Par Albert (Albert) le mardi 10 février 2004 - 14h08: |
KHOLSSOT
Par Albert (Albert) le mardi 10 février 2004 - 08h26: |
Decidemment, moi qui conseillais à mon ami Tawfiq, de ne rien dire, voila que je suis vernis...et découvert...
Merci quand même, Chantal, et à mes amies et amis du cafè des Dattes qui m'ont réservès un accueil chaleureux....
Par Chantal (Chantal) le lundi 09 février 2004 - 23h48: |
Joyeux anniversaire Albert!!!
Mes meilleurs voeux de sante et de creation de nouvelles pieces de Theatre...
Par Albert (Albert) le lundi 09 février 2004 - 22h06: |
ALBERT SIMEONI
L' Enfant de la Goulette.
Roman policier.
Le 9/12/2003
Didier est un enfant difficile. Un jour, il fugue et se retrouve dans un commissariat de police, pour vol à l'étalage. Il est réprimande par l'inspecteur Boulakia. Il se remet dans ses études et fais la connaissance de Matthias, un jeune de couleur plus âgé que lui. Il l'invite à une Rav partie. Il fait la connaissance de Myriam qui l'aguiche. Ils flirtent ensemble.
L'Innocent III.
Miriam marchait dans la rue, sous les lumières blafardes des lampadaires. La cité était endormie. Des rayons de lumières s'échappaient par les volets clos des appartements. Il faisait doux.
-'Myriam…? '
La jeune fille, de parents maghrébins, se retourna. Surprise.
-'Didier…? Mais qu'est ce que tu fais là…? Tu me suivais..?'
-Non….! Je voulais te raccompagner…!'
-'Mais je n'ai pas besoin de ta compagnie, je sais rentrer seule tu sais…!'
-'Mais je ne comprends pas ton attitude..!'
-'Il n'y a rien à comprendre…!'
-'Ecoute, penses-tu que l'on puisse se rencontrer une autre fois…?'
-'Pourquoi faire…?'
-'Pour faire connaissance, aller boire un verre, aller au ciné, au resto…!'
-'Au Mac Do, tu veux dire…?'
-'Si tu veux…!'
-'Tu veux sortir avec moi, c 'est ça….?'
-'Ben pourquoi pas…?'
-'Tes 'felè' ou quoi….! Tu es ouf toi je crois, bon salut, ne me suit pas ok…?'
Elle se mit à courir pour s'engouffrer dans son hall d'entrée sans même jeter un regard à Didier. Il se sentit soudainement comme abandonné en plein parking, par l'attitude incompréhensible de la jeune fille. Il décida de rentrer chez lui quand il entendit, une voix l'interpeller. Dans la pénombre.
-'Ne t'inquiètes pas…! C'est toujours comme ça la première fois…! Il y a des règles de jeu…!'
-'Mais quelles règles….? Celles de m'enflammer, de m'allumer comme ça, et puis de partir comme une voleuse sans même me jeter un regard, comme une serviette sale..? C'est ça les règles…? Matthias…?'
-' Tu t'habitueras…!'
-'Ok ..! C'est bon avec ce mot, je dois m'habituer à tout avec toi, il y une chose que je ne supporte pas le mépris….!'
-'Les grands mots….! Laisse béton…! Tiens, va t'offrir demain un bon Mac..!'
-'Ecoute, Matthias, garde ton fric, je ne sais pas ou tu veux en venir avec moi…Ok…!'
-' Tu ne me parles pas comme ça Didier…!'
Matthias s'avança d'un pas. Menaçant.
Didier en fit de même..
Matthias….
-'Ok….! C'est bon calmons nous, c'est pas la peine de se disputer pour 200 frs..!'
-'Ecoutes Matthias, personne, je dis personne, ne m'intimidera ici…!'
-'On se reverra petit…!'
-'Oui, mon grand, quand tu voudras…!'
Ils se séparèrent sous ces belles paroles.
Didier rentra discrètement dans sa chambre à coucher.
Il commença à se dévêtir.
-' Tu es en retard, mon fils…!'
-'Oui, maman, je m'en excuse, c'est le bus et j'ai du marcher à pieds…!'
-'Ok….! Pour cette fois çi , mon chéri…!'
Il embrassa sa maman.
