou bannir qui que ce soit ! Un dernier mot pour vous dire que ce que je viens de lire m'a bien fait marrer, vraiment cela m'a rappeler les déconnades de mes oncles l'été à kerredine…et franchement cafè tmènik est idéal pour ça au fait je ne suis pas édentée, n'ai pas 90 ans et ne suis pas insensible à l'humour…!'

Ce texte est transcrit texto ….

C'était sa réponse sur la pièce que j'avais faite sur elle 'LES CITRONS' qu'elle lue à ces enfants. Elle m'avait dit qu'elle en riait à pleine voix au point que ces derniers ne comprenaient pas son hilarité soudaine.

Janet, si j'ai pu pendant quelques instants vous donner du bonheur, j'en suis ravi. Elle reconnaissait dans ce texte ces 'tords' ( qui n'en a pas ) et savait demander pardon en intimité. Son caractère indépendant ne souffrait d'aucun manque de sincérité. Parfois, elle se transformait en détective, essayant de découvrir tel ou tel personnage caché derrière un pseudo étrange…'Elle me disait…Albert…! J'enquête sur le Wnes…..Ne croyez vous pas que c'est….!' Et moi qui l'encourageais dans son enquête, pour me dire trois semaines plus tard….

'…. Ecoutez Albert, j'ai termine mon travail ( un travail c'était devenu pour notre Sherlok Holms) et bien je suis arrivé à la conclusion que Wnes……c'est…..! ' Je luis répondais avec amusement…

'Janet faites un complément d'information, vous êtes sur la bonne voie…!'

Elle persistait quand même dans sa première appréciation pour finalement m'avouer plus tard que le Wnes…..C'est Berdah…! Trois mois d' enquête pour arriver finalement à ce que je savais depuis longtemps….Mais je ne voulais pas la contredire avant qu'elle ne termine son enquête….Sacrée Janet…!'

Et puis son tapis rouge mon D ieu quelle étrange histoire…! Il y avait de quoi en souffrir. Lol…:) ): :)

Et voilà notre Janet et la Roche transformaient en archéologues du côté du Nil. Des moustiques à profusion qu'il fallait éradiquer à tous prix avec des bombes et autres explosifs. Un coup de fly-tox aurait suffit. S'en ai suivi des placements à la bourse et je ne sais quel délire encore qui nous ont tenu en haleine. Une guerre anti moustique et anti -virus venait d'être déclarée sous nos yeux et je suivais les péripéties avec des yeux d'enfant qui essayait de comprendre la trame. Nos deux détectives, une qui loge en Suisse et l'autre à New-York s'en donnaient à cœur joie sous l'ombre de leurs phantasmes…Quel délire ce fût….

Albert

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le dimanche 16 mars 2003 - 19h28:

Les Mémoires d'un goulettois
Par Albert Simèoni ( Bébert)
L'Enfant de la Goulette.
Passe sur acceui le 16.3.2003

Le 18/6/89


' Bourimna…'
(Fouchik ou bani-bani)

'Yè hassra ââlla bourimnè…Ekèl wakt éhdèk…'
'Ils furent nos pourims….En ce temps là…')

J'avais entre dix et onze ans dans mes shorts anglais. Je fréquentais parallèlement l'école française et l'école hébraïque de l'O.S.E ( Œuvre de Secours de l'Enfance) Le jeudi et dimanche. Dans cette institution juive, à l'approche de la fête de Pourim, quelques semaines bien avant la date, on nous apprenait la pièce d'Esther. J'avais le rôle ingrat d'Aman.

Nous étions mes camarades et moi, vêtus comme des 'princes', le Roi 'A HACHVEROCH ( 1m 52 ) assis sur un fauteuil maquillé en trône. Il avait les pieds qui pendaient à 10 cm au-dessus du sol. ):):): Dans sa fausse barbe et moustache, il se donnait un air imposant. De temps en temps, il regardait du côté de son souffleur. Aman, moi ): :) ): en sarwel blanc, sur lequel on ajouta une camisole ample. J'avais un de ces airs comme je vous dis pas. Bref, nous étions très beaux.

Au matin de ce jour là, la salle de la cantine était transformée provisoirement en espace théâtrale .Quelques tréteaux supportaient des planches recouvertes de diverses couvertures.

Les 'dignitaires de la communauté 'de Tunis venaient assister quelques fois au spectacle en présence de nos maîtres, maîtresses et directeur Monsieur Habib.

La triste fin d'Aman, sa pendaison se faisait par un jeu d'ombre chinoise, je n'avais qu'à pousser un cri de derrière le rideau pour faire comprendre que j'étouffais. En réalité, je riais.

