Par Albert (Albert) le mardi 07 octobre 2003 - 18h45: |
Wness t es sur que c'est pas la BILIADA et pas la Bilada.
Par Albert (Albert) le mardi 07 octobre 2003 - 18h44: |
Et celui là, mon jeune voisin, qui s'est prit d'amour soudainement par la foi, au risque de voir son visage changer de couleur; il est devenu comme 'talquè' par la spiritualitè, du jour au lendemain. Barnita melon et papillotte. C'était la première fois de ma vie que je voyais ça.
Il a imposè à ses parents de ne plus tourner la pomme en porcelaine du WC, c'est à dire de laisser la porte entre-baillèe pendant le chabath, bref, le pére mechkin ,très religieux n'en pouvant plus, a prit une radda....sa maman la povre ne savait plus quoi faire...Bref, le papa, mchè.... Mét ( mort) à un âge raisonnable.
Par Printania (Printania) le mardi 07 octobre 2003 - 18h37: |
La Douda.
Et la Bilada c'est quoi, d'après toi?
Pas une veillée?
Par Albert (Albert) le mardi 07 octobre 2003 - 18h35: |
Maxiton,
Tu te trompes dans le compte, il y quatre sorte de juifs.
Tu as oubliè qu'à soucoth, le loulav reprèsente ces quatres là, où sommes nous cataloguès....!!!!
Par Printania (Printania) le mardi 07 octobre 2003 - 18h35: |
Un jour, sur le boulevard de Belleville, je rencontre un ami, une casserole à la main.
« Bonjour ! Où vas-tu avec cette casserole ? »
« Je vais la cachériser au mikvé. »
« C’est nouveau, cela ? Qu’est-ce qui te prend soudainement ? »
« C’est mon fils, qui me l’a imposé, depuis qu’il fréquente un rav ; sinon il ne mange plus à la maison ; je ne veux pas que sa mère meure de chagrin. »
Voyez-vous ? Je n’ai pas osé lui dire, qu’il aurait mieux fait, de foutre un bon coup de pied au cul de son fils.
Une autre fois, un autre ami.
« Notre fils nous a obligés à changer toute notre vaisselle, sinon il ne mange plus la cuisine de sa mère. »
« Attends, mais tu as toujours mangé Cacher, je te connais depuis la Goulette ainsi que ton épouse, ta mère était très pratiquante, toute ta famille également. »
« C’est vrai, mais il a été influencé par un rabbin, il n’écoute que lui. Que pouvons-nous faire, sinon nous plier à ses exigences? »
Par Albert (Albert) le mardi 07 octobre 2003 - 18h32: |
Canari...Ye yassfour.
Lol
Par Maxiton (Maxiton) le mardi 07 octobre 2003 - 17h54: |
une question idiote :
il y a quelque temps le grand rabbin Joseph Sitruk aurait
declare ne consommer que de la viande ' glatt casher ''
Autrement dit le certificat du Beth- Din délivré par les
services du grand rabbinat, n'est bon que pour les
corniauds comme moi.
Et qu'il y a deux sortes de juifs : les éclairés et les autres
et c'est surenchère que je trouve mortelle,
Par Wnes (Wnes) le mardi 07 octobre 2003 - 18h00: |
La Douda Hak El Ouet Tracking Station :
Velada en espagnol ne veut pas dire bilada, mais veillée forme féminine du participe passé du verbe velar qui se traduit par veiller, même à ce niveau cela ne veut pas dire la veille, ni le lendemain, et encore moins le baptême au sécateur, ou l'alliance...etc...
Par contre Bilada est étymologiquement beaucoup plus proche d'un organe mâle que nous appelions BELALA, dans notre bled d' Aïn Zaghouan : CQFD...Zekch !
Envoies les noms d'oiseaux, ne te retiens pas, qu'on rigole un coup !
