Archive jusqu'au 06/mars/2006
Discus: Le Petit Théâtre de Breitou: Archives 2006:
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JNAYEN...
J'ai bcp de peine que mes actrices n'ont rien dit et là je vais changer tout mon staff, elles ont désertè le PTB.
J'ai la satisfaction d'être au moins lu par un reconnaissant.
C'est Breitou qui se fait du mourron.
Merci.
Mon ami Albert,
C'est avec un grand plaisir que te lis, et que je souris en te lisant.
Comment fais tu pour avoir autant d'imagination?
Pour la Madone, n'oublie pas que Marie ou Miryam etait juive et est morte juive, elle a sa place sur site comme tout le monde, je ne vois pas pourquoi j'en serais choqué.
Tu ne sait pas que le peuple juif est trés tolerent? voyons cher Albert tu sous estime ton peuple.
En tout cas, succés ou pas, moi j'ai aimé.
Tequila..Tequièro..!' N'a pas eu le succès escomptè, je vais dire au web de l'effacer entièrement sans doute parce que j'ai placarde la madonne. Celà n'a peut être pas plu chez les juifs.
-Taoufiq, tu es toujours au sommet de ton art mon ami. Tu piques loin.
-Jneyen, ici je suis payè pour celà.
Essaye les recettes de Kako.
J'ai l'habitude de partager mon ami.
mieux vaut etre un a sept qu'un pique a sept de 5 a 7 a sete ou un ascete qui a trop bu(un ascete hic!)ou encore un ascete au chomage (ascete dic) ou un ascete minuscule(mini k'ascete)
Merci ALBERT pour ton indication de la rubrique
"KIFFEZ LA CUISINE AVEC KAKO"
Je constate qu'il n'est plus obligatoire de passer par le BB= "BOUKHA BAR", mais en direct au dessous du BB.
Le BB est aussi une rubrique kiffante et interessante.
grace a toi et surtout a ta PUB que j'ai pu la decouvrir.
Encore une fois merci.
20°.
TEQUILA…….. TEQUIERO…. !
A ce moment là, la porte de l’église s’ouvre et on voit apparaître Amédèo.
Il reconnaît sa fille grâce aux photos que lui a montré le padre la veille.
Il avance vers elle, elle qui tourne la tête et les bras ouverts les paumes dirigées vers le ciel.
Il s’arrête à sa hauteur, la relève…
‘…Jé souis ton père Maria…. ! Amédèo…. !’
Conchita ne peut maîtriser ses larmes.
Elle pleure dru.
Elle enlace son père sous la statue de la sainte vierge.
Fin…
Durant le restant de sa vie, Conchita a fait des miracles en soulageant les miséreux par l’imposition de ses mains.
Elle décède à l’age de 89 ans dans son ranch entourée par des milliers de fidèles venus de toutes les contrés du Mexique.
Cinquante plus tard, après sa mort, l’église catholique béatifie Maria del DOLORES sous le nom de MARIA CONCHITA DEL DOLORES del SANTA CROZ.
Fin.
‘…..Téqui…LA…§§§§§§§..A A A AAAAA..§§§§§§…..
TequièEEEEEEEE…ROOOOOO…§§§§§…O O O O O ..§§§§§…
Vérse moi encore à boire…..PaAAAAAA..BLOOOOOOO..§§§§§
Què jé m’ennivre per la ChiquiIIIII..TAAAAAAAAA..§§§…
MuitouUUU……..BOUUUUNIIIIII….TA..///………Del Mato Grosso…..§§§§§....Qué je la matte encore un puoOOOO......§§§§§§§…
MESDAMES, MEDEMOISELLES, MESSIEURS, nous arrivons au terme du récit.
19°
TEQUILA…….. TEQUIERO…. !
EL MIRACOLO…..
8 ans. plus tard.
Un monsieur d’un certain age, habillé très modestement, clopinant d’une jambe, le visage bouffé par une grosse barbe gris-sel , descend d’un autocar dans le centre ville de Mexico , Plazza Pancho Villa.
Il demande au chauffeur du car, le quartier de la Foufouna.
Il le lui indique.
Le vieil homme s’y rend et au bout d’un quart d’heure de marche arrive sur les lieux.
Il ne reconnaît plus l’endroit.
Tout a change. A la place des taudis, des immeubles modernes.
Il déambule dans les rues à la recherche d’une adresse mais en vain, il ne trouve pas.
Las, il se rend à l’église du quartier.
Il pousse le portail. L’église est déserte.
