Archive jusqu'au 23/septembre/2003

Discus: Le Petit Théâtre de Breitou: Archives 2003: Archive Septembre 2003: Archive jusqu'au 23/septembre/2003
Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Printania (Printania) le mardi 23 septembre 2003 - 10h20:

Sam, un vieil homme est appelé comme témoin dans un procès pour vol.
La défense : "Avez-vous vu mon client commettre ce vol ?"
"Oui" dit Sam. "Je l'ai vu voler tous les objets."
L'avocat demande à Sam encore une fois : "Sam, c'est arrivé en pleine nuit. Êtes-vous certain d'avoir vu mon client commettre ce crime ?"
"Oui" répond Sam, "Je l'ai vu."
L'avocat : "Sam, écoutez... Vous avez 85 ans et votre vue n'est probablement pas en bon état.
Comment loin pouvez-vous voir le soir ?"
Sam répond, "Je peux voir la lune... c'est comment loin ça ?"

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Printania (Printania) le mardi 23 septembre 2003 - 10h18:

Dans une famille très pauvre, on avait remplacé le papier de toilette par de vieux patrons de couture qu'on avait trouvés dans un entrepôt abandonné.

La jeune fille va aux toilettes et prend une feuille pour s'essuyer sur laquelle est écrit : pour le devant.
- Tiens. Juste ce qu'il me faut.
Le garçon va aussi à la toilette... Il prend une feuille sur laquelle est écrit : pour la poche, plier quatre fois.
- C'est parfait! Juste ce qu'il me faut.
Puis c'est au tour du grand-père... Il fait le même manège, rouspète et grogne tout haut.
-Qu'avez-vous grand-père?
-Tu parles d'un papier de fou. C'est écrit... pour derrière, plisser et piquer.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Printania (Printania) le mardi 23 septembre 2003 - 07h46:

La douda a écrit:
Ca va pas non, je suis une honnête femme moi ! Aya bara neï………

La Douda, tu as un ordinateur muni de censure?
Ou bien alors, est-il prude?
Tu as récidivé par 3 fois, et 3 fois il t'a rejeté.
Cela me rappelle ce qu'avait dit Jésus à Pierre:
"Avant que le coq chante deux fois, tu Me renieras trois fois."
J'essaie de deviner ce qui se cache derrière ces chiffres.
Albert, tu as déchiffré, toi?
Je sais que tu es un expert, alors que moi, je suis comme l'enfant qui vient de naître.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Printania (Printania) le mardi 23 septembre 2003 - 07h36:

La Douda, tu peux compter tes abbatis.
Albert a travaillé dans les caveaux, pas ceux de la république, et pour disséquer, il sait de quoi il parle.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le mardi 23 septembre 2003 - 07h29:

Printania, Madame Axelle, Le Ftileur et vous tous
Bonjour.

Madame Axelle, j'ai eu un problème de connexion. Tout va bien, écoutez si vous continuez de patauger je viendrais vous chercher là dans votre étang de BEEEEEEEEERKK....:) :) :) .
Ne vous en faites pas pour mes amis, ils s'envoient des fleurettes ,à défaut de les compter alors ce n'est qu'une petite réaction épidermique entre astronautes, pardon internautes, et puis on va tous se faire pardonner à Kipour et on recommencera le lendemain à se chamailler. Bon , votre dévouè Comte....Princesse.
-'La Douda , je reviens tout à l'heure pour t'analyser et dissequer...:) :) :)

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Axelle (Axelle) le lundi 22 septembre 2003 - 23h32:

Monsieur Albert.

J'avoue que je patauge complètement dans la choucroute depuis quelques jours ! Comme d'habitude, je ne comprends rien !! Ce n'est pas grave, vous êtes revenu et c'est le principal !
Mais, vous voyez, dès que vous partez, c'est la pagaille ... Alors, restez, car sinon, je vais encore patauger ... Soyez indulgent ... Ne me massacrez pas trop ... Merci. Axelle.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Wnes (Wnes) le mardi 23 septembre 2003 - 00h14:

La Douda ( Hak El Ouet International Tracking Station )

L'Info du ftileur :

Jules Laskar et Madame Gaston :

Le trop célèbre Jules Laskar, grand Tafard et grand escroc Goulettois, connu aussi sous les pseudo de Bébert La Sardine, ou Babous Le Goulettois, avait fondé à Hak El Ouet, une Messagerie rapide après s'être fait oublié ( grâce à une panne d'ADSL ), enfin quelque peu assagit il avait fait savoir à l'inspecteur Boulalik, qu'il se rangeait des vélos, le flic l'avait alors laissé un peu tranquille.

