Par Henri (Henri) le mardi 08 juillet 2003 - 12h43: |
Bilada!!!!
Une bilada je sais ce que c'est,
les briks,la minina,elfoul,et le tarchi-khel pour commencer, puis un peu de bkaila suivit d'un petit plat d'aakoud, et tout ca arrose copieusement de bierre et de boukha,et!!!!! en fin de soiree on oublie le sujet de la fete.
Aloooors!!!!! les amis, est-ce que quelq'un peut m'expliquer d'ou vient le mot Bilada?
Ou a force de boukha personne ne s'en souvient
Rabi maakem
Par Albert (Albert) le mardi 08 juillet 2003 - 10h27: |
Wnessou, raconte nous Juan les Yupins..? Qu'est ce que tu vois là bas mon frére....! Tu soigne tes cors aux pieds, il parait que l'eau de mer c'est bon pour tes oignons...! Alors au prix que tu payes tes vacances, n'hèsite pas plonge les ..
Par Wnes (Wnes) le mardi 08 juillet 2003 - 00h16: |
La Douda ( Hak El Ouet Tmenik Agency ) :
Désolé Bébert, on ne dit plus circoncire, mais baptiser au sécateur, Une Bilada quoi !
Tè Sbah La Khir,
Wenssou El Douda
Par Etflute (Etflute) le mardi 08 juillet 2003 - 00h19: |
d'ou viens le mot égérie
le savez vous ? non ?
en fait l'égérie vient d'un personnage de la mythologie romaine . EGERIA est une nymphe des eaux italique qui était vénéré devant la porte Capena de Rome à ses débuts.
le deuxième roi sabin de Rome Numa Pompilius était connu pour sa sagesse et son savoir.
Il se maria avec EGERIA qui devint non seulement son amante mais encore sa confidente en politique et religion.
apparement elle devait tout savoir, puisque numa épaulé par elle fut exemplaire de bonté et d'humanité en politique.
Mais lorceque Numa mourut elle partit la mort dans l'âme vers ARICIA ou Diane pour la consoler la transforma en source
enfin j'ai compris ce que l'origine du mot égérie veut dire,mais n'est-ce pas une contradiction avec le fait par exemple qu'ELSA TRIOLET,
n'était pas une politicienne ou religieuse mais bel et bien une poëtesse
Aurions nous évolué de la politique de la cité et de la religion vers la poésie?
Cela laisse à réfléchir , n'est-ce pas?
Par Etflute (Etflute) le lundi 07 juillet 2003 - 22h15: |
Volontiers albert;j'aimerais bien apprendre le judéo arabe, je suis touché que mes verres
tefont cet effet apaisant.vraiment, seulement je ne sais jamais si excuses moi on se fou de moi içi ou si c'est sincère,nous sommes en plein virtuel comme tu le dis dans ton texte que je trouve bien tourné.
Toi tu es ce que l'on appelle un de ceux qui voient loin et qui portent tjs cette douleur du monde et de soi,, sisi je le sens.
seulement j'aimerais pas laisser mon e-mail sur ce forum de peur d'être en+++++++.
tiens tu voies toi tu veux m'apprendre le judéoarabe, moi j'aimerais bien t'apprendre l'anglais ou encore mieux l'allemand qui n'est pas que de l'aboiement guttural
mais qui as un passé littéraire et humaniste souvent méconnu.
Il y a des livres qui font pleurer de légèreté et de romantisme,je pense plustôt du côté autrichien.
Mais tu dois surement le savoir puisque tu es ouvert et riche d'esprit.
je vais donc demander au modérateur de me laisser ton e-mail en toute discrétion.
je cherche tjs des maïtres,mais il me semble que le seul maître c'est avant tout soi-même.
je suis fidèle.
Par Albert (Albert) le lundi 07 juillet 2003 - 21h24: |
\rouge'Me voili me voica..} EN DECA EN DEUX SOUS.....Tu charabiase mon petit, dis moi à quelle auberge tu as appris le franca..oui..oui...
Ah....! Si Janet( Z'L) était là...
Par Albert (Albert) le lundi 07 juillet 2003 - 21h21: |
Viens .....ETFLUTO....On va te circoncire...
Par Albert (Albert) le lundi 07 juillet 2003 - 21h10: |
ETFLUTO à force de te lire, je commence à faire des fotes, ne fais pas attention, j'ai tapè directement ce texe ici sans trop y mettre d'attention, mais toi tu comprendras.
Par Etflute (Etflute) le lundi 07 juillet 2003 - 19h43: |
me voili me voiça
promis, je ne vais plus vous' offenser'
une dernière
Inspiré des romantiques:
Que je crains l'heure du crépuscule.