Il resta un long moment pensif, revoyons les évènements de la soirée dans sa tête
Il regretta d'avoir mal agit envers son ami qui cherchait sans doute à l'aider sans arrières -pensées. Il s'endormit.
Le lendemain, lundi, était jour férié. Il se leva frais, et dispos, oubliant tant soit peu les évènements de la veille. Il enfila un jogging, prit l'ascenseur et se retrouva dans la rue à courir.
-'Belle journée…!' Lui lança la concierge…
-'Oh …! Que oui, je dirais printanière même…!'
Il longea la balustrade traversa le pont qui sépare les deux quartiers, quand il vit Myriam, accompagnée par quatre amies. Il s'arrêta à sa hauteur, tout en sautillant sur place.
-'Bonjour Myriam…!'
La jeune fille fit mine de ne pas le connaître….L'une d'entre elle, s'adressant à Myriam…
La copine…'Tu le connais…?'
Myriam……'Non ….! Je ne crois pas…!'
Lui………'Ah …! Tu ne me reconnais pas …? Tu feins de ne pas me reconnaître devant tes amies…? Hier soir au parking….?'
Myriam……'Il doit certainement délirer….! Hier, je ne suis pas sortie de chez moi…!'
Lui………..'Ah….! Excusez--moi, je dois délirer…!'
Elle………..'Oui pour ça c'est sur….! Tu fantasmes certainement..!'
Il continua sa course. Ses amis de terrain l'attendaient. Il aperçut Matthias, accoudé sur la barrière de sécurité du green. Il alla vers lui.
-'Matthias…:! Pour hier soir…!'
-'C'est pas grave…! Si tu veux, on prend un pot après la partie…!'
-'Ok, ça me fera plaisir…!'
-'Alors à toute à l'heure..!
Deux heures plus tard, après la douche, ils se retrouvèrent attablés autour d'un verre de soda.
-'Tu sais….! Je ne dois pas tarder…!'
-'Non…! Moi aussi Didier, je dois aller à un rendez vous..!'
Matthias…
A suivre…….
Par Albert (Albert) le lundi 09 février 2004 - 21h43: |
TAWFIQ, PRINTANIA, FERNAND, SIBYLLE,Ilian, Jex, Suzy et l'énigme,
Je vous remercie pour vos voeux discrets dans ma boite aux lettres, sans compter vos messages télèphoniques, je vais vous parler en judéo-arabe car vous huit vous le comprenez très bien..
'...Yerham él msa'rèn élli jaboulqom, yer'ham él jdoud élli ââtaw'qom él edéwèh wél tarbia, ââla qol qlèm élli oussali , qalbi smââ ou tssa'nèt ou frah ââla qlèmquèm. Nét ménè liqom él khir, él ââmor twil ou sahat lébden, ou challa qol ââm bkhir, Amin. Rabi myakom. Mé néssèch él qdor, ébedèn ou moustahil...!'
Par Douda (Douda) le lundi 09 février 2004 - 00h46: |
La Douda : ( Hak El Ouet International Tracking Station )
Le Tarfiste :
Innocent : Suite:
Après s’être arrachés de l’hospitalité de Taximan, les deux Tourtereaux s’installèrent dans la villa QG de Lémy à Anfa, un vrai petit nids d’amour, avec tout c’ k’y faut, et tout ...et tout...
La vue y était imprenable sur la grand bleue, mais comme la nuit était déjà très avancée, c’était le pot au noir, sauf les étoiles et la pleine lune qui ruisselaient d’un éclat mouvant sur l’Océan, plutôt genre Océano Nox, comme l’avait écrit le Vieux Barbu des lectures de sa jeunesse...Lémy se servit un grand Cutty Sark, avec des iceberg qui tintaient sur les rebords de son gobelet de cristal, il s’affalât dans transat, vida le breuvage d’un seul trait, et se mit à songer, que pour la dernière de
ses missions FBI, c’était bien parti pour devenir la plus Belle !
Car Belle, la Môme déjà en exploration des lieux, s’en veint vers lui le tirant de sa rêverie :
- TonTon, c’est pas mal ici, mince d’un palais à côté de mon gourbi, y a pas photo dis !
- Môme, dit il en quittant le transat, tu prends la chambre, moi j’ m’ installe dans l’ salon !
