Archive jusqu'au 03/février/2004

Discus: Le Petit Théâtre de Breitou: Archives 2004: Archive Fevrier 2004: Archive jusqu'au 03/février/2004
Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le mardi 03 février 2004 - 21h15:

You ..FANG ULLO...la minguièla..Ye sahbi...! Ye lahdia..Comme tu dis..Mche él sam qââd él ariane.


Bon, j'ai relevè quelques erreurs en relisant. Je corrige. Si ce n'était que ça...

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le mardi 03 février 2004 - 21h11:

Wineq ...Wineq....Ye YOU.....Fang, comme elles sont belles les japonnaises KACHER...Yé Rebi..Djéj..

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le mardi 03 février 2004 - 20h54:

Pour la seconde fois me voila accoucher de ma seconde nouvelle après LE DESTIN TRAGIQUE
D AMELIE RONCOURT.

Je récidive avec L 'INNOCENT en éspérant que celà enrichisse notre litterature tout azimuth. Je souhaite qu'un jour vous entendrez grâce à la magie du NET, ma voix pleine de BIKHI BOUKH..lol
Dans quelques instants, le temps que je me paufine ..:) :) :)

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le mardi 03 février 2004 - 19h47:

LE DERNIER DES CHUNG OU LE CRI DE LA MORT...

L'histoire se passe en INDOCHINE. Tout est imaginaire..

YOU FANG est la fille de son Mâitre de KARATE, 7 ième DAN, Maitre FUJI.

Ce chapitre que je vous offre fait partie d'un roman que je viens de terminer, alors étant génèreux avev vous, je vous offre...


'..Chung et You Fang.

'....You-Fang n'avait jamais connu d'hommes dans son adolescence, ce qui ne l'empêchait nullement d'avoir comme toutes les jeunes adolescentes de son âge, quelques phantasmes. Elle était curieuse des choses de l'amour. Elle était donc vierge de corps quand elle rêvait cependant d'amour..
Maître Fuji, son père la destinait aux beaux-arts mais elle préféra contre toute attente, s'investir plutôt, comme bénévole, dans un hospice d'enfants orphelins, situé dans un quartier déshérité de Hanoi. Le quartier de Hô-Lai. Son dévouement fut remarqué par ses supérieurs et surtout par la directrice Madame Rougemont. Elle remarqua cette jeune fille de bonne famille au caractère effacé, dégourdie et surtout dévouée à cette bonne cause. Fuji, père admirait en secret, son aînée.

'..You…! Lui dit un jour son père…!

'..Le commissaire du quartier est venu me voir, il y a quelque temps au sujet de ton bénévolat..! Il m'a proposé de parrainer le foyer dans lequel tu officies. Je lui ai soumit plutôt un mécénat…! Oui ramasser des fonds pour reconstruire cet établissement qui ne correspond plus aux normes d'hygiène…! Il veut aussi que tu remplaces Madame Rougemont, devenue vieille..!'

'…Mais que deviendra t 'elle alors…?'
'…Elle te secondera…!'
'…Non…! Je la seconderai..!'
'...Bon…! Dans ce cas, je vais en parler à Monsieur Kwan..! Il comprendra…!'

Quelques mois plus tard, un nouvel établissement plus adaptè aux besoins des enfants vit le jour….Du nom de ' Hô-Chi-Mihn..'. Plus de 150 lits, soit 4 fois plus que le vétuste foyer.
Madame Rougemont gardait ses prérogatives. You était très heureuse de cela.

You était attirée par Chung. Bien que vivant, sous le même toit, Chung s'était bien gardé d'aborder sans permission la jolie demoiselle. Par respect. Pas même un regard posé sur elle. Seul, la passion de son art, l'incombait mais voilà que quelque chose d'inattendu s'était produit en lui, sans qu'il puisse le définir avec exactitude. Son cœur éprouvait un fort sentiment pour You.

Puis un jour, You, cassa la glace..

'…Tu sembles bien triste…Chung…!

