Par Wnes (Wnes) le mardi 21 octobre 2003 - 00h54: |
La Douda ( Hak El Ouet International Tracking Station )
El Tarfiste, el canalou oul bim !
Printania mchè, oua kin l'asfour li arebt mel kfess !
Zama alech El Baabous, ma atitouch el ziouen, makla m'tal canalou !
Ma t'arefch yéh Bébert, l'ouled li emchi ala sbakh fel mektab, bel tomobil mal bou,
Fel trab tèma ouakhad bim, li andou khamsa saguine, kal l'ouled :
- Ya baba chouf, ech andou el bim, khamsa saguine ?
- Ya oueldi, khali ekel bim, ma cheftouch oua mrid meskine !
Mara akhor, l'ouled y emchi fel mektab, ma oma,
- Ya omi chouf el bim, oua mrid meskine !
- Chkoun kalek el bim mrid.
- Katli baba, oua andou el hak !
- T'aref ya oueldi, li ken bouk mrid kif el bim, ana n'amelou kif begda, Zekch!
Wnessou El Douda
Par Etfluteetflute (Etfluteetflute) le lundi 20 octobre 2003 - 22h54: |
merçi, comme tu as du t'apercevoir ces poèmes me viennent d'un livre que je suis en train de lire.
qu'est-ce la rue d'URQL à Paris?
que signifie URQL?
Par Albert (Albert) le lundi 20 octobre 2003 - 22h10: |
Printania...
Yè sah'bi…….! Khé'li klè'mi fi chounèk, ou é'fèm klè'mi, labèss…..! Eh'nè mé'qu'él nèss, é'li mén ha'bouch él t'ssay'tin….!'
'….Arabt mél lil, tkhè'bit taht él séms..§§
Arabt mél n'joum, jit toul él sé'niè…§§§..
Ou ha'llét frâ'yâââ…§§§….
'….Elli âând él néss, él q'alb ha'zin mé i trach..§§§§….'
Ass'four ra'tèh fouk él chéj'ra, i ghé'ni ..I ghé'ni mé'bin l'aw'rak…§§§…
Dar'bèt él brak, Tmèss , yè na'ri, fél âïn, yè nââ'ri….§§§§…
'…El gho'lb fi l'ssén é'nèss , yè'drèb kif l'ahjar, yèj'rah…!'
Aâl qu'èyèss rkâd, l'ass'four ta'wèl i tfer'fèt ,
El Magh'boun fi aïn él ness, él chéé'din..§§§§§…
'…E'li tké'lmou mé'guir i séd'kou…
Aâla rokob'tom i t'mess..§§§§§§….
Assfour mes'kin ken i ghé'ni , jé'wén, mer'tèh…§§§…
Skét , él mout é'zzè'tou…§§§§§….
That él aïn louled…§§§…..
'…El gholb fi l'ssén é'nèss, yé'ktèl yè ness…..'
Dém'yatou fi yi'nou bkét, ââl ass'four fi yè'dou…§§§
Dém'ya'tou dék'lèt fi yi'nou , hy'è fi yé'dou…§§§…
'…El d'yââ, yè ness, kif él ah'jar, wi'ji él nââr i houq…..§§§§§…'
Taht él yin él ché'hèd, tââr fél jninè, taht él aïn él mkho'bi..§§§§§…
Ghé'ni …! Ghé'ni yè ass'four, ou khé'li él klèm él féss'èd….
Fi yé'dèm ou'hè rabi é'li yah'kôm…..
'…Yè ness, ra'ni q'albi kif él kess'kess, I saffi él bé'yi mé'ghir i chéd él khé'yèb…!'
