Par Maxiton (Maxiton) le dimanche 24 août 2003 - 14h16:

Breitou l'aaziz, il fallait me demander les numéros du loto
ou l'arrivée du Messie

Ci-dessous la traduction demandée (Un grand merci à
Mademoiselle ATTAL de l'Alliance israelite !! )
Et un en prime un échantillon de ce que pense et écrit
Daniel Pipes. Et maintenant il à l'oreille de Dableiou

C'est long. Tant pis pour la sieste et les glibettes
1) Traduction
Daniel Pipes un important spécialiste de l’Islam et du
Proche-Orient donne des palpitations à l’Administration,
mais il aura un siège à ‘Institut pour la Paix, avant que les
Sénateurs ne soient rentrés après le Labor Day

A l’annonce de sa nomination par la Maison Blanche, il se
rendit compte à sa grande surprise qu’outre l’opposition
farouche de démocrates tels : Ted Kennedy, Tom Harkin,
et Chris Dodd, de nombreux républicains menacèrent de
faire faux-bond le jour du vote confirmant sa nomination.

C'est pour cette raison que l’administration décida de
confirmer Daniel Pipes dans ses fonctions durant les
vacances d’Août, de manière de prendre le Sénat de court.

Le refus de Pipes de renoncer à ses positions radicales, lui
a valu quantité d’opposant respectables et respectés. En
premier le Conseil chargé des relations de l’Islam, ( CAIR )
une association islamique, ayant manifesté son soutien aux
actions terroristes. Ted Kennedy, Harkin, Dodd et autres
opposants et non des moindres se sont joints au CAIR
dans sa tentative de faire échec à sa nomination

Fort heureusement Pipes avait le soutien de Karl Rove,
Elliott Abrams et Condoleezza Rice – il avait même le
soutien tacite de Colin Powell.

Pipes prend sans aucun doute des positions très
controversées, ainsi que le clament ses adversaires, et
même l ’Administration admet que parfois il ‘’ pousse le
bouchon très loin ‘’

Mais la Maison Blanche soutiendra Pipes malgré les
difficultés. Le Cair et les democrates de gauche firent leur
possible pour créer des ennuis, et Pipes n’était pas homme
à faciliter les choses,

‘’ Quand il s’agit des relations américano-séoudiennes, la
Maiison Blanche, devrait s’appeler plutôt ‘’ La Tente Blanche
‘’ écrivait Pipes dans l’édition hiver 2002-2003 dans une
revue

Deux semaines plus tôt Pipes écrivait dans « Jérusalem
Post ‘’ :
Deux anciens employés du CAIR Bassem Khafagi et Ismaël
Royer, ont été recemment arrêtes sous l’inculpation de
terrorisme… Malgré cela le Gouvernement US a largement
agrée le CAIR comme représentatif de l’Islam ''

En fait Pipes conteste régukièrement la liste des invités de
la Maison Blanche

En novembre 2002 il écrivait : La Maison Blanche ne devrait
pas inviter des laudateurs du régime de Bagdad à ses
receptions. Mais elle accueille bien volontiers des militants
islamiques à l’occasion de festivités au moment du
Ramadan

'' Pour quelle raison La maison Blanche se donne-t-elle tant
de mal pour quelqu’un de pas particuluèrement amical ? ''

Pipes a souvent insinué, suggéré, et parfois ecrit carrément
que la Maison Blanche étaiy entre les mains des
Musulmans, et les groupes d’intêret les représentants et le
faisant avoir

Sa nomination à l’ Institut ( comité ? ) pour la Paix, malgré
les sérieuses oppositions des groupes cités plus haut et
considérant son refus de modérer son message, fait
deviner dans quel sens l’ admisistration envisage son
action future


Un article de Pipes

La malédiction du statut de réfugié
by Daniel Pipes
New York Post
August 19, 2003


Original English Item: The Refugee Curse


Voici une devinette : En quoi les réfugiés palestiniens sont-
ils différents des 135 millions d'autres réfugiés du XXe
siècle?

