Par Albert (Albert) le jeudi 23 octobre 2003 - 07h05: |
Ah ok, très bien alors, je peux dormir tranquille à présent....lol
Par Toufiq (Toufiq) le jeudi 23 octobre 2003 - 00h38: |
salut...biber comment veut tu que je sois fache?
ne t'en fais pas ,je suis le PTB seconde par seconde.
Par Albert (Albert) le mercredi 22 octobre 2003 - 21h10: |
.........§§§§§§§§§§§§§§......
Jit'ék bél salém....§§§
Néb'yat él salem...§§§
T'mènè bél salèm..§§§..
Tah'dar él salèm..§§§§§
§§§§§...Essalèm yâlikom...§§§§... Sallèm yalikôOOOOOOOOOOOm....§§§§...Nha'ki bél salém...§§§§§....Ess ...§§§§§...Es...§§§...Es ....Salèm yalikoMMMMMMMMMMMM..§§§§§.....
Houcine él Afrit....(paroles d'Albert improvisèes)
'...Yèli..§§§§§... Yèli...Y§§§§§§....YèLI....
Golli allaish..§§§... Ta'yah biyè..?.....§§§
Ou golli allaish..§§§.... Tah'ki ââ'liyè..§§§..
D'ji tar'mi'fiyè mé'ghir lè fi bali..§§§§... Golli
Allaish dgha'dar'fiè...§§§§§...Hénè mha'biyè..§§§...Ou mézzèlt magh'roum biyè....§§§§
Bientôt sur vos écrans soirèe orientale avec la participation de l'orchestre egyptien NOUR EL SALEM venu spécialement au PTB pour vous égayer.
Les recettes seront entièrement vérsèes à la FONDATION HARISSA......SANS DISTINCTION DE MONNAIE NI DE BILLET. MONNAIE DE SINGE ACCEPTEE.
Boissons gratuites par la Direction, repas chauds pour les S.D.F. Chorba ou Hams, yèram fi .....
Yé la Douda....A volontè... Tawfik t'es pas rentrè..? Je con sidère que tu es fachè, donc je vais te faire un phamphlet....Je le prépare..Pour....
Par Albert (Albert) le mercredi 22 octobre 2003 - 20h53: |
Citron, yatic DAWKHA....Malin va...!
Par Albert (Albert) le mercredi 22 octobre 2003 - 20h27: |
Wnessou yè khouyè,
Loin de moi de dénigrer ton parlè en judèo arabe, il est plein de finesse et surtout arrosè de Ain
Zé.....gouan, pas loin de la Marsa, à ne pas confondre avec l'aqueduc romain. Domage, que tu ne fûtes pas né sous ce pont, peut être que ta façon de parler aurait étè plus claire, plus limpide, plus sophistiquèe, bél lafiè, yè lahdia comme le dit Printania..........Bravo aussi pour la découverte de l'auteur réèl des poèmes de ZUT ET FLUTE qui voulait se faire passer pour un grand HAKHEM...Et moi qui pensait qu'il FLUTE l'auteur de ses beaux poèmes bien structurès....!
Tu t'y connais dans l'architecture des vers toi????? Comment as tu pu parler de charpentage, et structure, d'où tu sais ça?????
Tu m'as épatè vraiment.....BIM OURA OUSSIF...Pour toi....5X5....
Bon, envoie ta correspondance, histoire de meubler tes idées...! Ah j'oubliais une chose si tu peux ne pas contredire mes amis NAO, Michka, et Victoria , Bazouka-Merkava,elles sont sous ma protection, que veux tu je suis un homme sensible. Je sais que je peux compter sur toi..
Bon Tawfik, n'est pas rentrè depuis pas de temps, tu es fachè avec moi ou quoi?????Tu ne trouves pas que ton abscence ici fait défaut, alors, écoute je te donne 15 minutes et 15 secondes pour me dire 'SALUT', sinon, j'envoie une boutade...
Par Albert (Albert) le mercredi 22 octobre 2003 - 19h53: |
Yes Wnenssou,reçu 5X5 pas de problème..
La suite du Joueur demain soir....