Lui dit-elle contre toute attente alors qu'il vaquait à ses occupations.
Chung surpris par cette question imprévue…

'…J'ai un secret…! Un secret qui me rend comme cela..!'

Dit-il gauchement, presque en tremblant des lèvres…

'…Un secret qui rend ton âme, ton cœur, et ton esprit si triste…?'

'…Et ma vie aussi…!Mademoiselle Fang.
'…Que faut il donc faire pour tu retrouves le sourire..?'
'…Ne pas l'enfreindre..!'
'…Alors laisse le temps faire son œuvre …!'
'..Nul œuvre ne peut se construire sans le temps, c'est vrai mais dans mon cas, le temps ne compte pas et j'ai fixé mon œuvre dans l'avenir…Dans la coïncidence plutôt…! Que j'attends..!'
'…Quelle philosophie sous ces muscles…!'

Puis…

'…Pourquoi me fuyez vous….! Chung…?'

Chung sursauta…

'…Vous fuir…?'
'…Oui…Il me semble que je vous impressionne, que vous m'évitez..?'
'… Eviter le soleil qui me brûle les yeux, ses rayons qui me font baisser la tête….! Vous ressemblez à ces nénuphars posée sur la mer de la Tranquillité…! Vous ressemblez à la lune…! Comment donc les atteindre quand ils sont remplis de charme où les toucher sans se brûler….!'

'…Vous me flattez …! Chung…!'

Répliqua You avec un sourire entre les lèvres.

'…Il m'arrive souvent le soir, dans ma solitude, que mon cœur parle..!'
'…Et que vous dit-il …! Chung..?'
'…Vous me semblez bien curieuse…!'
'…Je veux être votre confidente..! Le voulez vous..?'
'…C'est trop d'honneur que vous me faites là….Mademoiselle You..!'
'…Finalement, Chung, vous êtes un petit cachottier..!'
'…Sauf votre respect, et bien oui…!'
'…Veux-tu que je remplace ton TOI…!'
'…Que vous preniez sa place..?'
'…Oui….! Ou alors, je serais son confident..!'

Elle lui caressa le visage. Tout en disant cela.

Chung, pour la première fois de sa vie, sentit une main délicate effleurer son visage…

'…Tu me parais fort surprit…! Chung….?'

Tous les sens de Chung étaient en alerte. Lui le Maître de Karatè qui ne ressent ni coup ni blessure, le voici à présent, en cet instant comme amadouer par un geste gracieux qui fit frémir son cœur.
Il ne répondit pas.

You, plus entreprenante, se rapprocha encore plus.
Chung était comme figé par cette démarche. Il resta sur place, attendant la suite des évènements…

'…Chung…? Soyez détendu, il ne vous arrivera rien, je vous assure..!'

Et pour le rassurer, lui caressa la seconde joue, encore plus longuement.

L'heure du déjeuner sonna.

You prit congé de son ami.
Chung resta prostré sur le gazon.
You ne voyant pas arriver Chung, le héla de la terrasse..

'…Tu ne vas pas prendre racine, j'espère…!

Chung sortit de sa torpeur…Et tout en retrouvant ses esprits, monta finalement dans sa chambre pour se changer.

Les idées de Chung étaient emmêlées. Durant la nuit, il repassait sur sa joue, les deux caresses qu'il reçut quelques heures auparavant comme s'il voulait toucher les invisibles empreintes de la main de la belle You. Il s'endormit.

Au petit déjeuner…You était en compagnie de Chung…

'…Si vous voulez on peut se revoir tout à l'heure, sur la gazon..?'
'…Je ne vous fais plus peur…? Chung…?'
'…La timidité est une vertu qui freine parfois les bonnes intentions..!'
'…Et tu en as à présent…? Chung…?'
'…Oui…! Grâce à vous…!'
'…Tu sembles ne plus l'être…! Quel changement en si peu de temps…Chung…!'
'…Vos gestes de la dernière fois…!'
'…Lesquelles…?'

Elle feint d'ignorer la chose..

