Par Albert (Albert) le lundi 24 mars 2003 - 22h03: |
LES MEMOIRES D’UN GOULETTOIS
L’ENFANT DE LA GOULETTE
PAR ALBERT SIMEONI (BEBERT) 31/3/2001.
18/06/89
Grands passionnés et fervents de pêche pour 90 % d’entre eux…..
‘……Les Pêcheurs à la Goulette
Qu’ils fussent professionnels, occasionnels ou amateurs, le goulettois est presque né avec une ligne, une canne, une bouteille trouée ou un bâton muni d’un pic ou d’un crochet (grand hameçon ) entre les mains. De 10 à 15 ans, le jeune faisait ses premières armes avec un mouchoir tenu aux extrémités par ses bords avec ses doigts ; il piégeait, aux abords des digues en cep de vigne avancées dans la mer - les guimbres, sparlottes, crustacés, goujons et autres petits marbrés solitaires égarés du banc près des têtes immergées des rochers. Plus tard, muni d’un bâton au bout clouté (pic artisanal ), il délogeait les poulpes de leur cachette - des boites en fer ensevelies et rouillées par l’eau - qui vomissaient leur encre noire une fois découvertes. Les petites pieuvres avaient un meilleur sort, une fois en dehors de l’eau, le mécréant goulettois fracassait la tête sur une roche, histoire de leur mettre les idées en place, à l’envers. Tous les jeunes goulettois ont pêché à la bouteille, allégée par sa cavité concave de son trou de cul. Remplie de mie de pain, les petits mulets venaient s’y engouffrer et se rassasier sans savoir que cela serait l’antichambre de la friture. Notre goulettois vieillissant (18 ans ),- plus expérimenté à force de se saler les pieds dans l’eau , se brûler le chef au soleil et tanner sa peau - s’attachait les services d’une canne ( un roseau parfois qu’il fabriquait avec rigueur ) ou d’une ligne. La moitié du corps dans la flotte, pas très loin du rivage, il pêchait ‘ sa passion ‘. Il lui était aisé aussi d’acheter chez Agugiliaru, notre quincaillier et accessoiriste de pêche en tout genre, ses hameçons, ingrédients et autres filets. Chapeau sur le melon et patience en d’ssous, il guettait des yeux se foutu bouchon à liège, couleur rouge pour le dessus, flottant entre deux eaux claires et qui tardait à plonger, prenant parfois des airs narquois. Le fil de nylon ou ‘gud ‘, de couleur verte ou blanche, enroulé autour de son index, notre pêcheur mesurait l’intensitè_de la ‘touche’ ; tiraillements et relachements tels ètaient pour l’instant son souci sur l’heure. Beaucoup de nos adeptes, aventuriers, poussaient leur sport favori jusqu’à se pointer sans l’autorisation de leurs parents, sur le môle des blocs, se mêlant ainsi aux vieux chevronnés siciliens ou maltais. La casquette vissée sur leurs timbales, la cigarette de marque ‘Surfine ‘, ‘Supèrieure' ou tout simplement roulée est collée au bec ou alors la pipe coincée entre leurs dents ‘jaunies par le darmouss’, ils voyaient d’un mauvais œil ses ‘intrus ‘ d’un dimanche, s’installaient à proximité pour ‘voler’ leur poisson.
Les berges du vieux chenal et du canal ‘Aéroport ‘, bien qu ‘interdites à la pêche et à la baignade, étaient très prisées et profanées par les ‘braconniers ‘.
Le lanceur de ‘Chebka’ ( filet ou pêche à l’épervier ) était soit debout progressant dans l’eau jusqu’à mi-corps soit sur une barque en équilibre surveillant un rassemblement de poisson.
Masque à lunette sous-marine, fusil à harpon, palme en caoutchouc et tuba firent leur apparition et constituaient l’attirail du professionnel que l’on reconnaissait de loin, nageant entre deux eaux, à leur ‘ tuyau ‘ à oxygène en plastic garni au bout d’une balle de ping - pong ( tuba).Il pouvait rester ‘enterré ‘ sous l’eau plusieurs heures afin de tirer un ‘malin mérou ‘ qui le ridiculisait bien souvent en esquivant la ‘flèche meurtrière ‘pointée sur lui. Là, à l’abri entre deux rochers, le beau et la bête se regardaient dans le bleu et blanc des yeux. Avantage mérou. La gloire pour un pêcheur goulettois était de rapporter ce trophée au bout du fusil. Fait rarissime un jeune ami batailla durant deux heures contre un thon égaré à quelques mètres du rivage. Il n’hésita pas à poursuivre sa proie en nageant, avec le ‘gud’ (fil de nylon ) scotché entre ses doigts. Las et fatigué ‘le thonthon ‘ déclara forfait par manque d’énergie. Notre héros et ses 15 k de chair suspendue à son hameçon eut une ovation digne d’un grand champion .Tout le quartier eut droit ce jour là à sa tronche du ’phénomène’.
