Par Meyer (Meyer) le vendredi 20 février 2004 - 17h45: |
Ya Breitou !
Est-ce que tu es a la SACEM (Société des Amateurs Contre l'Ennui et la Morosité) ?
Sinon il faut penser à protéger les droits de tes oeuvres.
Par Albert (Albert) le jeudi 19 février 2004 - 22h03: |
La semaine prochaine si D ieu veut il y aura la semaine théatrale puis elle sera suivie par des POEMES HOT, COQUINS. Diverses rimes et proses d'auteurs forts connus seront lus par BREITOU.
Entrecoupès par le début d'un nouveau récit..
'...UN SI SIMPLE PARCOURS....' Ensuite je vous emmenerai en bateau ...OK..?
En attendant je vous offre un avant gout...
Par Albert (Albert) le mercredi 18 février 2004 - 22h58: |
ALBERT SIMEONI
L' Enfant de la Goulette.
Roman policier.
Le 9/12/2003
Didier est un enfant difficile. Un jour, il fugue et se retrouve dans un commissariat de police, pour vol à l'étalage. Il est réprimande par l'inspecteur Boulakia. Il se remet dans ses études et à 17 ans, il fait la connaissance de Matthias, un jeune de couleur plus âgé que lui. Il l'invite à une Rav partie. Il fait la connaissance de Myriam qui l'aguiche. Ils flirtent ensemble. Surpris pas sa désinvolture, il lui court après dans la rue. Myriam lui fait comprendre que tout s'arrête, dés l'instant où ils se sont quittés. Il en parle avec Matthias. Une petite querelle entre les deux jeunes hommes s'en suit. Le lendemain, Didier croise en jogging Myriam, accompagnée par des amis. Elle feint de ne pas le reconnaître. Il en est abasourdi. Lors d'une pause cafè, Matthias apprend à Didier que Myriam est une salope. Elle se drogue et fais des passes. Elle est sous l'emprise de Mourad, le coache de son équipe. Surprise, alors que Didier est chez lui, Myriam l'appelle d'une cabine télèphonique. Elle lui donne un rendez-vous d'amour dans le sous-sol d'un parking. Il s'y rend. Myriam, légèrement vêtue, et Didier font l'amour. Il remonte à peine sur la dalle qu'il entend deux coups de feu en provenance du sous-sol. Il descend et là, il trouve Myriam assassinée. Didier est dans tous ces états.
L'Innocent V.
Sa maman se rendit compte de sa pâleur et de son trouble.
-'Ca va pas Didier..?'
-'Si ..! Si …! Maman….! '
-'Tu as l'air pâle…?'
-'Je viens d'assister à un écrasement de chien, au bout de la rue, tu sais au Carrefour Pompadour…!'
-'Ah…? Ok….! Pauvre bête…! Viens manger une collation..! Puis va te reposer de cette émotion..!'
Se reposer…? Didier se sentait mal dans sa chambre. Il était partagé par deux sentiments; celui de tout raconter ou se taire. Il revoyait dans sa tête le meurtre de Myriam, les yeux ouverts mais figés et surtout il se sentait coupable de ne pas l'avoir attendu. Rien ne serait arrivé s'ils étaient sortis ensemble. Mais qui donc a tiré sur elle …? Et qui pouvait donc lui en vouloir à ce point…? Il oublia qu'il fut la dernière personne à l'avoir vu et que la police remonterait jusqu'à lui.
Les manchettes des journaux du matin étalaient leurs gros titres en première page….'
'Une jeune fille découverte morte dans un sous-sol de la cité Pascal…!'
Voilà ce qu'il lit sur le chemin de son lycée dans les premières heures qui suivirent le meurtre.
L'enquête fut confiée à la Police criminelle dirigée par l'inspecteur Boulakia.
Dés les premières investigations, on releva des empreintes de sperme sur la jupe de la jeune fille. Par contre pas de trace de violences apparentes. Tout le quartier était en ébullition car Myriam était sans problème au vu de tout ce beau monde qui ignorait ses déboires. Sage le jour, volage la nuit. Un double masque. On l'a décrivait comme attachante, studieuse, polie et surtout serviable. Mais la vérité était tout autre, les jeunes savaient mais la loi du silence s'imposait et rien ne devait transpirer entre amis de quartier. Ses proches ignoraient tout de sa double vie.