Personne n’est là pour le renseigner.
Voilà que le père Oracio fait son apparition.
‘…Buenos dias Padre… !’
‘…Buenos dias senior… !’
‘…Padre vous êtes ici depouis longtemps… ?’
‘…Ma jé crois té reconnaître….Madre del Dios… ! Tou é le mari de Assunta… ?’
‘…Sé sénior… !’
Le padre prend Amèdèo par le bras et ,nos deux hommes sortent sur la parvis
Ils contournent le lieu saint pour se rendre dans la maison du padre qui juxtapose l’église
Dans le salon, le père Oraccio demande à sa servante de leur préparer quelque chose à manger.
Pendant la collation, le prêtre lui raconte les évènements qui ont suivis après son départ ; la naissance de sa fille, Maria deL Dolorès, la mort de sa femme Assunta, la prise en main de sa fille par la tante et son travail au bar.
Amédèo écoute attentivement le vieux padre tout en essuyant ses larmes.
Il lui raconte à son tour son incarcération dans des conditions effroyables dans la sordide prison de EL CACHOT en Argentine où rares furent les hommes qui y ont survécus.
Sa libération, il la doit au changement de régime.
La junte fut chassée.
‘…Où habitent t’ils padre… !’
‘…Ecoute Amèdèo, tu peux rester là pour passer la nuit. Demain c’est dimanche, ils seront là dés la première heure alors ne te fais pas de souci pour ce soir, demain tu les verras…. !’
‘…Graziè Padre… !’
La nuit tombe.
Amédèo est logé au premier étage pour y passer la nuit.
Au petit matin, le Padre se rend à son église pour préparer sa messe.
Laissant son hôte, bien fatigué dormir.
Vers les 10 heures du matin, la famille Breitounos accompagnée par ses enfants, sa belle- fille Maria Dolorès del Amore et de Pedro son aîné, descendent de leur voiture.
L’église est pleine à craquer.
La famille va s’asseoir au premier rang.
Le Padre est début derrière son autel.
Il regarde Conchita et lui sourit.
Elle lui retourne son amabilité tout en se signant.
La liturgie commence sous l’odeur des encens et de la petite chorale.
Une grande ferveur remplie l’espace saint.
TANGO DELLA SANTA MARIA DEL SETTE DOLORES.
Maria prit en silence tout en serrant dans ses paumes son chapelet dédiée à sa sainte préférée.
Soudain, elle remarque que la sainte vierge lui sourit.
Maria n’en croit pas ses yeux.
Elle re-fixe les yeux de la sainte et le miracle se renouvelle.
Elle fait un signe avec son coude à son mari.
‘…Qu’est ce qu’il y a … ? ‘ Chuchote t’il.
‘…Regarde .. !’
Elle désigne par son regard la sainte.
Il ne voit rien et pense que sa femme a des lubies.
La sainte lui sourit toujours auréolée d’un halo de lumière.
Maria se lève et se met à genoux devant l’autel devant le père surprit.
Elle redouble sa prière sans lâcher des yeux la statue .
Elle est comme hypnotisée la Maria del Dolores par ce miracle dont elle est la seule témoin.
Elle ressent quelque de chaud qui lui parcourt le corps.
Elle ouvre ses mains et voilà qu’une sueur coule par ses paumes en abondance sur le sol.
Les fidèles sont surpris par le spectacle qui s’offrent à leurs regards.
Le prêtre bien silencieux comprend que quelque chose d’imprévue se passe sous ses yeux.
Les prières sortent par la bouche de Maria, avec une telle ferveur, que certaines d’entres elles ne sont pas connues dans la liturgie.
Elle consent à parler presque en chuchotant.
‘…Qué m’annonces- tou mère de Jésus… ?
Toi qué a le cœur transpercé par la douleur… ?
Annonciatrice dé bonnes nouvelles.. !’
L’assemblée écoute en silence ce dialogue entre la sainte et Maria del Dolorès.
‘ ….Qué ton nom soit sanctifié pour des siècles et des siècles … !’
Elle irradie de bonheur et certains fidèles pensent voir la Maria des Dolores La Conchita auréolée d’un halo de lumière.
A Suivre…et Fin.
18°
CONCHITA … ! TEQUIEROOOO….OOOOOO… ….!
Conchita, sa femme reprend.