Par Wnes (Wnes) le mardi 21 octobre 2003 - 23h03: |
La Douda ( Hak El Ouet International Tracking Station )
Le Tarfiste :
Yéh Bébert, Yéh Houié,
Si notre Aïn Zaghouani est dure à comprendre, alors que dire de ton Goulettois ! Il faut vraiment s'accrocher pour saisir, Zekch ! " Katli ZgouGou : ched el bab hata chrah i ji !". Ce qui compte ça n'est pas de traduire, d'ailleurs traduire en quoi ?
Ce qui compte avant tout, c' est d' être reçu 5/5, Khamsa Khmiss ! Mais nous savons bien que tu nous reçois ainsi !
Fi Lamen, yéh Bébert,
Wnessou El Douda
Par Albert (Albert) le mardi 21 octobre 2003 - 20h19: |
ALBERT SIMEONI
L' Enfant de la Goulette.
Roman
Le 28/8/2003
CHAPITRE I
Histoire véridique.
LE JOUEUR
(Khrââ ou mé chkroun )
Peut porte sur les études, Joffrey était le dernier enfant d'une fratrie qui en comptait 8; cinq garçons et trois filles. Issu d'une famille modeste ayant vécu à Tunis: Ses frères et sœurs immigrèrent en France pour diverses raisons. L'aîné Gustave, habitant la région parisienne depuis fort longtemps est médecin. Très dégourdi et surtout plein d'idées. C'est sur ses conseils que le restant de la smala, s'installa en France.
Il leur loua un joli appartement en banlieue. Et subvenait secrètement aux besoins de sa famille, nouvellement installée. Il est marié mais sans enfants à cette époque. Le père avait trimé une bonne partie de sa vie à Tunis, se donnant le temps d'économiser un pactole au cas où…..! Ce dernier, actif et encore assez énergique, s'associa à un gendre dans une affaire de réparations de bracelets montres et la commercialisation de bijoux dans la banlieue. Mais ni l'un ni l'autre ne furent bien inspirés dans un domaine qu'ils maîtrisaient mal. L'affaire coula au bout de deux ans d'activité. Ils se rejetèrent mutuellement la faute.
L'aîné, bien que de très belle et bonne situation, avait comme on dit, l'esprit d'entreprise. Il décida de se lancer dans les fringues. Il loua une petite boutique dans Paris. Et proposa à son jeune frère, age seulement de 17 ans de la tenir. D'autant plus que ce dernier, désœuvré, s'ennuyait ferme. Sa petite affaire, au fils des jours et des mois, prit son essor. Ne voulant pas s'arrêter en si bon chemin, il passa à la confection. Il acheta pour le compte de cette jeune société une 'confectionneuse' qu'il plaça dans un autre local, loué à Aubervilliers. Un petit employé pakistanais d'expérience, fut diligenté pour la coupe de jogging sous la direction, au début, d'un entrepreneur qui fournissait son expérience, sous l'œil attentif du jeune Joffrey. Assez éveillé, ce dernier, au bout de six mois apprit la coupe et le façonnage, dont les modèles, branchés jeunes, étaient dessinés sous son l'impulsion de Gustave, le frère aîné.
Il avait vu juste et sa petite affaire prospérait petit à petit, l'encourageant à aller de l'avant, à un tel point que Gustave fût obligé d'agrandir sa surface de vente. A Paris.
Un plus grand local reçut quatre autres faconneuses-coupeuses tandis qu'un second fut ouvert pour accueillir six employés dont le père. Une facturière secrétaire, et quatre manutentionnaires. La SARL JOGGIN'S déposa sa marque et les commandes affluèrent des quatre coins de la France. Le jeune Joffrey, avait son bureau. Bosseur comme pas deux, il était au four et au moulin. Partout, tenant son poste de 7 heures du matin et ne le quittant qu'à 23 heures.
Les rouleaux de tissus, venant de Chine, s'amoncelaient.
Son frère, devant cet engouement, le propulsa gérant de cette grande unité, partie de rien, et qui frisait le milliard de chiffre d'affaire en ancien franc, au bout de trois ans d'activité. Son salaire avoisinait les 50.000 frs. Sans compter, les primes, distribution de bénéfice et pourcentage sur les ventes. La situation du jeune était toute tracée, il roulait en BM.
Il tenait si bien l'affaire que le PDG, son aîné, Gustave, lui avait lâché les brides. Il avait 22 ans.
Le big boss visitait les ateliers et le bureau rien que pour meubler ses jours de repos. Tout allait donc pour le mieux. Laisant son benjamin prendre ses résponsabilitès.
