Archive jusqu'au 12/octobre/2003

Discus: Le Petit Théâtre de Breitou: Archives 2003: Archive Octobre 2003: Archive jusqu'au 12/octobre/2003
Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Maxiton (Maxiton) le dimanche 12 octobre 2003 - 14h31:

Albert , Printania - par ordre alphabétique :) :) -

Ne vous laissez pas manipuler.

A qui votre désunion profite-t-elle ?

Ibn gabirol a écrit :

mon ami est celui qui me révèle mes fautes en privé

Il a aussi écrit :

il y a trois sortes d'amis :

Ceux sans lesquels , comme la nourriture, on ne peut pas
vivre
Ceux dont , comme les médecins, on n'a besoin
qu'occasionnellement
Ceux enfin dont, comme la maladie , on peut se passer
sans problème.

le pardon entre les hommes c'est l'affaire des hommes.

allez haverim souriez, revenez-nous vite, après avoir jeté
vos pêchés dans la rivière la plus proche

Amitiés à vous deux

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Printania (Printania) le dimanche 12 octobre 2003 - 16h16:

Ô rage! Ô Désespoir ! Ô vieillesse ennemie !
N'ai-je donc tant vécu que pour cette infamie ?
Et ne suis-je blanchi dans les travaux guerriers
Que pour voir en un jour flétrir tant de lauriers ?
Ô cruel souvenir de ma gloire passée!
Oeuvre de tant de jours en un jour effacée !
Nouvelle dignité, fatale à mon bonheur !
Précipice élevé d'où tombe mon honneur !

Vous ne voulez pas me laisser partir dans la dignité.
Vous m’influencez pour ne pas fréquenter d’autres gens.
Vous me menacez, comme une maman qui veut retenir ses enfants, et qui fait des simagrées de fausse maladie, de fausses douleurs.
Vous insinuez que Wnes n’est pas fréquentable ; c’est une ignominie !
Dites-moi donc ce qu’il y a de déshonorant que l’on vous associe à moi, que mon nom et le vôtre soient réunis.
C’est cela que vos parents vous ont inculqué, alors que moi, au sortir de l’école je partageais avec mon ami, la qarmouda que ma mère avait garnie de la boulette du vendredi ?
C’est donc cette h’aqra que vous avez héritée, qui ressort du tréfonds de vous-même ?
Jamais je n’aurais imaginé tant d’honneur que l’on mêle mon nom à celui de Toufiq ou à celui de la Douda, quelle joie ! Quel Kavod !
Vous voulez me téléphoner, pourquoi pas ? Vous aurez la standardiste aux abonnés absents.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le dimanche 12 octobre 2003 - 10h14:

Oui, il était une fois dans le quartier nord de la Goulette, un enfant né ……

Il a grandi parmi sa famille modeste qui ne vivait pas dans la dentelle. Alla halem.. Avec des gênes qu'il hérita de son père, la Mnéha et surtout pas le 'Chen'
( la haine).

Sans doute que cette dernière n'appartient pas aux pauvres. Il a fait connaissance avec la rue et surtout fréquentè ses amis de quartier et de palier. Il avait surtout cette faculté de ne pas savoir dire 'fâché' en levant ce signe des doigts, reconnaissable dans son adolescence.

Alors, quand on le lui faisait pour un oui ou pour un non, il en ressentait une grande peine. Mais ne voulant pas reconnaître cette élévation de l'index et du pouce, qui lui était destine, il faisait tout pour envoyer un ami émissaire, demander à la partie adverse la réconciliation, la paix, en pensant sans doute que l'amitié ne méritait pas d'être rompue pour des futilités qu'ils jugeaient mesquines. Déjà à cet âge là. Il avait compris alors qu'il y avait là , une certaine injustice lorsqu'on essayait de lui reprocher sa conduite alors qu'il se sentait innocent. Du moins selon son appréciation juvénile.

Et il a vieillit avec cet esprit là. Que peut-il donc faire contre cela…!

Il ne conçoit pas que l'on ne lui parle plus. Tout le monde le sait, même ceux du cafè d'autrefois dans lequel il avait eu plein d'amis. Et il a su garder ces liens même parfois en étant hypocrite, envers l'un et l'autre dans le seul but de ne pas ajouter de l 'huile sur le feu dans ces querelles, stériles.

