Archive jusqu'au 21/août/2003

Discus: Le Petit Théâtre de Breitou: Archives 2003: Archives Aout 2003: Archive jusqu'au 21/août/2003
Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Printania (Printania) le jeudi 21 août 2003 - 18h45:

Monsieur le Directeur du P.T.B.
Ayant appris la mésaventure qui vous est arrivée, je m’empresse de rejoindre mon poste, pour assurer la pérennité de votre théâtre.
Quelle idée d’aller batifoler dans des pays inconnus, pour revenir avec une « Turista » à la suite d’une consommation excessive de piments forts et d’eau polluée !
Notre service de presse, spécialiste en indiscrétions, nous a informé que vous avez fait appel, en urgence, à des services médicaux, vous n’arriviez pas à évacuer le trop plein.
Il semble que tout soit rentré dans l’ordre, à notre grande satisfaction.
L’enfileur de perles, plagiat du fameux opéra de Georges Bizet, « Pécheurs de perles », vous conseille néanmoins de vous abstenir de couscous-boulettes, ce vendredi.
Quant à lui, vivant dans des régions plus civilisées, il s’octroie son huitième de Boukha bien glacé, en guise d’apéro.
Mon cher Directeur, vous remarquerez que vous n’avez pas les mêmes valeurs.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le jeudi 21 août 2003 - 08h54:

Enti l'escroc yè Douda...!

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le mercredi 20 août 2003 - 22h24:

CAUSERIE AUJOURD'HUI AVEC JANET. ….VII

CELA FAIT CINQ MOIS QUE JANET NOUS A QUITTE.

A ceux qui n'ont pas connu Janet (Z'L). Elle avait 69 ans quand elle nous a quitté, quand D ieu dans sa grande miséricorde l'a rappelle à lui un certain jour du 14 Mars 2003. Elle se savait malade depuis pas mal de temps mais elle espérait comme tout un chacun 'sauver sa peau' un miracle comme on le dit. Elle écrivait souvent ici des récits drôles et même des remarques virulentes qui ont touché bien plus d'un. On l'avait nommé Janet la Critique 'Echbighè wèl yar'. Sa critique acerbe n'a épargné personne, souvent fondée au grès de son humeur au point de voir quelques-uns uns d'entre nous, vous taxer 'd'empêcheuse de tourner en rond' alors que nous tournions tous en rectangle.


'…A cet e –mail de vous……..

'Albert….! Vous m'avez infligé une 'Triha' ….'!

Si vous savez combien j'en ai ris de ce mot, cela m'a rappelle ces anciennes femmes d'avant qui donnaient des ' Trihat ' par le geste et la parole, à celles qui leur manquaient de respect; lors de joutes de toutes sortes. Je ne savais plus sur quel pied danser avec vous, un soir j'étais votre meilleur écrivain et le matin, je devenais un petit personnage miteux sans grande valeur.

J'étais vraiment déstabilisais en vous lisant, et je crois que par moment vous le faisiez exprès rien que pour voir si j'allais vous répondre convenablement ou bien me taire. Je vous ai affronté et vous ne supportiez pas cela, vous vouliez avoir toujours le dernier mot à tord ou à raison.

'…Albert, vous n'entendrez plus parler de moi…!' Un chantage de plus qui vous démentez la semaine suivante.
Bref Elli fèt mét…

Je vous trouve formidable sur la photo du jardin. Quelle allure, quelle noblesse, et raffinement. Une femme de goût qui aurait pu inspirer un peintre. Comme moi :) :) :) . Il y a quelque chose qui rayonne en vous, une force de caractère prête à affronter les plus têtus. Têtues. Et aussi une grande persuasion qui frise la rébellion contre tout ce qui peut vous paraître tordu. Vous aviez le sentiment de détenir la vérité. Vous y êtes à pressent….!'