Réponse: Dans tous les autres cas de figure, la peine
causée par l'expropriation, la privation de patrie, et la
pauvreté a diminué avec le temps. En fin de compte, les
réfugiés soit ont été réinstallés ailleurs, soit sont retournés
chez eux, ou sont morts. Leurs enfants – qu'ils vivent en
Corée du Sud, au Vietnam, au Pakistan, en Israël, en
Turquie, en Allemagne, ou aux Etats-Unis – ont abandonné
le statut de réfugié et ont intégré la condition commune.

Ce n'est pas le cas des Palestiniens. Chez eux, le statut de
réfugié se perpétue, d'une génération à l'autre, créant un
terrain générateur de plus en plus d'angoisse et de
mécontentement.

Plusieurs facteurs expliquent cette anomalie, mais la
composante-clé de cette situation est la structure
bureaucratique des Nations unies. L'ONU a deux
organisations spécialisées dans les problèmes des réfugiés,
chacune ayant sa propre définition du "réfugié":


Le Haut-Commissariat de l'ONU pour les Réfugiés (U.N.
High Commission for Refugees) applique ce terme, partout
dans le monde, à quiconque "vit en dehors du pays dont il a
la nationalité, par crainte – fondée – d'être persécuté". Le
fait de vivre hors du pays dont on a la nationalité implique
que les descendants des réfugiés ne sont pas des réfugiés.
Les Cubains qui fuient le régime de Castro sont des
réfugiés, mais ce n'est pas le cas de leurs enfants, nés en
Floride, qui sont privés de la nationalité cubaine. Les
Afghans qui fuient leur patrie sont des réfugiés, mais pas
leurs enfants, qui sont nés Iraniens. Et ainsi de suite.
L'Agence de Secours et d'Actions de l'ONU (U.N. Relief and
Works Agency, UNRWA), organisation fondée, en 1949,
uniquement pour les réfugiés palestiniens, définit ces
derniers différemment de tous les autres. Ce sont des
personnes ayant habité en Palestine "entre juin 1946 et mai
1948, et qui ont perdu leurs deux maisons et leurs moyens
d'existence en raison du conflit arabo-israélien de 1948".
Fait particulièrement important : l'UNRWA étend le statut de
réfugié "aux descendants des personnes qui sont devenues
des réfugiés en 1948". Cette organisation considère même
les enfants d'un parent palestinien de réfugié, comme étant
des réfugiés.


La définition du Haut-Commissariat fait disparaître la
population des réfugiés au fil du temps; celle de l'UNRWA
l'accroît sans limite. Appliquons chaque définition aux
réfugiés palestiniens de 1948, qui, d'après les statistiques
onusiennes (gonflées) atteindraient le nombre de 726.000.
(Les évaluations des experts vont de 420.000 à 539.000.)


La définition du Haut-Commissariat limiterait le statut de
réfugié aux 726.000 d'entre eux alors en vie. Selon un
démographe, environ 200.000 de ces réfugiés de 1948
vivent encore aujourd'hui.
La définition de l'UNWRA inclut les enfants des réfugiés, les
petits-enfants et les arrière-petits-enfants, y compris les
Palestiniens qui ont abandonné leurs maisons en 1967,
l'ensemble atteignant, par cumul, 4,25 millions de réfugiés.


Les 200.000 réfugiés correspondant aux critères de la
définition globale représentent moins de 5 pour cent des
4,25 millions correspondant aux critères de l'UNRWA. Selon
les normes internationales, ces 95 autres pour cent ne sont
pas du tout des réfugiés. En conférant faussement le statut
de réfugié à ces Palestiniens qui n'ont jamais fui nulle part,
l'UNRWA condamne un peuple créateur et entreprenant [les
Palestiniens] à une vie d'exclusion, d'apitoiement sur soi et
de nihilisme.

Les politiques des gouvernements arabes ne font donc
qu'empirer la situation en maintenant des Palestiniens
enfermés dans le statut, fossile en quelque sorte, de
réfugié. Au Liban, par exemple, 400.000 Palestiniens
apatrides ne peuvent fréquenter l'école publique, ni accéder
à la propriété, ni même améliorer leur parc de logements.

Il est grand temps d'aider ces générations de non-réfugiés
à échapper au statut de réfugié pour qu'ils puissent devenir
des citoyens, assumer leurs responsabilités individuelles et
l'édification de leur avenir. Le mieux pour eux serait que
l'UNRWA ferme ses portes et que le Haut-Commissariat de
l'ONU absorbe le nombre décroissant de véritables réfugiés
palestiniens.