Tout le monde sait qu'il blasphème, pourquoi le cacher mais D ieu ne prend pas sur lui parce qu 'il sait qu'il a bon cœur.

Tu sais bien que je te rappellerai, même si tu m'as 'farwodder', je sais bien que tu donneras des consignes à ta femme ou a ton fils en disant que tu n'es pas là alors que tu es assis près de ton ordinateur…As tu vraiment le cœur de ne pas me répondre???? As tu vraiment cette non -sensibilité alors que je sais pertinemment que tu as du cœur…? Vraiment, je respecte ta fâcherie envers moi et puis t'ais-je répondu incorrectement pour que tu passe pour une victime aux yeux de tous ces gens là qui nous lisent..? Est ce moi qui est mis ton très bel article me glorifiant..? Le soir d'un chabbat alors que je suis 'Chomer ', si je n'ai pas répondu vendredi c 'est que j'avais ma famille ici. Et que je n'ouvre plus l'ordinateur en présence de mon gendre religieux. Voilà qu'à présent je dois justifier mes réactions.

Tu as pris les devants en me reprochant, comme un vil assassin que je ne suis pas, des imperfections dont je ne me reconnais pas. Tu as vraiment le courage de me laisser tomber comme une vieille serviette, après tant d'heures de rires et de 'tmènik'..? C'est ça Printania….? Tu veux bannir ton ami???? Tu veux aller enfiler des perles avec la Douda qui n'a même pas le sou pour te payer un cafè amer..? Tu viens de lui donner un féjya le pauvre. Je vous vois bien, assis cote à cote, sur un môle, en short, les pieds presque dans l'eau de Zaghouan, avec deux bérets sur la tête entrain d'enfiler des perles, drôle de métier d'enfileur de perles à ton âge alors que tu es semi-conducteur-directeur du PTB. Après ton titre honorifique, te voilà devenu un quelconque personnage, un enfileur de perles….Bââd él yaj … Quelle triste fin de gloire.
Et l'autre l'indien qui perd le nord, le petit directeur d'agence indienne matrimoniale, qui arrive en courant pour rectifier le tir, mechkine, él fejya èlli khdè'hè….Il a dut se dire '… Mais Bon Shiva qu'est ce que j 'ai fais….! Dans cette galère…! ' Il a fait son enquête et il nous donne ses résultats des courses….Et sa déduction sortie tout droit de Harvard prouve sa gentillesse.. Mechkine…Lui qui sort tous les 78 ans ici, comme la comète de Halley Wood….? Je ne parle même pas de la Douda qui attend d'apparaître tous les minuits, à l' heure de Cendrillon pour venir se gloser de nos déboires…Enfin, deux goulettois qui se disputent ….! Quel spectacle….Inédit…!

Et la Sibylle, sortie de son doux sommeil angélique, la Marquise, qui toute pleine de remords s'en sort comme un cheveu dans la soupe. Avec milles regrets confondus dans cette dérnière.

Vraiment, j'en ris….Cà c'est du spectacle que vous ne trouverez nulle part ailleurs qu'ici. Quels artistes de cabanon nous sommes….! Et je ne crois pas que l'on nous prendra de l'œil cette fois çi…! Si c'est pas déjà fait, il y en a de ceux qui doivent jubiler en sourdine…Tant bien leur fasse..

E'hni en kolok mé tahkarnich louken en' yatèck rad'wa…!

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Wnes (Wnes) le dimanche 12 octobre 2003 - 01h01:

La Douda ( Hak El Ouet International Tracking Station )

Le Tarfiste :

L'affaire Jules Laskar :

Coup de théâtre sous le soleil Goulettois ! l'inspecteur Boulalik ayant été victime du Syndrome Rasra Al Sabate, S.R.A.S., à force de faire le pieds de grue, pour ftiler tous les pseudo protagonistes prétendument liés à Jules Laskar, mainte fois cités dans les rapports qu'il a concocté afin de faire tomber le Théâtre, pour le faire dissoudre par la justice Goulettoise, et l'acquérir pour une bouchée de Khobz tabouna, Boulalik n'a rien vue du piège que lui avait tendu, le commissaire Hamadi Boulice, ...

... voici donc les faits,

Un soir que Wnessou, après une soirée abondamment à force de huitièmes boukha, le Wnessou en question décida de soulager sa vessie débordante sur un réverbère de Hak El Ouet, et comme notre ami voyait déjà double, ce qu'il prit pour un réverbère, n'étaient que les deux jambes du pantalon du fameux inspecteur.