'…Vos caresses…,'
'…Ah …! Elles vous ont fait de l'effet…?'
'…J'ai ressenti quelque chose que je n'aie jamais ressentit auparavant…Mademoiselle Fou…!'
'…Sans doute les prémices de l'amour..!'
'…L'amour…?'
'…Oui , c'est quand le cœur palpite pour quelqu'un…!'
'…Alors….!
'…Ne dis rien…! Et manges…!'
'...Vous voulez dire plein d'amour pour ma passion..?'
'..Votre passion…? Mais il me semble que vous vous y êtes jeté à corps perdu dedans et que tout le reste ne compte pas..!'
'…C'est à dire que cela fait un bon temps que j'y suis dedans…!'
'…Mais alors pourquoi tu ne me l'a pas dis…?'
'…Mais vous ne l'avez pas deviné..?'
'…Si mais je n'étais pas si sure…!'
'…C'est votre père qui m'apprend les ficelles…!'
'…Mon père vous parle de ça…?'
'…Oui tous les jours….!'
'…Chung….? Mon père ne peut pas parler d'amour avec toi…!
'…Mais qui vous parle d'amour…! Mademoiselle Fang…?'
'...Ahahaha….! Je crois qu'il y a quiproquo Chung…!
'…Oui, je le pense aussi…!
'…Bon, a tout à l'heure…!'
'…Ok…!

Deux heures plus tard, ils sont dans le jardin.

'…Vous allez refaire vos caresses…! Mademoiselle Chung…!'
'…Ecoutes Chung…! Viens par- là, nous sommes trop exposés aux regards…Des passants…!'

Elle le prend par la main et l'entraîne à quelques mètres dans les bois…

'…Ici nous serons mieux…! Tu ne trouves pas …! Chung..?'
'…Pour les….!'


Elle s'approcha de lui et lui prit les mains, toutes déformées. Elle les porta à sa bouche...Chung n'en revenait pas…Il se laissa apprivoiser. Il s'attardait sur ses fines et jolies mains parfumées comme un bébé à qui l'on offre un ourson.

'…Chung tu me sembles figé…?'

Chung l'était. Il osa enfin lever la tête pour mieux contempler le visage de You.

'…Portes les à tes lèvres, si tu en envie….! Chung…!'

Chung les porta à ses lèvres et les couvrit de baisers…

'…Tu deviens entreprenant, là..!'

Fou détacha ses mains des siennes pour lui encadrer le visage.
Chung se laissa faire. Il caressait à présent ses petites phalanges aux ongles vernis, rouge-vermillon. Et suivait du regard les attouchements qui lui procuraient tant de joie. Il ne se rendit pas compte qu'il serrait les mains de la jolie fille de son maître.

'…Chung….? Nous allons passer à la seconde phase…!'

La seconde phase. Elle rapprocha son corps de son corps. Chung sentit l'exquis parfum qui embaumait ses joues. You, l'enlaça et lui posa un baiser sur ses lèvres…

'…Chung…? Tu ne vas pas tourner de l'œil …?'

Les yeux de Chung, peinaient à retenir leurs émotions. Il les avait fermés depuis longtemps.

'…Alors…! Chung…? Quel effet cela te fait…?'

Un effet..? Chung était aux portes du Paradis, près de Bouddha.

'…Chung…? Tu peux ouvrir les yeux à présent…!'

Chung resta un instant bouche bée….Ne voulant pas fermer ses mâchoires….

'…Chung….? Ne dit rien..!'

Chung ne pouvait rien dire. Il était prit par un mutisme de circonstance.

Elle recommença son baiser mais plus lentement en y mettant plus d'ardeur…Chung était au bord de l'évanouissement…

'…J'ai pas envie de te porter dans mes bras…! Chung…! Cela ferait un mauvais effet vis à vis de mes parents…!'

Chung enfin, se décida à recouvrer ses esprits, le cœur battant la chamade.

'…Chung….? Ce n'était qu'un baiser…!'