Vers les 14 heures, nous étions invités, par groupe, pour visionner un film projeté à notre intention au Cinéma Rex. Un film toujours le même; les images en souffraient à force de les faire passer et repasser. Les Zorro et les Tarzan projetés à la sauce Dario, nous donnaient la nausée après dix bonnes années de fidélité.

Dans notre quartier, dés les premières heures de la journée, les pétarades commençaient. Quelques amis donnaient déjà le coup d'envoi sans aucun respect pour ceux qui dormaient.

Des petits bâtons de dynamite, à mèche courte, disposés sur le bord du trottoir, s'enflammaient sous les doigts habiles de l'enfant devenu 'artificier en culotte courte' pour un jour. Projeté en l'air, ce petit bout de cigare une fois allumè, n'était plus qu'un amas de résidus de papier multicolore réduit par l'explosion, en miette, tournoyant dans l'air avant de se poser en confettis sur le macadam dans un bruit sec et assourdissant.

Parfois, nous posions sur le bâton de dynamite une boite de conserve vide que l'on voyait bondir en l'air par le souffle.
Certains mal avisés, introduisaient un pétard dans la' hofra' d'une bouche d'égout. Et là, nous voyons la trappe en fonte se déplacer par le souffle de l'explosion. Ce qui soulevait la joie des enfants, une fois l'opération réussit.

Mon père nous achetait la veille, un petit revolver en fer avec son embout un clou. Nous enfoncions une 'cartouche' puis une fois la détente enclenchée, il en sortait un bruit assourdissant fouchika.
Nous avions aussi une petite boule en pierre que l'on projetait avec force sur le goudron de la chaussée pour en faire naitre quelques étincelles, à notre grande joie.

Souvent, nos oncles et tantes, venaient nous rendre visite, et nous refilaient quelques pièces d'argent qui allaient remplir, vite fait, la caisse du quincaillier, notre pourvoyeur de bannis-bannis, des munitions en tout genre.

'Yè baba, lââjij….! Bourimnè ouffè méli mchit fèl dényè lékhra..! Ehnè tèwè fi blastèk nââtiou bourimèm èl loulèdnè…! Twè'hèchtèkyè baba…!'
('Papa, chéri…Notre obole de Pourim est terminée depuis que tu es parti dans l'autre monde...Aujourd'hui c'est nous qui, à ta place, offrons le Pourim à nos enfants..
Nous t'avons langui….

Anecdote..

Le quartier du Cinéma Rex, était le lieu de rendez-vous branché d'une grande bande d'amis qui, tout en sirotant un cafè ou un thé debout, flirtait sur le spectacle de la rue. Arrive un ami qui sort de sa poche un accordéon de dynamites, qu'il pose sur tout le long du trottoir, environ deux mètres. Ces petits bâtonnets étaient collés les uns aux autres. Il alluma une de ces mèches devant nous afin que la première, en principe, mette le feu aux autres 'mèchèttes. Il s'en éloigna de quelques mètres et, nous attendions fébrilement l'explosion en série lorsque' au bout de cinq minutes, rien ne se passa. L'un de nous lui cria ' Féchiè' c'est à dire 'long feu' et ajouta 'Borico…! Tu peux aller t'asseoir dessus …!'. Enérvè, il se rapprocha de la 'mitraille' sans précaution aucune, pour vérifier la chose et écoutant le 'con seilleur', posa son derrière par- dessus, bravant ainsi le danger qui l'attendait. Et voilà que l'irréparable se produisit sous nos yeux surpris, toutes les mèches prirent feu instantanément sous son c… glacé. Il monta en l'air par la douleur et s'en est sortit avec un trou béant dans son short anglais, 'gesti culant' comme un forcené, et quelques innocentes égratignures entre ses fesses.
Laissant les autres exploser de rire…:) :) :)
Merci ….Ishak..

ALBERT L ENFANT DE LA GOULETTE

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le dimanche 16 mars 2003 - 12h02:

'.... harissiens me connaissent en photo ca sera des soupirs de joie et peut-etre de peine ,car puisque j'etais LA CRITIQUE,tres peu de harissiens m'aimaient ou m''appreciaient....'

J'avais compris qu'en internant ta photo tu nous prévenais de quelque chose....! Ce matin là encore, je demandais des nouvelles à notre ami commun et voilà que quelques heures plus tard, il m'apprenait la douloureuse nouvelle. Je me suis assis sur le tabouret, un peu hagard, ne sachant si je devais continuer à travailler. C 'est bizarre l'annonce de la mort d'une amie que j'ai connu seulement de vives voix sans l'avoir vu en chair et en os...!. Ca vous donne une de ces tristesses. Parfois, je me demande si j'ai bien fait d'avoir autant d'amis, ici...Tu es la première à partir, à ma connaissance de la grande famille harissienne.