Les appâts, à cette époque consistaient soit à de la mie de pain transformée la veille en petites boulettes durcies pendant la nuit soit à des vers de terre ‘Trimolignè’ achetées ‘hier ‘ et servies empaquetées dans des feuilles humides de choux ou de vigne selon la saison et suivant grosseur pour la catégorie du poisson à pêcher. Les amorces se retrouvaient à l’aube, selon le réveil du poisson et de son bon vouloir, pendues aux bouts des hameçons solitaires, doubles, triples ou quadruples.
Les avertis ou cachotiers, munis d’un peu de gros sel et d’une truelle dénichaient-leur ‘appât secret ‘, le toubou (gros vers ) enseveli sous le sable dans l’eau. L’opèrateur/fossoyeur , à mer basse, passait alors à l’action. L’opération ( je peux le dévoiler ton secret Charlino après 50 ans ), consistait tout d’abord à repérer un petit trou par mer calme et claire - le boyau - puis l ‘étèteur ‘ versait un ou deux grains de sel à l’embouchure du cordon. 2 ou 3 secondes plus tard, de petites antennes remuantes frénétiquement ( la tête ) surgissaient et d’un coup sec et vif ‘le trancheur ‘ plongeait sa truelle sous le ‘conduit ‘ pour couper toute retraite possible au ‘fuyard’.Le petit serpent, décapité sur 10 cm de profondeur, se retrouvait zigzagant dans sa petite vase, sur le plat de la truelle ……
Le gros poisson se pêchait en barque à moteur , à la traine , à quelques encablures, soit avec du gros fil de nylon soit avec de la corde fine. Les amorces étaient bien souvent des morceaux de poulpe, de ‘cannelloni ‘ ou tout simplement un petit mulet vivant mais accroché à l’hameçon..
A chaque pêche son amorce ……et à chaque pêcheur sa manière de ‘chasser’.
Comme tout bon mèditérranèen …le goulettois affabulait souvent sur sa prise car sans témoin visuel, il racontait avoir pris une baleine avec son doigt..
Et il s’en trouvait toujours un de couillon pour lui dire ‘montres moi où elle t’a mordue… ?’Les sorties de balancelle fera l’objet d’un texte spécial .
ALBERT L ENFANT DE LA GOULETTE
Par Wnes (Wnes) le lundi 24 mars 2003 - 00h35: |
Chronique d’El Fenech le Jurisconsult de Hak El Ouet et de son neveux ZgouGou :
Ya TonTon s’écria ZgouGou !
" Je préfère glisser ma peau sous des draps pour le plaisir des sens,
Que de la risquer sous les drapeaux pour le prix de l'essence."
Puis il déclama ainsi qu'en avant première privée un bref : « SAUVE QUI PEUT LA FEMME «
Les femmes doivent posséder une infinité de côtés car nous savons que la courbe est féminine.
Irrattrapable Moi et 3,141592653589793238462643383279502884197169399323, entre autres quadrateurs)
- Faut-il tout ramener au sexe, souffla ZgouGou en examinant son TonTon de ses yeux noirs Ma Jnoun, le sexe en tant que principe unificateur ?
- Quelle question, s’emporta El Fenech. Mais bien sûr que oui. Et à quoi d’autre ? L’unique primitive du couple humain n’est-elle pas la reproduction comme chez les animaux, mis à part qu’ils ne sont pas perpétuellement en chaleur. Tout passe, du moins pour l’instant, par le sexe.
La voisine de palier JoseFina qui passait par là sourit, se hâtant de chausser une paire de lunettes de soleil.
- Tu m’as fait un sale coup, Yéh TonTon, avec Sauve qui peut l’Amérique ! Franchement je ne m’attendais pas à trouver mes idées sous cette forme ! Pas totalement mauvaise, mais j’aurais aimé être plus précis à propos du déclin de l’Empire Des Sens. Tu n’es qu’un gros prédateur. Alors… je te suggère quelque chose. Si tu publies ce que nous allons nous raconter, trouve un titre de circonstance. Appelle ça « Sauve qui peut la Femme ! » et n’oublies pas que tu seras alors dans mon collimateur…
- Message reçu khamsa khmis, l’assura El Fenech en restant à prudente distance de ses jurons, style WNES : $ZZZZZ£.
Mais ZgouGou ne donne pas dans le style de JoseFina la Belle Voisine de palier et cette dernière fort occupée à essayer sa nouvelle chemise de nuit, ne prêtant aucune attention aux deux compères qui l’observaient du coin de l’oeil, comme deux tafards, qu’ils étaient.
El Fenech ajouta : « Il existe un point commun entre les marchés financiers, les femmes, la météo, les règles du permis de conduire et les équations de Lorenz sur les attracteurs étranges, c’est l’imprévisibilité « .
J’avais rencontré JoseFina à Kerredine, sur la plage naturiste, à la belle époque où il y en avait une, avant que les intégristes de tous poils, n’aient décidé de forcer les bourgeois de Hak El Ouet à se masquer avec des feuilles de vignes.