Barra yè khouyè, tér'jââ bél éh'nè….ââ'lla khir……
BREITOU
Par Wnes (Wnes) le lundi 20 octobre 2003 - 13h12: |
La Douda ( Hak El Ouet International Tracking Station )
Le Tarfiste : Pour EfluteEflute
Recueil de poèmes de Paul Valéry (1922, puis 1926). Paul Valéry
Thèmes associés
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Trois des poèmes de ce recueil qui en compte 21 étaient parus en 1920 sous le titre d' Odes: "Aurore", "la Pythie", "Palme". Il existe trois éditions de Charmes (une en 1922 et deux en 1926), ce qui témoigne de l' intérêt que Valéry prêtait à ce recueil, qu' il retravailla et recomposa. Le titre, emprunté au latin carmina, signifie à la fois "poèmes" mais aussi "sortilèges".
Savante, l' architecture du recueil fait alterner des pièces brèves - "l' Abeille", "les Pas", "la Dormeuse", "le Sylphe", "les Grenades", par exemple - et des pièces longues, complexes, parmi les plus recherchées de Valéry: "Fragments du Narcisse", "la Pythie", "Ébauche d' un serpent", "le Cimetière marin". Entre Apollon - lumière, lucidité, calcul, perfection formelle -, qui inspire aussi de sublimes images de paysages méditerranéens, et la tentation de Dionysos - inspiration, transes, délires, que la Pythie pratique puis récuse -, le texte choisit:
Honneur des hommes, saint Langage,
Discours prophétique et paré,
Belles chaînes en qui s' engage
Le dieu dans la chair égaré,
Illumination, largesse!
Voici parler une Sagesse
Et sonner cette auguste Voix
Qui se connaît quand elle sonne
N' être plus la voix de personne
Tant que des ondes et des bois!
De tous les poèmes de Charmes, le plus célèbre et le plus émouvant est "le Cimetière marin" : en plein Midi, le temps suspendu, le poète médite devant la splendeur de la mer et la beauté du monde. Mais l' ombre se déplace, qui rappelle que l' homme n' est ici-bas qu' un passant. La méditation s' attache alors aux morts chéris et se fixe sur la question de l' immortalité avant de se suspendre à son tour et de choisir la vie contre les pages du livre que le vent disperse.
Wnessou El Douda
Par Etfluteetflute (Etfluteetflute) le lundi 20 octobre 2003 - 00h50: |
Je te donne ces vers afin que,si mon nom
Aborde heureusemnt ton rivage
tu puisse me répondre et que l'on s'écrive
Par Etfluteetflute (Etfluteetflute) le lundi 20 octobre 2003 - 00h55: |
Honneur des hommes,saint langage,
Discours prophétique et paré,
Belles chaînes en qui s'engage
Le dieu dans la chair égaré
Illumination, largesse,
Voici parler une sagesse
Et sonner une auguste voix
Qui se connaît quand elle sonne
N'être plus le voix de personne
Tant que des ondes et des bois.
Par Albert (Albert) le dimanche 19 octobre 2003 - 20h27: |
ERREUR L INVITATION FUNEBRE AURAIT DU ETRE LA
Par Albert (Albert) le dimanche 19 octobre 2003 - 19h44: |
BOURGUIBA.
Récit.
LES MEMOIRES D'UN GOULETTOIS
PAR L'ENFANT DE LA GOULETTE
ALBERT SIMEONI ( Bébert)
Témoignage.
Le 18/61989
UN GRAND EVENEMENT.
L'Arrivée de Bourguiba à la Goulette.
Souvenirs d'enfance.
Je me souviens de ce jour là. J'avais 11 onze ans, et dans l'eau, en maillot. Je péchais avec mon mouchoir, les 'guimbres', tout le long des digues faites en ceps de vigne séchée qui formaient de longues traverses alignées et distantes les unes des autres, d'environ 50 mètres. Elles avançaient dans la mer jusqu'à une distance de 20 mètres approximativement.