S’approchant de TonTon Lémy, la belle Barbara se plaquant contre son Jules, lui susurra :
- J’en crois rien Mec, avec moi tu peux pas faire chambre à part.
Lémy soupira :
- Vraiment “Les femmes s’en balancent”, laisse moi prendre une bonne douche bien tiède, et après
on verra.
Lémy à présent allongé sur le paddock nuptial, emmailloté dans la cape de bain blanche, respirait par la persienne de la chambre donnant sur mer, l’intensité odoriférante de l’ air du grand large tout chargé d’iode et des senteurs de la datura qui poussait à foison sur la terrasse, il écoutait les gouttes d’eau perler dans la salle de bain, où belle se prêtait aux jeux du bain parfumé, il se prit soudain à
rêver du songe dangereux, d’une existence qu’il n’avait jamais connu, tant le poker de son
existence agissant sur lui comme une drogue fatale, qui dressait des montagnes de chaos par le travers son chemin existentiel.
- Tu roupilles déjà brave homme ? le son clair de la voix de Môme le tira une fois de plus de sa
rêverie, il entrouvrit les paupières et le spectacle qu’il découvrit dans le contre jour de la pleine lune, le fit une fois de plus douter de lui-même.
Les formes de déesse de Belle transparaissaient à travers un voile diaphane qui ne tarda pas à choir sur le dallage, elle s’avança et d’un geste à la fois rapide et sure ouvrit la cape de bain de son homme, elle s’allongeât sur lui couvrant le visage de Lémy de moult baisers.
Notre gaillard sentant la sève le gagner à travers tous son être, la serra dans ses bras vigoureux se disant “qu’il n’allait pas être plus royaliste que...l’Empereur”, se rendant ainsi compte qu’il avait à présent atteint le point de non retour!
Pour le reste leur étreinte fut seulement royale ! Mais soyons discrets !...
...........à suivre
Par Albert (Albert) le dimanche 08 février 2004 - 21h40: |
Demain l 'INNOCENT III Salut.
Par Albert (Albert) le dimanche 08 février 2004 - 20h53: |
Mnih MNih menè CHouyè mta SUISSE ok, j'arrete les tractations, et reste célibataire, moi qui voulait faire une MITSVAAHHH AHHH....! Je dements formellement le sketch de BREITOU LE SEMSSAR...OK??
Allez soit rassurè et dort bien, je n'ai fais que commencer ...Pour le reste qu'est ce que j'en fais..?
Par Douda (Douda) le dimanche 08 février 2004 - 19h48: |
La Douda : ( Hak El Ouet International Tracking Station )
Le Tarfiste : Breitou le SEMSAR, le Baabous Laskar, alias Bébert La Sardine…. , Zekch ! L’escroc au Samsar...etc...
Yéh Baabous ! Tu dois démentir, autrement il y aura représailles, car tu es à la solde de la concurrence ! Tu veux absolument par des médisances répandues à tout vent, faire casser en bourse la côte des actions de La Douda, il ne s’agit ni plus ni moins que d’une OPA hostile et vicelarde, on a déjà contacté le Ftileur encore en vacances de neiges, et il a promis que si tu ne déments pas, il va te réduire au chômage (Pas de luxe comme lui), mais tu auras même pas droit au RMI Goulettois, même pas la vente des glibettes, mais seulement le droit de brouter l’herbe rase, qui pousse entre les traverses du TGM, yéh hmar !, yéh mraz !, yéh traître !, yéh escroc !, yéh Chrah !... etc ... etc...
Alors porte un démenti officiel, ou c’est la hache de guerre qu’on va déterrer, pour une deuxième fois te baptiser au sécateur, et on te préviens que celle là elle coupe très court, des fois elle coupe même les Beïd, alors fini les kifs accomplis dans l’arrière boutiques du perruquier, avec les clientes en mal de
Baabous, que tu séduits et abandonne à leur triste sort, elles n’osent même pas porter plainte tellement les pauvres elles ont honte !
C’est ça que tu veux ? Alors passe ta commande, et le second couteau à gages de Lémy Caution va te ftiler les aouinas fel terma, tu auras droit au premier choeur de la Capelle Sixtine, Zekch !
