Archive jusqu'au 15/juillet/2003

Discus: Le Petit Théâtre de Breitou: Archives 2003: Archives Juillet 2003: Archive jusqu'au 15/juillet/2003
Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le mardi 15 juillet 2003 - 18h24:

Très Prochainement le P.T.B AU BB.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le mardi 15 juillet 2003 - 17h06:

Doudaillon,
Tel que tu l'écris et le prononce le judèo-arabe , il n'existe pas pour toi.Kellèk tkhalwid.....Viens apprendre les formes grammaticales au lieu d'oeilleter les corps physiques à Antibes. Iyè mtayak Antibes yè Wnessou.. ? Un Suisse des montagnes se peut il qu'il aille bronzer pour devenir couleur chocolat alors que vous êtes les meilleurs dans les petis laits et autres fromages, tu ne vois qu'amelt èl yar....Avec ta casquette à vis...ière et ton tee short imprimè ' La Douda...partage...aime...etc...
ZID énerve les mes amis avec ta phraséologie mta yam cacah...Parle nous de ton corps plongè dans l'eau salèe comment il en ressort...? Mouch khirlèk...:) :) :)
Chnouè Mr Le Web...Il y eu une panne d'essence..naturelle...

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Wnes (Wnes) le mardi 15 juillet 2003 - 00h28:

Yéh Bébert,

Il parait que le Judéo-Arabe n'existe pas, il n'existerait que du Goulettois !ZZZZZ!, transaharien, ou transméditerranéen, ou encore transatlantique, et bientôt transybérien !

Buona note Bello

Wnessou El Douda

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le lundi 14 juillet 2003 - 20h34:

Une Grand-mère pour chacun
et pour tous à la fois

Le judaïsme a une très vieille grand-mère, une aïeule tellement âgée que lorsqu’on dit son âge les autres ne nous croient pas. Elle est surtout demeurée aussi belle et pure qu’à sa création et elle ne tarit jamais de bonté et d’amour pour chacun de nous. Nous sommes si fiers de notre grand-mère que pendant toutes les guerres où les autres voulurent la faire périr, nous l’avons entourée et cachée au grand péril de nos vies. En revanche, elle nous aide à vivre dignement et à aimer la vie, d’autant plus que notre père, Achem, est très sévère et qu’il n’admet pas qu’on lui désobéisse.

Aujourd’hui notre pauvre grand-mère se désole ; elle reste souvent de longues heures sans que personne ne lui rende visite. Elle ne nous en veut pas, mais elle se languit de notre présence. Pourtant, elle ne manque pas de petits enfants, elle en a partout dans le monde, on les compte par milliers, que dis-je ? par millions ! Et puis, il y a ce tout petit pays où elle habite toute l’année, qu’elle protège plus que tout, et dont la population est presque entièrement sa descendance ; mais ce sont ceux qu’elle voient le moins, se plaint-elle, ils passent devant chez elle sans même s’y arrêter ; ils prétextent toujours la guerre, elle aimerait leur dire qu’elle fait tout pour leur venir en aide, mais lorsqu’ils la voient si vieille, il pensent qu’elle ne pourra pas arrêter les bombes de leurs redoutables ennemis, ils la remercient et retournent au combat. Combien sont-ils morts avant qu’elle n’ait eu le temps de les embrasser ?

De plus, elle est triste de constater que, partout sur la terre, si ses « petits » l’évitent c’est parce qu’ils font confiance à ce terrible progrès. Ne savent-ils pas que c’est elle qui l’a engendré ce progrès ? qu’elle est l’avenir de tous ? Mais ce progrès qui se rit d’elle, leur montre des paradis artificiels auxquels il est plus aisé de croire quand on est encore jeune. Et c’est ainsi qu’on peut l’entendre pleurer, chaque fois qu’un de ses petits-enfants l’oublie pour s’amouracher des fioritures que lui tend le progrès. Chaque fois que le progrès lui rend visite parce que, comme chacun, ila besoin d’elle, il lui raconte ses nouvelles prouesses, alors qu’elle les connaît déjà, elle gronde, il promet qu’il ne recommencera plus à détourner les pauvres juifs, il demande pardon, et elle l’enrichit de ses savoirs ;néanmoins, à peine sa porte franchit, il recommence et s’amuse à faire pêcher toute âme crédule qu’il croise. Qu’il est dure ensuite pour Grand-mère Torah de ramener cet égaré à la vérité, tandis que là-haut elle entend Achem qui commence à s’impatienter devant les exploits de cet infidèle trop faible !

