Par Albert (Albert) le dimanche 15 juin 2003 - 15h35:

Remise de la feuille ce soir Lallla avec trois Ailes...

Par Lalla (Lalla) le dimanche 15 juin 2003 - 13h57:

poilant,intarissable,unique!
mille fois merci.j'ai besion de 2 L pour...survoler toutes les miseres du monde!

Par Albert (Albert) le dimanche 15 juin 2003 - 12h40:

Wnessouillon....! Ne soufle pas...OK...?

Par Albert (Albert) le dimanche 15 juin 2003 - 09h32:

Lala, votre session se passe au THEATRE………
La correction dans la judèo-arabe….

Voilà Lala lère, je reçois l'enveloppe. Tiens il n'y a pas d'argent bof.

J'ai le cœur qui bat pour vous, juste un peu….Allons voir mon cœur dedans ce qu'il y a de bon…En tout cas pas de bonbon LALAAAA…..Ah…..Encore une enveloppe…..! Je l'ouvre…! Voilà calcul menthol…

2 x 2 =
3 x 3 =

Français….

Choisir entre ces trois sujets……..;

A……. 'Qu'est ce qui se passe quand deux conventions qui se croisent……?


B…….. Albert Breitou Simèoni a dit un jour……
.' Je préfère vivre heureux partout que nulle part malheureux ..!'

C………Disserter…….en motivant votre sentiment….
'Aimez vous plus Brahms que les beignets à l'huile et les frigolos ….!' Quels plaisirs éprouvez vous en mangeant ces derniers.

Histoire…….

'…..Qui et quoi ici ou là bas….!…..'

Géographie….

Citez-moi au moins deux tendances géographiques qui sont à la mode chez les jeunes…!'

Physique….
' Comment le garder en forme…?'

Chimie…..
' C'est blanc, ils ont oubliè le sujet…!'

Voilà ce qu'il nous intéresse le judèo/arabe.

Traduisez……' ….La maison du néant qui vend des navets….! Alfred de Vigny. coefficient 4/20


'……El khlè khè'lli wèl yajèj i dour….!….' Victor Hugo. Coefficient 4/20

Question de secours comme un pneu…

Que veut dire les mots………' …Mss'ida….' '…Che'kènè…' '…Bi'ga' dillou…'
Employez le mot…………….' Jri'dèh …' Dans une phrase……'


'…..Ah tiens, il y un billet de 10 Euros au fond, et…..' Si vous trouvez ce billet, retournez le à l'acadèmie…!'
Moi je le garde et je ne retourne rien…' Yèmchou i zamrou…..' Traduisez ça aussi LALAAAAAAA…..

Par Wnes (Wnes) le dimanche 15 juin 2003 - 01h03:

Yéh Bébert, Yéh Canalou,

La Douda à cette époque gouaillait alors tout son soul, car à gouailler sans crainte, on gouaille sans gloire !ZZZZZ!

Fi Lamen al koul asfour,

Wnessou El Douda

Par Albert (Albert) le samedi 14 juin 2003 - 22h34:

CAUSERIE AUJOURD'HUI TROIS MOIS QUE JANET NOUS A QUITTE.

A ceux qui n'ont pas connu Janet (Z'L). Elle avait 69 ans quand elle nous a quitté, quand D ieu dans sa grande miséricorde l'a rappelle à lui un certain jour du 14 Mars 2003. Elle se savait malade depuis pas mal de temps mais elle espérait comme tout un chacun 'sauver sa peau' un miracle comme on le dit. Elle écrivait souvent ici des récits drôles et même des remarques virulentes qui ont touché bien plus d'un. On l'avait nommé Janet la Critique 'Echbighè wèl yar'. Sa critique acerbe n'a épargné personne, souvent fondée au grès de son humeur au point de voir quelques-uns uns d'entre nous, vous taxer 'd'empêcheuse de tourner en rond' alors que nous tournions tous en rectangle.

Nous n'étions pas à votre goût sauf quelques bénis comme moi qui récoltasse, en fin de parcours, le mot de 'Voyou'. Je vous ai quand même affronté sur votre terrain. Nous jouions à un certain moment un jeu de rôle au point d'en arriver parfois de vous demander par le fil, 'JANET….! Vous pouvez m'écorcher quand vous le voulez…!'

'…Janet…..! C'est moi le petit Albert Albert…! Le pseudo 'Proust' ou 'Pouf'…! Vous manquez à ce site et parfois, je me demande si par un certain matin, voir apparaître votre signature alors que je sais pertinemment que les voyageurs comme vous, partent sans retour…..! In yaddin el dénia el nèyèkè…! …Excusez--moi Janet…! Il m'arrive de me révolter parfois contre personne. C'est vraiment terrible cette émotion qui me prend quand j'évoque un ou une amie qui part comme ça sans qu'il l'est demandé. Parfois je me demande si je ne m'attache pas à des fantômes, est -ce bien raisonnable Madame Castro…?