Par un beau matin de printemps, qu'il était encore jeune homme, et qui le faisait marcher sur trois pattes, tant le soleil était chaud, et que la chrana lui déclenchait une petite excitation quelque part, il décida de se rendre chez Madame Gaston, celle-ci faisant son ménage toute seule à la maison, son époux étant parti au loin gagner sa vie.

· Yéh Madame Gaston, je peux rentrer, j'ai un message de ton mari ?
· Tfedel, ya oueldi, qu'est ce qu'il veut celui là ?
· Il m'a dit d'acheter un bouquet de yasmine, et de te l'apporter accompagnée d'un baiser à te faire de sa part.
· Zèèèèèèèèh ! Quelle histoire, c'est la première fois qu'en cinq ans de mariage, il me fait un tel cadeau, je vais le raconter à tout Hak El Ouet !
· Oui mais d'abord, pour mériter mon salaire, je dois te faire le baiser !
· Ca va fils ! fais moi le baiser dit elle en rougissant !
· Ya Madame Gaston, comme tu sens bon et que le baiser était doux à mes lèvres, je vois que ta poitrine sens bon, et que tes blancs mamelons sont autrement plus appétissants que les betih du jardin, laisse moi les embrasser, par pitié, autrement je meurs…
· Ca va pas non, je suis une honnête femme moi ! Aya bara neï………
· Ecoute ya Madame Gaston, si tu veux m'accorder ce kif, je te donne deux cent dinars, c'est beaucoup d'argent, mais pour toi je suis prêt à me ruiner et à me damner !
· C'est vrai que c'est pas mal de flouse, pour un si petit kif, vraiment je ne te comprends pas, deux cent dinars pour ça ! Alors aboule et vas y fils !
· Ya Madame Gaston, ajouta le tafard après s'en être mis plein la bouche, je voudrais t'enlacer dans mes bras, et te donner un baccio d'amore, personne n'en saura rien, ton homme est à Testour pour la Ziara, et je te donne encore trois cent dinars !
· Tu est un fou, ya brel ! tu es vraiment prêt à te ruiner pour moi ?
· Voilà encore les trois cent dit l'autre en aboulant le fric.
· Alors viens, mais rien d'autre hein ! Il y a des limites à ce petit jeu !
· Tu es en train de me faire mourir d'amour et de désire, dit le Tafard en accomplissant son forfait, mais si tu voulais me faire revivre, tu consentirais au sacrifice suprême avec moi, et pour te prouver mon amour, tu vois ces trois mille dinars, ils seraient à toi !
· Quel fou tu fais, franchement là tu vas trop loin fils, que l'on puisse me désirer au point de me donner une telle somme ( A l'époque, c'étaient des dinars OR ! ), alors jib el flous ou ejbed ! dit elle en empochant le fric.

Sa petite affaire consommée, le Laskar satisfait s'en alla vaquer à ses occupations, en délivrant d'autres messages aux dames esseulées, et quelques jours plus tard Monsieur Gaston, rentrant de voyage d'affaire dit à sa digne épouse :

* Chérie ! j'ai fait de très bonne affaires, prépares les valises, je t'emmènes à Venise au pont des soupirs, mais au fait, est ce que la Messagerie est venue te remettre les Trois Mille Cinq Cent Dinars que je t'ai envoyé depuis Testour ?

Une escroquerie de plus sur le compte du Laskar, et un yasmine un !

Wnessou El Douda

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Printania (Printania) le lundi 22 septembre 2003 - 23h08:

Citron, vous êtes un malpoli.
Le Webmaster est trop bon, pour vous permettre de vous introduire dans son site.
Il y a belle lurette que je vous aurais botté le cul, si j’étais à sa place.
Nous traiter de hérissons, à la veille de nos fêtes ?
Vous vous croyez drôle, je parie.
Vous êtes un juif honteux, Monsieur Joseph, un lécheur de culs.
Je suis certain que vous avez des amis qui racontent des histoires antisémites, que vous riez jaune et que vous les recevez chez vous.
Ils ont bien de la chance, les sujets de ben Ali, d’avoir des mauviettes de votre espèce.
Monsieur Joseph, vous me faites pitié.
Allez donc insérer vos âneries dans des sites qui vous ressemblent, des sites fréquentés par des espèces qui n’ont pas de sang dans les veines.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le lundi 22 septembre 2003 - 20h45:

LE CHOFFAR ET LES MASQUES


Albert Simèoni
L’Enfant de la Goulette.