‘…J’Ha…biIIIIIIItAIS lé quaAAArtierOOO… del la FoufouNAAAA….aaaaaAAAAAAAAAA……§§§§
La farfalla qué passé dans les bras des todoOS.. .
les Hombres bien grasSSSS.§§§§.. ‘Sombres Héroooooos’ vétou d’un PannCHOOOO..§§§§§
Et què rotent l’alcooOOOLLL
Commè des grélots par leurs narines dé veauUUx..§§§.///
AUTREFOIIIIIS sur Mes LOLOOOOSSS…. ……….…§§§§§§
L’instant est magique.
TANGOOOOOOOOOOOOOOOO§§§§§§
PA.PAPA…PAPAPAPAPAPAPAPAAAAAAAAAAAAAaaaa..§§§§§§
Pablo reprend…
‘….Elle passé dé tables en taAAAAAAAbles..§§§§§..
Avec un plat haut à la main la MADAMAAAA….. §§§§§§§
Et jé né la regAAAAAAAAAAAAArde plou
Avec mes yeux d’jalouUUUx..///
Son reGARDDDDDDDDDDDDDDD…Dé vélours me rappelle depuis…..§§§……////..Ma CONCHITAAAAAAAAAAAAAAAAAAA……..MIA AMORE……….OLLLLLLLLLLLLLLLLLéééééééééééé…..
Pedro le fils et Maria del Amore la fille sont face à face à présent.
Il l’enlace, elle se laisse faire..
Et là ils entament un pas de tango….
TANGOOOOOOOOOOOOOOOOOO…..DEL MATRIMONIO….§§§§§}
Pedro reprend…En la fixant dans les yeux..
‘….Jé bois rien que pour la voiIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIr….//./§§§
Et j’n’ose pas loui caresser son beau visage…..Pablo…§§§§§
‘Comé né l’é fant’ pas .///… tous ces Mexi..CANOSSSSSSS….….….§§§§§§
Un soir, je loui…… DIIIIIIIirai…§§§§§./// hi hi hiiiiiii ..§§§§§
‘…ConchitaAAAAAAAAAAA…. ! TéquièrOOOOO..§§§§§…….OOOOOOOOOO….
La jeune fille..
‘…Sénior , prend encore oun téquilàAAAA….ca va tè rafréchir l’esprit Laaaa..///§§§§§…..
Ma qui té tou é toiIIII…§§§§§.. Pour me dire des Choses LaAAA…..…. ! §§§§§§
Sous le regard des parents.
‘….Jé né peu que mé taiiiiIIIIIIIre….. §§§§§
Ma jé ne mè pas à boiIIIIIIre……./////
Jé ne vè pas laissè poussé mes moustaaaaaches et jé fOuMMMMerai pas lé cigarilloOOOs
Del’ Havane dé COUPS….BAAAAAA….§§§§§.////
Pablo danse avec Conchita, la femme de Breitounos.
Tandis que Breitounos va se servir oun téquila.
Toute la troupe….
‘…..Téqui…LA…§§§§§§§..A A A AAAAA..§§§§§§…..
Tequiè…ROOOOOO…§§§§§…O O O O O ..§§§§§…
Vérse moi encore à boire…..PaAAAAAA..BLOOOOOOO..§§§§§
Què jé m’ennivre per la ChiquiIIIII..TAAAAAAAAA..§§§…
MuitouUUU……..BOUUUUNIIIIII….TA..///………Del quartièro délla Foufouna……..§§§§§....Qué je la matte encore un puoOOOO......§§§§§§§…
Plus tard, Pedro et Maria de Amore convolent en justes noces.
A suivre…
17°
CONCHITA … ! TEQUIEROOOO….OOOOOO… ….!
TANGO DELLA RECONSILATIONE
‘…TequilaAAAA…. ! .////
TequièroOOOOOOO….///……..Jé m’appelle ConchitaAAAaaaa… ..////…
Jé souis née dans le quartièro della Foufouna…
On dit que je souis belle…….Mais voilà je souis povera
Jé ne souis pas oun fille de la rou……………Je souis humble surtout… !!!
A ce moment là , une très belle jeune fille portant un sombrero descend du premier étage.
Elle s’arrête au milieu des marches.
Pedro Juan pose son regard sur elle.
Il est subjugué par sa beauté.
Il avance d’un pas vers elle.
Elle descend d’une marche.
Pablo continue..
Les danseurs évoluent sous un jeu de lumière qui allie la pénombre et la luminosité suivant l’émotion qui se dégage de la chanson.
‘…Oune histoire qué né finie jamèEEEEEEEEE…
QuiIIII vient mé rappellèEEEEEE tand de souffrance… !