Mais quand même on aura des regrets et aussi la nostalgie de tous tes exploits de Baabous, que tu nous racontes en privé depuis ta boite mail officieuse, et que tu nous demandes de garder secrets, de peur de recevoir la bastonnade à coups de rouleaux a pâtisserie quand tu rentres chez toi, au moment et à l’heure ou se fabriquent les makhoud, on a même préparé les cameramen pour te filmer, et se payer le kif de te voire recevoir le Grand Darbouras !
Si malgré tout tu veux t’éviter tous ces châtiments, on peut dans l’alternative tout déballer en public et révéler sur ADRA, l’intégrale de tous ces mails vantant tes exploits de Baabous, à moins que tu ne
fasse amende honorable, à toi de choisir ton châtiment.
N’Boussek Yéh Bébert
Wnessou El Douda
Par Albert (Albert) le dimanche 08 février 2004 - 16h47: |
Albert Siméoni.
Récidive dans une nouvelle dérision
Récit pas très conforme à la réalité.
ALBERT LE BO…… II.
Un Y grec, en fin de papa, a suffit par me projeter dans un univers où je commence à me sentir légèrement baveux.
La sénilité ne va pas tarder. Une avant dernière voyelle qui me rappelle la forme de ma première tire-boulette, confectionnée à l'aide d'un morceau de bois sciée d'une branche de ficus.. Une lette alphabétique qui m'envoie dans la banlieue des grands-pères.
Je fréquente, à présent, les vieux de Belleville, les 'khalouadines' ( les mélangeurs) qui répètent à l'envie, leurs histoires à dormir assis, et qui se donnent encore des airs de jeunesse alors que les poils de leur nez dépassent d'un centimètre leurs cavités nasales. Si ce n'est, qu'ils s'en servent de brosse à dents ou d'essuie morve, qui pend de leur entonnoir; 'tromba mtaz guez'.
Je ne parle pas des fourrés qui apparaissent par leurs oreilles. Il me semble entendre des petits gazouillis; Sans doute, des oisillons qui viennent d'éclore.. Tnékèt. Eviter de tels désagréments, c'est le but que je me suis fixé. Je me suis donc pris en mains. Tous les matins, je surveille mon faciès. Un tir cils à la main droite et une pince à épiler de l'autre, je guette, comme un sioux, le poil félon qui voudrait me surprendre. Sinon mon look en souffrirait.
Deux pattes d'oie, de rhinocéros plutôt, aux coins de mes yeux sont apparues. Rien de bien grave, je me suis composé une mixture de jaune d'œuf de canard laquais avec une pincée d'huile de pépin de raisin. Je me masse donc ces deux parties tout en me brossant les dents.
Il faut que je présente un visage assez convenable pour Sharon, ma petite fille, quand elle sera en âge de me découvrir. Je surveille aussi tout débordement venant des poils de mon nez. J'ai horreur de cela. Point de tifs du côté de mes oreilles. C'est un acquis, pour mon 'sex-appelle.'Exquisez mon english..'.
Je me suis rendu compte, par contre, que des poils ont pousse encore plus drus…….Sur ma poitrine. Une lotion capillaire, bien traître, m'a prit par défaut.
Mon crane, loin de s'étoffer, en a prit un coup. Rendez-vous fut prit avec un planteur d'implants. Pour cent cheveux, la note varie entre 50.000 et 60.000 frs, tout dépend de la qualité de l 'épi capillaire. J'ai demandé à l'esthéticien de m'implanter des cheveux artificiels. Ca coûte beaucoup moins chers. Et ça dure, deux semaines. C'est juste pour me donner une contenance; c'est tout, pas plus, après D ieu y pourvoira.
J'ai pris rendez –vous aussi, par téléphone, avec un masseur de cervelle, histoire de remuer mes neurones, endormies. Je les sens paresseuses et peu enclins à vouloir reprendre du service. La note ….Entre 50 500 Frs et 50 600 frs.
Donc en réfléchissant bien, je préfère rester avec mes neurones à la con, qui très prochainement, je le sens, ne me serait d'aucune utilité à 110 ans.
'..Yemchou i naiqou..'mes neurones.