Petit de taille, 1,58, grand 'baloutteur et tchatcheur', Joffrey étonnait son entourage. Célibataire et habitant chez ses parents, il menait, durant ses week-ends, une vie de pacha. Les filles tournaient autour de lui, et lui ne s'empêchait pas de les sauter autant qu'il put. Les gonzesses, c'est bon que pour jouir et puis jeter, une fois, consommées. Ech'alinè…
Durant des vacances à Juan-Les-Pins, il retrouva un ami, perdu de vue. Raphaël. Un soir, alors qu'ils avaient épuisé, leur passe temps favori, la recherche de mignonnes, Rapho, lui proposa d'aller faire un tour au casino de cette belle petite ville côtière.
Un nouveau monde, plus lumineux, qu'il ignorait, apparut à ses yeux. Un monde en costume cravate, gens de la nuit, se prélassant à tirer les manettes des bandits manchots. Il posa sa main et s'en amusa gagnant au passage un petit pactole. La chance. Puis s'épuisant à tirer 'la quille', le bras, il franchit le seuil de la salle des roulettes. Et là aussi dame chance le suivit et lui souriait. Presque jamais perdant. Il en était fier et racontait à tout le monde ses exploits qui d'ailleurs n'étaient pas passer inaperçus, puisque tout le grand gotha tunisien , fricassés et briks aux pommes, l'avait remarqué. Les croupiers, le surnommèrent Monsieur Joffrey tant sa générosité à balancer les jetons par poignée était grande. Dehors, il devenait, Joffrey tout court sans particule. Krah ou mè chkroun.
Dépassant la salle des roulettes, et de la folle boule, sans doute que sa vue, contaminé par un mal 'pernicieux', en souffrit, un vertige peut être, il passa de l'autre côté de la barrière; les tables du Black-Jack. La direction fut heureuse de voir, par ses caméras, ce grand joueur généreux, franchir enfin cette nouvelle frontière. La salle 'dél dlam' ( obscurité ) éclairée par des mandarines. Comme si on attendait après lui. Puis vint le baccara…
Et voilà notre Monsieur Joffrey, appelle ainsi par ce joli sobriquet, qui lui donnait des allures de dandy, devenu assidu des tables de jeu.
Les vacances, de 'Boul ou Khrââ' ( pipi et caca) touchent à leur fin. Il remonte à PARIS laissant les croupiers et autres sangsues, pleins de chagrin. Ils n'en avaient cure, au demeurant, de ce jeune 'play boy' aussi con qu'un pigeon. Il s'en sortit à jeu, sans rien perdre, ni gagner.
Mais le cancer du vice était entré en lui. Ce fut les tripots de Paris où l'on jouait dur et gros mais comme il s'était fait un petit nom, on l'accepta. Il passait aussi ses week-ends à Deauville et chez Partouche. Bref, il écumait tous les lieux de jeux.
Madame Chance, devant tant de désinvolture le laisse tomber. L'engrenage de la déchéance commence. Toute sa paie de fin de mois y passait, en moins de deux semaines.
En manque d'argent, depuis un bon moment pour satisfaire son plaisir, il décida de vendre quelques économies, son PEL d'abord, 600 000 frs. Adieu la maison. Un petit compte d'épargne, ouvert à la poste, sécha: quelques millions engloutis 'fi béth él dlam'.
Des rumeurs parvenaient bien aux oreilles de sa maman. Mais filou comme il était, il niait toute participation aux jeux, reportant ses dénégations sur la jalousie de ces 'informateurs'.
De réunions de famille en réunions, il lassa ses frères et sœurs par ses mensonges.
Tout son argent y passa. Il réfléchissait à la suite des évènements. Comment se procurer du fric…? Une idée géniale, traversa son esprit. Puiser dans la caisse de la société de son frère. Il n'y verrait que du feu. Il sauta le pas et mit la main dans la poche de cette dite SARL. La faillite guettait et les premiers créanciers commencèrent à affluer au grand damne du PDG qui ne comprenait rien et surtout qui subissait les assauts 'effrontés' de ce jeune frère' malade du jeu'. Tant de sacrifice et une si belle affaire allait flamber. Cela le rendait fou furieux, en silence, mais ne pouvant rien entreprendre, contre son frère gâté et défendu par le mère, il baissa les bras. Ce fut le sauve qui peut général. On sonna l'hallali. Urssaf et tutti quanti furent escroqués de quelques millions. Fournisseurs compris.
