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Archive jusqu'au 02/avril/2006

Discus: Le Petit Théâtre de Breitou: Archives 2006: Archive Avril 2006: Archive jusqu'au 02/avril/2006

Par Val (Val) le dimanche 02 avril 2006 - 15h46:

A Paris chaque nuit, Féérique
Dans la brune, tout s’allume Féérique
Paris n’a pas sommeille
Alors il se réveille et vous apporte des soleils, des soleils……..

C’est Féérique
On a branché les sun light
C’est Féérique
Pour jouer Paris by Night
Top Modèle
Top musique c’est Férique
Et chaques nuits Paris bijoux, tiens c’est Paris

Laissons les ailes du Moulin Nous protéger jusqu’au matin, face aux nuits blanches regardez bien…. Heiunnnnnnnnnnnnn C EST FEERIQUE
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Par Val (Val) le dimanche 02 avril 2006 - 15h54:

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Par Val (Val) le dimanche 02 avril 2006 - 17h00:

LA BREITOUNA’S BAND.
Sans vouloir faire la fine bouche, je pense que Zaza et moi puons de la gueule............
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Par Girelle (Girelle) le dimanche 02 avril 2006 - 17h01:

Par Val (Val) le dimanche 02 avril 2006 - 17h04:

Tout le monde est là pour le voir arriver....
Breitou au voland de sa Jag.....
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Par Girelle (Girelle) le dimanche 02 avril 2006 - 17h14:

A Breitou, l'infatigable directeur qui sait nous faire rire ou nous faire pleurer...
A Albert, l'infatigable défenseur des faibles
A son théâtre qui hait la censure,

Le proscrit se joint à moi pour envoyer pleins de bisous et de voeux.

(peux pas le déranger, il rédige pour toi...un cheïk, je sais pas comment ça s'écrit, ni ce kil veut dire par là !!)

Par Albert (Albert) le dimanche 02 avril 2006 - 18h45:

DES ACTEURS DU PTB ENVOIENT DES PHOTOS DEPUIS DEUX HEURES ET AUCUNE NE PASSENT ALORS.....C EST QUOI CETTE CENSURE....?????

Par Ins_Boulakia (Ins_Boulakia) le dimanche 02 avril 2006 - 18h43:

2 ième CHAPITRE DU RECIT POLICIER...

'....Deux heures plus tard, Le Boulak et son collègue sonnent à la porte de la gardienne…

‘…Madame Latifa…. ! Il s’est passe qq chose d’horrible ce matin… !’
‘…Je sais…Pauvre Madame Vaudran et Rex, quelle mort horrible. Elle était si gentille et lui si doux , je n’en reviens pas, Inspecteur… ! Elle l’avait élevée comme son fils, un admirable chien, jamais une crotte, ni un pipi encore moins un poil de sa robe qui traîne dans l’immeuble… ! Mais qui a pu attenter à sa vie de cette façon aussi criminelle… !’
‘…Dites moi, Madame Latifa… ! N’avez rien vu de suspect ces derniers temps, un homme qui rodait…Ou alors un voisin irascible qui aurait pu avoir à mailles avec le chien, cela arrive souvent dans ce genre d’affaires… !’
‘…A ma connaissance, ici, je ne connais pas un seul ennemi à Rex, mais pas l’ombre d’un soupçon… ! Il à huit jours, j’ai remarqué qu’elle tirait péniblement son caddy, j’ai voulu l’aider à faire monter sa charge mais là, elle m’arrêta net me disant qu’elle parviendrait à la monter. Par contre, je trouvais bizarre que son chien ne la suivait pas… ! Alors, la voyant silencieuse, j’ai pas osé lui en parler pour en savoir plus…’
‘…N’avez vous rien remarqué d’autres … ?
‘…Si… ! Si je me souviens que Mme Vaudran s’était penchée pour essuyer qq chose, sur le perron de l’extérieur, je la connais très maniaque mais je ne me suis pas douté un seul instant de ce que c’était en plus nous avons des peintres dans l’immeuble au 5ième Etage donc j’en ainsi déduit que l’un d’eux à peut être laisser couler un peu de peinture… !’
‘…Une dernière chose Madame Latifa, avait t’elle un endroit particulier où elle emmenait son chien pour une promenade….. ?’
‘…Oui, bien sur, elle adorait s’asseoir sur le banc du parc qui est juste en face de nous, il est grand vous savez et souvent je l’accompagnais, elle tenait certains midi, à pique niquer avec moi…. ! Tout en laissant son chien en liberté…. ! Vous savez le banc qui est juste en face de la grande fontaine publique… !’
‘…Je vous remercie madame Latifa, pour ces précieux renseignements… !’
‘…Pauvre madame Vaudran, elle me manque déjà… !’