Pour mon visage qui s'arrondit, j'ai trouvé l'astuce. J'ai une casserole en plastic. J'introduis ma face dedans et là, je l'encastre. Afin qu'elle prenne la forme. Au petit matin, mon visage se relooke. Sauf qu'après deux semaines de cette pratique, cette souffrance, mon faciès a prit la forme d'une cuillère à cafè étirée vers le bas sans doute que je me suis trompe d'ustensile. Echââlina. Ah…! Ma femme un soir, oubliant la casserole, s'est pris le manche. Elle s'est levée avec un œil au beurre noir. J'avais plus besoin de beurrer mes tartines. J'en avais reçu deux au petit jour.
Mais là où, le bat blesse. C'est ma partie inférieure. J'ai beau jurer de faire un régime draconien même Draculien, rien n'y fait, je prends du bide. Au point que je vais peut être si D ieu veut, changer l'encadrement de la porte.
Mais je ne comprends plus mon nombril…! Je ne le trouve plus. Il est rentrè. De profil, je ressemble à Titine, après son dixième accouchement, fesses comprises.
'..Chey yamèl el yar..ou yen'kob él guar..' (Une situation qui fait scandale et perce les trous..!')
Bref. Plus bas, c'est la Bérézina, mais en plus petit. Non point que je ne veuille pas décrire mon inférieur, ma partie basse car je sens déjà les quolibets qui fusent. Juste un aperçu alors…? Mais ne riez pas…! Je me sentirai vexé…! Voilà cela fait belle lurette, que ma petite luette, mon chagrin d'amour, n'a point pris de volume, depuis 20 ans, je dirais même qu'elle s'est laissée tomber comme une vieille chiffe molle.
'Temchi t'nèyèq ehdi zéddèh..' Tant qu'elle ne peut plus, se redresser comme une baguette magique. Cette structure ne répond plus aux critères les plus simples alors elle me 'camouflette' sans coup férir…! Après tout n'a t'elle pas remplie sa mission O Combien euphorique pendant 75 ans….Alors…..?
Bon, ce qu'il y a de magique c'est……. Que je ne me sens plus comme il y a un mois, plein de ressources et d'entrain, bél hafiè, je suis devenu Papy, enfin…Zut.. ! Vous comprenez ça au moins…?
J'ai bien le droit de ' Baloutter' ( affabuler) sur mon Winèq…. Winèq …..( Où est- tu…! .) Non…? Yè Z…izi..! ' Ce cher orgueil dans ma dignité bafouée; j'encaisse ce coup.
Par Albert (Albert) le dimanche 08 février 2004 - 16h46: |
'...A des amis 'NON GRENES'...Rectification..
Par Albert (Albert) le dimanche 08 février 2004 - 16h33: |
En effet A....,
LES GRANES...
On peut même parler de caste, car comme tu les décrits si bien, LES GRANAS, ne se melaient jamais aux TWENSSA, de la hara, il y avait là une sorte de discrimination de ’standing’ , un peu comme les juifs pollaks et les sépharades au début à Paris.
Il leur a fallu plus d’une génèration entière pour voir disparaitre peu à peu cet ostracisme.
J’avais des voisins Grhènè et je ne comprenais pas leur attitude envers nous. Ils vivaient en vase clos et rares étaient acceptès chez eux des non-granèhs. Ce n’est que bien plus tard, une fois les enfants devenus grands que mes amis-voisins- par la suite, ont brisè la glace faute de s’integrer à des amis ’grénèh’ comme eux. Ils n’avaient pas le choix donc ce mélange entre nous, forcè pour eux, a fini par porter ses fruits, puisqu’ils ont épousè par la force des choses des filles de TWENSSA.
Pour les tombes, ils ne s’adressaient jamais à un marbrier tounsi mais bien à un des leurs.
Et pour les montèes au Borgel elles se faisaient le Dimanche ; même les prières étaient faites selon leurs rites. Tout était différent.
Les granahs étaient aussi des gens de culture, musicophones, tutu et chichi, pleins de savoir vivre, mais pas assez de tolèrants.
Pour conclure, quand je rentrais chez les Bo...On sentait la lavande, chez nous c’était l’odeur de la gnouiyè qui remplissait l’air, sans doute que leurs ragouts étaient assaissonnès de parfum exquis, yè lahdiyè...Même leur haleine sentait le DIOR, et nous le ME WARD, et quant ils ’guémssaient’( pétaient) , c’était du CACHAREL, et nous l’odeur des féves....lol...