L'inspecteur Boulakia était sur le terrain avec ses hommes questionnant son environnement et surtout les amis de Myriam les plus proches mais là, encore rien ne transpirait. L'inspecteur rompu à ce genre d'enquête savait qu'il ne pouvait rien obtenir d'eux à moins d'un coup de pouce, la providence. Il connaît les jeunes de la cité, les us, les coutumes, leur trafic et leur biss-ness. Mais tant que l'ordre régnait, il laissait les choses en l'état.
Une semaine d'enquête ne lui révéla aucun indice probant sauf qu'il reçut un billet confidentiel..
'….Le portugais….!' Ecrit d'une mauvaise écriture, faite expressément.
Cent cinquante familles habitaient la cité à 1 km à la ronde….? Se dit-il…Par qui commencer…? Je ne vais pas leur faire passer des spermogrammes…? Enfin… ! Avoua t'il à son ami Gilbert Chaldéra.
Il retourna en ce dimanche, une seconde fois, dans ce fameux sous-sol, là où se donnait des rav-party. Il était, au courant de ces hyper excités qui s'adonnaient à leurs plaisirs favoris mais il laissait faire car ce genre d'énergumènes lui servait d'appâts parfois pour dénouer certaines affaires importantes. Il eut vent aussi des nombreuses virés que la jeune fille faisait dans ce lieu du vice. Ils connaissaient par cœur le nom de tous ces habitués qui se rassemblaient pour expurger leur trop plein d'énergie. Il pénétra donc dans l'antre. La soirée battait son plein. On le salua. L'inspecteur était respecté par ces jeunes pour la plupart désœuvrés, il le savait correct et surtout homme de principe. On l'invita à boire. Il refusa poliment.
Il alla s'accouder au bar.
-' Il parait qu'elle était là, cette fameuse soirée, Jimmy…? '
-'Ah bon, bizarre, je l'aurai aperçu….Quand même…!
-'Elle était avec Mourad, c'est ça….?'
-'Non inspecteur..! Mourad n'était pas là..!'
-'Alors avec qui…?'
-'Avec un jeune du quartier des Mimosas….! Qui venait pour la première fois…!'
-'Ils sont sortis ensemble par la suite…?'
-'Non..! Elle l'a plaquait sur place comme d'hab., juste un flirt….!'
-'Son nom…?'
-'Ben Inspecteur, je ne suis pas une balance..! Cherchez….?'
-'Il est bien aménagé ce local, Jimmy et ce serait dommage de le fermer pour non autorisation préfectorale….! Et puis ça tourne bien pour toi, ça fume les joints de toutes parts..:!'
-'Ok…..! Le portugais était avec elle….!'
-'Des portugais, j'en connais des tonnes et des containers…!'
-'Didier..!'
-'Didier ….? Qui….? Le fils d'Alphonso…?'
Le barman hocha de la tête…
-'Je ne vous ai rien dis inspecteur….!'
-'Non…!C'est D ieu qui me la soufflé…!'
A suivre….
Par Albert (Albert) le mercredi 18 février 2004 - 21h58: |
Pour LE PIED.
'….Quand la nouvelle est tombée comme un couperet
Tranchant la vie de l'époux aimant et adoré
Elle s'est effondrée. L'Amie désespérée.
Elle qui l'a tant veillé
Et soigné.
Elle qui a tant espère
La mort est arrivée
Et le contrat fut signé
Sur son mari mort dans ses bras.
Elle a tant versé de larmes sur son corps
La belle jeune veuve au caractère d 'or
Qui regarde à présent ses beaux petits enfants !
Grandir sous l'œil du défunt, il y a tant et tant
De mois.
Toi l'Amie l'aimée je rime pour toi
Toi l'Amie l'aimée tu te reconnaîtras
Toi l'Amie l'aimée
Je ne suis pas ce que tu crois
Toi l'Amie fâchée presque sans joie.
Pour Toi…Pour Toi…Pour Toi..
Ce n'est pas un pied écrasé
Enrobe d'oignons salés, pilés.
Qui détruira notre amitié !
Qu'importe le bus ou le train !
La vie poursuit son train-train.
Je ferai des pieds et des mains
Pour te reparler sûrement demain.
Que reste t'il de ces femmes sans tiare !
Que des jours et des nuits à penser à leur drame.
Que reste t'il de ces femmes sans couronne !
Que celui de vivre dans ses souvenirs, Simone.
Si tu savais combien mon cœur est agité
Toi qui pense que le Goulettois est insensé..
Détrompe-toi mon amie sur toutes tes pensées.
Je ne fais que passer..Passer…
Passe.
Ne laisse pas parler ta raison
Le Fedleg en toute saison
Aligne ces proses sans passion.
