Par Albert (Albert) le lundi 16 février 2004 - 22h39: |
Lalla, MAZEL TOV.....! BEL EHNE OU BEL SAAD...!
Inscrit la au BB; vite vite..!Tu as trois jours pour celà..!
Par Chantal (Chantal) le lundi 16 février 2004 - 21h19: |
Lala!!! Mabrouk, Mabrouk pour la naissance de la deuxieme petite fille!!! qu'elle soit aussi belle et intelligente que sa mere et sa grand-mere!
Par Albert (Albert) le lundi 16 février 2004 - 21h48: |
ALBERT SIMEONI
L' Enfant de la Goulette.
Roman policier.
Le 9/12/2003
Didier est un enfant difficile. Un jour, il fugue et se retrouve dans un commissariat de police, pour vol à l'étalage. Il est réprimande par l'inspecteur Boulakia. Il se remet dans ses études et à 17 ans, il fait la connaissance de Matthias, un jeune de couleur plus âgé que lui. Il l'invite à une Rav partie. Il fait la connaissance de Myriam qui l'aguiche. Ils flirtent ensemble. Surpris pas sa désinvolture, il lui court après dans la rue. Myriam lui fait comprendre que tout s'arrête, dés l'instant où ils se sont quittés. Il en parle avec Matthias. Une petite querelle entre les deux jeunes hommes s'en suit. Le lendemain, Didier croise en jogging Myriam, accompagnée par des amis. Elle feint de ne pas le reconnaître. Il en est abasourdi.
L'Innocent IV.
-'Ecoute Didier, pour hier soir, le comportement de Myriam, était normal..!'
-'Comment ça normal…? Je viens de la croiser là tout de suite, avec ses amies, elle ne même pas salué….!'
-'Ce sont ses sœurs, et en plus elle se 'shoote' à la drogue..!'
-Merde…..? Mais d'où apporte t'elle le fric…..?'
-'Elle est……Elle fait des passes dans les sous sol à 250 frs la passe…!'
-'Oh …! Ca alors, si je le savais…!'
-'Elle est sous l'emprise d'un mec….! Mourad…!'
-'Mourad….? Notre coach…?'
-'Oui, mais ici, on ne se pose pas de questions…Ok….?' Tout le monde le sait, mais il y règne la loi du silence…! Tu ne vas pas le crier sur tous les toits, j'espère….?'
-'Tu ne me connais pas très bien Matthias….! Bon…..! C'est l'heure, je dois partir…!'
Didier se leva, serra la main de son ami.
Marchant faisant, il fut troublé par les confidences que lui avait faites son ami.
Il monta dans sa chambre, ouvrit ses livres et ses cahiers. Il était plongé dans ses équations quand le téléphone sonna dans sa chambre. Il ferma la porte et fut surprit d'entendre la voix de Myriam..
-'Myriam…? '
-'Ben oui et qui veux-tu que ce soit…! Tu a l'air surpris..!'
-'Je ne le devrais pas…? Mais, comment as-tu fais pour avoir mon phone…?'
-'Ne cherche pas à savoir, écoute, je t'appelle d'une cabine, j'ai pas été très gentille avec toi, ces derniers temps…!'
-'Oui…! Même pas très gâté…!'
-'Vers les 16 heures, je suis dans le parking, vient me rejoindre…! J'ai envie de faire l'amour avec toi..!' Attends…Ne quittes pas…!
Elle arrêta sa conversation…
Didier surprit dans son combiné, un écho de voix, presque des chuchotements…
-Qui est avec toi, Myriam…?' Dit-il.
Elle reprit le combiné.
-'Non personne, je parlais avec un ami…!'
-'Ah ok….! Donc je disais ….! Comme ça…! Sans…!'
-'Si tu as envie de moi, on passe à l'acte..! Sans rien….! Et cesse de te compliquer la vie…! Bon à toute à l'heure au parking place numéro 45, on sera à l'abri …! N'oublie pas, je t'attends..!'
-'Mais…! J'ai cru comprendre que…!'
Il n'eut pas de continuer sa phrase, qu'elle raccrocha.