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le mercredi 20 août 2003 - 22h21:

Le Petit Théâtre de Breitou, s'est enrichi de romans, nouvelles, sketch, opéras et scénetes. Tout au long de l'année vous lirez, si D ieu veut, indépendamment des dialogues, ouverts sur tous les sujets, et ballout, ces nouveautés et tant d'autres anciennes que je n'ai pas encore publié et qui dorment dans les archives du P.T.B. Mais pas publiés. D'anciens textes, choisis vous rappelleront aussi nos mémoires.

Un festival d'une semaine est programme, pour le mois de décembre, à l'occasion d'un grand évènement. Avec le concours de mon ami Printania, s'il tient le coup. Histoires drôles, poèmes etc….animeront vos soirées car tel est le but du P.T.B le théâtre populaire.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le mercredi 20 août 2003 - 22h19:

Madame Axelle, suite 'aux pérroqueries' dont vous m'entretenez, vous avez bien raison de ne point comparer nos chers députès à des perroquets.Mais,je suis d'avis à les comparer plutôt à des singes. Cette éspèce qui attire foule dans les zoo, trouverait non sans mal nos ronds de cuir aussi grimaçants que sont nos précurseurs. Oui et si l'hémicle se transformerait en cage d'ourang-outang et autres oustitis....? Celà renfloura les caisses de l'assemblèe. Pour ce fameux perroquet fleuriste, l'idèe est géniale, je vais la piquer pour en mettre un pour ma fidèle clientèle de couleur, je lui apprendrais' Devenez blancs' à moindre prix et de leur offrire, une savonette 'Mont-Blanc'.:) :)

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Wnes (Wnes) le mercredi 20 août 2003 - 00h38:

La Douda ( Hak El Ouet International Tracking Station )

Enquête très sérieuse sur un Grand Escroc Goulettois :

Commentaires du Ftileur : Reprise des hostilités !

Un certain banquier véreux Jules Lascar alias Bébert de Hak El Ouet, récemment évadé de l'Île Chikly, qui pour échapper aux recherches de l'inspecteur Boulakia, se fit engager comme gardien de nuit et homme à tout faire chez Madame Babani, dont le magasin est spécialisé dans la vente de pérruqueries et de pérroqueries.

Petit à petit. " Bébert" gagna la confiance de son employeuse et se propose de faire fructifier son capital. Encouragée par des premiers résultats spectaculaires, Madame Babani laisse bientôt au trop fameux Bébert le soin de prendre en main les destinées de son entreprise. Avec l'aide d'un petit escroc, dénommé ZgouGou.

L'ancien banquier se retrouve bien vite à la tête d'un nouvel empire économique qui, sous couvert de vendre des accessoires pour cuir chevelus, pratique toutes sortes d'opérations plus ou moins légales allant même jusqu'au trafic d'armes, à la falsification de match catch, aux paris clandestins, et au dopage de catcheuses.

Mais tout le monde semble satisfait, à commencer par Ftata et Nouchette, le fils et la belle-fille de Madame Babani, qui vivent désormais sur un grand pied. Emporté par son élan. Notre triste sir crée une nouvelle banque dont les Babani seront les principaux actionnaires. Cependant, l'émission d'une série d'actions sur d'hypothétiques " mines d'or du Djebel Rhsas " risque soudain d'acculer la nouvelle banque " Bébert " à la faillite.

Qu'importe ? Le Sieur Bébert se dénonce à la police : de cette manière, ses actions vont tomber au plus bas. Il ne lui restera plus alors, avec l'aide de ZgouGou, qu'à les racheter à vil prix tandis qu'il purgera dans sa cellule de l'Île Chikly le dernier mois de sa peine, fortune faite Zekch !


Wnessou El Douda

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le mardi 19 août 2003 - 08h24:

Excusez Moi Madame Axelle, je ne savais pas comment présenter mon Roro, et ce coquin est allè se poser contre mon grè sur ce perchoir, quoique son choix ne m'ait point déplu...:) :) :)
Je vous présenterai bien plus tard, mon âne Apolo, j'éspère qu'il saura où ce poser celui là...:) :) :) Je lirai ce soir votre histoire...Le travail m'attend.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Axelle (Axelle) le mardi 19 août 2003 - 01h23:

Cher Monsieur Albert,

Super le perroquet sur les délicates fesses de notre baigneuse ... oh ! Monsieur Albert ! Vous m'aviez caché ce côté coquin de votre personnalité ! Mais, j'adore ...

