Par Albert (Albert) le lundi 23 février 2004 - 21h08:

Là où il y a de la gêne, il n’y a pas de plaisir.

Par Douda (Douda) le lundi 23 février 2004 - 01h37:

La Douda : ( Hak El Ouet International Tracking Station )

Le Tarfiste :

Innocent : Suite:

Poursuivant un rituel identique, le vieux choisit un autre mégot dans le nouveau bocal, et l’alluma pour le déguster avec une délectation non déguisée.

- Voilà Caution, Bassovitch ici présent, sera votre nouveau collaborateur à Casa!
- Et Boulalik alors ?
- Lui va à Tanger pour trouver des info sur les activités de la bande à Marcos Jr. !
- OK Boss, je m’étais habitué à son efficacité.
- C’est bien pour ça que je l’envoie à Tanger, il y a bien mieux à faire !
- Caution, voici ce que l’on suppose : Les stock d’or de l’Arabie Séoudite est, rapparié de Fort
Knox vers Riad, il se trouve qu’il est en ce moment en transit à Casa, et il est plus que probable que ce qui reste de la bande à Marcos, va tenter une attaque pour faire main basse sur le magot. On ne sait pas comment, ni quand ! C’est à vous de trouver, vous pouvez disposer !
- Vous pouvez prendre ma tire les gars, j’en ai plus b’zoin, j’prends l’avion pour Tanger ce soir, et j’vous tiendrai informés de c’que j’vais trouver ! Voilà les clés et à bientôt les gars, dit Boulalik en prenant congé.
- A bientôt Mec dit Caution! Fais gaffe à tes fesses, car les types que tu chasses sont des
dangereux.
Les deux nouveaux compères prirent congé du Boss, et s’en retournèrent vers la villa.
Chemin faisant, au volant de la Oldsmobile, Lémy se mit à songer à sa Môme restée seule, mais il
la savait protégée et ne s’inquiétât pas outre mesure.
Arrivé à la villa il fût rassuré, en apercevant la belle Vert de Gris, en train de faire bronzette sur la terrasse face à la mer.
- Kek’c’est k’ce nouveau pote k’est avec toi ?
- Ce mec c’est Bassovitch, mon nouveau collègue. Tu peux nous faire deux Cutty Sark bien tassés,
avec plein de glaçons, car avec ce cagnard on crève de soif.
La Belle s’exécuta avec une non chalence lascive, qui en disait long sur son envie de bouger.
Nos deux compères, s’installèrent dans le fauteuils du salon, tout en sirotant leur scotch.
Bassovitch fouillant dans les poches de sa djellaba, en sortit une boite de loukoums dans laquelle il plongeât ses doigts, en sortit quatre morceaux qu’il avala goulûment, puis il la tendit à Lémy quirefusa poliment.
C’est à cet instant précis, que son instinct s’éveillât lui communiquant un sentiment de malaise, un léger reflet de miroir clignât, depuis le feuillage de l’acacias situé dans la maison d’en face, tandis que Môme passait devant la fenêtre grande ouverte, en un éclair il comprit et se levant d’un seul bond tel un félin, il plongeât dans les dans les jambes de Môme, la fauchant et tel un rugbyman qu’il fût durant sa jeunesse folle.
La détonation éclata et la balle de 45 vint se ficher dans le mur, tandis que son automatique,
comme par miracle vint se coller tout seul dans la pomme de sa main, Bassovitch lui aussi s’était
plaqué au sol.

..........à suivre

Par Belebou (Belebou) le dimanche 22 février 2004 - 18h20:

Une demi-heure plus tard….