Ce que Didier ignorait, c'est que sa maman avait installé autrefois un micro dans le combiné de son téléphone et cela afin d'enregistrer les conversations de son fils, quand il était un garçon difficile, dans le seul but de le protéger des mauvaises fréquentations.
Il prétexta un devoir à prendre chez ami, pour aller à son rendez –vous.
Il croisa sur son chemin Matthias.
-'Tu es presse, on dirait..?'
Il rougit..
-'Oui…! Euh..! Oui, je dois aller retirer un devoir…!'
Matthias fit semblant de le croire, il se rendit compte que son ami, par cette hésitation, mentait. Il feignit de continuer son chemin. Tout en le suivant du regard.
Didier descendit les marches du sous-sol et se retrouva dans le second sous-sol, indiqué par Myriam. Quelques voitures étaient garées dans leur créneau. Certaines étaient laissées à l'abandon. Il chercha de yeux l'emplacement numéro 45. Il aperçut Myriam assise sur le capot d'une voiture, en tenue légère, une mini jupe qui laissait entrevoir sa culotte. Un petit chandail laissait voir ses beaux seins, fermes et durs. Elle ne portait pas de soutif. Son maquillage lui rappela celui de la veille.
-'Salut Didier…!'
-'Salut…!'
Elle lui tendit les bras. Didier s'avança. Il entoura son bassin tandis qu'elle se laissait tomber sur le dos du capot. Didier en profita pour la contempler dans cette position allongée. Il lui baisa l'entre seins Il la déculotta tandis qu'elle levait ses jambes pour mieux lui ceinturer la taille. Et tout en laissant tomber son pantalon, il sentit sa petite touffe humide sur son ventre. Ils oublièrent que leur nudité pouvait être surprise par un locataire. Il s'empara de son corps. Ils firent l'amour jusqu'à s'en assouvir.
-' T'es un bon coup toi…!' Lui dit-elle. Pendant qu'elle se rhabillait.
Il fit de même. Il était épanouit par cette première expérience.
Il sortit le premier. Laissant le soin à Myriam de le suivre, et cela afin que les voisins ne puissent les surprendre ensemble. Il était à peine dehors, debout sur la dalle, qu'il entendit deux coups sourds venant d'en bas. Il redescendit en toute hâte et là il vit Myriam étalée sur le sol goudronné gisante, deux balles dans l'abdomen. Son ventre portait deux trous sanguinolents. Il entendit un bruit de course feutré, derrière lui, mais il ne put esquiver un geste par la panique qui s'empara de lui. Il était blême. Il regardait Myriam inerte, les yeux ouverts, le fixant. Il prit soin de rabattre sa jupe pour cacher sa culotte. Il prit peur et remonta les escaliers à vive allure. Une fois dehors, tout s'embrouilla dans son esprit. Un banc lui servit de repos. Il réfléchissait à cette situation morbide. Fallait il avertir la police..? Se dit-il…dans son émoi…..? Ses parents peut être..? Il ne fit même pas attention à la pluie qui commençait à tomber. Il se releva lentement et tout en ressassant la scène, il arriva devant son immeuble. Il souffla un instant avant de prendre l'ascenseur pour arriver à hauteur de son quatrième étage.
Il décida de se taire.
A suivre….
Par Albert (Albert) le lundi 16 février 2004 - 21h42: |
L'INNOCENT IV...Dans qq instants...!
Par Albert (Albert) le lundi 16 février 2004 - 08h45: |
Tais toi LA DOUDA, depuis que j'ai insérè le texte, elle me tourne de l'oeil, je suis cachè dans un trou pour ne pas qu'elle me voit ZEHKCH....
BREITOU MKHOBI????TU VOIS QUAND UNE LANGUE FOURCHE QU EST CE QUE CA FAIT COMME DEGAT....?
CE N EST NI LE PIED NI LE TROU....MAIS LE NOMBRIL...
Par Douda (Douda) le lundi 16 février 2004 - 01h33: |
La Douda : ( Hak El Ouet International Tracking Station )
Le Tarfiste : Kalek “Le trou vanille Zekch !”,
Alech pas le trou Pistache, ou le trou Frigolo, ou le trou cacaouéia...?
