Par Slim (Slim) le dimanche 26 octobre 2003 - 18h03: |
Barakallahufik ya Breitou:
Bien que pour moi, jeuner est une chose du passe;-) Un mois sans nourriture, NO Way. J'aime trop la bouffe, et quand je vois de l'harissa et un bout de pain, je n'arrive plus a resister!
N'harkom Zine
Par Albert (Albert) le dimanche 26 octobre 2003 - 17h25: |
LE PTB SOUHAITE UN EXCELLENT RAMADAN A MES AMIS
DE LA PART DZ BREITOU, BELEbou ET ALBERT;
Par Albert (Albert) le dimanche 26 octobre 2003 - 12h06: |
Demain suite et fin du JOUEUR...
Par Albert (Albert) le dimanche 26 octobre 2003 - 07h45: |
Wness, tu ne vas pas en faire un Tollè quand même pour cette tolèrance....! Tu ne peux pas rester tranquille sans que tu vienne nous emmerder..avec tes relèves perlières...
Par Albert (Albert) le samedi 25 octobre 2003 - 21h31: |
SKETCH VRAI...
LE 25/10/2003.
Autour d'une table.
Vendredi soir…Avant CHABAT HATAN.
Couscous et boulettes accompagnés de salades…
Dialogues entre beaux-frères….
'…..Moi…? La Tunisie c'est fini….! 35 ans que je ne suis pas retourné..!'
Moi……'C'est pourtant ton pays…?'
Lui……'Mon pays, c'est la France, aujourd'hui….!'
Moi…..' Khir ou khir..!'
Un autre….' A Tunis, nous étions mieux traités qu'ici…!'
L'autre…..' Partez en Israël…!'
L'un d'eux…..' Chaque année, je passe mes vacances à Netanya…Si tu vois Bébert, la jeunesse….!'
Sa femme…'…A Natanya….. ! Les jeunes filles sur la plage et le soir kakatoè…!'
Son mari….'….Karaokè….!
Elle………'Oui….Kakatoè..!'
Son mari…'Awéddah, yè tar'cha…!'
Moi………'Pourquoi, tu ne restes pas au lieu de revenir….?'
Lui……….' Et mes biens ici…!'
Un autre…..' Pourquoi vas- tu à Tunis , toi Albert…?'
Moi……….' A cause mon père, j'entretiens sa tombe…! '
Lui……….' Hass véchallom….!' Il t'a dit quelque chose lui…..?'
Moi……..' Oui avant de mourir, une recommandation…!'
Lui……..'..Laquelle….?'
Moi……' .. En quoi cela te regardes, Si ton père….!'
Lui…….'Il est encore vivant….!'
Moi……' Dis-lui alors où il veut être enterré…?'
Lui……' Je lui ai déjà posé la question…!'
Moi…..' ..Et alors……
Lui……'… Il m'a dit qu'il a encore le temps de réfléchir…! Et que vous n'aurez aucun souci à vous faire…!'
Moi…..' … A 92 ans…..!'
Par Albert (Albert) le jeudi 23 octobre 2003 - 21h05: |
Chanson '…..Eh'ni mogh'yar..????
'…§§§§…Lili yè li yè lili yèèèèèèèèèèèEEEEEEE…..§§§§§…..Lil…§§§§…..
Liliiiiii yè Lil yè liliiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIli..§§§§§….
Yè hè hè hè HEEEEE….yèèèèèEEEEEE…LILLLLL…§§§§§…..
Yè'li mé'tarèf'nich q'en bass'mi , mé'guir guèl'bi..§§…. Kiff'èch jdi ou tgou'li élli
Mogh'yar…?..§§§….
Yè bén'ti….§§§…Yè okh'ti..§§§§§….Goul chey yèm'chi él louta..§§§§……
Kiff'éch khè'mèt'ili éh'nè bghi'ra, mgha'yèr eye…§§§§….Wèch'goun gal'èk élli èl ghi'rè
Sak'nè fi gél'bi….? §§§§§…
Yè li yè li mé'taref'nich…§§§….. Ehnè élli kèl'mèt él ghi'rè mé wéch sak'nè fi bé'lIIIIIiii..§§§§§….