'…Cessez de tournez autour de moi, comme une mouche et montrez moi ce que vous savez faire…!'
'…Votre épaule Madame, si nue et si belle….!'
'…Vous n'avez encore rien vu…..!'
'…Laissez moi vous dégrafer votre corset…!'
'…Je n'attends que ça, allez y mettez donc la main à la pâte…!
'….Ah ces beaux seins ….!'
'…Commencez par mon dos, d'abord….!'
'….Cette chute de rein, Madame, est exquise…!'
'….Vous avez un drôle de coup de langue, j'aime son contour…!'
'….Puis-je aller plus bas…?'
'….Mais soyez patient, ma rainure….!'
'….Ce n'est pas une rainure que vous avez là Madame mais une rentrée de paradis…Cambrez vous juste en avant et laissez moi faire…!'
'…Ahhhhh….! Je sens votre serpentant bien relevé…!
'….Depuis une bonne demi heure, Madame….!'
'…..Allez plus au fond, ma corolle mérite bien d'être lavée….!'
'…..Si brune et si belle, je m'en lèche les babines….!'
'…..Retournez moi ….!'
'….Oui, laissez moi mordre ces beaux pruneaux….!'
'….Ne vous gênez surtout pas, ils sont à vous pour l'instant….!
'….Ahhhh….Entre mes dents, ils grossissent….!'
'….Mon bas aussi, mais attendez donc un peu….Mon nombril…!
'….Je vais le tourbillonner, Eugénie….!'
'….Ah cet Eugénie, me remplit d'aise….! Baissez mon jupon…!'
'….Il est à terre, Altesse, et je touche votre fourrée.!
'….Si touffue, donnez lui du bonheur….!
'….Regardez mon seigneur palpitant, Madame…!'
'…OOOOOOOOOHHHHH…..Quel allant….! Celui de mon mari est bien de ressembler au votre….! '
'….Vous serez surprise par son engouement…! '
'….J'attendrai son invite calment, en attendant je brûle désir….!'
'….Levez juste un peu votre jambe, Madame, le décor en vaut la peine…!'
'….Laissez moi palper, votre gland…!'
'….Il est tout à vous, Eugénie…!'
'….Allez y faites votre devoir de jeune homme…!'
'….Ahhhhh…..! Ce bouton de rose….Qui s'épanouit dans mon palais…!'
'…Une gourmandise bien tenue et presque à point….!'
'…Aimez--vous que je sable l'entre deux jambes…!'
'…Oui, c'est mon péché mignon…!
'…Que sentez vous, Madame….!'
'…Des plaisirs enfouis et insoupçonnables…!'
'…Prenez mon fruit, entre vos lèvres…!'
'….Vous m'excitez outre mesure, venez asseyez -vous…!'
'….MMMMMMeee Madame, mon chapeau entre vos dents, me donne de si fortes sensations…!'
'….MMMMMMMMe….!'
'….Pas trop quand même, je voudrais vous réserver la curée du puceau..!'
'…Vous le curterai dans un instant…? '
'…Je vous titille la petite ouverture, quelle belles lames vous avez là, Jeune homme..!'
'…Du pur nectar bien élevé…!'
'…Levez -vous Madame, je sens en vous quelques frissons adéquats…!'
'…Oui prenez--moi, je n'en puis plus…!'
'…Mettez vous sur le fauteuil et cambrez- vous…Que ma vue se délecte de votre chou..!
'…Mettez y la pression….! Votre doigté…!
'…Non, je vais mieux faire, tenez sentez cela…!
'…OhhhhhhhhHHHHH….! Vous m'ouvrez ma ….!'
'…Oui, par ma clef….!'
'…Si dure….! Si belle…..! Si appétissante…! Ajoutez- y quelques centimètres…!'
'…Oui, même mon mètre…!
'….Ahhhh….! Allez -y mon cher…! Mon brûlot….!
'…Je pointe là…!'
'….MMMMMMM…..Je le sens gonfler dans mes tripes…!'
'…Queue du bonheur…! Je sens ma sève monter…!
'…Je sens les étoiles dans ma tête, quel maniement….Vous avez là…! Je déborde…!'
'…Je ramasse Eugènie….! Allez poussez….! Que je m'enivre…!'
'…Ahhhhhhhhh……..Ce tronc qui me déchire…!'
'…Je vais vous gaver ….!
'…Allez ne prenez pas soin de ma chair….!'
'….Je la burine…..! '
'…Oui ….OUIIII…OUIIIII….AHHHHH…AHHHH…..Enfoncez donc plus en avant…!'
'…AHHHHHHHHHHHHHHHH…..! Je laisse aller mon miel…!'
'….AHHHHHHHHHH…..! Laissez déborder dans mon gouffre…!
'…OOOOO……! Cette cavité si chaude…!'
'…AHHHHHHHHHHHHHHHHHHH……! Je jouissssssssSSSS….!
'….OOOOOOOOHH…..! Je vous douche de ma pureté en extrait….!
'…Venez, retourner vous que je bois votre suc…! Jusqu'à la lie…!
'….Ahhhh Eugènie….! Je vous aime......!

Par Belebou (Belebou) le dimanche 22 février 2004 - 13h52:

SKETCH COQ HEIN…..