* Qui es-tu pour oser commettre un tel outrage à magistrat ?

Le Baouèl répondit :

* Mais tu ne me reconnais donc pas, je suis Printania répondit Wnessou !

* Quoi ya roul ? Mais je te connais, tu es Bébert De Hak El Ouet ! papiers fissa !

Quand surgissant de l'ombre, le commissaire Hamadi, passa prestement les menottes à Boulalik lui déclarant :

* Tu vois bien que ces papiers sont au nom de Wnessou, tu mélanges tout, c'est donc pour cela que La Magistrature ne comprend plus rien, à toutes les élucubration de tes rapports d'enquêtes, et c'est toi qui va tomber pour : entrave à la Justice, tafardage de rapports, propagation de fausses rumeurs, outrage à magistrats et aux bonnes moeurs,... et j'en passe, ton compte est bon Zekch !, c'est bien le bagne de l'Île Chikly, qui t'attend pour y prendre pension, pour de nombreuses années.

Mais voilà, La Justice Goulettoise dans sa grande mansuétude, conclue à une irresponsabilité de l'inculpé, dont l'avocat El Fenech ( encore celui là, on le croyait à la retraite ) plaida le surmenage, étant donné les manques d'effectifs policiers, suite à des restrictions budgétaires, de notre Principauté. Le juges l'envoyèrent en cure de repos pour quelques mois à la Manouba.

De ce fait, les enquêtes sur le compte du Sieur Jules Laskar, sont à reprendre à Zéro, tous les pseudo protagonistes, alias, clones et autre complices, sont relaxés jusqu'à la conclusion des nouvelles investigations, qui sont désormais confiées à l'inspecteur Boulakia.

Jules Laskar l'escroc notoire, échappe donc une fois de plus au glaive de La Justice Goulettoise, et les autres dont notre célèbre Bébert De Hak El Ouet, peut dormir du sommeil du Juste parmi les Justes, sans oublier de se réveiller afin de nous régaler de ses écrits personnels, car l'esclavage ayant été abolis depuis des lustres, on est légitimement en droit de conclure, que ces fameux nègres, n'ont jamais existé que dans l'esprit malade, d'un mraz comme Boulalik.

Mais attention, prudence, car chez nous les rumeurs et les réputations peuvent se révéler avoir la vie dure, car on est avant tout des Goulettois, et la police ayant la dent dure, Boulakia pourrait bien trouver encore quelques cadavres qui traînent dans les placards, qui sait... ?

Mais ça c'est une autre histoire à venir... !Zekch !

Wnessou El Douda

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Toufiq (Toufiq) le dimanche 12 octobre 2003 - 02h27:

RESULTAT D'ENQUETTE:
Apres avoir passe au peigne fin brousse et jungle
oasis et villages de paillottes,interviewe
mains indigenes et ecume biblioteques et librairies,les faits et situations suivantes ont ete formellement et indiscutablement etablis
article premier:
il ny a qu'un seul et unique albert
article second:
le sus nomme est l'unique et seul auteur
de nombreuses et variees oeuvres literaires,poetique set humoristiques
dont les heureux et fortunes lecteurs du PTB
ont le privilege de decouvrir journellement,Sabbat compris,grace au decalage horaire).
article trois:
l'honorable printania est derechef declare
entite litteraire individuelle,separee et de grand merite.
aricle quatre:
la commission rogatoire n'a trouve aucunne trace
des denommes"automnia " et "hivernia"

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le samedi 11 octobre 2003 - 21h53:

Albert Simèoni.

Poème le 11/10/2003

Automne…
Tout s'envole..

Feuilles craquantes sous nos pas désabusés
Sur nos anciens pavés mouillés.
Envolée d'une nuée d'alouettes effrayées, en rang serré.

Automne
Où tout s'isole...

De l'insecte qui se terre, à l'abri du rayon.
Jusqu'au rampant qui fuit dans le buisson.

Automne.
Où tout fuit....

Chassés par le vent
Les vieux moutons gris/blancs
En nuages formés
S'éparpillent sous le souffle chantant
D'Eole, à l'insu de leurs bergers.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le samedi 11 octobre 2003 - 21h16:

Il était une fois un amuseur....

