Archive jusqu'au 11/septembre/2003

Discus: Le Petit Théâtre de Breitou: Archives 2003: Archive Septembre 2003: Archive jusqu'au 11/septembre/2003
Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le jeudi 11 septembre 2003 - 20h46:

BREITOU

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le jeudi 11 septembre 2003 - 20h30:

Dans quelques instants la photo dévoilèe du quiez.....Ne ratez pas l'occasion unique qui se présente ce soir...Merci.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Nao (Nao) le jeudi 11 septembre 2003 - 20h08:

Deux ans se sont ecoules; Mais c'est comme si c'etait hier.
L'horreur de voir l'image de ces 2 tours majestueuses qui s’ecroulent comme des chateaux de cartes nous poursuivra a jamais! le 11 septembre est pour moi le jour le plus sombre de l'annee!
N'oublions pas Thierry et toutes ces vies innocentes fauchees par la haine et la jalousie qui ronge les ennemis de l'Occident et de notre liberte!

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le jeudi 11 septembre 2003 - 20h05:

Fin d'une homélie....

'…..Ils devaient accompagner aujourd'hui sa fille sous le dais et les voilà sous terre….'

Le grand Rav qui a prononcé le sermon.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le jeudi 11 septembre 2003 - 19h41:

Tawfik de l'Isle Adam Hout de HAI LES BAINS....:) :) :)

ALBERT SIMEONI….

SEPTEMBRE 11, 2003 …… AN II.


Mardi noir…..Pour les jumelles.

Le soleil venait à peine de poindre.
Le ciel était serein, bleu comme le sont leurs yeux.

Elles s'élevaient fières, presque insolentes perçant le bel azur de leur haute pointe.

Les jumelles.

Elles venaient de se réveiller après une longue nuit de sommeil. Elles dominaient les boulevards à peine lavés par l'humidité.

New-York….! C'est là où elles se dressaient. Au centre d'un peuple plein de liberté. Aux regards des étrangers fascinés, éblouis par ce nouveau monde. Si grand, si beau. L'espace est à eux.

Puis, dans un matin d'apocalypse, des fumées
Imprévues, sorties de leurs ventres jumelés,
Explosés, assombrirent le temps et la journée.

De gros porteurs d'acier, habités d'innocentes gens, mais télécommandés par des mains et cerveaux perfides, avides de frayeur et de sang, sont venus perforer leur nombril.

Jetant leurs entrailles de béton à cent lieux d'icelles.

Les Jumelles, dans l'horreur, se sont répandues dans les rues. Brisées.

Sirènes hurlantes, couvrant les cris des humains, Manhattan est rentrè dans l'histoire par ses tours enflammées à l'aube d'un certain jour.

Qui du frère, du cousin, du père ou mère ou seulement d'un ami, ils étaient tous accourus, éperdus, cherchant dans le chaos une survie, un semblant d'espérance pour leurs proches et alliés.

Corps brûlés, enchevêtrés, démembrés, condamnés, calcinés, dans la fournaise, clos dans la nasse du chaudron de la mort. Ils ont payé le lourd tribu de la haine, alors qu'ils ne devaient rien à personne.

Inconnus couchés sous la terre alors qu'ils étaient nommés un brin d' heure auparavant de leurs noms du père, mère, ou de leurs aïeux peut être..! Par leurs pères, leurs mères ou tout simplement par D ieu.

Ils ont couru les hommes et les femmes, anonymes ou connus pour lever, aider ceux que la mort a surpris dans le ventre des Jumelles. A terre.

Gloire et honneur à leur nom.

GOD BLESS AMERICA. FOR EVER.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Axelle (Axelle) le mercredi 10 septembre 2003 - 22h09:

Monsieur Albert.