'…..Qu'ais- je donc fait au ciel pour ne point mériter votre amour, Madame…!'
'….Vous me tenez là un langage hautain et malsain, jeune homme..!..Je suis l'épouse de votre père et mon age est bien haut par rapport au votre….!'
'….Oui, je n'ai que dix huit mais sans parodier le Cid…..Je voudrais vous serrer dans mes bras..!'
'…Ohhhh….! Croyez vous qu'une femme de mon rang puisse se divertir entre les bras d'un puceau….???? Qui pourrait être mon fils….?'
'…Vous n'êtes que ma marraine, et rien d'autre, je vous vois en tant que femme désirable depuis que ma mère est décédée….!'
'…Et la morale, qu'en faites-vous, jeune homme…?
'…Je l'enfourche Madame….! Mes sens sont tout en éveil, et je vous aime, commettrais-je sacrilège….?'
'…Il serait intéressant de le savoir, mais vous êtes bien trop jeune pour assouvir mon corps….!'
'….Qu'en savez vous, Madame….Mon père, votre époux a dépassé l'age des jeux en amour alors….! Et puis, je vous aime…!'
'…Quel mot….! Ecoutez cela ne me déplairez nullement mais….!'
'…Mais……!…Serez vous capable de gardez le secret….?'
'…Sur mon honneur de puceau , Madame…!
'..Alors écoutez…! Rejoignez- moi dans ma chambre dans la demi…!'
'…J'en bave déjà….!

Une demi-heure plus tard….

Par Albert (Albert) le dimanche 22 février 2004 - 13h16:

Paris…PARISSSSSSSSSSSSSSS……


'………..§§§§§§§§§§§§§§…Moi qui n' connais rien d' PariIIIIIIIIIs, je voudrais tant la visiter de fond en commmmMMMMMMble et même les catacombes…§§§..

Moi qui n' suis pas né dans Paris….PARIS….PARISSSSSSS…§§…J'aimerai tant flâner sur tes berges et sur tes boulevarrrrrrrds….§§§§§..

PasseeeeeeEEEEEEEr sous ta robe de ta tour Effel, en levant mes yeux pour découvrir ton fond…§§§…Ton fond et tes bas-fonds…..§§§…MMMMMMmmm…

Paris Canaille tant chanté rimé adulé par des bouches chansonnières de toutes conditions…et religion….§§§… Paris …PARIIIIIIIIs..§§…

Place Pigalle, sur le macadam les p'tites pépés n'ont pas tellement changées…§§…
Seule la monnaie a bascule
et les passes ont augmenté…§§…
Paris Paris Paris sans ses canotiers
ville charmante aux regards des d'étrangers..§§§§…

Paris By Night aux lumières criardes cher aux touristes noctambules perdus…§§§§… Dans tes dédales non pavés…§§§§§…
…Paris la Folle des nuits du vice sans vertu qui se donne sans retenue…§§§§§
Tu me tues…….§§§

…Paname d' pédès des gouines des homos qui s' prélassent et s'enlacent d'vant les passants qui passent dans l'indifférence….DaAAAANNNNS l' indifférence…...§§…
Paris flonflon des lampions des réverbères des clochards qui font monter le ton quand les gens et le temps les oublient….§§§§§….

Paris qui brûle par la canicule qui enterre ses vieilles esseulées oubliées dans les mouroirs inconnus…§§§§§….
Paris le froid qui n'a point d' châle pour couvrir les épaules des pauvres endormis et qui oublient de s' lever aux p'tit matins neigeux de leurs lits cartonnés.

J'pas assez vu Paris, moi qui circule sous terre dans le métro d' PariIIIIIIIIs…§§§…Paris

..Paris..PARIS JOLIE…PARIIIIIIIIIIIIS…LââDEEEEEE…….B…§§§§§…..
PARIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIS……Je m'ennuiIIIIIIIe….Mais je t 'aiIIIIIIIIIII AIIIIIIIIIII…MMMMMEEEEE…Puisque je vis en toiIIIIIIII….§§§…..

Par Albert (Albert) le samedi 21 février 2004 - 21h55:

'...Bonjour Monsieur, je voudrais un sachet d'encens Pontifical..!'
-Oui..! Monsieur 4 Euros..!'
-Combien pése t 'il...?'
-Les ennuis commencent..! Il pése à peu près le volume d'une cuillière à soupe..!'
-Soyez plus précis...!'
-Plus précis..? Depuis quand un goulettois pése..? On n'a jamais pesè quoique que se soit au bled et c'est pas ici que je vais commencer, là bas on pesait au PIF..JUIF...Il n'y à qu'ici que les français qui pésent lourd...!
-Bon alors j'en prends deux de sachets..!'

Khalles ou mchè. Merci Monsieur Bascule.