Tu vois au moins là, le doute n'est plus permis, à présent ta réponse vaut de l'or parce que tu viens d'ôter le doute qui habitait aux lecteurs du Théâtre.

Ta mise au point m'honore et j'ajouterai même que si tu venais à la boutique me gifler je ne te répondrais pas parce que j'ai trop d'estime pour toi et cela jusqu'à la fin de ma vie.
Tu peux même me gronder par téléphone mais jamais je n'élèverai la voix envers toi. En tabess rassi.

Tu dois le savoir et je t'ai même demande de me faire un jour, bââd amor twil, mon éloge funèbre ici, parce que j'estime que tu es le seul capable de le faire. J'apporte cependant une précision, juste un détail, qui ne vaut rien aux yeux des lecteurs, nous étions complémentaires, dans nos échanges en direct.

Mais la plupart de mes textes, pièces etc... sont de mon crû. Pour 99%.
Je ne réponds plus au téléphone...? Mais tu ne pas appelé à ce que je sache...Déserter le théâtre ...? Menacer...? Pourquoi donc..? Je ne quitterai pas le bateau comme un rat. Taquiner à sens unique ??? Mais la Douda n'à fait que ça et même toi tu l'as fait...Moi aussi, j'en ai abusé. Ce qui est insupportable c'est de s'entendre dire à répétition que j'ai un nègre derrière moi alors que je les vois du matin au soir. Ce soupçon m'a déjà était dit il y un an et j'en ai pris ombrage, j'ai du même faire appel au webmaster pour remettre les pendules à l'heure.

C'est bien moi qui te suppliais de rentrer avec moi non??? Alors....Que me reproches tu??? De me fâcher...? Oui et alors, je suis le seul à mettre dérisionner ici à deux reprises. Et ce n'est pas ça. Franchement, je ne vois pas en quoi prendre du recul serait contraire à ma liberté de mouvement.

Eye en'habèk kif khouyè, je le dis ici même si celà ne te plait pas, contre vents et marées.
Hier tu m'as dit 'bérèd rouhèk...' wél'youm dji tââ'mèli dout'chè bardè...Eh'n,è béch en yâân'dèk, ou nèmchi mout mouch khir.

Tu peux continuer cela ne me gêne pas après tout nous sommes en famille ...Non..?

Raby yatik lamor twil amin, maboul enti yomri mén koss lah'bel mââk. El soh'biyè mé toukéfch ââl rây mta él lââ'dwén. Ouya baba...Q'albi safi ..

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Printania (Printania) le samedi 11 octobre 2003 - 20h06:

IL ETAIT UNE FOIS.

Il était une fois, un garçon charmant, amuseur et amusant.
Il adorait rire et faire rire, ce qui n’est pas à la portée du premier quidam venu.
Il s’était pris d’amour tendre pour un site informatique, au point qu’il lui arrivait de négliger sa famille, ses amis.
Depuis, son seul plaisir était de raconter la vie de son village natal, de relater des anecdotes sur les membres de sa famille, ses voisins, ses amis.
De fil en aiguille, il a voulu « dérisonner », comme il l’écrivait si bien, voulant donner une forme conjuguée au mot « dérision. »
Parfois, à court d’idées, il se tournait vers son ami, qu’il disait aimer par-dessous tout, pour lui demander des idées, des conseils, et également pour le prier d’apporter un complément satirique à ses commentaires.
Tout allait bien dans le meilleur des mondes possibles.
Jusqu’au jour où !
Jusqu’au jour où l’on ne sait pour quelle raison, il a cru déceler chez certains intervenants un doute.
Cette perplexité lui avait été soufflée par un visiteur, qui lui avait fait remarquer que ses écrits n’étaient pas de lui, qu’il avait un « nègre. »
Notre ami a été outré au point de se tourner vers son confident.
Ce confident voyant matière à rire, surtout à « faire marcher » le garçon, s’est pris au jeu, avec la complicité d’autres harissiens, pour faire croire qu’ils étaient également sceptiques.
Ce que l’on ne voyait pas venir arriva, notre ami au lieu de rire de cette farce qu’il a lui-même alimentée, s’est fâché tout rouge.
Il ne répond plus au téléphone, il n’écrit plus, il menace de s’en aller définitivement.
Il accuse tout le monde, il voit des cabales partout, il s’en prend au ciel et à la terre.
Je voudrais lui dire ceci :
Quand on ne sait pas rire, quand on ne veut taquiner qu’à sens unique, quand on ne connaît pas ses amis, on s’abstient de se dire amuseur, comique ou clown.
On ne se proclame pas directeur d’un théâtre en n’acceptant que des pièces d’un seul genre d’humour.
L’humour corrosif, sans blesser, sans insulter, sans faire mal, est le plus prisé.
Aujourd’hui on manque d’occasions de rire, de s’amuser, de déconner ; Alors chaque fois que cela se présente, nous tombons dessus comme la vérole sur le bas clergé.
C’est désolant que dans du virtuel, tout soit pris au premier degré.