Une histoire vraie de perroquet.

L'autre jour, mon mari et moi-même sommes invités à une soirée chez des amis. Dans la journée, je décide d'aller acheter un très beau bouquet de fleurs pour la maîtresse de maison.
Je me rends donc chez mon fleuriste et lui commande un beau bouquet de fleurs. Il me dit, passez le chercher dans la soirée comme cela il restera au frais étant donné la chaleur qu'il faisait. Puis, il me donne le montant de cet achat. Je sors mon porte-monnaie et je lui tends les billets et j'entends derrière moi " quelqu'un me dire : " et moi ! ". Je vois mon fleuriste éclater de rire ! Je me retourne et je vois dans une belle cage un magnifique perroquet me regarder du haut de son perchoir et ne cesser de me répéter : " et moi ! ". Je m'approche, je le regarde et je lui dis : " que veux-tu ? " et bien croyez-moi, Mr Albert, il me répond : " de l'argent ! J'avais tout vu et tout entendu, mais, là alors, j'en suis restée la bouche ouverte ...
Le fleuriste m'a tendu un billet et m'a dit donnez-lui il va vous remercier ! ce que je fais, et notre perroquet national me dit : " merci fillette !!". J'ai répondu au fleuriste, je crois qu'avec ce phénomène votre chiffre d'affaires va augmenter rapidement. Il m'a dit, en effet, certains viennent par curiosité et repartent avec des fleurs ! Voilà une magnifique manière de faire prospérer le commerce.
Mais dites-moi, Mr Albert, nos chers députés, bavards comme des perroquets, que faudrait-il pour les faire taire à l'Assemblée Nationale ?
Car, quand ils ne dorment pas dans l'hémicycle, dès qu'ils se mettent à parler c'est nous qui dormons !! Car, pour se qu'ils disent ... Je ne vois pas les choses changer !
Finalement, il faudrait y amener le perroquet de mon fleuriste, je suis certaine, que personne ne dormirait devant cet orateur ! Et, qui sait, il trouverait peut-être des solutions pour nous tirer de ce merdier ( oh ! pardon ) dans lequel le pays se trouve actuellement ... Qu'en pensez-vous ?
J'adore les animaux, et quand je peux raconter des histoires les concernant, je ne m'en prive pas. Ils sont si drôles ...

Bien à vous et j'attends vos " perroqueries " !
ne cherchez pas dans le dico, c'est nouveau, ça vient de sortir ... Je vais proposer ce nouveau mot à ces Messieurs de l'Académie Française ...

Bien à vous. Votre incorrigible ...

Axelle.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le lundi 18 août 2003 - 23h49:

Le texte de Maitre Isabelle Tahar Miller, est un bout de sa mémoire qu'elle raconte comme n'importe quelle personne censèe qui a vécu son enfance dans le pays où il ou elle est nè.

Mentir sur son vécu apparaitrait à ses yeux et aux notres, comme une manifestation érronèe de son vécu.

Quand au mot 'MEHABOUNECH' et bien Madame, il est aussi vrai que ma grand-mère me le rapportait assez souvent..A tord ou à raison.

Et d'ailleurs, en quoi celà a t'il vraiment changè aujourd'hui...? Citez moi quelques exemples concrets...?

Non...! Madame, je m'excuse 'El youd hattè ouhèd mé i habèm...' C'est comme ça , on appelle ca 'Une dawè..!'Une malédiction qui trouve sa source dans les confins de la bétise et dans l'ignorance.

Je viens d'arriver de Tunis, et la tradition veut que je pèlerine à la Goulette.

Un vieux monsieur édentè, chapeau en tête et pour cause, presque brulè par le soleil, s'approche de moi et me dit alors que je ne le connais pas ' MELLI MCHITOU MEL BLED OU FET HAQUELOUED...! 'Je me suis mis à sourire...! Que pouvais je faire d'autres maintenant qu'on n'y est plus SANA....