J'avais la forte sensation que je n'écrivais que pour vous, tant vous m'encouragiez à le faire. J'écris toujours ici Janet pour eux, eux qui ne me disent rien ….! Me lisez vous au moins….? De là où vous êtes….? Vivez vous aussi là bas comme ici…..? Est-ce que vous dérange Jane….? Dans votre sommeil….? Pourriez vous me consacrer juste quelques instants et me raconter votre environnement…? Me faire quelques confidences…?

Si oui, alors allons y et prenez ma main et emmenez-moi, avec mon billet de retour vers la terre, dans vos jardins secrets, là où tout est lumière, chant et extase…..! Là où les oiseaux chantent la beauté des lieux, la chanson de l'éternité….! Y a t'il des sources de jouvence qui coulent sous des arbres de clarté aux branches de lueur sous un ciel éclatant et resplendissant qui ne se couche jamais….?

Vous savez Janet, je m'insurge contre ceux qui prétendent qu'il y a une vie ailleurs…Je m'insurge contre tous ceux qui nous racontent des contes pour enfants, qui nous réconfortent en nous confiant que votre monde est plus beau que cette terre pourrie….! Alors, Janet, excusez-moi, lâchez-moi la main pour l'instant car je préfère vivre sous les ailes d'une mouche sur terre que sous la terre, du moins pour l'instant.

Ne me suivez pas Jane, belle Jane, restez là où vous êtes car dans ce monde ci, tout n'est hypocrisie.

'Réveillez -vous très bonnes gens qui dormez,
C'est le joli mois de Mai, celui du muguet.

Vous qui dormez du repos éternel
Dans l'au-delà, là bas sans réveil
Ni voix ni chants, rien ni personne viendra troubler votre sommeil.'

Par Albert (Albert) le samedi 14 juin 2003 - 20h51:

LES MEMOIRES D’UN GOULETTOIS
PAR ALBERT SIMEONI
RECIT POLICIER.
LE 10/9/2000
Suite de l’Etoile Jaune II

