Par Albert (Albert) le lundi 08 mai 2006 - 21h45: |
Par Ins_Boulakia (Ins_Boulakia) le lundi 08 mai 2006 - 21h35: |
Par Mr_Jano (Mr_Jano) le lundi 08 mai 2006 - 21h05: |
Nous en demande un ISRAEL SEIN...SANS PEPIN...
Par Albert (Albert) le lundi 08 mai 2006 - 20h53: |
Adra est en gréve ou quoi????
Par Michka (Michka) le lundi 08 mai 2006 - 00h59: |
J'en connais un qui ce soir..........
Par Albert (Albert) le dimanche 07 mai 2006 - 14h14: |
CHANSON…..
Paris le 7/05/2006.
Par Mr_Germain (Mr_Germain) le dimanche 07 mai 2006 - 13h28: |
'....CHUTENT A TERRE ELLES LE FUSSENT DEMAIN…'
A l’âge adulte on mesure ses risques.
A l’âge des culottes courtes, on ne pèse rien du tout. On n’évalue pas les conséquences de nos actes.
Je me souviens de roses qui bronzaient sous le soleil ardent de ma ville.
Un très joli jardin, entouré d’une palissade protégeait par des barreaux de fer aux pics acérés, ajoutons à cela des fils de barbelés pour couronner le tout.
Il se trouvait à mi-chemin entre ma maison et mon école.
Ces fleurs s’épanouissaient donc en solitaire sous le regard du maître de céans.
Nous étions quatre garnements, associés dans divers jeux, larcins et aventures. L’un d’eux, un jour me mit au défi d’en aller cueillir quelqu’unes.
Je ne pouvais refuser sans passer pour un couard.
Je posais mon cartable à terre tout en levant ma jambe pour escaler le promontoire, le sous bassement en ciment tout en m’agrippant d’une main à un barreau.
J’étais debout sur le rebord en ciment. Je lorgnais sur la plate forme accoudée au mur.
Tout en posant mon pied entre l’espace creux de deux pics, je me tenais debout tel un héro grec, surplombant la mer ’’Egée’ non , plutôt le magnifique jardin dans lequel étaient plantés toutes sorte de fleurs de saison.
Je m’assis donc quelques minutes plus tard, sur la plate forme et de là je sautais pour atterrir sur le sol en terre meuble, entre arbres à fleurs et Lys.
Mes amis suivaient la scène tout en faisant le gué au cas où..... !
Bref, je m’avançais, courbe, sous la fenêtre, tel un sioux, en prenant bien soin d’éviter de me faire surprendre par le retraité.
Cette première épreuve franchit, je m’approchais des roses. Et avec doigté, sans me faire piquer, je coupais ses tiges vertes , bien épinées, du mieux que je pouvais.
Mes amis suivaient l’exploit....Quand.......Une voix.....
’....Vous vous êtes tant donné de mal pour rien, fiston.... !’
Je me retournais, lâchant prise, tige et roses....Mon visage était devenu blême tandis que mes courageux de compagnons, ces téméraires de naissance, prirent la fuite, me laissant tout seul affronter la voix posée sur une béquille.
Celle du maître de maison, debout sur le seuil de la porte.
’...Je.... ! Je... ! Peux sortir Monsieur..... ! ’
Lui-dis je....Avec ma voix fluette de voleur.
’...Vous savez mon petit gars, la semaine dernière, un enfant s’est prit les barbelés dans l’œil.. !'
Je laissais tomber mes fleurs à terre....
’....A terre elles le fussent à présent..... !’ ’...Hein.... ?’ ’...Non rien que des vers... ! Vous pouvez les emmener avec vous, après tout.. !’
Je le remerciais et prit la porte.
Depuis ce jour là, j’ai appris qu’il fallait demander pour obtenir avec ou sans succès.
Par Mr_Jano (Mr_Jano) le dimanche 07 mai 2006 - 13h21: |
PETITS CŒURS FANES I
Je marchais de mon pas humide sur les dalles mouillées de mon avenue. J’ai baissé les yeux par mégarde et là, mon regard fut attiré par des petites feuilles craquantes qui ont fini d’être vertes.
Elles gisaient à terre, bien jaunes comme si un peintre était passe par-là pour les enduire d’une mince pellicule de feuille d’or.
Je m’abaissais et pris quelques-unes unes dans ma paume et soudain, je compris en voyant leurs formes qu’elles ressemblaient à des petits cœurs endormis dans le creux de ma main. En plus du mien, qui bat la mesure, celles là étaient inertes, nervurées, posées sur un coussin de chair.
Puis, j’ai levé la tête sur la cime de l’arbre et là j’ai vu mille et une fleurs accrochées, suspendues, retenues par un filament végétal, prêtes à choir par terre.