Rabi yè'diq yè bén'ti …...§§§§§……
Eh'nè élli sé'ma tèk ho'ssi méghir ha'zzin…§§§§§
Ahhhhhhhhh…Yè élbi…§§§§….Enti béri mé'llè âând él néss da'llim…§§§§…
GHALTAAAAAAAAAAAAAAA..§§§§§§….
Yè'li yè'li smâât ââ'liyè klèm
Ijjich él nââr tgè'bèl aïni, yè rou'hi…§§§§§….J J J
LiliiiiIIIIIIIIIIII…YE LILIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII…§§§§§….YèèèèèèèEEEEEEE
LILIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII..§§§§….
Yèch'fik ou rabi i ray'èd dami'rèk….§§§§……
Bé'dèl fak'rè'tèk, klè'm él massat Mè wéch lik….§§§§……
El g'élb safi mé ouch gha'dar…§§§§…..
Gha'nit'lèt bél arbi char'ki..§§§§…Eh'nè mat'raj'am lik, él louta..§§§§§..
LillllllllIIIIIiiiiii..§§§§§….YèèèèèèèEEEEEEEEEE….§§§§…..Liliiiii…..§§§
Toi qui ne me connais que par la voix, sans mon cœur, comment as tu peux me dire que je suis jaloux…? Ma fille, ma sœur tout disparaît dans la vie. Comment as tu penser que je suis jaloux….? Blessé oui…. Et qui t'as dit que la jalousie habite mon cœur. Moi, qui n'a pas cette pensée dans ma tête. Que D ieu te calme, ma sœur, moi qui t'ai fais entendre ma voix sans tristesse..
Ah mon cœur, toi tu es innocent mais chez les gens, il est coupable.
TU TE TROMPEEEEEEEEEEEEEEEES.
Toi qui a entendu sur moi des paroles, arrivera t'il ce jour où mes yeux te croiseront….?
Et tu verras que tes paroles sont dures…
Bonne santé et que D ieu t'évite le malheur; pousse de ta raison, les mauvaises paroles
Mon cœur est pur et ne peut trahir.
Je te chante en arabe du Sud , et je te le traduits .
Bââ'tèk el salém……Wé mé'je'wéb'tnich…§§§§§
Je t'ai envoyé la paix mais tu ne m'as pas répondu………..
Paroles d' Albert aucunement inspirèes. Que par moi. Tout droit résèrvè sous COPYRIGHT le numéro 98520.
Sallèm Aâlikom….
Sallèm Aâlikom…
Sallèm Allikom…§§§..
Bââtél'köm él salèm….§§§§…Nh'ki bél salèm…..Noch'kor bél sallèm…§§§§
Ayè….Yé liiiiiiiiiLIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII§§§§§…
Bientôt HAFLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLEEEE§§§§§§§§§§§§§§
DAG DAG BOUM DAG DAG A BOUMMMMM…§§§§§§§§….
Par Albert (Albert) le jeudi 23 octobre 2003 - 20h12: |
Maxiton, yè baba, c'est que je travailles dans les accessoires de coiffure et j'aime les houpettes, ces petits ronds en coton pour se maquiller..
LOLLL...Je vends aussi des touff...ettes...pour les foufounettes noires qui ont le plus besoin....Elles ont comme des petits ressorts fem'tni... sur le cabillo...
Par Albert (Albert) le jeudi 23 octobre 2003 - 20h06: |
ALBERT SIMEONI
L' Enfant de la Goulette.
Roman
Le 28/8/2003
CHAPITRE II
Histoire véridique.
LE JOUEUR
(Krââ ou mé chkroun )
Résumé/
Le jeune Joffray, le dernier d'une famille de 8 enfants est promu à un bel avenir à 18 ans.