Je viens de lire et relire ce billet de la Breitouna. C'est magnifique ! ce que vous dites est vrai et touchant. Je suis très émue ce soir.
Mais, tellement triste après ces deux attentats si meurtriers. Je pense à ce peuple d'Israël si souvent meurtri, à ces familles qui pleurent leurs disparus. Et, je me dis que la folie des hommes n'aura plus jamais de limite. J'ai ressenti un grand abandon de la part du monde entier envers ce pays. J'ai ressenti une profonde peine pour Israël que l'on veut détruire et qui ne demande qu'à se construire pour devenir grand.
Je pense à cette haine qui ne quitte pas les hommes envers un peuple. Mais, pourquoi ? De quel droit ? Pourquoi le peuple juif est depuis des siècles et le sera encore l'exutoire d'un monde qui a toujours travaillé pour sa propre perte ?
Pourquoi cette barbarie constante et renouvelée envers un peuple qui ne demande qu'à ouvrir ses bras aux autres ? Vous savez, Mr Albert, je suis si triste que je ne sais que vous dire pour exprimer ma grande peine. Mais, je vais vous dire quand même une chose : je suis fière que mon mari soit juif. Et, parfois, quand je le regarde, je me dis que je remercie le destin de m'avoir guidé jusqu'à lui. Car il est le digne descendant des enfants d'Israël. J'ai lu avec beaucoup d'émotion l'article de Claude Bensoussan : Ce soir je suis israélien. Voilà pourquoi ma tendresse, et tout mon amour est et restera à jamais pour Israël. Et, de tous les poèmes que j'aie composés, celui que j'ai écrit pour Israël et que vous avez lu, est le plus beau de tous ceux que j'ai composés. Et quand je l'ai écrit, c'est tout c'est amour pour Israël qui est sorti de mon coeur et de tout mon être. Alors, même si la France dérape, je saurais rester sur la bonne route : celle d'Israël. Les autres récolteront ce qu'ils ont semé ! Et, ce n'est pas beau !!

Très cordialement. Axelle.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Printania (Printania) le jeudi 11 septembre 2003 - 13h27:

Au suivant!

mon image

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Toufiq (Toufiq) le jeudi 11 septembre 2003 - 03h12:

on 'a pas encore attrape le gang des opticiens
syriens,qui soignent presque a l'oeuil,
en tout cas les dentistes n'etaient pas des
saints,sans ca ils auraient ete des saint cyriens
bien
qu'ils ne soient pas en odeur de saintete.
la boulice de fransa aurait quand meme la sentir ,cette affaire,ou meme la voir venir,
quant ils ont remene leur fraise.
il parait que leur chef,"Ali la Dent",dirigeait
les operations a partir de son QG de l'isle adam
a cote de damas sur oise.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le mercredi 10 septembre 2003 - 21h41:

S'il n'y avait pas eu d'infections, rien ne se serait déclarè....Et nos 23 Syriens ne seraient pas aujourd'hui sous les verrous, anestésiès..

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Printania (Printania) le mercredi 10 septembre 2003 - 21h29:

Tu as bien fait, Albert, et tu as eu de la chance, car les infections se déclarent, à présent.
C'est d'ailleurs ce qui a mis la police à leurs trousses.
Rabbi men'ak!

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le mercredi 10 septembre 2003 - 21h21:

Printania,

Tu sembles tomber des nues, mais j'ai eu un de ces 'dentistes' ambulants' me proposer de me refaire le dentier, je te jure au prix de 50 frs pour une remise à neuf, et le tout sans être assis, rien que debout dans ma boutique celà s'appelle de la 'dentisterie à domicile'.Il avait tout dans sa mallette.

J'ai rien fait pour la bonne raison que je me soigne gratuitement chez ma soeur et mes beaux-frères...:)

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Printania (Printania) le mercredi 10 septembre 2003 - 21h13:

Paris : arrestation de 23 syriens
Arouts sheva. 21:25 10 septembre 2003

La police française a procédé à l’arrestation de 23 citoyens syriens. Les hommes sont accusés d’avoir dirigé une chaîne de cabinets dentaires sans permis. Les cabinets dispensaient des soins à des étrangers.

Albert, des arracheurs de dents, à prix discount ;
Ils avaient dans leurs valises, tout l’attirail d’un chirurgien dentiste, y compris les dentiers.
Les prix étaient nettement inférieurs à ceux pratiqués par les praticiens installés en France, mais eux « soignaient » les malades, sans couvertures sociales.
Tout était pratiqué au noir, le rêve, Albert.
Il ne fallait pas être très pointilleux sur l’hygiène, souvent on arrachait une dent, ou bien l’on soignait une carie, dans les toilettes d’un bistrot, de Barbès ou d’Aubervilliers.
Oui, mais me diras-tu, où s’asseyait le patient.
Il était accroupi, car les toilettes des « Etablissements » n’avaient pas de cuvettes, c’étaient des cabinets dit « turques. »
Comme là-bas, dit !