Archive jusqu'au 26/février/2004

Discus: Le Petit Théâtre de Breitou: Archives 2004: Archive Fevrier 2004: Archive jusqu'au 26/février/2004
Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le jeudi 26 février 2004 - 21h53:

Mon cher Emile, je suis emu, de te lire ici.
Tu sais combien ma sensibilitè est grande et en ce moment elle coule sous mon clavier, elle dévale les escaliers, a prit le métro de la CINQUIEME AVENUE pour venir te rejoindre.

Elle fera le reste à pied. Merci.
Nous avons tous ici des visages de miel et de douceur quelque soit nos opinions, l'important est notre fraternitè. C'est tout.
MERCI. TOV TOV TOV.
Oui rentre qd tu veux ici, tu es les doubles des clefs.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le jeudi 26 février 2004 - 19h08:

Albert ta photo est formidable si tous affichaient leur photos comme toi au moins on sait a qui nous avons a faire.


Ta photo est d'un homme tres humain, ton visage est doux comme du miel et montre une gentillesse exeptionnelle.

Ourass baba je suis rentre dans ton theatre uniquement pour toi. Et je reviendrai Inchalah Ya Sidi. pour voir Sharon, car deja a son age elle se distingue bien comme une future artiste.
Bravo pour la production. Une fille fait toujours plaisir que Dieu la benisse, AMEN!

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le jeudi 26 février 2004 - 08h43:

lala, Merci.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Douda (Douda) le jeudi 26 février 2004 - 01h13:

La Douda : ( Hak El Ouet International Tracking Station )

Le Tarfiste :

Innocent : Suite:

Dunn était déjà dans la pièce, il leur dit désignant le colosse galonné qui les avait reçu :
- Je vous présente le colonel Jeff, ça serra lui votre contact, il devient Number One, car moi je
retourne au Pays, alors bonne chance c’est Jeff qui me remplace.
- Ok Boss, dit Lémy, alors on vous souhaite un bon retour, et je vous dis certainement adieu, car
c’est ma dère avant la quille, et j’retourne plus aux States. Je m’installerai probablement au
Maghreb, ou sur la Côte d’Azur.
- Bonne chance Lémy, et qui sait peut être un jour ...? dit Dunn en quittant la pièce sans un regard.
Jeff leur dit alors :
- On est tous surveillés, l’attentat dont vous avez failli être victimes à deux reprises le prouve
amplement. Alors pour brouiller les pistes vous aller sortir de nuit avec le Camo, c’est notre Chris
Kraft pour vous amener à la nouvelle planque, voici l’enveloppe avec toutes les instructions
laissées par le Vieux. Votre copine peut rester ici, on serra aux petits soins pour elle, avec un
appart très sympa.
- Non Monsieur, j’reste pas, j’aime mieux partir avec mes potes.
- Ecoute Baby dit Lémy, ça n’est que l’affaire de deux ou trois jours, alors un peu de patience.
- Ok Lémy, mais tu me fais donner un talkie-walkie qu’on reste en contact, et sans fautes tu viens
me prendre au plus tard, dans trois jours.
- Promis ma Belle.
La nuit était tombée, et ils embarquèrent depuis l’embarcadère sous terrain de l’ambassade, et déjà
la vedette fonçant tous feux éteints, dans la nuit sans lune, atteignit la plage de Tamaris en moins
de vingt minutes.
- Allez les gars, à vous de jouer, ce bungalow sera votre QG, bonne nuit et restez à l’écoute de la
fréquence, viola les clés et celles de la tire parquée derrière la baraque.
Nos deux compères sautèrent sur le sable, et rejoignirent leur lieu de villégiature.
- Pas si mal que ça, dit Lémy en entrant, un peu petit mais au moins ils n’ont pas oublié le Scotch,
et aussi les glaçons, mais en plus les casses croûtes, ch’te verse un verre ?
Bassovitch acquiesçant, lui tendit son paquet de loukoums.
- Ca sera pour le dessert, en attendant j’bois un coup et j’saussissone, après extinction des feux.
La radio crépitât:
- Number two from number four ( C’était l’indicatif de Boulalik ).
- Number two, five !
- Ok les mecs, le colis sera demain à dix heures à l’Aéroport d’Anfa, zone de fret, tachez d’y être
pour surveiller que tout se passe bien à l’embarquement !
- Ok bien reçu, on y serra vers neuf heures, ne viens pas nous voir, car tu dois être suivi avec tous
les ripoux de flics, on tient à l’anonymat et à notre peau.
- T’inquiète Mec, j’ai mon job à faire, terminé !
- Terminé dit Lémy.