Que j'ai peur en voyant venir la fin du jour
Mon angoisse redouble aux approches du soir.
reclans de Savoie
La Pernette se lève
Trois heurs devant jour
filant sa quenouillette
avec son petit tour
me voiçi donc à la fin de mon parcours hébraïque
que d'autres cultures me tendent les bras !!!
Lehitraot
j'aimerais tant être juif§§!!!!!!!!
Par Albert (Albert) le lundi 07 juillet 2003 - 20h51: |
'L'Informètique ou L'Internomania'
Tout abus nuit à la santé.
Je l'ai appris à mes dépends. Je m'en suis sortit grâce aux conseils d'un ami qui à force de me raisonner a fini par avoir gain de cause. Moi qui étais plongé dans ce clavier au point de manger mon couscous d'une main et tapoter de l'autre. Au point d'avoir oubliè ma famille qui voyait un fantôme assis comme un ours écrire, écrire et écrire. Au point de me lever en pleine nuit pour pencher des idées des textes sans me rendre compte que je tombais poings et pieds liés dans la nasse. Sous le regard inquisiteur de mes filles et de ma femme qui commençait à me tourner le dos, gardant l'endroit pour elle. La maladie de 'l'Internomania' était en moins. Je passe sur les querelles et les maux de tête que cela me donnait à force de lire et relire mes écrits et aussi à courir derrière les 'adra' et autres rubriques… Aujourd'hui, je suis sevré et pris mes distances…En bon français je gère mieux mon temps de frappe et ne courre plus comme un malade sur ce piano sans musique.
Voilà donc pour vous ce soir….
ALBERT SIMEONI
Causerie avec soi. Deux.
'…. R'JAT EL DARI…'
('…Je suis rentre chez moi..'
Cela peut surprendre comme titre…! Croire que je vis dehors dans la rue comme un SDF….! Ou alors comme quelqu'un qui a fugué pareil à un enfant à l'âge de l'incompréhension…! Que je me plais à définir ! Nul besoin de vous poser des interrogations ou même avoir des sueurs froides. A défaut d 'être chaudes.
Voilà plus de deux ans, que je m'investis, accroché à ce compagnon de lumière qui m'a pris en estime, que je paye en faveur, une espèce muette mais pas trébuchante, ses services au mois. Deux ans d 'une fidélité à toutes épreuves, bravant la pluie, le soleil, la grisaille. A faire pâlir le meilleur de mes amis et amies infidèles qui vous claquent la porte au nez pour un soupçon, un doute, un malentendu ou un caprice de femme * mal inspiré ( Je ne vise personne ). Et infidèle par ma présence aux miens…
Toujours à son poste et moi toujours là, assis devant lui comme un automate. Sans répit, qui tapote sur mon clavier à de courtes heures à haut débit. C 'est débile. Il m'a fait défaut, inconsciemment, deux ou trois fois, maladie oblige. Des virus. Il enregistre tout. Une cervelle en kilo-octè, des tonnes de matière grise. Alors que la mienne est en vrac. Je la compresse tellement que je commence à être en manque. Je vais greffer dessus du 'Nkhè' ( cordons de moelle épinière). Paraît- il..! Que c'est bon les cordons blancs de moelle, ça donne de la ressource. J'ai besoin de me ressourcer. Rénover, revoir un peu où en est mon imagination, 'houttè aliyè'. El aïane mé tèhkemch. Me fortifier les méninges.
Soumis à mes ordres, cet ami, aide mes délires à se concrétiser. C'est son but. Sans défaillir. Je suis aussi soumis à ses désirs. Un esclave qui ne sait pas assouvir une passion. Cet excellent compagnon de vie qui commence à me prendre la tête anesthésie ma volonté. Mais pas ma conscience car je crois que je vais le remettre à l'ordre. Lui donner quelques instructions afin qu'il me libère tant soit peu. Sans l'obliger à fermer sa porte. Juste une ou deux fenêtres. Modestement.
J'ai fui. Oui j'ai fui ma maison. Donc ma famille, mes enfants qui se posent cette fatidique question, en me regardant de biais. Est ce qu'il est là ou ailleurs….? Un étranger cohabite avec eux. Deux même, lui, cette chose inerte à qui je redonne vie presque chaque soir et moi, qui passe un bout de son temps devant ma chose que je ressuscite. Un truc qui me sonne quand je l'oublie. Un moment.
Et ma famille qui m'observe en silence, avec des simagrées. Et moi qui les toise, sous le regard.