Elle m’en avait bouché un coin pour deux raisons :
La première - et je l’assure ici de mon éternelle jalousie - fut cette félouque.
Vous connaissez les félouque, c’est l’embarcation là plus vendu dans la Méditerranée et, mis à part le détestable usage que les pirates en firent au cours des siècles, et que l’ oncle Sam s’apprêtent à en faire, c’est l’un des plus beaux aigles de fer jamais construits.
Je parle bien sur du F-16, car en un dixième de seconde, et en songe je le retrouvais sur un aérodrome du Golf, son bec effilé et son cockpit à grande visibilité lui confèrent son aspect de prédateur élégant et l’on en parvient presque à oublier l’énorme caisse de métal sur laquelle il est posé, son réacteur.
Je mourais littéralement d’envie d’en piloter un. À moi, qui n’avais pas dépassé le stade du rêve de piloter une simple félouque barbaresque, ça ne risquait pas d’arriver.
Quelle n’avait pas été ma surprise quand, sur le taxiway, derrière les grilles, je vis passer l’une de ces bêtes racées, la version biplace pour instruction.
Le janissaire qui est aux commandes est sûrement un abruti prêt à balancer ses œufs mortels sur de pauvres gens grommelai-je, mais, par curiosité, je suivis la bête en zoom max avec ma digicam, jusqu’aux hangars d’en face. La grande surprise, après l’arrêt des réacteurs, fut de voir, au sortir d’une combinaison anti-G, exploser au vent un superbe casque de boucles d’or.
Les femmes pilotes sont encore rares sur F-16, même dans cet endroit où des pilotes de toutes nations viennent suivre leurs stages de perfectionnement. Celle-là me parut totalement atypique, peut-être en raison de cette somptueuse crinière qui n’est pas vraiment dans le style de l’US Army.
Je n’hésitai pas, sautais dans le van obligeamment loué par une bande de schmucks constipés et socialement myopes pour dévaler à grande vitesse les petits chemins désertiques qui menaient de l’autre côté du tarmac et, au croisement de FelFel et Ganaouïa, à l’entrée de la base, je me cassai le nez sur un MP tout sauf aimable.
Il se disposait à me flinguer à vue quand une petite japonaise boueuse de location couleur pétrole s’arrêta à notre hauteur et que JoseFina en sortit, histoire de me sauver la vie.
C’est là qu’on s’est connu.
Ainsi SAUVE QUI PEUT LA FEMME négocia avec un thème impossible : le couple humain.
C’était assez pour me tenter. J’ai fait appel à JoseFina la surdouée pour qu’elle jette les bases de sa « théorie des cordes amoureuses », à JoseFina la furieuse pour qu’elle me donne un cours de pelotage, à des méduses, des otaries, au sexe de la Vénus de Boticelli, à Jean d’Ormesson qui m’annonce sa mort et transfiguration, à ZgouGou qui m’a refilé un sacré bout de texte et aux Angiospermes qui envahissent ce livre.
J’ai dû refuser énergiquement la candidature du Sieur Bébert de Hak El Ouet, qui se cherchait un rôle crédible car j’avais une tendresse pour Ishtar, la battante de Mésopotamie et pour le Sidi Ballout qui a pensé une bonne moitié de ces pages.
J’enseigne au passage la nature de la pierre philosophale à Paracelse et je cornaque six personnages en quête de reproduction trisexuée, dont une femme de ménage très équivoque, le tout sur toile de fin du monde.
De quoi s’amuser et, si vous insistez, réfléchir.
J’ai une bonne nouvelle pour vous : Un voleur m’a dérobé le manuscrit, priez donc pour ce pauvre pécheur, qui n’y comprenant rien l’ai sans doute vendu aux Angiospermes.