Cela ne se produira que si le gouvernement des Etats-Unis
reconnaît le rôle joué par l'UNRWA dans la perpétuation de
la misère palestinienne [1]. Dans un esprit peu judicieux
"de profonde implication dans le bien-être des réfugiés
palestiniens", Washington assume actuellement 40 pour
cent du budget de l'UNRWA's, qui s'élève à 306 millions de
dollars par an, alors qu'il devrait être réduit à zéro.

Heureusement, le Congrès américain se réveille. Chris
Smith, un membre républicain de la Commission des
Relations Internationales de la Chambre, a récemment
exigé d'approfondir l'enquête du Service Général de la
Comptabilité sur le financement américain de l'UNRWA.

Tom Lantos, membre démocrate de haut rang dans la dite
Commission, va plus loin. Critiquant "la manière privilégiée
et prolongée" dont on s'occupe des réfugiés palestiniens, il
appelle à la fermeture de l'UNRWA et au transfert de ses
responsabilités au Haut Commissariat [de l'ONU pour les
Réfugiés (U.N. High Commission for Refugees)].

D'autres gouvernements occidentaux devraient se joindre à
Washington pour résoudre le problème des réfugiés
palestiniens en supprimant l'autorisation accordée à
l'UNRWA, lors de la prochaine échéance de son
renouvellement, en juin 2005.

Le temps est venu de préparer le terrain pour éliminer cette
institution, sa définition malfaisante [du statut de réfugié],
et ses activités monstrueuses.

.

Par Printania (Printania) le dimanche 24 août 2003 - 12h46:

Les vases communicants.
Juan se vide, Belleville se remplit.
A la terrasse d’un café, Jacqueline est assise, accompagnée de sa petite-fille.
Toute bronzée, les bras boudinés couverts de « Sqaseq », ils tintent à chacun des ses gestes.
Arrive Marlène.
-Jacqueline, ma chérie, comme tu es belle ! Tu es bien bronzée, kah’la toute.
(Ne pas confondre, cela ne veut pas dire, toute noire, mais noire comme des mûres)
On dirait que tu as un peu grossi, tu as changé de taille de soutien-gorge ?
-Pas du tout, je porte toujours du 120, je me suis pesée ce matin, toujours 86kgs300.
Mais toi, tu n’es pas partie ? Tu es blanche comme un cachet d’Aspirine.
-Victor n’a pas voulu aller à la plage cette année, nous sommes allés à la montagne, il a eu peur des matadors.
-C’est quoi les matadors ?
-Tu sais, ce qu’on attrape avec trop de soleil.
-Ah ! Tu veux dire les Mélanomes ? C’est vrai, tu es fragile, ta peau est bien blanche et transparente, on aperçoit tes os, tu aurais pu venir avec une ombrelle.
-Je vois que tu n’as pas changé, tu es toujours aussi vexante.
-Et toi, tu n’as toujours pas évolué, toujours la même tsara.
Alors la petite-fille :
-Mamie, c’est quoi la tsara ?
-La femelle du Tsar, ya o’mri.

Par Albert (Albert) le dimanche 24 août 2003 - 08h57:

Et depuis, j'ai fondè une banque à Genève où je controle ton argent et qui s'appelle la KORBOUS BANK, yè chya.Tu m'as dépassè fèl sarka, toi...Tout le monde sait que les Suisses ne sont pas riches par hasard, YA KOT'YI...( Escroc ) ;)
Tawfik toi au moins tu es honette, tu ne parles jamais d'argent pas comme les juifs, mais d'histoires d'algèriens en F et et GIBET. Merci
RABY MYAK ENVOIE NOUS TOUJOURS TES PETITS ZUMOUR NE TE TROMPE PAS ..ZUMOUR...PAS ZAMOUR...PARDON PAS ZA....OUR...

Par Albert (Albert) le dimanche 24 août 2003 - 08h50:

Maxiton, Houtte ââlik yè Baba, où est la traduction en français pour qu'on sache c'est quoi le métier de DANIELPIPES, on ne veut pas avoir d'arrières pensèes envers lui, tu comprends.
Ca prête à confusion cette terma-naison...