Douda, lui il préfère le Trou Goulettois, genre huitième Boukha Markira entre deux assiettes de
Complet Bouri, bel FelFel Ahmar Fritou!
Chnoua èkel cataplasme ? Bel Zabda Kahla ! remarques qu’avec ce qui précède, ça fait Le Rouge et le Noir, Zama Stendhal bech y kharge m’tal tourbet!
“durant 7 jours et au bout de ce délai qui m'a paru assez long quand même, j'ai guéri” : Zama mchit fel Lourde, Ya hmar!, oula mchit fil Marabout ! Kadech flous atitlou ?
“Pour les foulures, il y avait la 'SAHKA DE BSAL OU MELH' ( une ratatouille d'oignons et de sel) “
Khotou batata, oula adma,oula tmatem, ou y ji cahachouca bagda ! Bel Panaris Chnoua èkel asfour
Kanalou ? Jibni l’ khazib !
Chkoun Vaniglia ? Anè man khabch al Toubis mt’a Auchant, alech Toubis mneïkin mkassar, Anè
nkhab Gilat Vaniglia bark !
Kes K c’est, maintenant tu t’en prends à notre copain Citron, allusion pour lui faire t’envoyer des casses croutes Tunes Gratis, genre : “Bel flous ou bou, oula bou blech” Abab aaaaaab, qui te connaissait ces talents de Taffard ? Manipulateur !
En plus “que la mixture de Vanille, avait pourri et qu'une une odeur pestilentielle s'en dégagea au point que toutes les clientes de ta boutique en furent infécondées”, chez nous on disait plus
simplement : “Euf reïkha! a la khata deben t’mout!
Attends un peu, Lémy Caution arrive bientôt ! Zekch !
Wnessou El Douda
Par Albert (Albert) le dimanche 15 février 2004 - 17h07: |
C'est pas le TROU DE VANILLE MAIS LE 'PIED DE VANILLE'..Pardon Vanille. lol
Par Albert (Albert) le dimanche 15 février 2004 - 16h47: |
LE TROU DE VANILLE.
A l'époque, ma grand-mère était une adepte de la guérison par les plantes et les cataplasmes.
J'ai gardé aujourd'hui quelques formules de ces cataplasmes ( lebkhè ) dits 'dwe arbi'.
Et quand les circonstances l'exigent, je conseille à certains de mes amis ce genre de
formule, et bien souvent ça marche. Prenez par exemple, une bronchite et bien, je me souviens qu'à l'époque ma maman sur les conseils de sa maman, m'avait enveloppée le torse de feuille de caroubier trouée, enduites de 'Chmen'('beurre rance).
J'ai supporté ce cataplasme durant 7 jours et au bout de ce délai qui m'a paru assez long quand même, j'ai guéri. Il y avait aussi la feuille de papier journal enduite de pétrole. Je passe sur toutes ces odeurs que je supportais stoïquement pour mon bien. Je ne m'arrêterai pas sur les 'Mrayèt' ( les ventouses) qui 'suçaient ', aspiraient,le 'BARD FEL JNEBET( le froid dans les cotes) etc….
Pour les foulures, il y avait la 'SAHKA DE BSAL OU MELH' ( une ratatouille d'oignons et de sel) que l'on plaçait dans une serviette que l'on posait sur l'organe pour désenfler l'hématome. Pour un gros panaris, c 'était kif-kif. Mais là il fallait poser des tranches de tomates toujours salèes.
Bref, si je vous raconte ça, c'est parce qu'une amie du nom de VANILLE, un pseudo, s'est vu écraser le pied, lors d'un voyage organisé par AUCHAN, en Egypte, par une roue de bus. Il faut le faire, soit la roue est sortie de son essieu et est venue dare-dare écraser les phalanges inférieures, soir la Vanille a oubliè de retirer son pied. Bref, marche- arrière marche- avant, le pied fut dégagé dans un état proche du mauvais. La compagnie applaudit au miracle.