Vôtre dévoué,
El Fenech
Par Albert (Albert) le dimanche 23 mars 2003 - 16h51: |
'……Vous aimez trop être aime et cela fait du mal a vos écrits la critique doit vous être très importante, non pas tant parce que vous désireriez passionnément être publie, mais parce que vous voulez plaire a tout le monde, intellectuels ou ignorants c'est défendu on écrit, pour soi, d'abord. et si l'on est lu, alors c'est mieux ,parce que l'on partage mais jamais deux personnes n'auront la même opinion, et c'est a cause de cela que le lendemain du jeu d'une pièce très importante l'auteur ou les artistes se précipitent sur le journal.Albert, mon cher Albert, je ne savais pas moi-même que je prendrai tant d'intérêt en votre donMoi-même, j'ai écrit toute ma vie, sans essayer de me faire publier ce seront,juste des souvenirs pour mes gosses, si par hasard, il se trouverait qu'un certain jour ils trouvent une minute de libre et a consacrer a mes élucubrations j'ai comme vous, 'oeil observateur et la langue pendue, mais jamais je n'ai possède votre art donne, non par l'instruction, qui justement détruit tout, mais par le naturel. Vous êtes quelqu'un vous n'êtes plus le petit pauvre de La Goulette Vous avez, tout seul monte tous les échelons que d'autres ont monte, avec peine et beaucoup d'argent, dans les plus grandes universités Ca ne vous a pas rendu plus riche, non Mais la richesse c'est vous. Vous aimez tout le monde, sans faire de préférence...mais écoutez-moi. Préférez votre famille très proche, aimez-les plus que les autres Faites leur des compliments, observez leurs vies, constatez s'ils sont heureux ou pas...surtout la princesse qui est restée votre femme et les merveilleuses jeunes filles qui vous sont nées bénissez tous les jours le fait qu'elles existent et qu'elles vous aiment, avec vos qualités et vos défauts Les autres ne sont que des pitres égoïstes et jaloux qui ne cherchent que leur propre intérêt et qui tourneront la tête avec indifférence le jour ou vous ne les faites plus rire...j'ai beaucoup écrit et je sais que malheureusement, vous avez la patience d'écrire mais non de lire attentivement. Mais pour une fois, concentrez vous...lisez jusqu'a la fin, même si vous savez que je suis ennuyeuse en diable, réfléchissez.. Obéissez J'espère que ce message vous restera écrit dans votre tête folle et que vous y avez compris l'essentiel. Janet....tant qu'elle existe.
ALBERT AVAIT REPONDU EN CE TEMPS LA….Ma chére Janet, me comparer à Marcel Proust……? C'est bien plus qu'un honneur que vous me faites, c'est bien plus qu'éloge que vous m'offrez en cette fin d'année. Je suis particulièrement sensible à votre opinion qui s'adresse à un monsieur sortit de l'inconnu et qui a rencontré après quelques mois des gens qui se sont habitués à mes écrits et qui me laissent parler de tout et de rien sans contrevenir à la politesse et au respect que je leur dois. Et bien, je vous fais ici même une confidence. J'ai commencé et cela depuis pas mal de temps à les aimer comme ils sont et je pense que la réciproque est vrai même si quelques uns ou unes se sont détournés de mon amitié à tord ou à juste raison. Et par moment je me dis 'Albert…Allons vas-tu aimer la terre entière…?' Ce n'est pas ça qui compte, c'est la fidélité de ma mémoire à leur nom et à leur voix qui comptent pour moi.} Je connais les sentiments qui vous animent envers ma personne, parce que je suis sur que je corresponds quelque part à ce que vous auriez envie d 'être. Quelqu'un d'aimé et être aimé mais comme vous me le dites si bien l'amour est personnel et on ne peut pas le comprendre dés fois, il faut prendre les gens comme ils sont, comme D ieu a voulu qu'ils soient et cela ne nous revient pas de les changer sinon nous contrevenons aux lois de la nature.Je vous ai fais pleurer une seconde fois, c'est bien vous qui m'aviez demandé de rééditer ce passage non pas de la mort du loup mais d'une grand-mère que plus personne aujourd'hui ne pourra voir mourir chez lui. Les gens n'ont plus le temps de s'en occuper alors elles meurent souvent seules dans des hospices faits pour elles. Comme moi je crèverai aussi entre des murs insipides couleur pale des murs ! Mais quelle importance dites le moi, que l'on meurt assis , allongé ou debout, seul ou accompagné….! La mort n'a pas besoin de cet accompagnement et je vous dis, il faut 'déménager' avec son respect, partir la tête haute et point gémir à longueur de journée. Ce n'est pas du Chateaubriand ni du Bossuet c 'est de l'Albert tout court qui parle comme n'importe lequel d'entre nous qui à juste de quoi écrire et laisser ses sentiments couler comme de l'eau de source. Etre aimé par des personnes cela se peut t 'il ma chére Janet..? Oui ….! Cela se peut puisque vous m' aimez, moi l'étranger, depuis ma première feuille et que vous m'apprécier alors pourquoi pas deux, trois ou quatre, nonobstant ma famille..! Etre un auteur ou un écrivain est à la portée de tous, ce n'est pas tant la façon d'écrire qui compte si on laisse sincèrement son cœur parler. On est plus enclin à écouter quelques farfelus comme moi qui ajuste des lignes 'philosophiques' plutôt