Il faisait chaud ce jour là, quand vers les 10 heures du matin, de petits groupes d'hommes vêtus qui de 'Kachabiè' qui tout simplement de short et de tricot, envahirent la plage avec comme seule direction, le port. Beaucoup étaient des campagnards, facile à reconnaître à leur parler, très gutturale et bien prononcée. Je me demandais la cause soudain de cet envahissement quand un de mes amis me dit que Bourguiba arrivait au pays par bateau. 'Le Ville de Tunis'. Cela ne me disait rien de précis. J'étais plus concentré à piéger mes petites crevettes que de suivre des yeux ce nouvel arrivant. La politique déjà ne m'intéressait pas.
Déjà tôt le matin, je m'étais rendu compte que quelque chose d'important allait se passer. Les poteaux en bois, supportant les fils électriques, étaient pavoisés par de grands drapeaux suspendus, à queux, aux couleurs rouge et blanc, avec l'insigne du croissant lunaire. Les voitures en arboraient. Le tintamarre qui en suivait, étaient assourdissants. Des coups de klaxon, saccadés, rythmés, dont on devinait les paroles, scandaient' Yahiè ….! Bourguiba …!Yahiè….! Bourguiba'.
Des tas d'hommes, jeunes, vieux, femmes et enfants n'avaient qu'un seul but; rejoindre le port.
Des camions surchargés par de groupes d'autochtones venus de partout ralliaient aussi le bouraz. Les wagons du TGM étaient pris d'assaut et même les toits étaient débordés par toute une population hétéroclite, ne voulant sans doute pas rater cet évènement historique. Car de mémoire de jeune enfant, je n'ai jamais vu un tel rassemblement aussi prompt à se former. Les bruits de la rue me parvenaient jusque dans mes oreilles pourtant distantes de quelque cent mètres. C'était féerique. La masse d'homme concentrée ce jour là était-elle, à la Goulette, que les forces de l'ordre ont du interdire la circulation aux voitures. L'autoroute de la Goulette, qui n'en était pas une à cette époque, était fermée et seul la voie de l'Aouina/ Aéroport/ était ouverte aux automobilistes qui voulaient rentrer chez eux.
Les terrasses étaient ornées de calicots à l'effigie du Rais. Et toujours les 'Yèhia Bourguiba…' A l'infini. Comme un rituel qui ne trouvait pas de fin. Les cafés n'étaient pas en reste; de larges banderoles souhaitaient la bienvenue en Français et en arabe au Zaièm. Au père de la nouvelle et jeune Nation.
Au loin, sur la ligne de l'horizon, j'ai vu le paquebot, assis sur une mer calme, presque immobile. Une nuée de voiliers et de chalutiers allaient à sa rencontre. Sirènes hurlantes. Et toujours avec la même symphonie, saccadée, en rythme' Yahiè Bourguiba'. Je reconnaissais aussi les balancelles et même des petites barques d'amis qui ramaient, partis du bord de la plage, pour aller rejoindre le port.
Le paquebot, après une bonne heure de navigation, était en vue du phare et là je l'ai vu disparaître.
Ce que j'avais lu à cette époque sur les journaux en y ajoutant un peu de nostalgie comme je sais le faire…En imaginant….
'…Le Rais, était debout sur le bastingage, saluant de la main, une foule devenue hystérique à mesure que les préparatifs d'amarrage se faisaient. Il était en costume blanc, et coiffé d'une chéchiè Stambouli. Il était entouré par ses compagnons d'arme.
On m'a rapporté qu'il avait une grand 'MECHMOUM' ( bouquet de jasmin ) dans la main. Le paquebot était aussi ceinturé par une noria de petits chalutiers et barques de tous gabarits. Des remorqueurs, lâchaient des gerbes d'eau à mesure que le grand navire faisait ses manœuvres d'approche. Des grappes humaines avaient débordé l'enceinte du port. Certains jeunes prenaient un malin plaisir à se lancer carrément depuis le mole dans l'eau. Sans craindre le danger.