Aujourd’hui Grand-mère Torah a reçu quelques visites, bien furtives dit-elle, des visites de ceux qui chaque matin et chaque soir l’honorent de leurs prières. Avec tous ces petits-enfants qu’elle a, elle ne devrait pas s’ennuyer tout de même ! Et pourtant elle se plaint de leur absence ; heureusement qu’Achem les obligent à lui rendre visite une fois par an ! Et pour cela il est intransigeant ! Celui qui se dérobe n’est jamais pardonné et, croyez-moi, il vaut mieux ne pas être celui qui provoque son courroux ! Ce jour, c’est lui qui la choisit, c’est le jour de Yom Kippour, et chacun doit absolument se présenter à Grand-mère Torah sous ses plus beaux atouts. Il y a d’autres jours de fêtes juives et chacun devrait comprendre qu’ Achem est toujours content quand il apprend que ces jours-là on n’a rien fait d’autre que de rester à coté d’elle ; néanmoins certains oublient, d’autres n’ont pas envie, ils ont un week-end avec leurs amis non-juifs, un rendez-vous d’affaires impossible à rater, et tant d’autres obligations en ce bas-monde qui les retiennent !

Encore qu’il ya le Shabbat, elle attend ce jour parce qu’elle sait que sa maison se remplit de plein de gens. Puis c’est encore dimanche, les enfants quittent les cours deTorah, elle reste seule, dans sa belle synagogue. Il reste bien ce vieux grincheux de rabbin pour s’occuper d’elle, mais il est se fait trop vieux pour continuer à écouter des histoires qu’il a entendues tant de fois, et puis il maugrée entre ses dents toute la journée parce qu’il a le souci de ses descendants. En ce monde où les hommes abolissent leur principes religieux poursuivre les voies vides et endeuillées de laïcité, il a peur de voir ses fils enlever leur kippa et ses filles raccourcir leur jupe ; « Garde confiance, lui dit Grand-mère, rien n’est plus puissant en ce monde que l’attachement du juif pour Achem. Et si certains nous quittent, ce n’est jamais pour très longtemps, ils reviennent toujours avec plus de foi et de vérité. »

Mais pourquoine laisse-t-il pas entrer les enfants ? Ils crient trop pendant les prières rétorque-t-il. Les gens viennent se recueillir et prier dans la synagogue et les enfants qui courent de partout s’agitent et perturbent les fidèles. Grand-mère Torah n’est pas de cet avis, elle a tant de choses à raconter à ses petits, tant de belles histoires pour construire leur jeune esprit et pétrir leur mémoire juive ! Alors elle s’est tant plainte qu’Achem a ordonné qu’un jour de l’année, un jour non éloigné de la rentrée scolaire, on fêtera la Torah en offrant des bonbons aux enfants en son honneur. Que de rires ! Que de joie innocente à Simrah Torah !

Ne dites plus qu’il pleurent trop fort, qu’ils jouent trop fort, qu’ils parlent en criant ou qu’ils prient en hurlant ! Dites qu’ils sont le seul regard pur et heureux du juif d’aujourd’hui, le seul espoir du pratiquant de demain. Laissez les entendre les beaux chants de Shabbat et les histoires de leurs aïeux hébreux.Grand-mère Torah est patiente et bienveillante pour chacun de nous et ce n’est pas pour rien qu’elle conseille aux parents de dire le chémah dès le premierjour de vie d’un nouveau-né ; rien n’est plus profondément inscrit en notre mémoire que ce qui s’y grave à comme notre propre genèse, souvenirs indélébiles, souvenirs inconscients qui cimentent la conscience juive.


ATTAL-GUEZ JOYCE
attalguezjoyce@aol.com
Fauchè sur Accueil.
Breitou l 'espion

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le lundi 14 juillet 2003 - 20h18:

Jeanne vous êtes très belle.
Mes textes sont passès avec l'accord de la famille.
Merci Madame.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le lundi 14 juillet 2003 - 20h16:

Jeanne ( Z'L)

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le lundi 14 juillet 2003 - 20h14:

Jeanne, c'est l'enfant de la Goulette..
Jeanne
'......Janet….! Ma chére Janet….! Pourquoi ....! Vous le cacher.....! Vous savez que mes causeries sont lues par votre charmante
fille…?

Oui, la première. Avant publication. J'ai pris sur moi, cette disposition, et elle est bien contente que je le fasse.

C'est un peu comme si je vous parlais. Vous savez, elle me dit que cela lui fait énormément plaisir que je vous rappelle aux
anciens du site….Je ne crois pas déroger à une quelconque bienséance, pourquoi doit on parler que des vivants…..? Et ceux
qui sont là bas, avec vous, n'ont ils pas le droit d'être évoqués….? C'est vrai que dans notre tradition, certaines familles '…I
tzarouzou..;'
( Il rechigne à parler des leurs parents ou proches partis…! ) Ils pensent, peut être à juste raison, qu'ils faillent les laisser en
paix.