que d'écouter des 'commerciaux de l'écriture 'vendre leur ridicule. Parfois. Ce n'est pas mon gagne pain mais si je devais un jour publier, c'est uniquement par plaisir de me lire plus tard ou de laisser à mes enfants quelque chose qu'ils ne connaissent pas. C'est comme, me regarder, 'narcissiquement', devant un miroir et en rire comme je le fais quand l'angoisse m'étreint.Dites à l'un de vos enfants de m'écrire et surtout continuez à me dire tout ce qui passe par votre tête, ne réfléchissez pas. Je devine vos pensées. Et même si vous ne me dites plus rien, je serai celui qui imaginera tout de vous. Je serai votre 'Ecrivain personnel' ici dans ce site et jamais votre nom, tant que je serai là, ne sera oubliè. Y aurait t' il quelqu'un qui n'aime pas se faire aimer???? Même hypocritement…! Mais qui a le monopole de la sincérité, de la justice, dites-le-moi Janet…? Il faut seulement savoir comment être. Be or not to be. Et je crois que dans tout cela il faut d'abord se faire respecter chacun à sa manière et puis donner le temps aux autres de vous connaître mieux afin qu'ils disent de nous 'Tiens ..! Albert ou tartempion vaut la peine d'être écouté…!' C'est le commencement de l'amour du prochain. Même les clowns, ont un cœur, qui se font aimer. Sincèrement.Mais que vaut donc la philosophie si elle ne pense qu'à elle…! Ce n'est point dénigrer cette science qui est la base de toutes les lois que l'homme a crée par son expérience personnelle. Chacun y à ajouter sa pierre, depuis que l'homme est homme et la femme est femme, pour bâtir des consciences qui réfléchissent dans le bien à force d 'être dites et redites.Telle la loi de la nature et si on essaye de détourner l'esprit philosophique par quelques machinations douteuses alors on tombe dans l'irréel. Dans la faute et dans l'erreur et dans ce cas là plus de salut. Imaginez un pécher qui donnerai des tomates..!Imaginez un péché qui se transforme en bien…! Alors laissons plutôt nos bonnes âmes se nourrir du bien, des grâces, des mitsvoths si petites soient t 'elles. Une bonne pensée bien dite, bien réfléchie, suffit à remplir nos cœurs de joie.Je suis bien plus jeune que vous et je parle comme une vieille mémé. Oui et alors si je tiens un langage de vieux…!Ne le suis-je pas déjà…? Pauvre me dites- vous…..? Si vous parlez finance, je le fus autrefois, mais si vous parlez richesse d 'esprit cela ne me rendrait pas pour autant milliardaire. Quant à ma famille, j'agis comme un père qui aime sa portée. Je n'ai pas la prétention d'être au-dessus de tout soupçon, je suis un être avec mes qualités, mes faiblesses, mes vices et ma vertu, ce n'est pas D ieu qui m'a crée ainsi, car D ieu crée que de bonnes et belles choses, c'est la nature qui veut ça et si je devais recommencer à naitre, ce n'est pas ici sur cette terre mais ailleurs là où les hommes et les femmes ne pensent pas à la guerre. Sachez cependant ma Chère madame CASTRO, que la vie nous réserve parfois de drôles de surprises et vous, vous êtes une surprise pour moi, une belle surprise…! Continuez à me surprendre Madame FIVE, continuez HOUT……ALLIK Vous êtes doué pour m'emmerder….Et c'est votre façon d 'êtreMais qui le comprend…?????...): ): ): ): ............C'est avec la permission de madame CASTRO, que j'ai publié cette causerie.(J'avais reçu quelques minutes plus tard, une remontrance suite à cet édit. Elle me reprochait d'avoir dévoilé son pseudo. N'était ce pas là, Janet envers vous une marque de sincérité que de vous mettre en valeur???)Elle me disait ADIEU ALBERT, je ne vous parlerai plus, en réalité il n'en était rien. Elle me réécrivait plus tard} .................................................
Ceci met fin pour l'instant avec mes dialogues avec Janet, sans pour autant que je ne l'oublie, elle reviendra dans mes petites scènes comme si elle était prèsente. Je veux qu'elle en rit.
ALBERT L ENFANT DE LA GOULETTE.
Par Albert (Albert) le dimanche 23 mars 2003 - 15h35: |
CAUSERIE……AVEC JANET…
On ne nait pas écrivain ou scribouillard. On le devient fortuitement, comme ça. Il suffit d'un déclic pour voir surgir milles souvenirs vous rappeler votre ancien temps. Alors le vocabulaire et la grammaire, les mots et leurs verbes vont venir émerger comme par instinct à l'intérieur de votre calotte et vous forcer à les mettre en valeur comme par magie.
La magie se transforme en passion et vous ne pouvez plus freiner ce remous qui vivait en hibernation en vous et qui va prendre l'allure d'une déferlante qui vous emporte dans des endroits secrets, là où vit votre imagination. Chez l'écrivain tout est permis, il ne peut cacher ses sentiments car cela reviendrait à trahir ce dernier. Sa liberté de s'exprimer le rend parfois vulnérable tant il se découvre aux autres. Parfois il passe pour un naïf et souvent on le juge comme tel.
Ce n'est pas par hasard que je fabrique des 'sénèttes' ou des textes, des poèmes, des causeries et réflexions, parfois des commentaires politiques succins.
Je me souviens en avoir écrit une de pièce dans ma tête vers l'age de 12 ans que j'avais intitulé ' Les cocus'. Un dialogue interne qui ne faisait rire que moi.