Wnes, mon frère, j'espère que tu voudras de moi, dans ton équipe d'enfileurs de perles.
J'ai rompu unilatéralement mon contrat avec le théâtre.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Printania (Printania) le samedi 11 octobre 2003 - 07h55:

Sybille, Wnes alias la Douda, Toufiq des anges, aidez-moi!!!!!!
Je peaufine ma défense.
Pouvons-nous être deux en un?
Pouvons-nous utiliser deux pseudos en un?
Pouvons-nous être revers et avers? (Pas comme la monnaie du Zimbabwe, qui n’a été imprimée que sur une seule face.)
Pouvons-nous être blanc et bleu et non blanc-bleu?
Pouvons-nous être pile ou face, moi je connais les "double-face."
Pouvons-nous être recto et verso?
Pouvons-nous être cul et chemise ?
Pouvons-nous être devant et derrière ?
Pour être tout cela à la fois, il faut avoir des complicités au sein de l’organisation centrale.
Vos enquêtes respectives, bien que lancées en ordre dispersé, vont nous éclairer, en ce jour de repos où la lumière est utilisée avec parcimonie.
Il faut que la vérité éclate, nous ne pouvons plus vivre dans la ghasra (angoisse), dans le batel (injustice), dans la jejuita (hypocrisie), dans le tfeyshikh (la moquerie), dans la zaneqa (impasse), il nous faut de la riaqa (jouissance), du mname (rêve), de la dhah’ka (rire), de la fedlikah (plaisanterie.)
Le PTB n’est pas un plat fade (pas le fade, mets de tripes que l’on sert particulièrement à Pessah’), c’est Espace du rire, de la poésie, du chant, et de l'émotion. Ouvert à tous.
Et que celui qui ne sait pas rire, aille se faire cuire un œuf.
N’est-ce pas Albert ?

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Wnes (Wnes) le samedi 11 octobre 2003 - 01h34:

La Douda ( Hak El Ouet International Tracking Station )

Le Tarfiste :

L'affaire Jules Laskar suite rocambolesque, rapport de Police Scientifique et Judiciaire :

L'inspecteur Boulalik précise, dans son rapport, que le fameux inculpé, n'est autre que Sieur Bébert La Sardine, alias Printania, alias prétendu de Wnessou dont il a usurpé les nombreux écrits de La Douda, en débauchant forces de nègres de cette même agence pour les réduire en esclavage, afin de leur faire cracher les morceau choisis, parmi toutes les compilations, alias aussi de Sieur Baabous De Hak El Ouet, sois disant Sfaxien, avec ordre de pirater le style de constructions des phrases et de la phraséologie, et de mettre ainsi La Douda dans un grand embarras vis avis des clients de cette agence Goulettoise, lors de la publication sur son sois disant théâtre de son livre " 99 dinars "

On imagine volontiers que M. Bébert, auteur de " 99 francs ", et aussi acharné pourfendeur de l'argent-roi apparaisse-t-il dans les gazettes, s'est peut-être laissé aller - dans l'intimité du cercle familial et loin des sunlights -, à féliciter son sois disant cousin Sieur Baabous, officiellement détenteur depuis le 13 septembre dernier d'une fortune évaluée à plus de 300 millions de dinars-or. Ce que nous ne saurions néanmoins affirmer avec certitude, au vu notamment de la désinvolture blasée avec laquelle M. Bébert est nécessairement conduit à négliger ces contingences subalternes, comme nous n'allons pas tarder à le comprendre.