'Mèl taht èl aïan'. Indiffèrent à leurs pensées. Sans scrupules, j'ai réussi à les faire taire. Bon, Ehdi aïïchè…! ( C'est une vie ça…!) Cela se pourrait-il qu'un machin à prise au courant, branché et à cordon puisse m'accaparer autant. Au point d'oublier ma vie de papa. Inconscient que je suis…! .
Mais existe' ais-je vraiment ? J'ai délaissé film et télé. Pour lui. Un autre écran. Un piètre souvenir, celui là. Académie Star, Buffy, les infos….La une, la deux, la trois, la quatre que des chiffres sans programme. Je ne me souviens plus où sont placées mes fenêtres à film…!
Je suis dans les voyages et dans les nuages…Alors c 'est bon….!
Je rentre chez moi OK…..! Tous les soirs à 21 heures. Bon heuuu…30..
A ceux ou celles qui me lisent, je leur conseille vivement de se pencher par leur fenêtre, pas celle là, pour se rendre compte qu'il y a du soleil dehors.... Un ciel bleu du pays...Des parcs et des plages...Une fille ou des enfants.....Qui attendent qu'on s'interresse à eux...La vie bon sang...
Par Albert (Albert) le lundi 07 juillet 2003 - 20h13: |
LES MARIONNETTES….
'…§§§§§…..Ainchiffont font font, les petites marionnettes, brass ouli Cali…§§§….'
Voilà les premières notes de cette comptine, chantée depuis mon berceau par ma grand-mère, qui maîtrisait mal le français et qui me sont parvenues à mes oreilles dans mon enfance. Et croyez-moi, il a fallu qu'une de mes filles, soit scolarisée en maternelle pour l'entendre chanter convenablement…' Ainsi font font …!' Bref, j'ai un ami, en ce moment, qui souffre des côtes. Le médecin lui a prescrit quelques médicaments, car il a trouvé qu'elles étaient anormalement gonflées. Sa rate, en fait, s’est dilatée et cela compressent ses premières.
Les analyses ont démontré qu'une forte de dose de 'Rire' en était la cause.
Non seulement, il se fend la panse mais en plus il chikhe en ayant ses pieds sur le clavier tout en sirotant son petit lait matinal. Il tire les ficelles pour son bien et le nôtre. Nous qui trouvons, sans que cela soit dévoilé, ni écrit, un accord virtuel tacite pour entretenir un dialogue caché, sur tout et pour tout, en sachant que nous sommes ses marionnettes consentantes.
Je voudrais dire à mon autre amie, qu'il ne faut pas prendre à cœur nos délires et nos humeurs. Nous jouons, et comment vais-je animer cet espace si je n'ai pas un zgougou, un jury conseil, une Douda, un BB pour étoffer le P.T.B….? Tout ce qui s'écrit ici en haut, en bas est pour moi un sujet intéressant que je dois prendre au vol.
Tout le monde l'a compris. La dérision est une part de moi-même. Tout est dans la façon de la faire. Sinon le spectacle en sera amoindri et le plaisir émoussé.
Pour le moment, mon ami me bloque sur le BB. Il ne veut pas que je rentre car me dit-il, il faut qu'il m'y autorise, me 'permissione' donc j'attends son bon vouloir. Mon ami est un génie de l'informatique, il peut tout faire. Donc, me voilà donc entre ses griffes. A moins qu'il ne prenne, entre temps, conscience de ce qu il me fait et peut être que dans un sursaut de pitié m'ouvrir les portes de l'ivresse.
En attendant, j'attends derrière la porte du BB…. :
Par Albert (Albert) le lundi 07 juillet 2003 - 20h07: |
YAFLUTE,
Merci et encore merci pour ce sang neuf que tu apportes au théatre, il manquait d'hémoglobine et voila que viens le secourir.Reste avec moi sans contrainte et surtout tu vas apprendre le judèo/arabe comme tu me l'as demandè.Tes poèsies me fendent le coeur mais surtout ne te fends pas la panse....Je serai comme un pére pour toi et tes chagrins d'amour de jeunesse ne sont rien auprès des miens, je souffre depuis plus de 57 ans d'un mal que je ne te dirais pas, celui de réver que je suis entrain de boire au BB.
ETLFLUTE Merci de ta comprèhension, si tu veux je te donne mon e mail. Tu me sembles très instruit.
Et déjà, je me sens mieux avec tes vers ....à soie...Ahhh... Esdallek yè sahbi ...H...
él canalou elli jè ouni, ehnè bââda hlou kif l'ââssel ou tkhèl él ahbèyèb ehdè.....
Et fluto pourvu que tu tienne le coup, ici..
Albert de la Goulette..