Chung était sans voix. Il se demandait ce qui lui arrivait. En cette belle et bonne circonstance…
Il eut la force de dire…

'…Est-ce que demain, nous nous reverrons…!'
'…Tu as donc aimè…?'
'…Est ce que ce baiser est une marque de respect….Mademoiselle Fou…..?'
'…Plus…! Chung..! Un signe d'amour…!'
'…Un signe de Bouddha…?'
'…Oui mais c'est mon signe…! Chung…Sous le regard de Bouddha..!'
'…Ce signe serait-il donc prometteur…?'
'…Oui, je le pense …! Chung…!'

Chung salua You avant qu'elle parte…Mais…avant…

'…Demain, tu seras là…?'
'…Oui..! Chung mais plus profondément…!'
'....Oui plus profondément…!'
'…Dans la forêt..!'

Chung regagna sa chambre avec dans sa tête des images inédites.
Il jeta un regard sur son miroir. Deux traces de rouge à lèvres marquaient ses joues. Il passa ses doigts par-dessus. Il imprégna son index, par ce colorant, et le porta à sa bouche, en fermant les yeux. Il appréciait ce goût.
Le goùt de ces deux baisers dont l'un plus chaud que l'autre. Il attendit que le jour se lève pour aller guetter par la fenêtre, You.


Elle marchait sous le soleil radieux, sur le gazon. Vers les bois. Chung était déjà prêt depuis l'aube. Il était heureux de la voir trottiner avec souplesse sur l'herbe pleine de rosée.

Il préféra prendre la porte de la cuisine pour aller la rejoindre. You, se retourna, comme si elle voulait lui faire un signe pour la suivre. Elle était habillée cette fois çi en tenue occidentale. Il put à loisir découvrir ses beaux mollets réguliers. µ

'…Bonjour You….! '
'…Bonjour Chung…!'
'…Mais tu n'as pas enlevé les traces du rouge à lèvres d'hier…?'
'…Non, je voulais garder ces signes afin de croire que j'ai été vraiment embrassé par une jolie demoiselle que ….!'
'…Tu apprécie….!'
'…Non….Je crois que mon cœur t 'aime…!'
'…Il te l'a dit..?'
'…Oui…! Mais il ne savait pas comment te le dire…!'
'…Là, il me le dit, il a donc fait des progrès à ce que je vois en si peu de temps…!'
'…Aujourd'hui, y aura t'il de nouveaux signes….?'

Elle s'approcha de lui, comme la veille, Chung, tout en émoi, sentit sa jambe venir se coller, entre ses deux jambes.

'…Ne t'effraye pas, et surtout ne recule pas…!'

Reculer…? Mais Chung était au bord du vertige , il sentait son sexe grossir venir buter contre celui de sa future fiancée. You, tout en lui caressant le visage….

'…Tu me promets de ne pas t'évanouir…?'
'…Je vais faire des efforts…!'

Elle l'invita à s'allonger sur le sol, mais elle avait prit soin d'abord d'étendre une large serviette. Elle s'agenouilla. Chung en fit autant. Ses seins reposaient à présent sur le torse de Chung.

'…Chung…..?'
'...Oui.....?'
'…Caresse moi les seins….!'
'…Les seins…?'
'…Oui, Lentement….!'

Chung posa sa main, toute hésitante sur le sein droit de You….Il commençait à apprécier cette forme spongieuse et là il découvrit le bouton rouge/brun.

'…Embrasse-le doucement…!'

Chung volait avec les anges.

Il mordilla légèrement le bouton de chair. Fou émit un gémissement. Puis, il se hasarda à faire de même avec l'autre. Fou, se laissa aller. Chung, bien excité, lui prit la bouche…

'..Tiens, tu progresses ….!' Lui dit -elle entre deux baisers langoureux…

Chung sentait monter en lui quelque choses de nouveau…!

Il releva la jupe de la jeune fille, pour découvrir son nombril. Et la lisière de sa culotte.

'…Serait ce l'anti-chambre du Paradis….! You…!'
'…Il ne faut pas la forcer…! Seulement l'entre voir…! Sinon nous aurions faillit au code de l'honneur…! Chung….!'