ALBERT L 'ENFANT DE LA GOULETTE.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le dimanche 16 mars 2003 - 10h24:

Le plan de la Goulette, vue aèrienne du quartier de la petite Sicile...
Collection Albert.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le dimanche 16 mars 2003 - 09h57:

JANET…….

'Albert….! Albert….! Que tu m'appelais au téléphone de New York par ta voix rauque !
Je n'entendrai plus Albert…! Albert…! Moi qui te faisais écouter de la musique arabe, celle de ton ancien pays. Tu m'avais même confiée que tu re-chantais des anciens refrains de ta maman dans ta salle de bain et on riait de cela. Sais-tu que D ieu 'bisser' le nom d'Abraham pour se faire entendre…? Certainement qu'il l'aimait notre ancien père à nous….Comme tu m'appréciais en sourdine, me reprochant à chaque fois de n'être qu'un petit Albert. Te souviens tu de notre premier échange…..? Tu m'avais menti en me disant que tu avais 99 ans puis, comme si tu étais prise de remord tu m'avouais avoir 88 ans puis 68ans, tu rapetissais ton âge en moins de deux mois….! Tu me confiais aussi qu'après m'avoir lu, tu déchirais tes souvenirs, que tu voulais écrire comme moi avec émotion alors je te disais que l'expression écrite n'était qu'une science des ânes. Il suffit d'y mettre un peu d'engrais pour faire fleurir ces mots, tout simplement.

Tu dois dormir sûrement dans le Paradis blanc avec tes rêves d'enfant.

'Janet…! Janet..!' Tu es partie sans me dire au revoir…! Tu as raison, tu n'as pas voulu me faire de peine. Tu sais,j'ai préparé une grande pièce dans laquelle tu tiens le rôle principale. Le mariage…..
Tu n'es pas là pour me lire mais maligne comme tu es, tu trouveras un moyen pour t'échapper quelques instants, faire faux bond à tous tes nouveaux amis, pour venir me lire et repartir toute vêtue de blanc.
Janet, ton nom sera toujours inscrit sur le théâtre et même évoquée comme si tu y étais car je ne veux pas admettre avoir perdu une actrice comme toi.
J'ai tiré ta photo, celle où tu es entourée par tes enfants dans ta maison je crois, dans le jardin. Elle ne me quittera pas. Du moins tant que je vivrais. Je veux que tu m'accompagnes.
Janet la critique, nous sommes tous passes dans ton collimateur. J'implorais le ciel que tu m'épargnes mais voilà le miracle s'est produit, tu m'a envoyé ton missile 'Voyou'. Je suis resté sur mes fesses bien qu'assis sur mon cul j'ai ressenti ça comme une providence. Merci. Tu m'as éveillé alors que je volais près des nuages , aujourd'hui je navigue dans la brume, c'est pas mieux mais que veux tu j'essaye de tenir .
Tu m'a promis de venir me voir à Paris. Mais voilà le destin a voulu que cela en soit autrement.

'JANEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEET……! JANEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEET….!
Ma grand-mère Meiha , tu la reconnaîtras……!Dis-lui que je pense à elle et à mon père David…!
J'ai perdu ma meilleure actrice, ma critique, a regagné GAN YIDEL, elle va me manquer.

Aujourd'hui c'est Albert qui fait le sermon pour Janet, je voudrais que l'un de mes amis fasse le mien bââd amor TWIL. MERCI.

Esmah enti elli fèl déniè lékhra….! Samahni…..!
('Ecoutes, toi qui est dans l'autre monde….Pardon….!

A vos enfants, je présente mes sincères condoléances, elle était votre maman. Et quelque soit la mère qu'on hérite, elle reste une maman.

'Itgadel we itkadesh chimi raba…biyalma di berékh keryoti veamlèkh malkhoulti veyèsmah porkani…..'

Durant 7 jours, le théâtre ne fermera pas, je parlerai de JANET en langue judèo-arabe et en français.

ALBERT L ENFANT DE LA GOULETTE

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le dimanche 16 mars 2003 - 07h56:

RALENTIS TON RYTHME


As-tu déjà observé les enfants jouer sur un carrousel ou écouter la pluie tomber sur le toit ?

Déjà suivi un papillon volant gaiement ou bien admirer un coucher de soleil ? Tu devrais t'y arrêter.