Et puis un jour, je me suis réveillé comme pris par une ferveur littéraire, en 89. Il me fallait un style d'écriture alors sans rien inventer, j'ai laissé mon cœur parler à sa manière, sans le contredire, sinon ma peau en aurait souffert. Mal. Je me rends compte aujourd'hui combien la tâche, d'un créateur de mots et de phrases juxtaposées, est ardue. Il faut se ressourcer et innover continuellement sans tomber dans le lassant. Le morose. Je ne sais pas si je suis parvenu à vous faire passer des messages, je pense surtout à ne pas choquer sans cela je me mettrais en porte à faux envers vous, vous qui me lisez en silence. Vous êtes ceux là, ceux qui apprécient ou au contraire ceux qui 'clique sur les flèches'.): ): ): ): Je dérisionne seulement.
Créer un personnage et lui donner un rôle, n'est pas chose aisée d'autant plus que la distribution requiet une attention toute particulière dans le suivi des dialogues, je peux en parler à présent parce que je suis devenu un professionnel après avoir balbutié à mes débuts. ): ):
N'empêche aucun incident majeure n'est venu perturber mes actes. Dans le virtuel cela paraît facile, il n'en ai rien. Personnellement, je m'imprègne souvent du rôle que je vis intensément allant même jusqu'à subir le choc de l'émotion. La pièce Chouè et Meiha, par exemple avait huit actes à ses débuts mais vu sa longueur, j' ai pensé qu'il fallait la raccourcir afin de ne pas ennuyer le lecteur, c'est aussi celle qui m'a fait chavirer à plusieurs reprises. Je vivais l'endroit et les faits et en ressentais les effets. A mesure que j'avançais dans le déroulement de l'intrigue. La douleur, le chagrin et la renaissance. Vous avez aussi remarqué le rôle du merveilleux que je fais intervenir dans mes 'finals…C'est la consécration car j'estime que la vie doit être un exemple de réussite contre l'adversité, contre toutes les péripéties bonnes ou mauvaises, vécues. Elle doit toujours être le résultat de ce que nous attendons, pleine de joie, de bonheur et d'effacement de la souffrance.
Je vous confie ce sentiment étrange qui m'envahit chaque fois que j'appose le mot fin sur mes textes. Une certaine euphorie, un cri de bonheur qui ne se mesure pas avec légèreté.
Aucun texte, quel qu'il soit ne m'a laissé insensible et j'en éprouve un réel plaisir à le relire quelques mois plus tard, sans en rectifier un mot parce que conforme à mon état d'esprit.
Cela aurait pu être mon métier ….Un métier virtuel qui sied à un enfant de la Goulette.
Merci
Par Albert (Albert) le dimanche 23 mars 2003 - 15h03: |
Avant la parution du texte Voyage imaginaire dans le Grand-Nord Canadien, je vous place l'intrigue dans la ville que je ne connais pas , voici une autre photo de la ville de TADOUSSAC, afin que vous en soyez imprègne. Merci
Par Albert (Albert) le samedi 22 mars 2003 - 20h31: |
Causerie avec Janet…
Breitou monte sur les planches….
'….Janet….! Qui suis-je, que sommes--nous du reste…? Me dis-je par moment dans ma solitude intérieure..!
En jetant un regard furtif sur mon 'œil à glace', ce miroir ingrat qui déforme mes traits mais pas mon caractère.
Belle question ….! Que personne n'ose se poser..! Par peur de vérité sans doute, la fierté les aveugle, au point de cacher vices et vertus dont ils cherchent, hélas, l'existence.
S'interroger sur soi…? Délicate opération qui nécessite un grand échafaudage sans piliers. Ils ont beaux se dresser sur leurs talons d'Achille, ils ne voient que leur délicate espèce, superbe et fière érigée en 'pied de nez' leur souffler dans leurs feuilles bouchées qu'ils sont mignons, intelligents, honnêtes, sincères alors qu'au fond, ils sont moches de tout.
S'ils daignent regarder leur physique….? Ils trouveront bien réfléchie leur 'nainetè'. Ils verront, peut-être, sans complaisance, certains défauts cachés, des vices de forme à leurs yeux anodins. Ils verront par ceux là libidineux, gouailleux et chassieux, un état extérieur que même un bon ravalement s'interdirait de rectifier. Mais dans leur dynamisme, ils renverront d'un coup de manchette méprisante, l'horreur qui se présente devant leur pif. Eux. Ne voulant voir que leur canon entamé depuis des lustres. Leur image de marque défraîchie par le temps. Ce n'est point dénigrer que de reconnaître, avec vérité, pas celle de la Palisse, son état des lieux presque délabré. Les femmes, par contre, à mes yeux, même si leur plastic s'est transformé en bouée avec le temps, elles restent des femmes toujours désirables. Bien que certaines d'entres-elles feraient mieux de s'engouffrer dans un sac à jute. Qui compatirait à les envelopper !
Les hommes s'imaginent être encore à la page, alors que les feuilles, de leur carnet de jeunesse, sont cramoisies depuis de longues dates.
