Par Wnes (Wnes) le jeudi 16 octobre 2003 - 00h17:

La Douda ( Hak El Ouet International Tracking Station )

Le Tarfiste :

Salut aux Gourmets de Hak El Ouet,

A propose de la Balamita, cette délicatesse existe toujours au Maroc, où elle se traite comme le saumon fumé, et se dénomme la Palomette ! Nous l'avons dégustée à Casablanca, c'est un vrai délice.

Wnessou El Douda

Par Albert (Albert) le mercredi 15 octobre 2003 - 21h32:

SOUCOTH AUX CAFE DES DATTES AMBIANCE TUNE....

Par Albert (Albert) le mercredi 15 octobre 2003 - 21h11:

Mnih

Par Printania (Printania) le mercredi 15 octobre 2003 - 20h55:

Albert, on arrête, sinon je vais repasser à table.

Par Albert (Albert) le mercredi 15 octobre 2003 - 20h48:

Le kif dans l oeuf rmal et que tu écaillais d'abord le haut doucement, puis le reste avec la peau et ensuite, une pincèe de sel...! Dessuis une fois l'enveloppe partie...!

La balamita ya Hassra ââlla baba élli mchè mè'jè...Olalla Mais où la trouve t'on ici...?
C'était très salèe n'est ce pas..? La morue...
Bien sur que si et comment , il nous fallait deux cent litres d'eau pour apaiser notre soif...

Par Printania (Printania) le mercredi 15 octobre 2003 - 20h46:

Ils ont fait si vite?

Par Albert (Albert) le mercredi 15 octobre 2003 - 20h44:

Y'a plus de tombe au Borgel...

Par Printania (Printania) le mercredi 15 octobre 2003 - 20h42:

Albert, tu évoques le couscous.
Rares sont aujourd’hui les femmes qui roulent la semoule, qui la font cuire dans le couscoussier, une première fois longtemps, une seconde fois un peu moins.
Maintenant on vante le couscous dit « rapide. »
-Ya Rabbi, le couscous rapiiiiide !!!!!!!
Tu le mets dans un récipient qui va dans au micro-onde, tu le noies d’eau, tu le fais cuire le temps recommandé, tu le laisses reposer, c’est meilleur que là-bas, dis !
Nos pauvres grands-mères doivent se retourner dans leur tombe.

Par Printania (Printania) le mercredi 15 octobre 2003 - 20h28:

Les œufs au four ou œufs au sable (Âdham errmel.)
Tu connais aussi cela, Albert.
Ils étaient cuits au four du boulanger, préalablement mouillés et enfouis dans du sable.
Ils revenaient pratiquement cassés, leur blanc avait la couleur marron et le jaune plus soutenu.
On disait que c’était moins « méchant » qu’un œuf cuit à l’eau.
Mon père pour les écaler, les faisait rouler sur la table, l’écaille se séparait naturellement, et nous, enfants, nous étions ébahis devant tant de dextérité.
Le samedi avant la Tfina, il y avait l’assortiment de salaisons, outre toutes les salades imaginables, on trouvait à table la célèbre « Balamita » ce merveilleux poisson salé, de couleur rose ; on le préférait à la boutargue.
Il y avait également du hareng, du thon fait maison, baignant dans de l’huile d’olive tirée de la jarre « Khabia. »
En été, il ne manquait jamais le bocal rempli d’eau avec des morceaux de fenouil, que l’on lorgnait, mais gare à celui qui mettait les doigts.

Shabbat ônekh ! Comme tu l’as si bien écrit.

Par Albert (Albert) le mercredi 15 octobre 2003 - 20h20:

Oui peut etre que DFINA vient de MEDFOUNA....Enveloppèe comme tu le dis alors que TFINE veut dire à petit feu mais sans couverture.
Moi je vais sur mes orteils... Ahqui..
Slim devrait rentrer en direct...C'est la ghassra d'attendre une réponse...! Tawfik aussi...

Par Printania (Printania) le mercredi 15 octobre 2003 - 20h10:

Albert!
L'expression exacte est "l'étouffée", "la mijotée à petit feu."
Ma grand-mère avait le gaz de ville, mais la Tfina ne cuisait que sur le kanoune, toute la nuit, couverte avec une couverture.
Parfois elle envoyait sa Tfina à cuire au four du boulanger, particulièrement celle au blé.
Elle revenait comme gratinée.
Je ne veux pas trop m'avancer, mais je crois qu'il y a confusion entre Defina (mise en terre) et Tfina (Mijotée tout doucement.)
Je ne suis pas certain, donc je vais sur la pointe des pieds.

Par Albert (Albert) le mercredi 15 octobre 2003 - 20h07:

Ah n'oublions pas que les tfayen s'accompagnaient le plus souvent de couscous....Kif...