Ne danse pas trop vite car la vie est courte. La musique ne dure pas éternellement.

Est-ce que tu cours toute la journée, toujours pressé(e) ?

Lorsque tu demandes " Comment ça va? ", est-ce que tu prends le temps d'écouter la réponse ?

Lorsque la journée est terminée, est-ce que tu t'étends sur ton lit avec 100 000 choses à faire qui courent dans ta tête ? Tu devrais ralentir.

As-tu déjà dit à ton enfant " nous le ferons demain ", et de le remettre au surlendemain ?

As-tu déjà perdu contact avec un ami, laissé une amitié mourir parce que tu n'avais jamais le temps d'appeler pour dire bonjour ?

Tu ferais mieux de ralentir, ne danse pas trop vite car la musique cessera un jour.

La vie est si courte. Lorsque tu cours si vite pour te rendre quelque part, tu manques la moitié du plaisir d'y être.

Lorsque tu t'inquiètes te fais du souci toute la journée, c'est comme un cadeau non ouvert que tu jetterais.

La vie n'est pas une course, tu dois ralentir ton rythme, prends le temps d'écouter la musique avant que la chanson ne soit terminée.


Source DRUN BOUD BEYLA.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le samedi 15 mars 2003 - 20h53:

Hajkloufet,
Ma soeur, savais-tu qu'elle était fan de grand theatre et d'opèra...? Elle me comparait à des grands auteurs et me disait qu'ils ne valaient rien devant ma verve, j'en riais je t'assure.Elle avait de la classe et surtout une grande affinitè pour tout ce qui est culturel. Souvent, elle me soufflait de corriger telle ou telle chose avant de le publier sur le theâtre. Et j'obtempérais.
Il y avait un épisode qu'elle affectionnait au plus au point, c'est la narration de la mort de ma grand-mère, elle me disait de la repasser et donc pour elle, je le repassai en judéo arabe et en français. Elle savait qu'elle allait partir et pour celà qu'elle avait envoyè sa photo deux semaines ou trois avant son voyage.Elle voulait finalement qu'on la connaisse et que surtout qu'elle grave son image sur le net.
AU NOM DE D IEU TOUT PUISSANT ET AUX NOMS DE TOUS SES SAINTS...JE DEMANDE AU WEBMASTER QUE LE NOM DE JANET SOIT AJOUTE AUPRES DE BREITOU AFIN QUE CE PETIT THEATRE PORTE DESORMAIS LE NOM DEFINITIF DE ....PETIT THEATRE DE BREITOU ET JANET.....
MONSIEUR JE VOUDRAIS QUE VOUS LE FASSIEZ...POUR ELLE...POUR NOUS...POUR TOUS CAR ELLE ETAIT UNE GRANDE DAME....ALORS HONOREZ LA DE CETTE FACON...ET QUE D IEU VOUS BENISSE...AMEN..
ALBERT

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Hajkloufette (Hajkloufette) le samedi 15 mars 2003 - 11h09:

Cher Albert
Mon coeur est avec toi je sais que tu as perdu une amie tres chere , et que tu la pleures sincerement , mais elle aussi , j en suis sure aurait aime , qu apres quelques jours ton theatre , resonne de joie , de rires , de tous ces mots qu elle aimait t entendre dire ... Pour elle , pour son ame , et pour son souvenir , tu dois revenir , et continuer . C est le role de celui qui reste , continuer et se souvenir , pour que celui qui nous a quitte , ne disparaisse jamais vraiment tout a fait . Janet restera dans la posterite , dans tes pieces , comme dans notre souvenir .
IYYE ZIKHRA BAROUKH !!!

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Printania (Printania) le vendredi 14 mars 2003 - 08h08:

Ah, Wnes ! Si tu me provoques avec du Zabayon, nous ne serons plus amis.
Parce que la recette je l’ai d’une autre source, elle a été donnée sur le site par un harissien.
Donc ton chantage n’a pas court, et tu peux fumer ta cigarette et te déhancher quand tu la guettes.
Au fait tu guettes qui ? Va savoir.
C’est Dalida qui me perturbe, on entendait la chanson « Bambino » dans la bagnole sur la route de Aïn Zaghouan.
Dans ma sénilité, quelques bribes de cette chanson me reviennent.
« Il revient à ma mémoire
Des souvenirs familiers
Je revois ma blouse noire
Lorsque j'étais écolier
Sur le chemin de l'école
Je chantais à pleine voix
Des romances sans paroles
Vieilles chansons d'autrefois »
Bambinooooooo !
Ciao, ciao bello!