Le 13/9/2003

Mode emploi.

Qui d’un dossier à la main, sans doute un C.V, qui de l’autre feuilletant d’un œil distrait les pages des petites annonces du marché de travail de son petit quotidien gratuit, ou de celle là baillant aux corneilles, ils attendent depuis une demi-heure l’ouverture de leur A.N.P.E.

Certains font connaissance, juste le temps de tuer le temps; ce temps qu'il trouve long depuis leur dernier licenciement ou première recherche d'emploi.

Une jeune fille et assise, lasse, sur la marche d'entrée tandis qu'une autre est adossée au mur, presque figée, faisant office de tapisserie, les bras ballants, à hauteur de sa braguette.

A quoi pensent-ils..? Le cœur serré et la crainte d'un refus dans le ventre…!

A une réponse évasive certainement ' Votre profil ne correspond pas à l'emploi…! Nous avons par contre un poste de manutentionnaire…!' Il lui qui est au -dessus de tout ça…'Je vais réfléchir, madame, monsieur…!' 'Vous reviendrez alors..?' Il reviendra, c'est sur, plus tard avec toujours un espoir positif qui lui ouvrirait la porte de la fin de son calvaire.

Je vois leur visage, tous les matins, pas toujours les mêmes, quand j'accompagne ma fille à son lycée. Des visages tristes presque résignés. Ont-ils perdu la foi..? S'accrochent-ils à cet espoir de ressortir le cœur rasséréné avec une promesse de contrat….? Un rendez-vous qui leur permettrait de se remettre sur les rails..? Dans les wagons des travailleurs potentiels payés au SMIC..? Laissant derrière eux le chômage et ce farniente non voulu….?

Et lorsque la porte de leur futur avenir, s'ouvre, ils se précipitent en ordre dispersé, pour cueillir un numéro ; un chiffre qui s'affichera devant leurs yeux délavés et plein de soucis.

Et voilà notre futur candidat, assis devant la préposée ou le préposé qui pianote sur son clavier ses coordonnés puis ses prétentions, tout plein de crainte et qui attend le cœur battant la chamade et accroché au regard de cette dernière, une réaction, un oui, qui le délivrera de l'angoisse. Une petite espérance qui lui fera comprendre qu'il est encore utile à la société.

J'ai connu ça. A mes débuts. Sans succès car je ne voyais pas en quoi pouvais-je être serviable, assez compétent pour exercer un métier sans diplôme en France.
Dans mon cas, l'étranger, souvent démuni, mais sachant parler la langue de Voltaire, prend conscience de son inutilité dans une société intelligente.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Printania (Printania) le lundi 22 septembre 2003 - 20h27:

Oui, les pantalons bouffants, avec le liseré au mollet, qui les différenciait des arabes, habillés de la même manière.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le lundi 22 septembre 2003 - 20h24:

Et comment...? Au retour, je me souviens, j'étais assis toujours près des couffins vides au départ mais à ras le bord de poules et de coq, au point que je me grattais de partout bél zrab...Emèt...
Bien souvent je dormais, la tête sur les genoux de ma grand-mére et les jambes encastrès sous les fauteuils du car.Le retour devenait yadèb mta messraim.....Je regrettais parfois d'accompagner la cheiba,la vieille, je t'assure, mais voilà, je recommençait l'annèe d'après, ca a durè 10 ans. Après, ce fut les déplacements sportifs...Une autre paire de boucles :) :) :) ....
Ce qui était pittoresque à cette époque, c'était de voir les rabbins bél sarwel trantèl...Pantalons:) :) :) bouffons....

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Printania (Printania) le lundi 22 septembre 2003 - 20h16:

Et la Boukha qui coulait à flots, tu as oublié?
Les mamans prenaient une bouteille d'un litre pour la sé'ouda, et une autre bouteille pour le voyage.
Sans parler de l'huile pour les veilleuses et pour la synagogue.
Et les youyous (Zar'rite), et les chants, et les danses?
Sais-tu que les commerçants attendaient avec impatience la ziara?