Levez la tête, passants et regardez les avant que ces petits cœurs en feuille ne viennent s’écraser sur le sol humide et surtout prenez garde à ne les écraser par vos pas ignorants.
SUITE DES PETITS CŒURS FANES…
Mon texte sur les petits cœurs en feuille, est ce qu’on appelle une parabole, car vous pensez bien que l’on ne puisse pas éviter de fouler une vieille feuille morte à terre dont la destinée est d’être soit ensevelie soit emportée par le vent par brassées.
Mais à travers ce symbole je voulais attirer votre attention sur d’autres petits riens, qui ne sont ni végétaux ni matériaux. Mais Ô combien importants.
Ces choses si essentielles mais cachées à notre vue que l’on piétine souvent volontairement ou pas. A bon ou à mauvais escient. Et qui font mal. Pourtant certains d’entre nous, je parle de la gente humaine, ne se rendent pas compte du mal qu’ils peuvent causer en ébréchant autrui par des mots blessants qui touchent à la dignité, le respect, la fierté ou à l’honneur. Des sentiments et des caractères qui ressemblent aussi, loin de s’y méprendre, à des petits cœurs que nous portons en nous.
Rappelez-vous cette maxime de nos pères.
’ Amrèq mé thamar èl khoddin’ (prends garde à ne faire jamais rougir autrui )
Sous-entendu blesser son prochain. Certains bien pensants s’imaginent que l’on peut tout dire au nom de la vérité. Leur franchise étonne car elle ne tient pas compte parfois de la vulnérabilité de l’autre. Personne n’a le monopole de la franchise et de la vérité. Vérité en deçà mensonge au- delà.
La vérité ou le mensonge seraient t’ils ’meurtriers ou assassins’ dans certaines circonstance. ?
Alors gens de bonne foi, ne foulez pas ces sentiments qui nous appartiennent dans nos coeurs et nos caractères. Et surtout réfléchissez bien à ce que je vous dis. Car le faute parfois est irréparable..
Ne perdez pas de vue que je suis un homme plein de défauts mais avec peu de qualité. Et je suis fier de ce que je peux être.
’...Chutent à terre, elles fussent demain
Mortes et inertes au petit matin
Mes feuilles reposées, gisent à terre
Attendent que le vent les soulève dans l’air.
Et mon cœur.
Toi ….! D ieu Eole ingrat qui va les disperser
Au soir par ta brise ou ta bise, réveillée
Par larges brassées ou par chariots entiers
Tu les emporteras par la mort aux aguets
Vers les cimetières inconnus et désolés.
Sans chant, ni prière, point de cercueils ’ébène’ ( de bois d’ébène)
Exposés dans les vastes champs d’hiver, dénudés.
Ni psaume, ni sermons et requiem prononcés.
Nul cri, ni hurlements derrière le corbillard invisible
Noir de couleur comme l’est la faucheuse nuisible.
Retenez vos sanglots malheureux qui les voyaient
Partir, ceux ne sont que rien, que petits cœurs fanes.
Vautours lugubres. !
Ce n’est ni chair ni ossements
A pâtée. Point de curée.
Partez sans tourner au-dessus des végétaux gisants
Leur cœur est fane.
N’as tu point d’âme D ieu du vent qui bat dans ton souffle divin. ?
Fais donc ton oeuvre sous mes yeux lancinants, tristes sans fin.
Emporte les dans tes gisements funestes étiolés,
Et assouvis-toi de leur belle sève séchée.
L’arbre est sans tiare.
L’enfer sent l’acre.
Le Paradis serait-il plus fiable. ?
Mes larmes coulent par tant d’indifférence
Pour ces petits cœurs d’or si émouvants.
Vous viviez à la belle saison du Printemps,
A L’automne sont venus les balais
Des beaux croques morts insolents... ! ’
La vie n’est qu’une feuille, une brindille accrochée à un arbre
Que le morne souffle d’Alcyon viendra décrocher de son érable !
A toute heure.
Et mon cœur..
Merci. Salèm allikôm
PASSE LE 18/1/2004.
7/05/2006 PTB.
Par Breitou (Breitou) le dimanche 07 mai 2006 - 12h25: |
CHANSON POUR LE PELERINAGE DE LA GHRIBA.
Chantée par le grand BREITOU HAIM DREBEQ….
Paris le 18/04/2006.
AAAAAAAAAAAAAAAhhhhh….§§§§§§§§
JiteEEEEq ye JerbaAAAAAAAAAAAA..
Allah leï i qta’na El yâ’DééééééEEEEEE…..§§§§§
Ahhhh…Yé mam’mou’nèEEEEEE…
Ahhhh…Yé maq’mou’maAAAAAA…
Ye chéEEEEE’bè raq’da fi oust él jne’ne…
Es’meEEEEq manq’ouch yâl ââliIIIIIII…..