Grâce à son frère Gustave son aîné médecin, il se trouve responsable de l'affaire de ce dernier qui prospère contre toute attente. Grassement payé, Joffrey, grand travailleur, mène la belle vie. Il roule en BM. Sa voie est toute tracée quand il rencontre un ami de son âge, perdu de vu, durant ses vacances à Juan. Il l'initie aux jeux du casino. Il tombe dans le vice. A l'age de 25 ans.
J'oubliais de vous dire que Monsieur Joffray, au temps de sa splendeur s'était marié, à 23 ans avec une très jolie fille de 18 ans dont les parents étaient juifs algériens. Mais aucun enfant ne naîtra; le Monsieur Joffrey portait plus son attention nocturne sur les boules, les cartes etc….que sur le corps de sa femme, Miriam, qui commençait à voir en lui un frivole de mari mais voilà, l'amour qu'elle lui portait fit taire ses doléances. Elle n'en soufflait mot à ses parents. Mais, ils n'étaient pas dupes ceux là, ils se rendaient compte que leur fille, secrétaire payée au SMIC, n'était pas heureuse. D'ailleurs le beau-père eut maintes altercations avec ce gendre 'pourri'. Boul ou khrââ.
Le couple habitait un deux pièces pas loin de ses parents maternels. Un soir, notre Joffrey, gagna la coquette somme de 200 000 frs tout en billets jaunes. Des Pascals. Il leva sa femme à 2 heures du matin, pour lui montrer, sa grande fortune. Il cacha les billets sous le matelas et une heure plus tard se leva les reprit et alla les remettre là où ils étaient au chaud, au casino. Il poussa la porte au lever du matin, tout endormi.
Le voilà sans travail et surtout démuni. Qu'à cela ne tienne, il utilisera le chéquier de sa femme pour assouvir son vice, à son insu. La banque alerta la jeune femme, qui, toute surprise, découvrit son grand trou, et le pot aux roses: Il imita sa signature pour régler ses prêts d'argent, échangeant les chèques pour des liquidités, laissant au passage une commission de 10% aux pigeons, qui voyaient leurs chèques déposés, revenir, quelques jours plus tard. Impayés. Elle était démunie contre ce genre de mari 'volage', uni au vice.
Pendant ses moments de désœuvrement, il réfléchissait encore sur quelques stratagèmes: une autre manière de gagner de l'argent sans trop se fatiguer. Une idée géniale naquit. Il sera courtier en bâtiment. Vendre des villas sur plan. Délai d'attente pour entrer dans les lieux, six mois. Versement à la signature du contrat, 10%. Mallette en mains, costume cravate, Monsieur Joffrey se déplaçait en métro car il n'avait plus de BM; il déclara un vol. On ne l' a jamais retrouver. Il toucha, pour cela une prime d'assurance qui alla bien sur, en son temps, dans les catacombes du casino. Il ne s'en émut guère, tout heureux d'avoir passe quelques quart d'heures de nirvana avec l'argent encaissé dans ce métier de joueur professionnel.
Il commença par 'toucher' de vieilles connaissances, bien argentées, puis des proches parents, un peu naïfs, même trop naïfs, qui lui avancèrent les espèces sonnantes car notre ami, était interdit bancaire. Il avait un tel bagou et une si grande force de persuasion que l'on pouvait tout lui donner. Il s'en étonnait et se vantait par cette facilité qu'ont les gens; ces 'amis et alliés', pour lui 'libérer' cette manne si chère qui lui manquait cruellement.
Boul ou khrââ.
La maman eut vent au tout début de ces chèques impayés et, sous les menaces de mort proférées au téléphone contre son fils, de résoudre le problème; régler les dettes de son fils par petites tranches. Un contrat fut même mit sur sa tête par des israéliens ( aussi véreux que lui ) armés à qui il extorqua quelques belles liquidités. Un délai de 8 jours lui fut accorde sinon on ne répondait plus de sa vie. Toute la famille était aux abois durant cette semaine pascale. Le ' chistou' ce soir là, passa quatre fois au dessus des chefs en kipa, avec un bout de canon de revolver invisible, pointé sur le front de notre escroc. Les victimes acceptèrent la tractation. Plusieurs d'entre eux, surtout les étrangers furent remboursés par ce moyen là. Les parents et alliées attendront. Ce qu'ils firent avec beaucoup de patience.
