Par Henri (Henri) le mardi 07 octobre 2003 - 15h22: |
Mon ami Bebert,
Camara am ahor hir men ada.
Beaucoup de sante.
Naturelement que le probleme n'est pas le ratfat,
mais en attendant il terrorise son entourage,et surtout il detient les clefs du coffre fort.
Nous avons tous vu comme il a mis les batons dans les roues du premier ministre qu'il avait lui meme nomme.
Sa disparition de la scene permetra aux palestinniens qui veulent reelement la paix de souffler et de la faire reelement avancer.
Cher Printania, tu sais bien que chez nous les tunes, une grande partie de la religion c'etait aussi du folklore, et que si a l'epoque 99% de ce qui etait vendu a Tunis etait cacher,ce n'est plus le meme cas aujourdh'ui ou il faut vraiment etre tres savant pour savoir tout ce qui est ajoute dans les aliments, pour ameliorer le gout ,la couleur, et j'en passe.
Le probleme de la vache folle est un exemple de ce que les producteurs de viande sont capable de donner au betail.
Les rabins a l'epoque n'avaient pas a lutter contre l'assimilation qui fait des ravages aujourdh'ui meme en Israel, Ils etaient plus "cool" mais la halaha n'a pas changee, et l'interdiction du melange femme homme a la syna a toujours existee mais un peu ignoree.On est Tune ou non? Un peu a la bab ala.
Si tu te dis tolerant, alors tolere aussi les intolerants un peu comme moi et "a ikar labriout".
Continue donc avec mon ami Bebert a nous amuser et a nous changer les idees.
Rabi maakoum ou al oulad Israel.
Par Albert (Albert) le mardi 07 octobre 2003 - 15h34: |
Bara q'ayel...Ehne mechi ned'drèb.....el oud..
Printania 2 binome
Tawfik si tu ne rentres pas dans deux minutes, je t'envoie une hurlade.
Par Printania (Printania) le mardi 07 octobre 2003 - 14h51: |
Printania (bis), mashi nqayiel.
@+
Printania 1er.
Par Printania (Printania) le mardi 07 octobre 2003 - 14h46: |
Sans parler que parfois on loue une salle de spectacles, pour en faire une synagogue à Kippour.
Une salle où des femmes montrent leur cul, à longueur d'année.
Là, on nous parle de respect de la religion.
On se moque de nous ou quoi?
Par Printania (Printania) le mardi 07 octobre 2003 - 14h43: |
Albert, ya breitou, ya Belebou, je suis écroulé de rire.
Alors, tu es aussi Printania?
C'est pour cela que tu as mis ce pseudo au pluriel, la dernière fois.
Il faudra composer, pour que nos amis sachent faire la différence.
On va mettre en place un code.
Ou bien, notre Webmaster, va supprimer l'un des deux.
Je t'avoue que c'est fâcheux.
Deux en un, c'est comme un œuf où l'on trouve deux jaunes.
Par Albert (Albert) le mardi 07 octobre 2003 - 14h36: |
Du jamais vu Printania. Tu t'imagines je suis restè seul sous le talith en regardant ma femme et les enfants du haut des tribunes. La syna est une salle de sport en attendant....
Par Albert (Albert) le mardi 07 octobre 2003 - 14h33: |
Mon cher ami,
Le problème n'est pas Arafat. Bien que les politologues le disent. Qu'ils soient américains ou israeliens. Des Arafat, il y en aura encore.Je ne pense pas que sa mort arrangerait le vrai casse-tête qui se pose aux bélligèrants. Encore moins son bannissment. Il y aura toujours d'autres hommes pour prendre la relève. Et continuer à se battre. Si c'est pas demain ce sera après demain.
NB/ Certains pensent que je suis toi. C'est un grand honneur que l'on me fait. Vraiment.Il y aura toujours des cons à la surface du globe.
les israeliens sont à la croisèe des chemins soient ils cessent de tergiviser et prendre les décisions qui s'imposent dans le bon sens soient ils gardent dans l'esprit qu'ils arriveront à bout de ce terrorisme au quotidien qui ne s'arretera pas parce que les palestiniens sont dans une logique de mort. Et que rien ne les arretera. Attentats= ripostes = attentats. C'est un cercle infernale.
Aucun de deux camps n'a l'intention de lâcher la bride. On appelle ça le point de non retour.
Je n'invente rien.
Attendre la disparition de quelqu'un en pensant que celà solutionnera le problème c'est faire preuve de naivetè et de pussinalisme.
Si c'est celà à quoi pense le gourvernement israelien, je doute fort que cette idée leur ôtera les épines qu'ils sont sous leurs pieds.