Sans qu'il soit médisant !
Pour Toi..
Pour Toi..
Pour Toi….
Je ne sais pas chanter
Le malheur des uns. Des autres.
Ce n'est point mon métier
Je sais plutôt faire rire une galerie
Par mes belles et insipides conneries.
Sans porter atteinte à notre fratrie.
Si tu pouvais écouter ces vers
Pour toi modestement rimés
Tu ne résisteras pas
A l'envie de pleurer…
Yè Bent Yallel…
Ye Bent Bledi
Déniè ghnè, tmèniq ou guèliè
Ethaq ou khèlli el hazin.
In yaddin el bliss..
Raby Myak.
NB. Ma chére Mamili…..! Toi qui est ourqua Toura, je te remercie de m'avoir inspiré.
Je ne suis pas Ould lahram.
Par Albert (Albert) le mercredi 18 février 2004 - 21h18: |
L'Innocent dans qq instants.
Par Douda (Douda) le mercredi 18 février 2004 - 01h47: |
La Douda : ( Hak El Ouet International Tracking Station )
Le Tarfiste :
Innocent : Suite:
Le soleil était presque’ au Zénith lorsque notre Lémy fût tiré des bras de Morphée, par un parfum
de café turc et de croissants chauds, ntrouvrant les paupières il contemplât une fois de plus sa
créature de rêve, assise sur le bord du lit, et le plateau du pt’i dej’ entre eux deux !
- Hi Mec k’est ce que t’a écrasé, impossible de t’arracher, tu va m’avaler tout ça fissa, parce queton acolyte va rappliquer d’ici une petite heure pour t’rencarder chez les Ricains à l’Ambassade, parait k’i s’font du mouron pour ta pomme.
- Dis donc Môme, pas d’souris pour m’ donner des ordres ! Et d’abord un bisous !
Vert de Gris, s’exécuta avec délice teinté d’une pointe d’ironie dans les mirettes.
- Ma fois c’est comme ça k’j’aime pimenter le pt’it dej Baby, dit notre canaille, qui en profita pour la basculer sur le padoc.
- Arrête! ou tu vas ftiler tout le Kaoua dans l’plumard !
Après un long et langoureux palot, il avala son kaoua et ses croissants chauds, se leva d’un bond, pris sa douche, enfila son costard, sans oublier son automatique, se disant que décidément il avait décroché avec Môme une petite Perle de Bonne Femme.
Déjà le carrosse de Boulalik était au pieds de la villa d’Anfa, l’acolyte en costard blanc et coiffé d’un panama à larges bords, pour éviter que le soleil lui cogne le ciboulot.
- Te v’la Mec, mais dis on va pas laisser Baby toute seule!
- T’occupe le boss est au parfum, et il a mis deux sbires discrets, en protection rapprochée, elle risque rien ta Douce!
Tandis que Boulatik tenait nonchalamment le volant de l’Oldsmobile blanche assortie à ses nippes, Lémy lui demanda :
- C’est quoi cette rencontre Mec, t’as l’air d’être plus au parfum que moi ?
- Ben c’est un très gros lièvre qu’on a levé à La Goulette.
- La Goulette ? Ké k’c’est k’sa ?
- C’est en Tunisie le bled où je bosse, on avait chopé un petit brigand sans envergure, dénommé
Jules Laskar ( Un faux nom !), alias Bébert La Sardine, l’auteur de multiple escroqueries, qui
semblait être au courant, on ne sait comment, d’un très gros coup qui devait se préparer au Maroc, et un soir de beuverie un de mes indics, avec force de boukha, lui a fait presque cracher le morceau. On sait où : à Casa, quand : Ces jours ci, mais on ne sait pas quoi ni comment, car une fois de plus, il s’est éclipsé et depuis on dirait qu’il se cache.
..........à suivre
Par Albert (Albert) le mardi 17 février 2004 - 22h12: |
Après l'INNOCENT V'..Un autre récit '...UNE SI SIMPLE HISTOIRE...' Vrai.
Puis la semaine THEATRALE......
Par Albert (Albert) le mardi 17 février 2004 - 18h14: |
Lala,
C'est un dur métier que celui de grand-père,mais je m'en sors très bien, que voulez n'ai pas trop d'effort à faire sauf que de celui de la regarder ou de la prendre dans les bras en attendant de la kidnapper pour lui apprendre un peu le tméniq, le tmétiq bref tout ce que les tunes savent faire...lol
Par Albert (Albert) le mardi 17 février 2004 - 15h55: |
Après la cérèmonie, nous avons étè reçu chez NOTRE EMILE TOUTENTUBIANA, qui nous a offert un bol de 'tfinè harissa aux grains de blé ' de Bejà. Un kif.