Les semaines passes et notre Monsieur Joffrey s'était comme volatilisé. Les 'donateurs-couillons' pensaient que leurs futures constructions de leurs maisons de rêve étaient entre de bonnes mains quand ils s'aperçurent qu'ils furent grugés par le 'voyou-escroc' qui ne donnait plus signe de vie. On retéléphona à sa mère et elle remit la main à la bourse, quelques millions en tranche ( à ce jour il reste encore des remboursements alors que ces affaires se sont produites, il y a dix ans. C'est tout vous dire sur la vitesse de croisière des débours.)
Monsieur Joffrey réapparut, lors des fêtes familiales avec son entrain habituel, sans honte et sans pudeur ( mèghir kassra) frais et dispos, puisque sa mère-sa pourvoyeuse- payait pour lui malgré les cris et les gifles de ses frères. Mei i trabach.
On lui recommanda de faire, après ces divagations, une lettre d'interdiction de jouer dans tous les casinos de France. Il le fit avec beaucoup de chagrin mais, cela ne l'empêcha nullement d'aller jouer ailleurs en Belgique. Mais de lettre recommandée d'interdiction, nenni, il n'en fit jamais malgré ses promesses et ses 'jurements sur le thalit'. Parjure, il le fut depuis ce premier jour où il mit les pieds chez ces 'bandits handicapés'.
Il alla jusqu'à falsifier une carte d'identité volée pour retrouver les casinos de jeux en France.
J'oubliais de vous dire aussi, que faute de paiement du loyer, la petite famille fut expulsée de leur HLM. Elle était partagée entre les foyers beaux-parentales. Durant trois ans.
Son couple battait de l'aile et un jour, il cogna son beau-père qui lui faisait des remontrances sur ses agissements, la fille, 'bent él ness', s'étant confiée à ses parents qui l'a harcelait sur la conduite de ce mari. Boul ou khrââ. La rupture fut consommée, ils divorcèrent sans enfant. Après 10 ans de fidélité. Du moins d'un côté.
Une fois, libéré, et toujours en manque d'argent, Monsieur Joffrey, concocté toujours un moyen de s'en sortir. A quelque chose d'autre, d'assez lucratif. Il s'acoquina avec un ami qui lui voulait du bien, Denis, instruit par ces déboires et vices, pour écumer les grandes surfaces à la recherche de gros coups. Ils devinrent chapardeurs d'appareils informatiques, jusqu'au jour, où une caméra de surveillance les surprit en flagrant délit de vol. La nuit. Mis en garde à vue, la famille, alertée et paniquée, squatta le commissariat de police. On les laissa une semaine au frais. Il passa en jugement et on requit contre lui 9 mois de prison avec sursis. Son ami, récidiviste, écopa d'un an ferme. Il s'en porte aujourd'hui comme un charme.
L'histoire ne s'arrête pas là.
Le voilà publiciste grâce à un cousin fortuné, et plein de charité juive, imbu d'une expérience de trente ans dans le domaine de la publicité. Il se prit de peine pour lui et, lui ouvrit une ligne de téléphone dans un nouveau bureau aménagé spécialement pour lui. Monsieur Joffrey devient commercial, assis, démarchant par téléphone. Une liste de noms de collectivité et une feuille manuscrite accrochée, près de son nez, il rappelait les associations, collectivités locales, mairies, ministères, gendarmeries et polices pour leur vendre des encarts publicitaires à l'occasion de leur fêtes annuelles. Il débitait la même litanie à longueur de journée et était payé à la commission suivant les contrats signés. Un ancien contrat conclut, lui rapportait 15 %, un nouveau déniché 30% de com. Il reprenait du poil de la bête, puisqu'il touchait à présent en plus de son forfait, bon mois, mal mois, la coquette somme de 20 000 frs.