La vérité n'existe pas chez l'homme …! La beauté est dans la femme….! Je me targue ): ): de posséder les deux sans être au féminin…! Un vrai canon de classe sans boulet..!Qui fait 'Pchitt dés qu'il entend un pneu crevé..! Que puis-je faire contre cela…? C'est bien la nature qui m'a doté d'une grande intelligence au-delà de ce que j'espérais….! Quant à ma beauté, celle d'aujourd'hui, je laisse le soin à mes fans d' en parler d'autant plus qu'ils ne me connaissent même pas en rêve…! Alors qui suis-je Janet…? Un couillon qui veut se prendre pour un grand 'filosophe'…Un fil à plomb qui cherche son équilibre et qui malgré toutes ses contorsions n'est pas parvenu à changer le cours des choses car s'il le pouvait, il aurait prolongé votre vie de 31 ans …! Le premier âge que vous m'avez donné. Sans mentir.
Ne prenez pas pour argent comptant ce que je vous raconte mais à crédit.
Albert Simèoni l'Enfant de la Goulette. 16/3/2003
REPOSE EN PAIX MA CHERE JANET....
Par Wnes (Wnes) le vendredi 21 mars 2003 - 00h07: |
Yéh Printania,
Tu constate que je ne t’oublies pas, car voilà une partie de la réponse à la deuxième énigme !ZZZZZ !
Sabayon glacé au vin de Marsala
Ingrédients :
6 jaunes de gros œufs,
300 g de sucre semoule,
1 citron non traité,
20 cl de Marsala
20 cl de crème fleurette,
200 g de framboises.
Déroulé :
Lavez le citron.
Prélevez ¼ de son zeste a l’économe et hachez-le finement, réservez-le.
Pressez ensuite le fruit et versez le jus dans une coupelle, répartissez 50 g de sucre.
Passez le bord de chaque verre retourné dans le jus de citron puis dans le sucre.
Laissez sécher les verres ainsi sucrés.
Préparez un bain-marie.
Séparez les blancs des jaunes d’œufs.
Dans un cul-de-poule, battez les jaunes avec 250 g de sucre jusqu'à ce que le mélange blanchisse.
Ajoutez alors, sans cesser de fouetter, le vin et le zeste de citron, puis posez le cul-de-poule dans un bain-marie.
Fouettez le mélange régulièrement, sans vous arrêter, jusqu'à ce qu’il devienne mousseux et épaississe.
Lorsque la préparation nappe votre fouet et prend une certaine consistance, ôtez-la du bain-marie et laissez la refroidir.
Pendant ce temps, fouettez la crème fleurette en chantilly, puis incorporez-la délicatement au sabayon refroidi. Versez dans les verres sucrés et placez au congélateur jusqu’au moment de servir.
Décorez de framboises fraîche
Donne donc la réponse à la première énigme, ou alors fais toi aider par Bébert.
Bon appétit, saha lik,
Berdah
Par Albert (Albert) le jeudi 20 mars 2003 - 22h43: |
'……Vous aimez trop être aime et cela fait du mal a vos écrits la critique doit vous être très importante, non pas tant parce que vous désireriez passionnément être publie, mais parce que vous voulez plaire a tout le monde, intellectuels ou ignorants c'est défendu on écrit, pour soi, d'abord. et si l'on est lu, alors c'est mieux ,parce que l'on partage mais jamais deux personnes n'auront la même opinion, et c'est a cause de cela que le lendemain du jeu d'une pièce très importante l'auteur ou les artistes se précipitent sur le journal.Albert, mon cher Albert, je ne savais pas moi-même que je prendrai tant d'intérêt en votre donMoi-même, j'ai écrit toute ma vie, sans essayer de me faire publier ce seront,juste des souvenirs pour mes gosses, si par hasard, il se trouverait qu'un certain jour ils trouvent une minute de libre et a consacrer a mes élucubrations j'ai comme vous, 'oeil observateur et la langue pendue, mais jamais je n'ai possède votre art donne, non par l'instruction, qui justement détruit tout, mais par le naturel.... A suivre
ALBERT AVAIT REPONDU EN CE TEMPS LA….Ma chére Janet, me comparer à Marcel Proust……? C'est bien plus qu'un honneur que vous me faites, c'est bien plus qu'éloge que vous m'offrez en cette fin d'année. Je suis particulièrement sensible à votre opinion qui s'adresse à un monsieur sortit de l'inconnu et qui a rencontré après quelques mois des gens qui se sont habitués à mes écrits et qui me laissent parler de tout et de rien sans contrevenir à la politesse et au respect que je leur dois. Et bien, je vous fais ici même une confidence. J'ai commencé et cela depuis pas mal de temps à les aimer comme ils sont et je pense que la réciproque est vrai même si quelques uns ou unes se sont détournés de mon amitié à tord ou à juste raison. Et par moment je me dis 'Albert…Allons vas-tu aimer la terre entière…?' Ce n'est pas ça qui compte, c'est la fidélité de ma mémoire à leur nom et à leur voix qui comptent pour moi. A suivre