Cependant alors que notre DAVIDTOUTANCAMION machait, un grain de blè dur se coinca entre ses dents.
On appella un dentiste pour ausculter son palais.
Docteur FERNANTOUTANDENT, proceda à l'extraction de la graine mais à sa surprise, il présenta la fameuse tête de clou....
'EUREKA...'
S'écria le RAV en plein Rêve...'..C'est un miracle...!.
On tendit la tête du MASSMAR II mta chya sous les quolibets de la foule. Fin.
Par Breitou (Breitou) le mardi 17 février 2004 - 14h14: |
DIVERTISSEMENT EN UN ACTE.......
DANS LE ROLE….
HAITOUTENAKOUD…………..BEKHOR………………L ARCHEOLOGUE.
WNESSTOUTENDOUDA……..MAITRE VERGES……..AVOCAT.
GHIJLETOUTANHLALEM….MAITRE HALOUMA…AVOCATE…
TOUTANBOUDDHA.…………..MAITRE TAWFIQ…….PROCUREUR.
LES JUMEAUX CLOUS………MASSMAR I ET MASSMAR II fils de CHNEWEDE 8.
TOUTENAXELLE……………..SUBSTITUT….
TOUTENBELEBOU……………LE FOSSOYEUR.
TOUTENPRINTANIA………….CLERC DE LUNE.
TOUTENDIEUDONNE.....CROQUEMORT.
L'Agence Sharon/Breitouna à le plaisir de vous annoncer, en ces temps diffamatoires une bonne nouvelle…..TOUS AU PTB BANDE DE CLOWNS…PLUTOT ICI CA FAIT TOUTENCLASSE...
LE TRESOR DE TOUTONDAVID……
Depuis plus de cinq ans, 5X5, mon correspondant particulier en Akoud et Anneaux en chaire sans os mais en ragoût, après milles recherches faites dans des conditions pénibles, a vu enfin ses efforts récompensés. C'est dans une misérable bicoque, installée du côté de Mellassine, et oubliée par les services Fonciers Tunisiens, qu'il a pu mettre au grand jour, devant Maître Albert, Belebou, yati…z..…bou…, que notre fin limier à mit au jour dans une cave, un coffre fort datant de 1956, portant la mention à ouvrir devant Témoins.
Nous étions plus de 1000; un Rav, le président du Comité Provisoire du Culte Israélite de Tunis, Monsieur Chiche, comme son nom l'indique a demandé un pourcentage sur le trésor.
-Etaient aussi présents, Maître Verges Zolatte, assisté par son homologue la Bâtonnière Rghijlè Haloumè HLILME, au doux sobriquet de 'Petite Patte', et de Monsieur le Procureur de la République Si Balout Balaouane, et de son premier ascenseur.
- Vu les attendus pour les mal- entendant, cités dans la Constitution, Maître HAI AKOUD a été désigné - par les pouvoirs conf ères sfaxiens qui lui on été remis en mains propres, avec les galettes de Bichah, à Pâques au PTB, le Petit Tribunal du Ballout- pour ouvrir et récupérer l'intérieur du dit coffre fort inscrit au registre des BIENS JUIFS PERDUS de Monsieur DavidEDEN, sous le N° 69 6996, alinéa 6, page 9, sous titre ASSIDAA MEL MERGUEZ MTA BELEBOU.
LE BATONNIER HAYOU, MAITRE EN CHAIR A LA SORBONNE EST HONORIS CAUSA NOSTRA. Il a fait sa thèse sur les anneaux suspendus pour passer sa culture physique.
Devant une foule compatissante, enfiévrée et émotive, Maître HAYOU, pioche en main, va donner le coup d'envoi de l'ouverture du coffre sous les lamentations du menu peuple JUIF.
Il procède - sous un silence d'enterrement de grénès qui se fait entendre sous les coups de buttoir de notre grand Maître et sous les applaudissements d'une foule en délire et encourageante- à l'ouverture de la MESQOUQA( bouche d'égout).
Plus d'une heure se passe sans que la serrure ne s'avoue vaincue.
Belebou propose un marteau piqueur. On amene un BULLDOZZER. La machine fait marche arrière et va écraser l'orteil de VANILLE qui est revenue d'Egypte, Aux Champs dans les Prés, je chikhe.
Albert lui pose un cataplasme d'OIGNON ET DE SEL.