Chung comprit le message mais s'aventura quand même à inspecter le lieu de son curiosité avec ses yeux sans enfreindre avec les mains à toucher 'l'interdit..' Il regarda sa dulcinée…

'…Tu peux seulement l'embrasser…!'

Chung , bien docile dans sa conduite, osa…

Il rapprocha son visage de son petit taillis tout en éveil, et posa un léger baiser sur cette rose, dénudée.

Chung ne sentait plus. Il venait de découvrir pour la première fois, le sublime.

Fou prise d'une soudaine envie de copuler laissa faire son amant embrasser à l'envie cette merveille, en alerte. Elle sentait le plaisir monter en elle. Chung s'en aperçut mais préféra lentement remonter vers son visage. Il larmoyait par l'émotion.

'…Ne pleure pas, tu a été à la hauteur et surtout convenable. Le reste viendra plus tard quand on aura scellé le mariage….!'

Il la couvrit de cent mille baisers. Il était heureux. Chung. Même très amoureux.

Chung et You-Fang convolèrent en justes noces. Il avait 28 ans et elle, 20 ans....!

A suivre...Quand j'aurai tout fini, il passera dans deux ou trois mois comme d'habitude...

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le mardi 03 février 2004 - 18h17:

AVIS A LA POPULACE D HARISSA...
ATTENTION N OUVREZ AUCUN E MAIL A MON NOM SURTOUT PAS DE LIEN S Y RATTACHANT. POUR L INSTANT. MERCI.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le mardi 03 février 2004 - 17h22:

'...HIC....§§§§....IN YADDIN.....ZE...BULLON...HIC..§§§§ J'ai pas reconnu le BB, le Bouuuuuu BOUUUUU...KHAAAAAA..BAR...HIC...§§§§...Ils ont changè le nom de la rue...HIC....§§§§..Que des néons, j'ai même demandè à Appolo, mon âne, il m'a répondu par un HI C..HAN..HIC..H..HAN....§§§§..Meme Roro il a begayè ....BBBB..BBBB....Je l'ai assomè mon oiseau à plumes...§§....Hic...Hic HANN...§§§§....Roritte et toi tu l'as reconnu le BEBEEEEEEEE....Hein....§§§§...Nous sommes rentrès dans les plats traditionnels, j'ai senti la MLOUKHIA et j'ai demandè à être servi, mais on m'a dit, on ne connait pas ce plat, ici on a le PLAT QUI FINI JAMAIS...Alors...j'ai demandè ce plat...et on m'a apportè une soupe verte avec un morceau de mergueez diari ( maison) bien assaissonnè seulement voilà, il y avait qu'une tranche de pain aussi plate que les jambes d'Olive, je leur ai fait ma remarque , alors, elles m'ont apportè des Olives, quand j'ai terminè ma tartine HIC....HIC....Ginette ma chienne s'est mise un tablier au col pour manger le SOUPE VERTE et voilà que tout le GREMBIELE ( serviette) s'est retrouvè tout vert ...§§§...IN YADDIN....les GREMBIELES...Ensuite, je me suis levè et jai oubliè la serviette au col et j'ai fais un tour dans la CASE DE LA PAIX..Quelle Paix y règne...Et j'ai visitè les DELIRES alors là j'ai délirè tant et si bien que je me suis mis à, raconter mes DELIRES ....Et j 'ai tellement délirè que JERO m'a invitè à aller faire un tour chez DAFNIE....Mais moi je ne suis pas marocain, je lui ai dit...Il y a tellement de portes que je n'en suis pris une en pleine fakoussa...HIC...IN YADIN LES PORTES...§§§§....Je vais retourner qd JERO sera partit..Il me suit partout...§§§§...JE CHANTE....ANTE.....ANTE../§§§§§§
Je ne me rappelle plus le nom de ma chienne...

C'est GINETTE Ou ZBIBRETTE....

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le mardi 03 février 2004 - 17h07:

'...Couche toi et sois malade , tu sauras qui te veut du bien ou du mal...!


Le jour où je suis tombè malade, il n'y avait personne pour m'apporter des oranges, pas meme un bien empaquettè..