Ce que l'on n'imaginait en revanche apparemment pas du tout, du moins aucun des medias attachés à sa promotion n'a-t-il jugé bon d'en formuler l'hypothèse, c'est que le même Sieur Bébert, grand pourfendeur de l'argent-roi dans les gazettes et à la télévision, puisse avoir lui-même à l'occasion - ce qui ne manquerait pas de le conforter dans son cynisme désabusé traversé de flamboyances vindicatives -, perçu quelques gratifications à l'occasion de ce miraculeux rachat. Non de ses péchés, mais de la société de son illustre et sois disant cousin, alors que tout ce beau monde, ne feraient selon l'inspecteur Boulalik, qu'un seul et même coupable.

Il serait totalement inopérant à ce stade que les légions d'ennemis que Sieur Bébert n'a pas manqué de se créer en accablant la Goulette de ses pénibles fadaises se précipitent sur tous les documents légaux émis par la société Self-Trade. On n'y trouve bien évidemment aucune trace de ce trop fameux Bébert.

En revanche les cohortes d'ennemis précités de Sieur Bébert trouveront le plus grand bénéfice - moral -, à consulter les statuts d'une société " Breïtouna ", que les fondateurs de ladite société n'ont pu faire autrement que de les déposer auprès du greffe du Tribunal de commerce de La Goulette le 21 décembre 1999.

Il appert en effet à la consultation des statuts de ladite société Breïtouna, une Société anonyme au capital social de 250 000 dinars créée le 25 novembre 1999, et qui se présente comme un " Organisme de placement en valeur mobilières ", dotée d'un code Sicovam, qu'elle a pour Président de son Conseil d'administration le Sieur Laskar. Et qu'elle compte deux autres administrateurs :

Dame Gaston, et Demoiselle Gaston fille : toutes subornées, séduites et abandonnées, au cours de multiples bains rituels, après que le laskar leur fit connaître la soit disant Clé du Paradis, leur promettant l'éternel plaisir de la chaire et des sens !

Sieur Bébert, auteur maudit auto-proclamé, ex-publicitaire, homme-tronc à la télévision, dont le roman " 99 dinars", charge insoutenable contre l'argent-roi et le terrorisme publicitaire lui a valu, selon ses dires, d'être licencié par son employeur, l'agence La Douda, est donc administrateur depuis le 21 décembre 1999 d'un organisme de placement en valeurs mobilières, dont le siège social est sis 16, rue Roosvelt à Hak El Ouet.

La chronologie atteste qu'il a accepté cette charge avant d'être licencié par son employeur. Elle permet tout autant d'augurer que la rédaction de " 99 dinars " n'aura très probablement débuté qu'après que Sieur Bébert aît accepté ladite charge.

Peut-être même le fait d'accepter de se voir investir dans pareilles fonctions, en apparence - en apparence seulement -, fort peu compatibles avec les débordements " révolutionnaires " dont il accable les lecteurs de " 99 dinars ", participe-t-il pleinement de la mystérieuse alchimie de l'écriture ?

Faute d'avoir interrogé Sieur Bébert sur ce point précis, l'inspecteut Boulalik ne se hasardera pas plus avant à émettre d'aussi périlleuses hypothèses.

Ceci d'autant plus que des investigations complémentaires - relativement sommaires au demeurant, et à la portée de tout journaliste, même débutant -, apportent un intéressant éclairage sur l'activité de cette mystérieuse société " Breïtouna ".

Suite des enquêtes au prochain numero...

Wnessou El Douda

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Sibylle (Sibylle) le vendredi 10 octobre 2003 - 23h28:

Vous avez osé me déranger un vendredi soir, moi qui avais prévue de faire du ski nautique en tenu de ski, vue que la météo a prévue une baisse de température, je croyais pouvoir passer un wk tranquilou, et voila que mon greffier me téléphone, pour me dire quoi !!!!!!!!!! Que l’on soupçonne qu’au sein même du PTB, il y aurait une infraction à l’ordre moral des auteurs humoristes.
Le dossier est sur mon bureau, je nomme de suite une commission rogatoire, tout passera au peigne fin, pour éplucher mot par mot, phrase par phrase, ligne par ligne, je ne ferai aucune concession, aucun pot de vin ne sera pris en compte (j’ai un faible pour le cheval blanc si possible antérieur à 1953), et celui que l’on topera pour faux et usage de faux, rahe fi ralta, il va pouvoir déguster les plaisirs du habsse virtuel.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Printania (Printania) le vendredi 10 octobre 2003 - 19h30:

Toufiq!
Comment l'as-tu su?
Albert!
Là tu sues.
Tôt ou tard la vérité finit par éclater.