Après quelques efforts mécaniques, intermittents comme les acteurs du spectacle, la porte du coffre cède sous les HOURRAS de la Communauté Juive en délire venue de France, par avion spécial, affrété par ELSA TOUR VOYAGE, BD VOLTAIRE. La MEILLEURE dans tout ce qui vole bas.
Belebou se penche pour contrôler l'intérieur et là une giclée gelée de boue vient lui faire comprendre qu'il ne faut pas se mêler de la MERDE des autres.
Le soleil lance ses rayons comme des dards de guêpes sur les timbales.
On entend un '..RASSI YOUJANI…'
'Normal' lui répond Albert '..FALLAIT PAS A ALLER HIER SOIR A LA SQUIQUA DE SARIT HADAD…………………' .
Les oiseaux gazouillent sous un ciel bleu azur et le gazon a prit des couleurs.
La nature s'est prêtée avec crédit 4% l'an, à cette mascarade digne d'un film burlesque où le comique, côtoie le ridicule. VAUDEVILLE peut aller se faire cuire un œuf sous la LUNE DE …..GAMMARTH ..A oulle lè ye HAI, él neqba…? ( L'as tu visè ou pas le trou..?' Jeux de mots avec Gamarta…!')
On entend une voix nouée par l'émotion..
Belebou…' Echbiq yè Titè tébqui, echkoun métlèq…?'
Qu'as tu Tita à pleurer, mais qui as- tu donc perdu..?')
Titè……..' I chèkhefni….DeidouGUENYIDEL…!'
(Il me fait de la peine DAVIDEDEN…!'
Belebou….'Ouhè qââyad fi GUENYIDEL, wénti tyani…!'
(Lui il est au Paradis et toi tu souffres…!'
La porte du coffre enfin ouverte, BELEBOU introduit toute sa main dans les entrailles du coffre fort qui n'est plus blindée à présent.
Médusés sont-ce les yeux des ténors témoins,
Bouches bées sont-ce leurs airs de coins-coins,
Ebahies sont-ce leurs crétines expressions,
Tordues sont-ce leurs grimaces de guenon.
Tous leurs sens censées sont- ce en haleine…Nemchi kobbara ââla francisi….
'…..OOOOOO HAIIIII….§§§§§…GLOIREEEEEEEEEEE A Toi qui a le vent en poupe..§§§§….RAS EL POUPA..§§§§..J J J Nous voilà arrivés au moment de vérité..§§§…….'
BELEBOU crie……' J'AI TROUVEEEEEEEEEEEE…..!'
La foule en délire, médusée se penche …..' QUOI………………..?'
Belebou profite pour donner un coup de pied dans le postérieur du PROCUREUR.
BELEBOU………..'…C'EST CA AA….AHAHAAH…!'
Et entre ses doigts, deux clous rouillés apparaissent, coinces…!'
On élimine la vase et effectivement le trésor du TITANIC DAVIDEDEN, surgit devant leurs regards.
'OURIRIRIRIRIRIRIRI….' Lance TITE…..Suivi par un BAROUKH ACHEM….!'
Le procureur s'avance et prononce solennellement son rituel…
'..SONT - CE A VOUS CES JOYAUX DE LA COURONNE…?'
'…Oui….! ' Répond ému DAVID en larmes….'..Mais où est passe la tête de l'autre…???'
BELEBOU…..' DEBET….! KHOUD EDDOU CHAYA OU BYAD EMCHI ECHQUI AAL RASS…MESSMAR…Zebi…!'
( Elle a fondu….! Prends ça d'abord et ensuite tu iras te plaindre pour la tête…DU CLOU…!'
'..Non….! Je veux la tête….!'
'..AWEDDAH….!'
'…Et combien ils pèsent mes deux clous parce qu'avant ils pesaient 30 grammes..?'
'..Ben aujourd'hui ils ne pèsent plus rien..!'
Par Breitou (Breitou) le mardi 17 février 2004 - 13h57: |
LE TRESOR DE TOUTONDAVID…….Dans un instant…..
Dans les principaux rôles...
BreiTOUENAVANT....
Par Lalla (Lalla) le mardi 17 février 2004 - 16h06: |
merci mes chers amis harissiens;c'est vrai je suis tres heureuse mais ..depassee par ces deux delicieuses petites filles!comme me disait ma mere :je me noie dans un verre d'eau! haha
lalla-grd-mere-gatee(je suis sure que ca va declencher la verve de Breitou)
mazal tov pour Sharon(j'ai adore le choix du prenom)