Il était loin de ses 50 000 et tout le reste. Il voulait plus et à chaque fois soulevait le problème de son salaire avec son charitable cousin, qui commençait à voir sa belle 'mitsvat' faite, d'un mauvais œil car il s 'était aperçut entre temps, de la disparition de certain listing -clients, depuis son arrivée. Et même de la fuite de certains clients, passés à la concurrence. Monsieur Joffrey en réalité traitait en sous mains, à l'insu de son patron,ses contrats qu'il refilait à d'autres, en relevant au passage une commission payée en espèces, de la main à la main, pas les 'ennemis' de son cousin. Ce dernier s'en aperçut; des espions de l'autre bord avaient vendu la mèche.
A suivre..
Par Maxiton (Maxiton) le jeudi 23 octobre 2003 - 19h59: |
Albert a écrit : ''Wnessou, ces quatres femmes sont sous
ma houpette''
Alors Albert on ne prononce plus les ' r ' ???
Par Albert (Albert) le jeudi 23 octobre 2003 - 19h56: |
Dans quelques minutes, la suite du JOUEUR...!
Par Albert (Albert) le jeudi 23 octobre 2003 - 19h48: |
Wnessou, ces quatres femmes sont sous ma houpette, essaye de les ménager brass bouk, je suis comme ça, une femme mérite le respect, n'en fait pas trop bja rabi..
Bon tu fais du traking maintenant???? Moi à l'époque je faisais du karting du cotè de là où tes parents vendaient la fameuse Vanille, torchi khèl
Bravo pour dénicher les faux vers et les copieurs qui pensent étre intéligents à nous plaquer des poèmes sans nous donner la source. Continue et TRAKING les , avec moi celà ne risque pas c'est tout de mon crû , comme le bon vin...Hah'qui.
Printania va bien, il m'a télèphonè, bard ghé'diq...Ah ki enti téwa.
Tawfik t as pas une anecdote....????? UN doux...!
même balout...
Par Wnes (Wnes) le jeudi 23 octobre 2003 - 15h55: |
Bizzare comme ce texte qui aurait dû être posté chez le Théâtre à Breïtou, est arrivé chez Adra, y aurait-il eu un détournement, et d'autres robots mercenaires à la solde de la Breïtouna, ont-ils contre attaqué, Bébert réponds ! Zekch!
La Douda ( Hak El Ouet International Tracking Station )
Le Tarfiste :
Yéh Bébert, Yéh Houié,
La Douda ( Hak El Ouet International Tracking Station ), ne pratique pas le tracking pour rien, car rien ne peut lui échapper, même les Internautes les mieux cachés dans la toile du Web, n'échappe pas aux tentacules des centaines de robots mercenaires, qui traquent sous ses ordres et sans relâches, les plagias de toutes espèces.
En 1954 au Cinéma Rex, se jouait : "Zorro L'Araignée contre La Pieuvre !"
Donc Question " copyright opéra mundi ", tu n'as rien à craindre, tes écrits sont bien protégés !
Question Harem, tous les Harissiens constatent que le tiens est bien fourni, d'ailleurs c'est toi qui viens de fournir les Grands Noms du Catch à quatre ! Sahalik yéh baabous, mais tu as oublié Mesdames Gaston Mère et Fille, chte dis pas quelle chmata, quatre ça te suffisait pas Zekch ! maintenant il te faut multiplier les problèmes par six, que dis-je par factorielle six, = 1 x 2 x 3 x 4 x 5 x 6 = 720 ! Makach t'alem yéh darbou ras, oulè ras marbout !
T'en fais surtout pas, Wnessou ou ses sbires ne sont pas assez maboule pour aller braconner sur tes terres, ou dans ton harem, ça craint trop pour leurs baïds ( Krarz !).
Au fait les îles Marshall, fais gaffe car c'est radio actif, c' est là que les Amerlock ont détruit l'Atoll de Bikini, à coups de bombes H, aprés avoir déporté manu military, les habitants qui n'avaient jamais menacé les USA, car c' étaient pas des terroristes!
Fi Lamen, yéh Bébert,
Wnessou El Douda