Les jeunes barbus fanatisés par des aînés obtus, doivent être laissés à leurs fantasmes, constitués uniquement de dogme et de loi, si l'on ne veut pas qu'ils nous importunent, il faut se tenir loin des lieux qu'ils fréquentent, car il ont sont comme ceux d'en face qu'ils disent vouloir combattre, et comme l'électron et le positron il finiront, s'ils se rencontrent par mutuellement s'annihiler.
Le problème de la vache folle ne touche pas, les sages qui pour être sure de manger cacher, mangent un poisson bien connu chez nous appelé " Bourri ", il a des écailles et des nageoires, il est sauvage donc pas nourri avec des croquettes de vache folle, il n'est pas assez cher pour être trafiqué, il procure de l'Adam Hout, et autres vitamines qui régalent le palais des connaisseurs, tout en remplaçant avantageusement le Viagra. Mais il est très mal vu des ecclésiastiques, car sur le Bourri on ne peut pas prélever d'impôts, du genre Bet...je ne sais quoi..,
Quant à la tolérance, conçue dans un esprit de condescendance, c'est une mauvaise chose, on ne doit pas dire que l'on est tolérant, il vaut mieux ne rien dire du tout. Par contre l'intolérance, qui n'est pas le contraire de la tolérance, c'est une plaie qui doit empoisonne l'humanité et qui à ce titre doit être combattue.
LeTarfiste :
A bientôt sur nos lignes,
Wnessou El Douda
Par Albert (Albert) le mardi 07 octobre 2003 - 17h28: |
Henri,
Il y a deux choses bien distintes quand nous intervenons ici. Ou ailleurs. Il y le cotè amuseur et le cotè sérieux. A ne pas confondre.
Ici nous parlons de choses sérieuses et loin de nous de dénigrer qui que soit. Il faut reconnaitre que les loubas et même ceux qui ne le sont pas ont crèe un climat propice à leur convenance dans le bon sens certainement au détriment de nos traditions tunisiennes.Nous avons étè éduquè selon un rite sépahrade. Est ce que ce rite aujourd'hii est considèrè comme nul et non avenu parce que des asecnazes sont venus faire le grand néttoyage de l'esprit...tune.
Doit on comprendre alors que tous ce que nous ont enseignè nos rabbins étaient contraire à nos anciennes convictions.... ? Ont ils le droit, et je ne parle de toi, de nous imposer des coutumes et traditions dont ils maitrisent peut être mal les tenants et aboutissants...? Ont ils le droit alors que notre éducation religieuse était saine, de venir nous 'inventer des pratiques' beth glad etc.... alors que le mot Cacher nous suffisait à Tunis. As tu la certitude, et je m'adresse à toi, comme le dit Printania que tu es bien dans le meilleur des mondes..?
Nous sommes loin de polémiquer sur un sujet mille fois débattus, mais ce qui nous hérisse les poils est cette méthode louba qui veut que nous ne soyons pas des juifs parfaits tant que nous ne ne suivons pas leurs préceptes.Moi, je continuerai à vivre selon mes convictions. Je ne fais de mal à personne.
Et c'est pas le clown qui te répond c'est un juif sérieux qui n'est pas très religieux mais qui croit en D ieu. Tel que l'on me l'a apprit autrefois.
Par Albert (Albert) le mardi 07 octobre 2003 - 17h10: |
Comme on dit hazak ou baroukh....
Je souhaite vraiment que Arafat soit le problème à dissoudre. Vraiment. Ton optimisme me rassure mais est ce que vous pensez tous comme ça...?
Henri..... J'aimerai tant rever...Moi, qui rêve de moins en moins. Rabi yester.
Chana tova et kol ââm bkhir i bââd ââlikom él mard wél méchékèl...
Nous sommes ici comme des spectateurs impuissants.
Nous pouvons que vous reconforter.
Parfois ma conscience me tue. In yaddin el mektoub.
Par Printania (Printania) le mardi 07 octobre 2003 - 17h08: |
Mon ami Henri.