OURIRIRIRIRRIRIRIRIIRI..§§§§§§§§§§§§
TAC TAC TAC TAC…CLAP CLAP……
Jitéq yé GhribaAAAAAAAAAAAAAAAAA..Ahhh…
Mamili vient de se lever, dekh’lou’lè él jnoun tandis que Elsa qaoue’ne kher’jou’lè mél …
NDLR\………………………..Les génies lui sont rentrés on ne sait pas par contre pour ceux de Elsa la tordue on ne sait par où ils sont sortis ….§§§§)
Yé él bé’yèEEEEEEEEEEEEE…..
Sé’reh’ qloub’nèEEEEE….§§§§§§§§§§§§§§§
Ye ouar’deEEEt glou’bnèEEEEEEEEEEEEEE…
Ye fél……….. Yé yasminAAAAAAAAAAAA.§§§§§§..
Bidé qif lah’rir…§§§§§§§§§§§§§§§§§§§…..
TAC TAC TAX DOUM DOUM DOUM..§§§§§§§
§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§ J J J J J
Mamili se dandine de droite à gauche, elle trépigne de ses 1,20 lorsque tout d’un coup
Poupèe se lève .Elle avance vers ses copines d’un air détaché, ses deux bras imitant
Des allers retours comme un tamisage ; dghar’bèl avec cadence et quelle cadence… !
Des arrêts sur place momentanée puis re-départ en dandinant la tête les yeux légèrement fermés, rotation à droite re-rotation à gauche
Ahhhh..Yé éLLLLLLLLLLLLLLLl gué’liaAAAAAAAAAA..
Fi oust guel’bi seq’nè ….§§§§§§§§§§§§§§§
Ye fél’foulaAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA….
Qif en chém éweEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEq
Naf’raAAAAAAAAAAAAAAAAHH……§§§§§….Nessé émou’mi…..
Toi notre très chère, au centre de mon cœur tu y loges
La belle fleurie, lorsqu je sents ton parfum je m’ennivre…
Ahhhh ….Yé qloub él safiIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIn
Taq’rita mdar’ouraAAAA ââla jbin’qoOOOOOOm
Oeul kippa mach’chi’yè ââ’la rouss’naAAAAA……..
O vous les cœurs purs ( à part Elsa)
Votre foulard ceint vos fronts
Ainsi que la kippa enfoncée sur vos têtes
Oua’daAAAA Tes’tè’finè lél qoOOOOOl..
En challa maq’boullaAAAAA…§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§
Jom’ya bou’rè’khèEEEEEEEEEEEEE…§§§§§
Lem’ét él ah’be’yèb fi jor’toOOOq….. Bél ghnè ou bél tzar’ghit…
Ouel der’bouqa mé’chiè ââla tOUUUUUUUUUUUUUUUl….§§§§§§
Un vœu attend tout le monde
Et je souhaite qu’il soit retenu
Cette semaine est bénie
Elle rassemble tous les amis derrière toi, avec des chansons et des youyous
Et la cadence du tambourin ….
(Meyer tu me donnes du fil à retordre à traduire pour toi)
TAC TAC TAC…….
AHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH…Ye GhribaAAAAA…
Jine’èq yé semch’él qloUUUUUUUUUUUUubnaAAA…§§§§§
Mél byid ou mél jé’noOOOOOOOOub…
Mél chaAAAAArq oum mél EuropaAAAAAA…..
Fa’rah di’yaf’EKKKKKK…§§§§§§
Chem’ââ fi ye’dè’yèmMMMMMM ………Zia’ré’TTTTTNé maq’bou’laAAAA…
(Nous sommes venus vers toi O soleil de nos cœurs
De loin et même de l’Est
Remplis de joie nos pèlerins
Les bougies sont dans leurs mains et que leur pèlerinage soit bien accepté.)
§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§
AhhhhHHHHHHHHHHHHH.. Yè Ghriba él lÂÂÂÂÂzizaAAAAA..
Es’mèq méq’toub ââl harf jbi’nèEEEEEEEEEEEE..§§§§§§§§§§§§
Oun challah en raou’hou far’ha’nin ou jé’oue’niIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIn….
(O toi la Ghriba notre estimée
Ton nom est gravé sur nos fronts
Et je souhaite qu’ils retournent heureux et pleins de sérènitè.)
OURIRIRIRIRRIRIRIRIRIRIRIRI..§§§§§§§§§§
Amin….
Par Breitou (Breitou) le dimanche 07 mai 2006 - 11h13: |
Par Albert (Albert) le dimanche 07 mai 2006 - 10h55: |
Par Breitou (Breitou) le dimanche 07 mai 2006 - 10h13: |