Quand le paquebot fut amarré une immense clameur s'éleva dans la ciel de la Goulette. Une folie s'était emparée de toute cette masse d'individus venus de tous les coins recules de la Tunisie pour voir, toucher, embrasser celui qui amena l'indépendance de notre pays. Une telle vénération du personnage qui n'était pas loin de ressembler à un culte; le spectacle était dans le port de la Goulette qui rentrait dans l'histoire.
Une fois à terre, il fut assaillit par une marée humaine et malgré le service d'ordre, très important, ce dernier ne put contenir ce rush, la rencontre du Combattant Suprême avec son peuple qui le porter sur les épaules pour le poser sur un cheval arabe. Le Rais, était bien là, devant leurs yeux, au milieu des cavaliers Zlass. Il pouvait le toucher et l'embrasser. Toujours, souriant, Bourguiba envoyait, par ses mains, des milliers de baisers ininterrompus à une foule de fans impatients de lui montrer sa fidélité.
Le départ des familles françaises avait déjà commencé bien avant son arrivée.
Les juifs, suivront petit à petit, malheureusement. Plus tard.
La Goulette historique.
Par Albert (Albert) le dimanche 19 octobre 2003 - 19h42: |
MISE AU POINT.
Les consommateurs du cafè des Dattes me font dire d'une seule voix, à l'unisson, que le compte rendu de mon journaliste, RUNGIS, délèguè ce soir pour couvrir les évènements de la grande soirèe donnèe, sous la CHEUKA, mercredi dernier,présidèe par MADAME ZAZA, a soulevè des hauts le coeur, je tiens, en mon nom personnel, à présenter mes excuses pour ce torchon qui m'a valu quelques remarques assez acerbes.Alors que je n'y suis pour rien. A mon insu.
Ce soir là, mon pigiste Jano était dans une Bar Mitsvah, pas au BB, et j'ai du envoyer ce journaliste/amateur.
Je suis dans le regret de vous dire que cet énergumène est renvoyè pour atteinte à l'intégritè de ces dames et de cette fête.
Voilà une mise au point qui doit satisfaire toutes les écorchèes.
Par Albert (Albert) le dimanche 19 octobre 2003 - 19h02: |
PAR E MAIL.....Correspondance particulière...
Dictons du jour :
L'évidence du jour . . . .
POURQUOI 85 % DES FEMMES NE SE MARIENT PLUS ???? >
réponse :
ELLES ONT ENFIN COMPRIS QUE POUR 60 GR DE SAUCISSE CA VALAIT PAS LA PEINE D'ACHETER TOUT LE COCHON !!!!!
Par Albert (Albert) le dimanche 19 octobre 2003 - 12h52: |
Deux amies complètement bourrées rentrent chez elles en marchant.
Comme elles ont beaucoup bu, elles ont très envie d'uriner. Elles passent devant un cimetière et l'une suggère qu'elles pourraient se soulager derrière une pierre tombale. La première qui n'a rien pour s'essuyer décide de quitter son slip et de l'utiliser à cet effet et de le jeter ensuite. Son amie qui ne veut pas abîmer ses sous-vêtements de luxe se trouve chanceuse de trouver un ruban sur une couronne de la tombe à coté et s'en sert pour s'essuyer. Puis elles rentrent à la maison.
Le lendemain, le mari de la première téléphone au mari de la deuxième: Il va falloir que nous surveillons nos femmes, la mienne est rentrée sans culotte la nuit dernière. Ce n'est rien dit l'autre la mienne est revenue avec une carte coincée entre les fesses disant : « De la part de tous les gars de la brigade de pompiers, on ne t'oubliera jamais »
Par Albert (Albert) le dimanche 19 octobre 2003 - 09h16: |
Demain, projection ici, d'une grande saga....' SI JERBA M'ETAIT CONTEE.....' Une scénario écrit et réalisè par notre HAI BEKHOR VICTOR, en weastamancolor-peppermint.
Tout droit réservè d'une cuvèe spéciale, à ne pas rater.
Celà promet d'être passionnant.