Elle s'en retourna chez elle à Paris, avec une grosse boursoufflure qui ne la laissait pas dormir ni rever. Bref, ayant eut vent de sa mésaventure, je la rencontrais par hasard, sur le chemin de son travail, clopinant comme je ne le vous raconte pas;je lui conseillais de faire un cataplasme d'oignons et de sel avec un peu de citron, un peu de variante, une pincée de persil, et de 'mayadnouch,' plus deux tranches de pomme de terre, sur lesquelles elle devait ajouter un peu de poivre, un poivron doux, et deux 'kobar' ara ââla saka) ( capres). Tout sauf un casse croûte tune, il y manquait que le thon. Gras.
Elle rentra chez elle et le soir, elle appliqua ma recette.
Au bout de deux jours, elle put marcher et se rendre à son travail avec son pied recouvert de bandage. Une grosse légume.
Quatre jours plus tard, un incident inhabituel se produisit. Les clients d'Auchan, diminuait.
Au bout de deux semaines, il n ' y avait plus personne chez Auchan. Le Directeur, arrivé de vacances s'étonna comme il se doit de cette fuite de la clientèle.
Les caissières étaient bien à leurs places mais les tiroirs- caisses étaient malheureusement EN chômage et pour cause, il n'y avait plus rien à taper et ces dames passaient leur temps à papoter avec un masque à oignon. Sur le pif.
Et bien comprenez donc par là , que la mixture de Vanille, avait pourri et qu'une une odeur pestilentielle s'en dégagea au point que tous les clients furent incommodés. Et fuirent.
Le Directeur décréta la quarantaine. Il convoqua la Vanille à son bureau pour comprendre car il faut bien qu'un directeur d 'Auchan comprenne. Sinon, il ne travaillerait pas dans cet organisme. La Vanille lui expliqua la chose avec force et détails. Mais curieux comme il était le 'Moudir' voulait inspecter le pied de son employée. Et quand toutes les bandelettes furent enlevées, le Directeur, par l'odeur, alléché tomba en syncope. Sous les yeux des oignons et du sel et ingrédients.
'….Autant emporte AUCHON…..!'
Par Albert (Albert) le dimanche 15 février 2004 - 16h02: |
Albert Simèoni ( Bébert)
L' Enfant de la Goulette
Le 22/7/2003
Sketch…
RoOOO S. Le footballeur.
SAVEZ-VOUS GAGNER UNE RENCONTRE GRACE A UNE TBAABISSA ?
Une source confidentielle me confiait ainsi que mon ami RoooS, était un virtuose du ballon rond de cuir.
Son équipe de plage dont il était le capitaine, Le Club R. Saad..( C.R.S.) avait comme emblème un index rouge levé, sur fond jaune à ne pas confondre avec les méchants C.R.S d'ici.
Le C.R.S était toujours en tête du championnat professionnel de la ligue des T.P.I . Ane pas confondre avec le Tribunal Pénal International.
Lors des derniers tirages au sort qui ont eu lieu à Zgougou Ville la R'FIFAJ( République des Fédérations Internationales Anti-juive), RoooS tomba contre les C.R.S (Cameroun Railways Sport ) en huitième de final.
Ils les éliminèrent par 6/1, dont un but de RoooS avec une poussée de fièvre.
EN ¼ de finale, ils eurent comme adversaire le C.R.S ( Centre de Recherche Scientifique) qu'ils battirent par 4 à 1 dont un but de RoooS par une rage de dent. Pour se retrouver finalement confrontés avec les C.R.S ( Carioca Régiment Stars ) 11 pédales à cycles menstruels et un homo à moustaches comme entraîneur.
Une finale exceptionnelle pleine d'émotion et de retournement de situation, vous comprenez au moins les retournements… Devant 25 Chefs d'états et 150 ministres dont un maire de famille De l’Arche de Noé.
Les Etats arabes représentés par un aimant (en arabe Ayman) ont boycotté cette arène, sous prétexte qu’il y avait 11 juifs.
L’arbitre de la partie Monsieur Kiki Novitch procéda au tirage au sort pour le choix du terrain.
RoooS toujours veinard, eut le côté gauche contre le soleil.
Notre ami portait le numéro 10 comme Platinium, une allure et une forme à faire pâlir les gradins.