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le mardi 03 février 2004 - 17h04:

J'ai pas pris la valise et le cercueil le jour où je suis parti, je les ai laissè là bas , comme cadeau, et je suis sortis avec honneur et sans peur. Sans KHOUF. LA DOUDA....Pour le cafè expresso normal, il faut changer de cafetière, yè baba PREND LA MARQUE HARRISSA.COM. Elle dure plus longtemps que les autres.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le mardi 03 février 2004 - 13h50:

LANCEMENT/PUB....L INNOCENT...ROMAN POLICIER...AVEC L INSPECTEUR BOULALIK....

Didier est un enfant difficile. Un jour, il fugue et se retrouve dans un commissariat de police, pour vol à l'étalage. Il est réprimande par l'inspecteur Boulakia. Il se remet dans ses études et à 17 ans , il fait la connaissance de Matthias, un jeune de couleur plus âgé que lui. Il l'invite à une Rav partie.

L'Innocent II

Ils arrivèrent enfin devant la tour, il était 21 heures. Pour la première fois de sa jeune vie d'ado, Didier, franchissait l'antre du vice, de la fumée, de la drogue dure, de la musique techno. Une trentaine d'accros gesticulaient sous une musique assourdissante et sous les rayons coloriés des lumières tournoyantes sorties du plafond. Il ferma un instant les yeux, pour mieux les rouvrir quelques secondes plus tard, le temps de s'habituer à cette atmosphère.

-'Tiens, prends ça, c'est moi qui régale, il y a un bar au fond, apporte nous deux scotchs whisky secs….! 'Ordonna t'il au jeune homme....

A suivre..Ce soir premier chapitre.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le mardi 03 février 2004 - 13h32:

SUZY.

Dans l’impossibilité de rentrer au boukha bar pour remercier certains amis du cafe des dattes qui ont eu la gentillesse de me faire leurs condoleances, je veux leur communiquerde que je suis touchée par leurs messages de soutien et je les apprecie infiniment chacun par son nom sans oublier personne, ve she lo nidah yoter mitzarot. amen.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Belebou (Belebou) le mardi 03 février 2004 - 13h13:

Finalement, il n'y pas mieux que d'être chez soi, yè SAHBI...

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Breitou (Breitou) le mardi 03 février 2004 - 12h35:

LE FRUIT DE MON LABEUR.


Au début, j'étais simple écolier. Arrivé à la fin de mon cursus scolaire, au printemps 1961, c'est à dire à la fin de ma deuxième seconde, le conseil de classe réunit en urgence à l'O.N.U, annota sur la marge de mon carnet scolaire cette phrase sibylline qui me resta clouée dans ma mémoire…'…Nouvelle orientation…' Mais on ne me dit pas laquelle. Bref, je fus tout bonnement renvoyé sans ménagement et sans honneur. Mais avec beaucoup d'humour mais sans chagrin. Les études ce n'est bon que pour les Anes, comme la Douda.

Mon papa, grâce à ses connaissances, me dénicha un petit job dans l'entreprise où il travaillait -Les Etablissements de carrelages Boublil Neveux et fils- du côté de Dubosville, dans la banlieue de Tunis, pas très loin de Mégrine. Pour un salaire de 65 Dinars soit environ 700 frs.

Le fruit de mon labeur fut donc estimé à sa juste valeur en tant que petit scribouillard.

Ma maman à l'affût, arguant avec force de sentiments, qu'elle me donnait à manger, me logeait, cousait les chaussettes neuves etc… me prélevait tous les mois la moitié de mon 'salaire de la colère'. Je fus le seul, parmi mes frères, à être gratifié de cet honneur. Plus tard, c'est à dire aujourd'hui, ils payent le retard qui leur est dû sans intérêt tandis que moi, croyant être délivré de cette dîme, je pourvois toujours mensuellement aux charges et autres, de ma mère.