Vois-tu si j’avais écouté notre cher Maxiton, et que j’avais joué au loto, j’aurais gagné le gros lot.
Sais-tu pourquoi ?
Parce que j’étais certain que tu allais intervenir et me répondre.
Alors, puisque tu veux disserter, sois le bienvenu et permets-moi de te guider.
Nous allons reprendre, point par point, ce que tu as écrit et essayer d’apporter des éclaircissements.
Je demeure persuadé que tu voudras bien jouer le jeu.
« Chez nous les Tunes, une grande partie de la religion était du folklore. »
C’est bien vrai, à tes yeux seulement ; dis-moi alors pourquoi les plus grands Rabbanim sont issus de Tunisie ?
« Tunis était cacher, ce n'est plus le même cas aujourd’hui où il faut vraiment être très savant pour savoir tout ce qui est ajouté dans les aliments, pour améliorer le goût , la couleur, et j'en passe »
Là, je ne comprends pas du tout.
Devrais-je alors me méfier de mon boucher qui a la « Té’ouda » et qui peut fait n’importe quoi ?
Toi qui vis en Israël, sais-tu que l’on n’a pas besoin de savoir qui est derrière les fourneaux, un rabbin où un mécréant, pour manger chez lui, à la condition qu’une feuille de papier ridicule soit accrochée à sa devanture.
La vache folle n’existe pas en Israël ?
« Les rabbins à l'époque n'avaient pas a lutter contre l'assimilation qui fait des ravages aujourd’hui même en Israël, Ils étaient plus "cool" mais la halaha n'a pas changé, et l'interdiction du mélange femme homme a la synagogue a toujours existé mais un peu ignorée. On est Tune ou non? Un peu a la bab ala. »
Ah bon ! Tu trouves qu’à l’époque nous étions à l’âge de la pierre ?
De quelle assimilation parles-tu ?
Est-il normal qu’un père ne peut pas bénir sa famille JUIVE, sous prétexte que la femme est ignorée par votre obscurantisme ?
Les rabbins étaient plus cool, dis-tu ?
Sais-tu au moins qu’en Tunisie il y avait des inspecteurs de la communauté qui faisaient la chasse aux bouchers ou restaurateurs, qui vendaient « cacher », et que s’ils surprenaient l’un d’eux, ne serait-ce assis à la terrasse d’un café, un jour de shabbat, ils lui retiraient l’autorisation.
Aujourd’hui, ces marchants partent en W.E. à Deauville ou à Eilat, en bagnole, ils fument à shabbat, au vu et au su de tout le monde.
Ils payent la Té’ouda et tout le monde est content.
Ta religion est la religion de l’argent, et la loi du plus riche est toujours la meilleure.
Ne me dis pas le contraire, stp.
Moi, je trouve écœurant qu’un enfant renie sa mère, qui l’a enfanté dans la douleur, qui l’a veillé quand il était malade, qui l’a nourri, parce qu’elle est femme.
Moi je trouve honteux qu’un garçon n’embrasse pas sa sœur, parce qu’elle est femme.
Moi je trouve honteux que les hommes dictent les lois.
Sais-tu ce que je pense d’eux ?
Ce sont des personnes complexées, malades de leur pourvoir ridicule.
Sais-tu ce que les femmes pensent d’eux.
Que ce sont des cons.
Surtout continuez à répéter à l’envi, au cours de votre prière matinale :
« Barouch ata Adoshem, elokenou melech ha ‘ôlam, shé lo ‘âssani isha!”
Vous ne méritez pas qu’Il vous crée femmes, vous n’avez pas droit à cet honneur.
Mon cher Henri, au risque de te décevoir, la Thora je la connais autant que toi, mais je la lis avec des yeux différents.
Je suis tolérant et je vomis les intolérants.
Oui, je continuerai à vous amuser, comme tu le dis, mais ne me prends surtout pas pour un clown.
Par Albert (Albert) le mardi 07 octobre 2003 - 15h47: |
Ce spoir le suite de la pièce la Belguè III