Sa maman Marie-madeleine, assise aux premières loges a vite fait d'allumer un canoun d'encens.
Le nuage fut si épais, que l'on ne voyait plus rien à cent mètres à la ronde.
A peine juste pour le premier coup de sifflet.
Dés les premiers échanges, sous le brouillard de bkhour, RoooS s'empara du ballon tout en faisant son sigle avec les doigts, il partit en trombe et là..
Laissons parler le speaker..
'…RoooS a toujours le ballon, il drible une Carioca, puis deux, arrive sur la troisième et là il lui fais ' un kiks', entre les jambes, petit pont, la quatrième à peine relevée du gazon maudit, laisse faire, RoooS l'entrejambe et se trouve nez à nez avec le goal, il
fait semblant de 'chou chouter' le gardien de but qui lui fait un clin d'œil, mais RoooS ne l'entend pas de cette oreille, (Notre ami n’est pas de la pédale)il tire…
TIREEEEE….ET LE CUIR VA S'ENCASTRER DANS SA LUCARNE…BUTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTT….!'
Hchèoullou, yè Henri…
Deux minutes plus tard, le même RoooS, lui enfile un second but..Dans le langage de H.E.O. (Halq el Oued) on appelle cela « Baabsou ! »
Hchèoullou yè Henri..
Deux à zéro, et l'arbitre Kiki siffle la fin de la première période.
En seconde période, les Cariocas touchées dans leur amour sale, se réveillent avec l'intention de remonter leur handicap.
Ce n'est qu'à la 85 ième minutes que Lucia, d'un coup de derrière réduit la marque et à la 93ième minute Fredda dit la rousse d'un coup de faux sein envoie le cuir où il faut. 2 à 2 à deux minutes de la fin de la partie.
Les jeux semblent faits, mais c'était ignorer RoooS. le rusé
Plus que Deux secondes RoooS, après un départ fulgurant se retrouve à deux mètres de Chikita, le goal adverse, il lève la jambe pour 'chouter' et là,son genoux se bloque et il se retrouve la jambe en l'air. Tout le stade est suspendu à la jambe de notre héros. Sa mère..
'YE ROOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOS….?'Choutti….Choutti…Yè mââda…! '
Etfakar essath’a mtâ el Tongo ou el bassouk dab !
( Tirrrrrre !!!!!!! ……Eh cataplasme..!')
Rappelle-toi la danse du tango et du paso-doble.
C’était un code de Marie-madeleine, qui rappelait à son fils, comment jeter le ballon par-dessus la jambe.
D’après vous, pourquoi RoooS s’est bloqué ? Il a été vexé par le mot bassouk dab, il a cru que sa mère l’avait traité de Dab (Ours.) et qu’elle allait le priver de son plat favori.
Parce que le plat qu’affectionnait notre ami RoooS, c’était la Dabba h’aya (L’ourse vivante.)
Arrive l'arrière droit, Banana Slip, qui par son élan, glisse sur le gazon mouillé par le jus de coco, sorti du flottant de RoooS, et là on voit le pauvre carioca, l'index levé venir buter là où il ne faut pas dans la périphérie ondulatoire comprise entre le 'cussis et le cussinus'. Un miracle, mes amis, la jambe de RoooS comme ressuscitée tire son coup, devant 250 000 paires de yeux du D ieu Stade de MACARAIBO, Monceron.
Un miracle, je vous dis car sous la pression du doigt, notre RoooS se sentit soulevé par ce touché rectal.
Il frappa si fort le ballon que les filets furent emportés loin en Espagne. C'est pour cela, que les filets de pêche au thon des Espagnols sont appelés 'Filets Carioca'.
En souvenir de cette finale qui a vu RoooS devenir le roi du Stade après le Pelé sans le
tondu.
Et sans la montagne.
Tout cela grâce à une tbââbissa.
Par Albert (Albert) le dimanche 15 février 2004 - 14h25: |
Demain la suite '...L INNOCENT IV...'
Par Albert (Albert) le dimanche 15 février 2004 - 14h24: |
Wness....Baroukh Achem....!
Par Albert (Albert) le samedi 14 février 2004 - 21h49: |
CHAVOUA TOV