Par Albert (Albert) le jeudi 20 mars 2003 - 21h56: |
E mail d'une JEUNE AMIE PARTIE.Mon adorable Ami,'……Avant tout, je renouvelle, en franches, cette fois tous mes vœux pour l'annee2003.Que le ciel vous protége, a vous et votre famille et vous donne longue vie et bonheur, sans oublier la santé qui est proéminente !ah !!Albert, cher Albert, vous êtes le seul, sur ce site qui m'est important. Je ne sais pas pourquoi, vous êtes mon poulain, vous m'appartenez, en tant qu'écrivain de valeur et plus..............................................................................(? NDRL) Sans doute comme un amoureux..!)Même pas Marcel Proust, le Grand auteur, eut pu décrire en quelques mots cette disparition, presque soudaine d'un être si cher.(En parlant de la mort de ma grand-mère)Vous m'avez fait pleurer la première fois…J'ai re-pleure…Cela il n'y a pas beaucoup d'auteurs, en renom, qui peuvent s'en vanter, car vous le savez, tel que l'être humain est devenu, il n'a plus de larmes, plus de pitié et surtout est devenu extra-égoiste parlez lui d'amusant il va rire d'un rire sardonique et jaloux...parlez lui de choses tristes, il va fermer le livre en maudissant l'auteur...est -ce la vérité ?? Moi, Janet, j'ai lu une seule page a vous et j'ai su que j'avais trouve une pierre précieuse encore non travaille par des bijoutiers et j'ai saute sur vous…'
Personne ne m'interdira de parler d 'elle tout au long de son année. Sauf D.IEU. Voilà les raisons qui font que je l'estimais et que je l'avais prise en affection. Ce n'est pas un devoir mais une reconnaissance éternelle envers celle qui m'encourageait à continuer à écrire. La noble dame DE NEW-YORK avait du charisme. Malgré sa critique qui lui on valut parfois certaines réactions comme la mienne une fois qui m'a fait regretter amèrement mes mots. J'ai su lui demander pardon de vives voix. Et au théâtre faisant passer notre altercation pour un jeu de rôle. Elle avait du cœur. Et des sentiments très personnels. A suivre……..
Par Albert (Albert) le jeudi 20 mars 2003 - 21h54: |
Nahki ou nétfakar…..
'…..Yè Janet……! Enti élli kent thabni nét kélèm bèl arbi…! Jè él nar élli béch nahki….bsawti èl hazin….!
El déniè marrat mââw'jè….! Nak'hdouhè ékè mèghir nah'kroua…! Janet fémè kèlmè bèl âârbi èlli tkoul 'Elli khèllè èl khlifè mè métch….;!' Enti khèllit rjèl élli èl youm kadrouèk mèlli jdèdou ou zédè tââl'you nèss ékèbrien…! Bèl ââkal…! Chouf él lioum ouldèk i tkèlèm ââlik ouni…! Ouni fi blastèk….:! Yèhkilnè khrayèf èlli sarrou tèwe mèlli rawaht fèl déniè lèkhra…..! Ehnè nètsantou fi ou kââd yèkber fi aînèynè …! En challah raby mè yèchwikch fi kabrèq…! Amin..!'
'…….Janet…..! Toi qui aimais entendre parler notre langue…est venu le jour où je raconte par ma voix triste…La vie est parfois tordue….! Nous la prenons telle qu'elle se présente sans la mépriser…! Janet il y a un proverbe arabe qui dit ceci…' Celui qui a laissé une progéniture, n'est pas mort '…Toi tu as laissé des hommes qui aujourd'hui te respectent depuis leur naissance et ils ont sorti des gens nobles, éduqués…Avec sagesse…! Regarde aujourd'hui ton fils parle de toi ici….A ta place…! Il nous raconte des histoires qui se sont passées depuis que tu es partie dans l'autre monde…! Nous, nous l'écoutons et il grandit à nos yeux…! Que D ieu ne te prive pas de tes enfants…là où tu es...! Amen…'
ALBERT SIMEONI L ENFANT DE LA GOULETTE..
Par Printania (Printania) le mercredi 19 mars 2003 - 08h52: |
Wnes.
Tu sais bien, je l’ai déjà écrit, les énigmes ce n’est pas mon fort.
En plus, en arabe, je suis nul, je dirais même plus, par cette expression également arabe : « H’amor gadol »
Pourquoi prolonger ce suspens ? Tout le monde attend ta réponse.
Merci, mon ami, je suis impatient, ainsi que Albert et les autres.
Dans la foulée, une petite recette serait la bienvenue.
Celle du Sabayon, par exemple, nous comparerons avec celle qui nous avait été donnée par un Harissien.
Par Wnes (Wnes) le mercredi 19 mars 2003 - 00h17: |
Yéh Printania,
Alors j'attends ta réponse !ZZZZZ!, quelle est la solution de l'énigme du Zaroure ou du Zabayon ?
Parles si tu veux d'autres recettes, autrement sans vouloir te menacer, je sors une autre énigme.
Ciao Bello,
Berdah