..........à suivre

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le mercredi 25 février 2004 - 23h05:

Dommage, je l'ai vu juste qq secondes entrain de se maquiller, peut être la semaine prochaine, je vous le dirais si D IEU VEUT.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le mercredi 25 février 2004 - 21h57:

MA FILLE VALERIE SUR LA CHAINE STAR ACADEMIE...LA SIX. 6

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le mercredi 25 février 2004 - 21h44:

LES PIMENTS....! C'est fou comme ils prolifèrent en ce moment, les amis, en rond, en rectangle, en triangle bref, ils vont prendre toutes les figures géomètriques.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le mercredi 25 février 2004 - 21h33:

ET AU COUPABLE LES MAINS VIDES....

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Douda (Douda) le mercredi 25 février 2004 - 17h20:

La Douda : ( Hak El Ouet International Tracking Station )

Le Tarfiste :

Yéh Bébert : Aux Innocents les mains pleines !

Wnessou El Douda

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le mercredi 25 février 2004 - 08h44:

Bonjour la Douda, t'es pas si innocent que ça toi..

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Douda (Douda) le mercredi 25 février 2004 - 02h26:

La Douda : ( Hak El Ouet International Tracking Station )

Le Tarfiste :

Innocent : Suite:

Lémy et Môme étaient à présent allongés l’un contre l’autre sur le dallage du salon, des morceaux
de plâtre épars sur le sol témoignaient de l’impact de la balle fichée dans le mur du salon, Lémy se
tourna alors vers Bassovitch pour le voir disparaître en rampant comme un serpent sur le sol, se
dirigeant vers la terrasse, une drôle de pétoire en main.
- Vraiment leste le petit gros mangeur de loukoums !
- Hi Mec dit il tu vois kek chose ?
- Chut ! repris Bassovitch tout bas, le mec d’en face est descendu de l’arbre, et se dirige vers nous,
on dirait qu’il a une grenade en main, je pense qu’il va nous la balancer par la fenêtre.
Lémy se leva caché par la fenêtre, vit le salopard, l’ajusta de son colt, et le sécha du premier coup,
la grenade lui pétant à la gueule le réduisit en passoire, de la bouillie de presse purée.
Entendant une bagnole qui démarrait à toute blinde, dans un hurlement de pneus, il comprirent
qu’il n’y avait plus personne, les complices à présent étaient loin.
- Conclusion dit Bassovitch, on est grillés ici, il y a eu des fuites, il faut qu’on s’arrache de ce
patelin qui commence à sentir mauvais.
- Vouais dit Môme, dommage car je commençais à m’y plaire.
- Sheet repris Lémy, on a été doublés, et failli se faire dessouder, t’a raison on doit se tirer.
- Pour moi dit Bassovitch, il y a eu des fuites, il vaut mieux avertir le boss, par radio avec ton
talkie-walkie, des fois que notre ligne serait sur écoute.
- Juste dit Lémy, j’active le scrambler.
- Number two to number one, number two to number one, number two to number one, dit Lémy
dans le micro.
Réponse du Vieux :
- Number one, copying five over five, quoi de neuf ?
- Notre planque a été dégonflée et on a bien failli se faire rétamer, et ils ont laissé un mec sur le
carreau, on doit filer!
Après quelques secondes le vieux répondit :
- Filez par l’arrière de la baraque, il y a une tire planquée à cent mètres dans la rue derrière, vous ne
pouvez pas la manquer, c’est une Rover bleue foncé, la clé est dans le pot de fleur du salon, et vous
filez chez Martine, on garde le contact radio permanent.
- Mince alors dit Lémy, Martine, c’est la résidence de l’Ambassadeur, au moins là on ne risque rien.
Ils prirent la Rover et filèrent en direction de Martine, quand la radio se fit entendre, c’était le Boss:
- Number two, il y a contre ordre, c’est la fille que vous déposez chez Martine, car c’est elle qui
craint le plus, elle y sera en sûreté, quand à vous deux, vous rejoignez number three chez la Tante,
il a des info pour vous, bonne chance et soyez prudents.
Number three, c’était Boulalik, et la Tante le bistro Tio-Pépé sur la corniche.
- Désolé Baby dit Lémy à sa Môme, on doit se séparer mais j’espère que ça ne serra pas trop long.
- Ch’suis pas contente ! J’veux rester avec Toi Mec !
- Non Baby, tu peux pas venir là où on va, mais ch’te jure que pour moi cette mission serra la dère
des dères, parés j’raccroche et j’serrais tout à Toi, alors un peu de patience !
- Quel menteur ce Lémy pensa Bassovitch tout bas !
Ils arrivaient déjà à la résidence de l’Ambassadeur, que les grilles s’ouvraient pour aussitôt se
refermer derrière eux.
Un grand noir galonné er sapé comme un US Marines, les accueillis pour les amener dans un salon
aménagé spécialement pour leur mission.