Nos deux compères se dirigent vers le par cet tombe à un détour de chemin sur ce fameux banc qui est face à une grand jet d’eau.

‘…Nous y voilà, Gilbert tu prends à droite et moi à gauche, commençant par les alentours et puis les fourrés… !’

Il a suffi juste dix minutes à Gilbert pour tomber sur le lieux du crime, à dix mètres du banc, un grand fourré touffu. Gilbert a dû se baisser pour franchir les grosses touffes piquantes.

‘…Inspecteur venez voir… ! Je crois avoir trouvé l’emplacement … !’

L’inspecteur vient rejoindre son collègue et effectivement il constate…

‘…Tiens .. ! Tiens… ! L’herbe est remué ici en plus, il y a des traces de sang séché … ! Prends des photos avec ton appareil et surtout n’en rate aucune sinon… !’
‘…Je démissionne pour une de ratée… !’
‘…N’oublie pas de pendre des échantillons de gazon taché pour le labo, tiens viens voir ici… ! Des traces de grosses semelles, on dirait une grosse pointure…. ! Fort intéressant, appelle le service de l’identité, je veux une empreinte d’autant plus que ces godasses ont des semelles striées…. ! Ecoutes entoure moi tout ce périmètre en attendant…!’

A suivre…

Par Albert (Albert) le dimanche 02 avril 2006 - 18h39:

DES ACTEURS DU PTB ENVOIENT DES PHOTOS DEPUIS DEUX HEURES ET AUCUNE NE PASSENT ALORS.....C EST QUOI CETTE CENSURE....?????

Par Ins_Boulakia (Ins_Boulakia) le dimanche 02 avril 2006 - 18h31:

Albert Simèoni.

Policier…

Paris le 21/04/2005.

Tous les évènements cités dans cette nouvelle sont imaginaires.

‘….MEURTRE ……. NON D’UN CHIEN… !’

Dans les principaux rôles..

L’Inspecteur Boulak……….Breitou.
Gilbert dit Chaldera………..Son collègue.
Madame Girelle……………La concierge Latifa Ben Messaoud épouse Baccouche.

Hai Victor………………….Le mari de Latifa….Lââjmi Baccouche.
Lalla……………………….Honorée Leroy…..La vieille dame.
Madame Justine Vaudran…Nao la vieille dame.
Rex…………………………le chien de race Afghan.
Commandant des Pompiers...Mousseran…Meyer.

Le téléphone de la brigade des sapeurs pompiers de l’Avenue Parmentier sonne…

‘…Ici, la caserne des Pompiers, votre appel sera enregistré… !’
‘…Bonjour Monsieur…. !’
‘…………………………’