Bref, pour ma maman, je me couperai en mille morceaux pour satisfaire ses besoins, bon disons en quatre afin de ne pas faire trop de miettes par terre et du mauvais sang sur le parquet. Les impôts devraient prendre de la graine chez elle car c'est la seule chose qu'elle sait bien tenir; les comptes. Une 'bsal ou loubia' peut brûler mais pas l'oubli de son dû. Elle motive tous les mois sa demande avec beaucoup de justesse puisqu'elle ne bénéficie ni de retraite de guerre, ni de pension de veuvage. Aujourd'hui, mes frères sont assujettis à payer leur quote-part. Le fruit de toutes les caries, et même les dents saines de ceux qui n'ont rien à faire, que de s'asseoir sur un fauteuil juste pour voir leur palais dans une caméra.

Bref, par la suite le fruit de mon labeur augmenta quand je démissionnais de cette entreprise de bâtiment, trois mois plus tard, pour aller travailler au journal la Presse en tant qu'aide comptable. Je touchais la modique somme de 75 Dinars. Maman, toujours aux premières loges, réclama la moitié.

Sans broncher, je consentis à ce partage. Quatre ans plus tard, on me proposa quelques cours d'éducation physique à dispenser à l'ORT, de l'Ariana. Entre 12 heures 30 et 14 heures 30.

Ces quelques vacations m'étaient payées pour 45 Dinars. Je ne dis mot à ma mère mais voyons mon train de vie augmenter, me dit….

'….C'est bizarre, on dirait que tu gagne plus…!'
'….A quoi vois-tu ça maman…?'
'….L'instinct d'une mère..!'

Qu'elle me rétorqua….!

Les pépins de la colère montèrent en moi. Elle touchait donc comme une associée, 60 Dinars.

Les besoins d'un jeune de mon âge étaient connus, habillement, sorties le soir, cadeaux anniversaires ont vite fais de 'dilapider' le peu qui me restait. Mes fins de mois en souffraient et je m'adressais à elle, avec beaucoup de réticence quelques fois, pour un prêt remboursable. Ce qui donnait ceci…

'…Qu'as tu fais avec ton salaire…?'

Je devais donc justifier mes dépenses, pour ce petit complément qui ne dépassait pas les 5 Dinars.
Je lui inventais donc de faux prétextes.

Ainsi donc, pour éviter les tracasseries douanières, je changeais de prêteur afin de ne pas attirer les remarques de ma progéniture, à mon ami Dédé Journo, le fils du restaurateur célèbre en casse-croûte AZAR, rue Ali Bach Hamba, juste en face du journal.

Dédé était aussi employé dans la même entreprise et nous partagions le même bureau. Cela dura jusqu'en 1971. Suite aux déboires de notre PDG, et au séquestre de la société, je fus contraint quelques mois plus tard, à démissionner de mon poste sans indemnité ni avantage par la nouvelle administration qui a tout fait pour se débarrasser du dernier mohican juif que j'étais. Entre temps mon papa m'avait demandé d'intégrer sa petite marbrerie qui commençait à prendre de l'ampleur. Il ignorait l'établissement des formalités administratives d'import de matière première et autres paperasseries bancaires.

Maman voyait d'un mauvais œil cette nouvelle affectation, pour la bonne raison que son petit dû allait lui échapper. Effectivement, je n'avais plus de fiche de paye mais je me servais directement, sans rendre des comptes à mon père, dans la caisse. Le fruit de mon nouveau job était à présent entièrement dévolu, dans ma poche. J'ai donc mis 13 ans pour cesser de partager cette dîme.

Mes besoins se sont donc multipliés proportionnellement, puisque je roulais à présent en 'jet privè' et que je fréquentais la grande 'jet-society' et les dancings branchés de la côte. Plus les filles avec qui j'étais généreux

Aujourd'hui, baroukh achem…Grâce au fruit de mon labeur, gagné honorablement et honnêtement, là où j'ai vécu, et à la pierre surtout, j'ai pu économiser pour le bien de mes enfants car vous n'ignorez pas que les fruits de notre sueur appartiendrons à nos enfants. Un jour.

Je me dis, souvent, merci mon D ieu, comme c'est beau les '…FRUITS DE LA VIE….!'