Regarde là PeEEEE..EEEEEEE..droOOOOO, ma CONCHITA MARIA DEL AMOOOOOOO….OOOOOOORE…§§§§
Jé nè plou qu’elle dans ma vie pour tenir mEs vieux jourRRRRRs…§§§§
E jé prie lé SégnOR chaque moment pour l’avoir grandir heureuUUUUUUUUse..§§§§§
Il avance d’un autre pas.
Elle descend une autre marche.
La dans un coin de la scène on voit apparaître Breitounos et sa femme Conchita Del quartièro del Foufana…
Ils avancent vers lui.
Pablo est surprit d’entendre…
‘…..Téqui…LA…§§§§§§§..A A A AAAAA..§§§§§§…..
Tequiè…ROOOOOO…§§§§§…O O O O O ..§§§§§…
Vérse moi encore à boire…..PaAAAAAA..BLOOOOOOO..§§§§§
Què jé m’ennivre per la ChiquiIIIII..TAAAAAAAAA..§§§…
MuitouUUU……..BOUUUUNIIIIII….TA..///………Del Mato Grosso…..§§§§§....Qué je la matte encore un puoOOOO......§§§§§§§…
A Suivre…
16°
CONCHITA … ! TEQUIEROOOO….OOOOOO… ….!
TANGO DES RETROUVAILLES
Girellas entre-temps a eu un bébé ;une fille qu’elle nomme MARIA DEL AMORE.
Elle s’enfuit et laisse sa petite fille à Pablo qui va l’élever.
Les années ont passe. 20 ans.
Maria del Dolores et Breitounos sont mariès.
Le couple à trois enfants.
Deux garçons. Pedro Juanito 15 ans. Josè-Amédèo 12 ans et Assunta -Rosa 3 ans.
La famille habite un ranch à 25 km de Mexico ‘ …. L’ESPERANDO…..’
Elle est très pieuse.
Elle va tous les dimanches à la messe du vieux padre Oracio à son église en signe de reconnaissance
pour ce qu’ à fait c dernier pour elle et à sa maman.
Elle est surtout très charitable envers les pauvres.
7 ans plus tard. Un matin.
Un cavalier met pied à terre.
Il se dirige vers le fameux saloon. HARISSAS BAR.
Il pousse le battant de la porte.
Tous les regards se posent sur lui.
Il est très beau.
Une allure noble.
Il demande le patron.
‘…Jé vé parlé au senior Pablo… !’
‘…Buenos dias senior.. !’
‘…Tou é Pablo…. ?’
‘…Si sénior… !’
‘…Ca fé dé années que jé réve de te rencontrer vieille os.
Tou né mé reconnais paAAAAAAAss../////…Mais jé vè té rafraichir la mémoire… !
Jé souis….
Pablo en chantant.
‘..Tou résseEEEEEEmble..§§§§..
A quelqu’un qué jé connoOOOOOOu …..AutréfoIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIis …..
A moins que jé mé troOOOOOOmpe encore oune foiIIIIIIIIIs ,
Tes yeEEEEEEEEux…..§§§§§…MMMMmmmm… Me pAAAarlent , ton regard né mé point incounoOOOOu, jé pense qué tou éEEE\-2 {eeeee…}§§§§§
‘…PEDRO JUAN BREITOUNOS …..Le fils de Maria Conchita Del Dolores… !’
Les danseurs se lèvent et vont au fond de la scène.
Les lumières se font discrètes.
Pablo.
‘…DoOOOO…..
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loOOOOOOOOOOOOOre……dOLOREEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE
SoffraAAAA../////….AAAAncAAAAA..///§§§§§§§§§§§ SoffraAAAAAAAAAAnCAAAAA..§§§§§§§…TANGO…..MMMMMmmmmmmMMMMMMMMMM…..mmmmmmm…MMMMMM….§§§§§…
MaAAA pourquoOOOOOi lé déstin vient encore une foiIIIIIIIIs mé gifleEEEEr, j’ai pourtant demande à dios dé me rappeleeEEEEr…….. MA.////….
Sans doute…………..Il né vé pas que jé vienne près dé louIIIIIIi…… A cause de tous ces gringos qui vont rester sans ma téquila frelatèEEEEEEe…§§§§…
Jé ne jamaiIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIs oubliè’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’
Ta maman Maria Conchita Del DoloOOOOOO..OOOOOO…OOOOO….res regarde sa photo est accrochée…..Au dessus de ma têEEEEEte…./////…..
A suivre….