Résumé des de la première partie.
L’ inspecteur Boulakia de la criminel, est réveillé en sursaut par son lieutenant Kouba. On lui apprend qu’un vieux professeur de 85 ans est assassiné dans son pavillon à Neuilly.
Ali Kouba -appelle communément ‘Koubanoff’- abandonna son étal de fruits et légumes pour embrasser la carrière policière.Il en avait marre d’être raquette tous les jours par les gamins du quartier qui lui piquaient une à deux tomates pourries par jour.
Quelques minutes plus tard, une R 16 blanche s’immobilisa devant la porte du 48 rue du FBG du st DENIS. . ' Boule’ s’y engouffra.
'Alors........! Denis .......! Qu’est ce qui se passe ....?'
'Un vieux.....! Assassiné par plusieurs coups de couteaux......!'
'On connaît la victime..?'
'Un retraité.....! Ancien professeur.....! 85 ans.....!'
'Une femme ...? des enfants....?'
'Non chef ....! Seulement un chien qu’on a trouvé prés de lui dans le salon.....!'
Denis Bellaiche, comptable stagiaire dans un cabinet d’expertise à dix huit ans, était déstinè à une belle carrière avant qu’il ne tomba amoureux d’un roman policier ‘Le mystère de la chambre jaune ‘ et de son inspecteur Rouletabille. Il abandonna les chiffres et les centimes pour préparer un concours général d’entré à la Préfecture de police de Paris. Il sorti major de sa promotion. Un vrai ‘hakhèm’ ...D.ieu bénisse et 5x5x5 pour lui. Promu inspecteur, il se retrouva avec son cousin Boulakia, son supérieur .
La voiture s’arrêta à hauteur du pavillon .....
'Voilà ....! Chef, c’est là.....!'
‘Je vois bien ...! Denis ......avec toutes ces voitures .....et leur gyrophares....!'
Denis ouvrit à son chef un parapluie que ce dernier repoussa.....
Boule gravit deux par deux les 8 marches du pavillon. Le procureur était déjà là depuis une heure...
'Alors monsieur Boulakia.......!'
‘Ne dites rien Albert ... pardon.....monsieur le Procureur, ....mes hémorroïdes vont exploser et vous éclabousser si vous me faites une remarque.....’
‘Mais mon ami....je vois que vous n’avez pas changé .....et que....
'..... Je suis resté voyou.....!....Bon de quoi s’agit il....?'
'...Mais c’est vous qui faites l’enquête....!'
Albert Siméone dit ‘Bibi’ aimait jouer les redresseurs de torts depuis sa tendre enfance. Il était capable d’un simple coup d’œil de différencier un cafard goulettois d’une souris tunisoise (essayer voir).Passant sa thèse en droit devant un jury dont la moyenne d’âge variait entre 80 et 95 ans, il tomba sur un sujet inespéré. Sa plaidoirie exceptionnelle souleva les applaudissements du public absent ce jour là...
‘Parlez nous monsieur Siméone ‘Des coléoptères et de leur influence sur le règne végétale’
Un sujet aussi remarquable ne pouvait laisser notre futur procureur insensible.
Il commença par...
'Les hélicoptères..........' pour conclure trois heures plus tard ,mais en forme ,sous les regards endormis des 6 aïeux plus enclins à ronfler qu’à suivre la tirade sans fin de notre héros qui confondit piteusement ‘Coléoptères avec hélicoptère’. Notre ami s’embrouilla -sans doute par le trac.
A un certain moment, il émit un ...
'VRRRROOOMMMMMM'
Mimant ainsi le vrombissement de l’hélice, il poussa même l’utile à l’agréable en tournoyant la tète et les bras comme s’il allait décoller. Sa prestation fut si brillante qu’on traduisit sa thèse en 143 langues. On lui décerna un prix spécial du jury au Carnaval de Venise à Cannes. Aux journalistes qui l’interviewaient, il eût cette sublime phrase inscrite en lettres d’or à la fac des droits communs..
'Les hèlicos .....? C’est mon affaire '
Lui qui a vu durant sa tierce de vie que des mouettes ou des hirondelles...
Sa maman Louise , qui attendait devant la porte de l’université des ânes avec quatre Kandil de sidi Mahrez -grandeur nature - et trente six bougies allumées autour d’elle, lui demanda:
'Alors .....! Mon fils…. ?'
'Reçu avec mention très bien..!'
La vieille dame emportée par l’émotion s’évanouit sur le parvis.
Ainsi, Albert Siméone fût élu procureur de la République au royaume de France sous l’ère peu glorieuse gaullienne.
Boule hélant son subordonné Gilbert.
'Gilbert ......? Nos gars ont-ils tout relevé...?'
'Oui chef.....! Mais venez voir de plus prés…! '
A Suivre…

Par Wnes (Wnes) le samedi 14 juin 2003 - 13h15:

El Douda ( Agencia Lyrica Della Goletta Vieja )

Chronique d’El Fenech : Périgrinations espagnoles.

Ainsi chantait El Fenech par devant le Bey de Carthagène :

JE SUIS COMME UN ROSSIGNOL;
JE M'EXPRIME AU MIEUX LA NUIT;
ET DEVERSE MES SOUCIS
EN CHANTANT EN ESPAGNOL.

DANS CE COEUR QUI CHANTE ET PLEURE
ONT FAIT LEUR NID LES CHAGRINS;
PLUS ET PLUS IL EN EST PLEIN,
PLUS DOUCEMENT CHANTE CE COEUR.

CUANDO EL ABSURDO FARRAGO SE HAYA
DESVANECIDO EN EL UMBRAL DEL ANACRONISMO...

CUANDO LAS ARMAS NO EXISTAN...
CUANDO EL SUDOR HUMANO RIEGUE TIERRAS
FECONDAS...
CUANDO LA ESCUELA Y LA " HISTORIA"
SUSUREN AMOR...
QUANDO SAN JORGE UNIVERSAL HAYA
EXTERMINADO AL LOBO DEL HOMBRE...
CUANDO UN EXTRANO SOL HAYA DEVORADO
LA TENEBROSA PESADILLA...
CUANDO EL MUNDO SEA UNO

Wnessou El Douda

Par Albert (Albert) le samedi 14 juin 2003 - 08h39:

Sono un ucello qui volo..§§§§
Sulla la testa della mia fortuna..
Sono comè un kanalouuuuuuu§§§§..
Què bévè l'acqua dèl amore §§§§
amoreEEEEEE§§§§ MioOOOOOO....§§§§§
Ma ritornero la DOUDAWNESSOU STA SERA
GRAZIE PER QUESTA BELLA SERENADA....§§§
Veramente....
OOOOOOO......

Par Wnes (Wnes) le samedi 14 juin 2003 - 01h12:

La Canzonetta della Goletta Vecchia,

Laggiù nell'Arizona
terra di sogni e di chimere
se una chitarra suona
cantano mille capinere
hanno la chioma bruna
hanno la febbre in cuor
chi va cercar fortuna
li troverà L'amor.