Le petit roi défunt a vu loin. En cédant la Cisjordanie, il a cédè le plus grand merdier de son royaume à Israël. A ceux qui ont osé parlè d'un grand Israêl allant de l'Euphrate au Maroc, ils peuvent toujours se glosser de chimères car qu'on n'arrive pas à gérer une petite parcelle de terre, comment gérer alors une moitiè aussi grande que l'univers....?
Je ne sais plus quoi penser et dire.
Peut être qu'il y aura la MACHIAH entre temps, en attendant nous comptons nos morts.
NB.Certains crètins pensent que je suis Printania. C'est un grand honneur pour moi. Vraiment. Tu peus en rire yè Baba.
Par Maxiton (Maxiton) le mardi 07 octobre 2003 - 14h13: |
pardon à tous,
j'aurai dû commencer par vous souhaiter de bonnes fêtes
Bonnes fête donc
je nous souhaite la santé et la Paix
Mais je pense que quand la paix se fera, il nous faudra une
excellente santé pour supporter cette bonne nouvelle.
Déjà que pour le loto il faut un psychanalyste pour
prévenir le gagnant.
Alors vous pensez LA PAIX .......
Par Printania (Printania) le mardi 07 octobre 2003 - 14h13: |
Nos traditions sont nos rites, le dogme étant ce qu’il est.
Depuis notre plus tendre enfance, nous avions pour habitude, d’aller en famille, femmes et enfants, se faire bénir sous le talit du papa, pour la prière des Cohanim.
Que de joie ! Que de ferveur ! Que de respect !
Comme nous étions heureux d’embrasser nos parents, nos frères, nos sœurs.
Nous attendions avec fébrilité et crainte, le son du soffar, qui nous libérait de notre jeûne et qui voulait également signifier que nous étions absous, pardonnés.
Nous avons voulu perpétuer ces habitudes, ces traditions ; Nos femmes ne reconnaissent pas ce jour saint sans cette bénédiction à laquelle elles tiennent tant.
Les jeunes barbus fanatisés par des aînés obtus, par des idées d’un autre âge, nous ont relégués dans une arrière-salle, pour nous autoriser du bout des lèvres à pratiquer nos bénédictions profanes à leurs yeux.
Ils laissaient la porte de séparation ouverte, comme une dérogation, une faveur, et nous avertissaient du cri si attendu « Cohanim ! », pour que, enfants et petits-enfants se regroupent sous le châle de l’aïeul.
Au fur et à mesure, même cette « dérogation » veut nous être ôtée.
Hier, on a voulu fermer la porte de séparation et le cri espéré n’a pas été poussé.
Il a fallu que l’on se débrouille avec les moyens du bord.
Si c’est comme cela qu’ils veulent nous faire rejoindre leurs rangs, ils ne s’y prendraient pas autrement, pour nous faire fuir.
Par Albert (Albert) le mardi 07 octobre 2003 - 13h57: |
Je me condense et je viens
Ma poule farcie a fait naitre des ailes.Attends
je vais la maitriser par les cuisses et je reviens.
Bonne annèe Maxiton.
Par Printania (Printania) le mardi 07 octobre 2003 - 13h25: |
Cher Maxiton, bonne fête !
Comme tu as raison, comme tu dis vrai !
Aujourd’hui on ne respecte plus la maison de son hôte.
Il ne doit pas déboucher la bouteille de vin.
On impose sa façon de vivre, de prier, de manger.
J’ai vu des cas de personnes invitées à un barbecue, qui demandaient l’argent pour acheter la viande, qui exigeaient que la vaisselle soit en plastique, que le grill soit neuf, que leurs épouses soient aux fourneaux, etc.
Ah ! Mon cher Maxiton, je ne veux choquer personne, je me retiens pour ne pas leur envoyer quelques noms d’oiseaux.
Par Printania (Printania) le mardi 07 octobre 2003 - 12h53: |
Les prières ont-elles porté leurs fruits?
Yasser Arafat est malade
Arouts sheva. 12:20 07 Octobre 2003
Les rumeurs concernant l’état de santé du chef de l’Autorité palestinienne vont bon train.
A Jérusalem, on suit pas à pas les symptômes de Yasser Arafat qui, selon ses médecins, souffre d’une infection sérieuse au foie.
Un de ses médecins lui a conseillé de se faire opérer le plus rapidement possible. Arafat a craché à la figure de l’un de ses proches, vraisemblablement Taïb Abdel Rahim, qui lui aussi l’exhortait à se rendre en Jordanie pour y être traité : «Je ne sors pas d’ici. Vous savez très bien que si je pars, je ne reviendrai jamais» a-t-il déclaré.
Albert, ses jours sont-ils comptés?
Ou bien nous fait-il le coup de Bourguiba, qui était constamment malade, pour qu'on le laisse mourir en paix.
Il les a tous enterrés.