Je vous souhaite le bonsoir, Madame.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le lundi 18 août 2003 - 21h57:

PIQUE SUR ACCEUIL....

LES YEUX DE L AME.


Deux hommes, tous les deux gravement malades, occupaient la même chambre d'hôpital.

L'un d'eux devait s'asseoir dans son lit pendant une heure chaque après-midi afin d'évacuer les sécrétions de ses poumons. Son lit était à côté de la seule fenêtre de la chambre.

L'autre homme devait passer ses journées couché sur le dos.

Les deux compagnons d'infortune se parlaient pendant des heures.

Ils parlaient de leurs épouses et de leurs familles, décrivaient leur maison, leur travail, leur participation dans le service militaire et les endroits où ils avaient été en vacances.

Et chaque après-midi, quand l'homme dans le lit près de la fenêtre pouvait s'asseoir, il passait le temps à décrire à son compagnon de chambre tout ce qu'il voyait dehors.

L'homme dans l'autre lit commença à vivre pour ces périodes d'une heure où son monde était
élargi et égayé par toutes les activités et les couleurs du monde extérieur.

De la chambre, la vue donnait sur un parc avec un beau lac. Les canards et les cygnes jouaient sur l'eau tandis que les enfants faisaient voguer leurs bateaux, modèles réduits.

Les amoureux marchaient bras dessus, bras dessous, parmi des fleurs aux couleurs de l'arc-en-ciel. De grands arbres décoraient le paysage et on pouvait apercevoir au loin la ville se dessiner.

Pendant que l'homme près de la fenêtre décrivait tous ces détails, l'homme de l'autre côté de la chambre fermait les yeux et imaginait la scène pittoresque.

Lors d'un bel après-midi, l'homme près de la fenêtre décrivit une parade qui passait par là. Bien que l'autre homme n'ait pu entendre l'orchestre, il pouvait le voir avec les yeux de son imagination, tellement son compagnon le dépeignait de façon vivante.

Les jours et les semaines passèrent.

Un matin, à l'heure du bain, l'infirmière trouva le corps sans vie de l'homme près de la fenêtre, mort paisiblement dans son sommeil.

Attristée, elle appela les préposés pour qu'ils viennent prendre le corps.

Dès qu'il sentit que le temps était approprié, l'autre homme demanda s'il pouvait être déplacé à côté de la fenêtre.

L'infirmière, heureuse de lui accorder cette petite faveur, s'assura de son confort, puis elle le laissa seul.

Lentement, péniblement, le malade se souleva un peu, en s'appuyant sur un coude pour jeter son premier coup d'oeil dehors.

Enfin il aurait la joie de voir par lui-même ce que son ami lui avait décrit. Il s'étira pour se tourner lentement vers la fenêtre près du lit.

Or tout ce qu'il vit, fut un mur !

L'homme demanda à l'infirmière pourquoi son compagnon de chambre décédé lui avait dépeint une toute autre réalité.

L'infirmière répondit que l'homme était aveugle et ne pouvait même pas voir le mur. "Peut-être, a-t-il seulement voulu vous encourager ?", commenta-t-elle.

Épilogue ...

Il y a un bonheur extraordinaire à rendre d'autres heureux, en dépit de nos propres épreuves.

La peine partagée réduit de moitié la douleur, mais le bonheur, une fois partagé, s'en trouve doublé.

Si vous voulez vous sentir riche, vous n'avez qu'à compter, parmi toutes les choses que vous possédez, celles que l'argent ne peut acheter.

Aujourd'hui est un cadeau.

C'est pourquoi il s'appelle le ...Présent.

( Auteur Inconnu )

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le lundi 18 août 2003 - 21h32:

le match est au programme pour la rentrèe, j'attends mon ami qui peche des guimbres au canal de la Goulette....En attandant je peaufine...

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le lundi 18 août 2003 - 19h46:

Wnessou lazziz comme je t ai langui yè baba rien pas même te perles ne nous séparerons, mais essaye de les diluer un peu , juste pour deux ou trois semaines....loll