Par Albert (Albert) le samedi 21 février 2004 - 21h15:

Ma chére Poupèe,

...§§§...Bon Anni...§§§
...§§§...Bon Anni...§§§
...§§§...Versaire et que nos voeux soient sincères et que l'an fini nous soyons tous réunis à Belleville.....§§§§

Au hasard d'un détour, au cafè de nos Dattes Deglas, j'ai surpris un message de ta fille Sarah..Comme quoi rien ne m'échappe.
Bon anniversaire Poupèe, Que mes voeux de bonne santè t'accompagnent et que D ieu te garde à eux toujours dans la joie et le rire. Amen.

..§§....Ah...Ah...HAPPY BIRTHDAY TOO YOU YOU YOUUUUU..§§§§§§....Ah..Ah..Ahhh...HAPPY BIRTHDAY TOO TOUUUUUU OURIRIRIRIRIRIRIRRI...POUR TES 30 Ans Poupèe....Marra 120 ans ââlla béquita..OU YAGUEZ......O YES...§§§§....

DE LA PART DE B.O.T.I. (Breitou On The Ice)

Par Belebou (Belebou) le samedi 21 février 2004 - 09h00:

Oui Wnesson, les Majus Culs, ça se voit mieux que les Minus Culs, de toutes les façons Majus ou Minus tout ce qui se termine avec Culs c'est bon, pour les hommes qui aiment les femmes.

Par Douda (Douda) le samedi 21 février 2004 - 01h45:

La Douda : ( Hak El Ouet International Tracking Station )

Le Tarfiste :

Yéh Bébert, tu l'as donné à ta Frangine, mais pas cette version de Môme Vert De Gris, que Douda réinvente à chaque lampée de Boukha, ou de Scotch,

Sakha Lik (Tu remarques que j'y mets des majus...cules, Zekch !

Wnessou El Douda

Par Albert (Albert) le vendredi 20 février 2004 - 21h48:

Alors finalement WNES, c'était des POTS D'HAVANE OU DES POTS DEVINS...? Yè SARAK...

Par Albert (Albert) le vendredi 20 février 2004 - 21h01:

MEYER tu veux dire qu'on me pique mes hors-d'oeuvre???
La Douda, je kif avec Lemy....Caution que j'ai donnè à ma soeur, il y à 20 ans.

Par Douda (Douda) le vendredi 20 février 2004 - 18h43:

La Douda : ( Hak El Ouet International Tracking Station )

Le Tarfiste :

Innocent : Suite:

- Voilà Lémy on arrive à l’Ambassade US, on est attendu au quatrième, bureau du représentant FBI
Mr. Dunn !
Après s’être fait remettre une accréditation à l’entrée, un garde US Marine’s les accompagne au
bureau de Dunn.
- Ah vous voilà en fin, on vous a presque attendus, tonitruât Dunn un mégot de Havane au bec!
Sur le coin du bureau, Lémy reconnut l’ustensile que tous les subordonnés du Boss appelaient “Le
Pot au Noir”, qualificatif autant délicat qu’affectueux, pour désigner la seule faiblesse du Patron, un énorme bocal rempli d’immondes mégots d’authentiques havanes, remisés dans le pot, afin qu’après quelques bouffées, ils ne perdent rien de leur saveur de chicot, ni de leur fragrence, histoire de les faire un peu plus mature, quoi !
Justement le boss se prit à farfouiller dans le Pot, en choisit un superbe déchet, le soupesât, le huma, et l’humectât d’un coup de langue, le triturât, puis après y avoir planté par le bout un débris d’allumette, l’alluma et exalta une veloute nauséabonde. Le Vieux alors tel un camé, appréciant sa came avec une volupté, se cala détendu dans son fauteuil de cuir d’un autre âge.
On cogna à la porte :
- Entrez ! Bassovitch ! hurla le Vieux ! Comme d’hab vous n’êtes jamais à l’heure, mais vous
croyez donc que vos états de service éclatants, vous autorisent à violer la politesse des rois ?
Un petit homme trapu, vêtu d’une djellaba blanche, d’un fez écarlate, chaussé de babouches bleues fit son entrée, sa barbe rousse lui donnait des airs de commerçant du Habous.
- Scuzez boss ! Votre cadeau était en retard à le douane, j’ai du graisser le douanier, dit le menteur tout en déposant un paquet cylindrique enveloppé dans du papier journal.
- Kek c’est ksa ? demanda le Vieux intrigué.
- Voyez vous même Boss, on est en retard mais c’était pour la bonne cause, on n’a pas oublié votre anniversaire !
Dunn déballant l’engin s’écriât en découvran te frère presque jumeau, de l’autre bocal,
- Alors là, Bassovitch, vous avez le don de me faire passer par le trou de la serrure ! Quel cadeau ! et je m’y connais en matière de mégot de Havanes !


..........à suivre