A suivre…..
Par Albert (Albert) le mardi 21 octobre 2003 - 20h07: |
LE JOUEUR.......Récit dans quelques minutes..
Soyez à vos postes après votre basl ou bougna...
Par Albert (Albert) le mardi 21 octobre 2003 - 18h33: |
HARRISSIENS HARISSIENNES, très prochainement la direction du PTB vous conviera à la plus grande soirèe orientale HAFLE qui soit donnèe dans un virtuel. Avec la participation d'un orchestre égyptien venu spécialement pour la circonsconstance. Je vous annoncerai pas voix de presse le début de la fête si tout se passe bien, cette soirèe sera reproduite une nouvelle fois dans trois mois environ à l'occasion d'une autre circonstance soyez à l'ecoute.Toute la famille harissienne sera invitèe sans excéption.
A bientôt préparez vous, entrèe gratuite.
'...Ess'èllèm ââlikom §§§....Essé'lèm ââiââlikom..§§§§ Yè youd......§§§§§....Essé'lèm ââlikom yè tounssa...§§§§§§§§..Tac tac tac TAC TAC TAC.......Mmmyèmmmmm tac tact tkom TKOM TKOMM SALEM AÄLIKOMMMMM...§§§§..AIWWWWWWWWWWWWWWWWWWWWWWAAAAAAA....§§§§§...TAC TAC CLAP CLAP CLAP..§§§§§...TAC TAC TACTACTAC
ESSMAH JEDDID KASSETTE....AAL COKTAIL MUSTAPHA NABIL.....
TAC TAC TAC......SALLEM AALIKOMMMMM...
ESS.... ESS.... ESS....§§§....TA TA TA TAC TAC CLAPP....
ESS'ELEM AALIKOMMMM....§§§§§....BAAD ESS'SSALEM...TAC TAC BOUM BOUM...AH'LE KEL'KOL KOM...TOUYEEEEEEEEEEEEEEEEEEE..§§§§§§....
Ess'éllèm ââlikom..§§§§§....A suivre...
Durèe du spectacle une heure..Couvrez vous, c'est en plein air..
Par Albert (Albert) le mardi 21 octobre 2003 - 13h39: |
Ess'ma darb él rih…!
Lé i dé'wi ou'llè i bérèd…
Oullè i déz él tokh'mam…
Lougen jè i chaw'rèq
Gô'llou él'li mér'tèh…..
Ess'ma él maw'jè rey'ha
Aâl harf èl bhar…
Lougen jét téch'ki
Dawar ra'ssèk ou ké'mèl tni'nèt...
Lougen jé'tèk lou'lliyè
Wél magh'boun ââ'la tni'tèk
Ou mé'dou yè'dèm
Hâ'lèm g'èlbèk mé'guir mizèn…
Lougen jét'étèq él mout
Had'dar rou'houk lél youm
Mé'ghir tch'awar wé'llè t'goul
Mé'zèlt ma hdar'tch….
Ecoute le coup du vent
Qui ne guérit et ni ne refroidit
Et qui n'éloigne pas les soucis
S'il vient te consulter
Dis-lui que je vais bien…
Ecoute l'écume perdue
Sur le rivage
Si elle vient se plaindre
Tourne-lui la tête et continue ta marche
Si la veuve ou l'esseulé vient
Ou le chagrine sur ta voie
Tend lui la main
Et ouvre ton cœur sans réflèchir..
Si la mort t' arrive
Prépare-toi pour ce jour
Sans que tu ne consulte personne
Et dire que ' je ne suis pas prêt….'
Le nègre Albert.
Vous allez entendre de la prose en arabe, pendant quelques jours et puis une festival de chanson chantée en dialecte du sud tunisien….
Par Albert (Albert) le mardi 21 octobre 2003 - 07h20: |
Wness, je te jure, vraiment ce fut laborieux de te lire en judèo arabe, depuis hier soir et j'essaye de comprendre, et le babouss et le bim et bref, il me reste encore la traduction à faire, bon j'ai toute la journèe..
Flute, écoute tu peux écrire tous les jours de 8 a 19 heures trente sauf la mardi et le Dimanche tes poèmes rassis..OK....! Merci de tout coeur.