‘…Bonjour Mademoiselle.. !’
‘…Madame… !’
‘…Bonjour madame, qui a t’il à votre service…. ?’
‘…Bon voilà, Monsieur le Pompier….Je m’appelle Latifa. Je suis concierge dans l’immeuble du 128 avenue……. pas loin de chez vous….Heu, je ne sais pas si je dois vous le dire mais depuis qq jours je ne vois plus madame Vaudran…. ! Je trouve cela bizarre… !’
‘…Avez vous informé la police.. ???’
‘…Non, j’ai pensé à vous parce que je ne connais pas le numéro de téléphone du commissariat… !’
‘…Il se peut que madame Vaudran soit partie en vacances ou alors chez des proches parents… !’
‘…Non… ! Non je ne crois pas, elle me l’aurait dit, elle ne me cache rien, cela fait plus de 25 ans que je suis dans ce service et elle n’oublie jamais de me laisser des recommandations… ! Et puis, il y a cette odeur bizarre dans le corridor, depuis une semaine… ! Ca empeste le corridor… ! J’ai tapé mille fois et personne ne répond… !’
‘…Bon, nous arrivons dans cinq minutes… !’

Dix minutes plus tard, les hommes du commandant Mousseran…sont là. Sur le palier.
L’un d’eux sonne et pas de réponse. L’équipe constate effectivement qu’une odeur désagréable règne sur le palier. Ils défoncent la porte et ils découvrent un spectacle macabre.
Madame Vaudran est dans son lit avec son chien baignant dans une flaque de sang séché.
La décomposition du corps de l’animal avait commencé. Madame Vaudran est surprise inerte ; la tête du chien est décollée du tronc, posée sur l’oreiller …La vieille dame est morte dans une position incongrue, ses bras enlaçant le cadavre du clébard. Exsangue. Une horreur. Du jamais vu dans les annales des Pompiers. Les draps sont imbibés de plasma séché et même le sommier est taché d’hémoglobine sur une large surface.

L’inspecteur Boulak est informé et son équipe ne tarde pas à occuper les lieux. La brigade criminelle se saisit de l’affaire au vu du caractère exceptionnelle de la situation.
Les premiers relevés sont faits et apparemment la bonne dame ne porte aucune trace de coup. Au bout de qq jours, les résultats de l’autopsie sur la mort de Madame Justine parviennent sur le bureau de l’inspecteur. La dame est morte par manque de nourriture, depuis une semaine.

L’inspecteur remarque un caddy dans lequel il trouve un couffin taché de sang. Le sol porte aussi des traces. Ainsi que les manches de la vieille dame qui repose dans son sommeil éternel. Il ne comprend pas sur le coup ce qui a dû se passer mais il remarque sur le paillasson des traces de plasma et une traînée du même liquide sur le parquet. Il en conclut que le chien a été assassiné dehors. La vieille l’a transportée avec elle dans sa chambre.

‘…C’est bizarre…Etrange….’ Dit Gilbert envers son chef…’….Je pense que son chien a été assassiné et qu’elle la ramenée ici pour mourir avec lui… !’
‘…Bravo…Gilbert, tu es en progrès… ! J’avais déduis la même chose que toi mais qui a pu faire une tel acte aussi abominable… ?…Une chose est sure, la dame est morte de chagrin… !Elle a rejoint son fidèle compagnon…Dans la mort.. ! Quelqu’un s’est vengé sur son chien cela peut être un mobile reste à savoir pourquoi… !’
‘…Un assassinat de chien… ! Il faut être pervers pour commettre un tel forfait … ! C’est horrible …. ! Une décollation … !’
‘…On a vu pire… ! Je vais commencer par la concierge… ! En générale, elles sont curieuses et rien ne leur échappe et surtout qu’elle était sa confidente d’après le rapport des Pompiers et qu’elle la servait… !’

A suivre…

Par Mr_Germain (Mr_Germain) le dimanche 02 avril 2006 - 18h28:

LE ROMAN POLICIER
'...MEUTRE ..! Non d'un chien...!'

DANS LA SALLE NAO...LES CHAPITRES PASSERONT TOUTES LES CINQ MINUTES AFIN DE RESPECTER LE TIMMING...

A VOUS DE SUIVRE...!

Par Albert (Albert) le dimanche 02 avril 2006 - 18h26:

GLIBETTE....ELSA....MAMILI....MEYER....VAL....GIRELLE...LA DOUDA.....ET MOIIIIIIIIIII AU VOLANT....

AHHAHAHAHAAH