..........à suivre

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le mardi 24 février 2004 - 21h02:

LE SHOFFAR ET LES MASQUES

ALBERT SIMEONI
L' Enfant de la Goulette.

Roman policier.

Le 9/12/2003

Didier est un enfant difficile. Un jour, il fugue et se retrouve dans un commissariat de police, pour vol à l'étalage. Il est réprimande par l'inspecteur Boulakia. Il se remet dans ses études et à 17 ans, il fait la connaissance de Matthias, un jeune de couleur plus âgé que lui. Il l'invite à une Rav partie. Il fait la connaissance de Myriam qui l'aguiche. Ils flirtent ensemble. Surpris pas sa désinvolture, il lui court après dans la rue. Myriam lui fait comprendre que tout s'arrête, dés l'instant où ils se sont quittés. Il en parle avec Matthias. Une petite querelle entre les deux jeunes hommes s'en suit. Le lendemain, Didier croise en jogging Myriam, accompagnée par des amis. Elle feint de ne pas le reconnaître. Il en est abasourdi. Lors d'une pause cafè, Matthias apprend à Didier que Myriam est une salope. Elle se drogue et fais des passes. Elle est sous l'emprise de Mourad, le coache de son équipe. Surprise, alors que Didier est chez lui, Myriam l'appelle d'une cabine télèphonique. Elle lui donne un rendez-vous d'amour dans le sous-sol d'un parking. Il s'y rend. Myriam, légèrement vêtue, et Didier font l'amour. Il remonte à peine sur la dalle qu'il entend deux coups de feu en provenance du sous-sol. Il descend et là, il trouve Myriam assassinée. Didier est dans tous ces états. L'inspecteur Boulakia est sur l'affaire. Il apprend par un petit billet que c'est un portugais qui est sur le coup. Il se rend au sou-sol, là où se déroule une autre rav-partie. Le bar-man sous le coup d'une menace, lui balance le nom de Didier.


rougeL'Innocent VI.


L'inspecteur fut troublé par l'info qu'il venait de recevoir. Didier il l'avait connu dans son bureau autrefois mais de là à penser qu'il aurait pu assassiner la jeune fille alors qu'il le savait rangé. Il sortit dans la nuit froide, releva son cache col. Monta dans sa voiture.