A mezzanotte va
la ronda del piacere
e nell'oscurità
ognuno vuol godere
son baci di passion
L'amor non sa tacere
e questa è la canzon
di mille capinere.

Il bandolero stanco
scende la sierra misteriosa
sul suo cavallo bianco
spicca la vampa di una rosa
quel fior di primavera
vuol dire fedeltà
e alla sua capinera
egli lo porterà.

A mezzanotte va
la ronda del piacere
e chi ritornerà
lasciando le miniere
forse riporterà
dell'oro in un forziere,
ma il cuore lascerà
fra mille capinere!

Ciao Bellissimi

Wnessou El Douda

Par Wnes (Wnes) le vendredi 13 juin 2003 - 00h16:

LaDouda ( Agence das pêcheries Goulettoises )

Chronique d’El-Fenech : Les Poissons de la Justice.

" Les hommes sont, les uns par rapport aux autres, comparables à des rochers dans la mer situés face à face. Chaque rocher est percé d'une multitude de petits trous, où nichent des poissons blancs et des poissons noirs.

Les poissons noirs, ce sont les mauvaises pensées et les mauvaises paroles. Les poissons blancs, ce sont les bonnes pensées et les bonnes paroles. Les poissons blancs, en raison de leur forme, ne peuvent entrer que dans des trous de poissons blancs; et il en va de même pour les poissons noirs qui ne peuvent nicher que dans des trous de poissons noirs.

Maintenant, imaginons deux Goulettois qui se croient ennemis l'un de l'autre. Appelons-les Homsa et Homsi. Un jour, Homsa, persuadé que Homsi lui veut du mal, se sent empli de colère à son égard et lui envoie une très mauvaise pensée. Ce faisant, il lâche un poisson noir et, du même coup, libère un trou correspondant. Son poisson noir nage vers Homsi et cherche, pour y nicher, un trou vide adapté à sa forme. Si, de son côté, Homsi n'a pas envoyé de poisson noir vers Homsa, c'est-à-dire s'il n'a émis aucune mauvaise pensée, aucun de ses trous noirs ne sera vide. Ne trouvant pas où se loger, le poisson noir de Homsa sera obligé de revenir vers son trou d'origine, ramenant avec lui le mal dont il était chargé, mal qui finira par ronger et détruire Homsa lui-même.

Mais, imaginons que Homsi a, lui aussi, émis une mauvaise pensée. Ce faisant, il a libéré un trou où le poisson noir de Homsa pourra entrer afin d'y déposer une partie de son mal et y accomplir sa mission de destruction. Pendant ce temps, le poisson noir de Homsi nagera vers Homsa et viendra loger dans le trou libéré par le poisson noir de ce dernier. Ainsi les deux poissons noirs auront atteint leur but et travailleront à détruire l'homme auquel ils étaient destinés. Mais une fois leur tâche accomplie, ils reviendront chacun à leur nid d'origine, car il est dit : "Toute chose retourne à sa source." Le mal dont ils étaient chargés n'étant pas épuisé, ce mal se retournera contre leurs auteurs et achèvera de les détruire.

L'auteur d'une mauvaise pensée, d'un mauvais souhait ou d'une malédiction, est donc atteint à la fois par le poisson noir de son ennemi et par son propre poisson noir, lorsque celui-ci revient vers lui. La même chose se produit avec les poissons blancs : si nous n'émettons que des bonnes pensées envers notre ennemi alors que celui-ci ne nous adresse que de mauvaises pensées, ses poissons noirs ne trouveront pas de place où loger chez nous, et retourneront à leur expéditeur.

Quant aux poissons blancs, porteurs de bonnes pensées que nous lui aurons envoyés, s'ils ne trouvent aucune place chez notre ennemi, ils nous reviendront chargés de toute l'énergie bénéfique dont ils étaient porteurs. Ainsi, si nous n'émettons que de bonnes pensées, aucun mal, aucune malédiction, ne pourront jamais nous atteindre dans notre être. C'est pourquoi il faut toujours bénir, et ses amis, et ses ennemis. Non seulement la bénédiction va vers son objectif pour accomplir sa mission d'apaisement, mais encore elle revient vers nous, un jour ou l'autre, avec tout le bien dont elle était chargée. Tout homme, bon ou mauvais, est le dépositaire d'une parcelle de Lumière. »

Extrait du livre : La Sagesse à Hak El Ouet.

La Douda

Par Albert (Albert) le jeudi 12 juin 2003 - 21h33:

Samedi soir..le second épisode de ' L'ETOILE JAUNE.;'