Je ne leur fais pas la guerre pourtant….! Je ne sais pas pourquoi d'ailleurs…!

On t 'il seulement le droit de mourir sans les rappeler…? La mort parfois est injuste…Et l'oubli donc…? C'est quoi….? Une
seconde mise en bière…? Non….! Personnellement, j'aime rappeler ceux que nous avons aimé…! Regardez moi, je parle
toujours de ma grand-mère, de mon père et jusqu'à présent, ils ne m'ont rien dit, c'est donc qu'ils sont d'accord….Sinon, ils
m'auraient engueulé…..

Je ne crois vraiment pas enfreindre à cette expression d'amour qui veut que l'on aime son prochain….Vivant et mort. Alors,
vous savez, je continuerai de parler de vous.

Je voulais vous annoncer quelque chose de vraiment beau, mais je ne peux le faire maintenant. Vous serez la première avec
votre fille à le savoir.

Janet….! Je reviendrai parler avec vous. J'ai l'accord de D ieu et de vos enfants.

Janet redites-moi '…Albert …! Albert…! ' Janet.

Je vous rappellerai un de ces quatre matins, votre histoire sur la baignoire...:) :) :)

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le lundi 14 juillet 2003 - 19h46:

Le Theatre est solidaire avec les inter-mitents.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Etflute (Etflute) le vendredi 11 juillet 2003 - 23h39:

A toi enfant du déséspoir
et de l'avenir,
Il faudra que tu ne penses
qu'au futur
au lendemains difficiles
à ta jeunesse
que PERSONNE D'AUTRE QUE TOI
ne peut faire mûrir sous le soleil

Il te faut retourner à tes sources
à tes artistes,à ton alchimie,
à vos écrits, à votre CULTURE

violence extrême du sang
chauffé par des siècles de canicule,

Je pense que le soleil c'est l'énergie;
et la ou il est ,il y a espoir
et non pas des coups de sang déstructeur

la violence ne résout rien,elle est une rage
qui peut être canalisée positivement,
pour retrouver et renouer avec son passé.

Ainsi la construction et l'instruction
est le seul moyen de se bâtir sa maison
et vivre en harmonie avec l'autre, l'étranger .


Merçi harissa.com,quelque chose est né en moi
Merçi à toi Albert pour ce que tu m'a dit
et même si ce n'est qu'un balbutiement
il a porté ses fruits d'éspoir et de projets
car celui qui crée invente non seulement sa vie mais encore à une dose infinitésimale le monde.
et mme si tout cela n'est que rêve, car la réalité doit être créé pour exister,je sors enrichi de ce site .

Lehitraot
Lehitraot

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Etflute (Etflute) le vendredi 11 juillet 2003 - 12h26:

La plage


rivage de tant d'histoires
Amour d'un soir,
lieu sacré
ou tout a commencé.

Ulysse et la douce Calypso,
Jésus marchant sur l'eau,
Amphitrite et sa grotte;
débarquement de bien des flottes,

lieu de philosophie et de religion,
inspirant il y a bien longtemps
des poètes et philosophes;
mer et terre limitrophe.

Sens les quatres éléments,
effleurer,caresser ta peau
Içi n'existe plus le temps,
la mer s'offre au fil de l'eau

Bien des marins l'ont scruté
de loin sur leur bateaux
Espoir et douce idylle mélangés
à la rencontre de la fin de l'Histoire.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le jeudi 10 juillet 2003 - 22h40:

'.....Papa,qu'est-ce que ça veut dire, le mot vice.--Euh!Vice, ça veut dire...euh... Par exemple,si j'allais dormir avec la concierge,ou avec le chien,ou avec l'ane ,eh bien c'est ça le vice... --Ah, bon ! Alors, pourquoi est-ce qu'on m'a nommé vice-president du club des Cadets....'

TTI93

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le jeudi 10 juillet 2003 - 22h21:

AU CAFE DES DATTES....

22:17:17 [titi95] Le petit Issac rentre chez lui,tout content,et il dit àson père: Papa,tusais,j'ai gagné au mois 1euro aujourd'hui...Ah! Oui? Comment t'as fait? J'ai courru après l'autobus.Et au lieu de le prndre, j'ai courru jusqu'au bout!

22:18:50 [titi95] petit idiot dit le père si tu avais seulement courru après un taxi tu aurais gagné dix foix plus...