Il était 6 heures du matin, quand le Boulakia, accompagné par quatre collègues de la crim, sonne à la porte n° 48 de l'immeuble Les Mimosas. Quelques minutes plus tard, la maman entrebâilla la porte, en robe de chambre…

-'Bonjour Madame…! Je suis l'inspecteur Boulakia. ..!'
-'Oui ..! Bonjour inspecteur..! Que puis-je faire pour vous..!'

Dit-elle dans un demi-sommeil…

-'Est-ce que votre fils Didier est là…?'
-'Oui, il dort…!'
-'Peut-on entrer…?'
-'Oui bien sur….!'

Elle ouvrit la porte.

-' Réveillez le et dites -lui de s'habiller…!'
-'Mais qui a t'il inspecteur…?'
-'Non …! Rien nous voulons lui poser quelques questions au commissariat..!'

Elle alla réveiller son fils.

-'Didier..! Ecoutes-tu dois nous suivre, nous avons quelque chose à vérifier…!'

Le jeune homme s'habilla sans broncher, comme s'il était soumis.

Une demi-heure plus tard, il était face à l'inspecteur…

-'Bonjour Didier…! Je crois que tu as fais une grosse bêtise…!'
-'Non…! Inspecteur, je n'ai rien fait, je vous le jure…!'
-'Tu sais de quoi je parle…?'
-'Oui, je suis très mal en point et je n'osais pas venir vous raconter ça de peur que l'on m'accuse…!'
-'Bon alors, on doit aller vite, au sujet du meurtre…!'

Il relata les évènements, tels qu'il les avait vécu…

-'Oui cela est ta version des faits, mais moi je pense que tu l'a tué parce qu'elle se refusait à toi, en plus, je sais que tu t'a la prise à partie, il y deux semaines, en compagnie de ses sœurs..! Donc tu lui as posé un piège, un traquenard et là tu as tiré à bout portant c'est ça…? Mais avant tu l'as frappé…! On a trouvé des traces de sperme sur elle, et je suppose qu'elles t'appartiennent..!'
-'Non…! Inspecteur, non….! Oui….! Nous avons fais l'amour, mais je ne l'ai pas violée…! Je vous le jure…!'
-'Où est l'arme du crime….!

Didier se mit à pleurer.

L'inspecteur essayait de déstabiliser le jeune sachant pertinemment qu'il n'y avait pas eu viol pas de traces de violence.

-'Tu portes des lunettes….? De soleil…?'
-'Non…..! Inspecteur…!' Jamais…!'
-'Bon écoute pour l'instant, tu es en garde à vue pour 24 heures. Ensuite, tu auras un avocat….!'
-'C'est elle qui m'a appelle…! Elle était consentante…!'

L'inspecteur tira de sa poche, un verre de lunette fumé de marque RAY BAN.

-'Tu reconnais ça…!'
-'Oui, il appartient à Matthias…!'
-'Matthias Sanguèri…..? Comment peut tu être si sur….? Tu le connais…?'
-'Oui, c'est mon pote….!Mais qu'est ce qu'il vient faire là inspecteur….?'
-'Non rien comme ça, bon, mon collègue va te conduire dans la pièce à côté, ok…?'

Didier fut conduit au dépôt.

L'inspecteur doutait de la participation de Didier dans cet affreux assassinat. Il lui manquait les pièces manquantes de ce puzzle.

Sans perdre de temps, il convoqua son ami Gilbert.

-'Gilbert, tu mets la voiture en marche, on va en visite au cafè des Stars…!'

Dix minutes de trajet, le séparait du fameux lieu à billard.
Il questionna le barman.

-'Bonjour Salem….! Matthias…! Il est venu ce matin…?'
-'Non….! Inspecteur, il doit être chez lui encore, avec la cuite qu'il a faite hier soir ici, cela ne m'étonne pas qu'il dorme encore et puis, il n'était pas dans son assiette…!'
-'Ah….! Pourquoi….?'
-'Il semblait nerveux, je ne l'ai jamais vu comme ça…! Depuis que je le connais..!'

A suivre….