Par Wnes (Wnes) le samedi 23 août 2003 - 23h58:

La Douda ( Hak El Ouet International Tracking Station )

Renseignements Le malin de Hak El Ouet trouvés par le Ftileur :

Le malin qui noyait le poisson,

Situé en Tunisie, non loin du port de Hak El Ouet, la Citadelle de Korbous a été construite au 16 ème siècle, sous le règne de ZgouGou le Magnifique, l'un des Beys les plus remarquables de notre cité. L'endroit est également renommé par des eaux thermales.

Un des seigneurs vassaux ZgouGou de Hak El Ouet était un homme très gros, à dire obèse. Paresseux, il passait la plupart du temps sur son canapé à manger des sucreries ou des plats très gras. Lorsqu'il voulait se lever, il fallait cinq serviteurs pour déplacer le corps immense de leur maître. Le gérant de biens-fonds un certain Bébert qui était à son service profitait largement de l'incapacité du seigneur.

Il le dupait et volait dès que l'occasion se présentait. En quelques années, le gérant de biens-fonds réussit à amasser une gentille somme d'argent, qu'il cachait sous son matelas. L'homme commença tout de même à avoir peur de se faire voler son argent et décida de trouver une autre cachette plus sûre.

Pendant quelques jours, il se cassa la tête et opta finalement pour les écuries seigneuriales.

La nuit, alors que tout le monde dormait d'un sommeil profond, le gérant déposa les pièces d'or dans un sac en toile et se dirigea vers les écuries. Il enfuit la somme sous la litière d'un des chevaux et alla se coucher.

Quelques jours s'écoulèrent et le trop fameux Bébert fut pris d'envie de vérifier si la somme était bien à sa place. Lorsque minuit sonna, il marcha jusqu'à l'écurie. Une fois arrivé, il se mit à creuser. Au bout d'un instant, ses doigts sentirent le contact froid des pièces. Sourire aux lèvres, le malin voulut puiser dans le tas, mais soudain, un bruit étrange se fit entendre! A sa grande surprise, tout son argent fut aspiré dans les profondeurs de la terre.

Le gérant regardait le trou vide d'un oeil rond, mais avant qu'il ne puisse se remettre des ses émotions, il entendit une sorte de gargouillis. A l'immédiat, un jet d'eau puissant jaillit, rejetant les pièces d'or des profondeurs de la terre. Le fameux Bébert en resta bouche bée mais, sans perdre de temps, il ramassa vite les pièces d'or. Juste à temps, car déjà les gens, ameutés par les garçons d'écuries dormant à proximité, accouraient.

Le seigneur de Hak El Ouet, averti par ses valets, arrivait déjà sur une chaise à porteurs. " Que veut dire cette eau et que fais-tu là à cette heure-ci ? ", demanda le gros seigneur de Hak El Ouet, furieux d'avoir été réveillé. "C'est incroyable ! Il s'agit d'une source thermale miraculeuse ! Celui qui y prendra un bain, guérira de tous les maux ! ", réagit vite Bébert.

Satisfait, le seigneur de Hak El Ouet se fit apporter une énorme bac, ordonna de la remplir d'eau de source et se plongea dedans. Lorsqu'il en ressortit après une heure, il était capable de marcher tout seul, sans aucune assistance, au grand étonnement de tout le monde. Par contre on du faire sortit les chevaux des écuries car l'eau ne cessait de jaillir, inondant l'endroit.

" Il faut reconstruire les écuries, y placer des bacs à eau et faire venir les nobles du pays pour les faire profiter des effets curatifs de l'eau. Le service étant payant, le seigneur de Hak El Ouet devint encore plus riche. Comme il avait beaucoup maigri, il pouvait facilement se déplacer et contrôler ce que faisait son gérant de biens-fonds. Le Bébert en question n'avait donc aucun intérêt de rester, puisqu'il ne pouvait plus faire d'escroqueries.

Comme personne ne découvrit jamais ses duperies, un jour, il quitta Korbous sans laisser de traces. Il acheta une jolie ferme avec son argent amassé au fil des ans, épousa une belle femme et vécu heureux.

Bien des décennies plus tard, des bains thermaux furent fondés à Korbous, à l'endroit où jadis avait jailli la source.

Et Tout cela grâce à la fameuse escroquerie, ourdie par le Sir De Bébert Zekch!

Wnessou El Douda

Par Maxiton (Maxiton) le samedi 23 août 2003 - 22h51:

Shaboua tov

Daniel Pipes c'est ca : sa nomination a ete contestée par
l'AP


Pipes Doesn't Pander
by Katherine Mangu-Ward
Weekly Standard
August 22, 2003


DANIEL PIPES, a prominent scholar of Islam and Middle East
politics, is giving the administration heartburn, but he'll
have a seat on the board of the U.S. Institute of Peace
before the Senate gets back after Labor Day.

After the White House announced Pipes's nomination to the
Institute of Peace, it was surprised to find that, in addition
to the expected full-throated opposition from Democrats
(most notably Ted Kennedy, Tom Harkin, and Chris Dodd),
several Republicans threatened to flake out on the
confirmation vote. This prompted the administration's
decision to install Pipes during the August recess in order
to circumvent the Senate.

Pipes's refusal to back away from radical positions has
earned him a respectable cast of enemies. First among
them is the Council on American Islamic Relations, a
Muslim advocacy group which has expressed support for
terrorists. Kennedy, Harkin, Dodd, and others (not a bad
list of enemies in their own right) have signed on to CAIR's
efforts to block the appointment.

Fortunately, Pipes enjoys strong support from Karl Rove,
Elliott Abrams, and Condoleezza Rice--he even got the nod
from Colin Powell. He is undoubtedly "controversial," as
opponents of his appointment claim, and even
administration officials acknowledge that "he goes
overboard occasionally."

But the White House will stick with Pipes, even though the
appointment process has been difficult. Muslim advocates
and lefty Democrats have done their share to make trouble,
but Pipes isn't going out of his way to make the process
easier--or to guarantee the administration's continued
support.

"When it comes to the Saudi-American relationship, the
White House should be called the 'White Tent'," wrote Pipes
in the Winter 2002/2003 issue of the National Interest.

Two weeks ago, Pipes wrote in the Jerusalem Post: "Two of
[CAIR's] former employees, Bassem Khafagi and Ismail
Royer, have recently been arrested on charges related to
terrorism . . . Despite this ugly record, the U.S. government
widely accepts CAIR as representing Islam. Nationally, the
White House invites it to functions."

In fact, Pipes regularly impugns the White House's guest
lists. In November 2002 he wrote: "The White House would
not consider inviting Baghdad's apologists to festive
functions. But it welcomed many of militant Islam's
sympathizers at a Ramadan dinner hosted by the president
earlier this month."

So why would the White House go to all this trouble for
someone who hasn't been particularly friendly?

Pipes has often hinted, suggested, and even said outright
that the Bush administration is overly beholden to Muslims
and the interest groups that claim to represent them. His
appointment to the U.S. Institute of Peace over serious
opposition from those very groups, and in the face of his
refusal to moderate his message, speaks volumes about
just how little pandering the administration is planning on
in the near future.

Par Toufiq (Toufiq) le dimanche 24 août 2003 - 00h21:

a propos de plaques,deux de nos freres algeriens observent les voitures qui debarquent du ferry:
sur l'une des voitures il y a "F" et sur une autre "GB"
- le premier demamde au second
c'est qui "F" et "GB" ?
- mon frire,tu sais pas?
"F" ca veut dire "facances" et
"GB" ca veut dire" gonges bayes".

Par Albert (Albert) le samedi 23 août 2003 - 23h18:

Lundi.....Premier nouveau texte de la saison..
Pia la Nonna et Charles le Nonno....Pièce en un acte soufflèe par une amie...

Par Albert (Albert) le samedi 23 août 2003 - 23h16:

Ben, à l'époque il était anoblit par sa partie cule mais aujourd'hui il a tout perdu de sa partie cularitè...
A demain...Hadder...

Par Printania (Printania) le samedi 23 août 2003 - 22h23:

Je connaissais Rogerpipes, avec une parti cul.
Danielpipes, connais pas.
Désolé.

Par Albert (Albert) le samedi 23 août 2003 - 21h51:

Printania, Notre MAXITON nous donne un web DANIELPIPES....Tu peux aller voir de quoi il s'agit...?

Par Albert (Albert) le samedi 23 août 2003 - 21h46:

Tu sais ce qu'est EL CHOUECH???? Prntania..?