Archive jusqu'au 12/mars/2004

Discus: Le Petit Théâtre de Breitou: Archives 2004: Archive Mars 2004: Archive jusqu'au 12/mars/2004
Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Douda (Douda) le vendredi 12 mars 2004 - 18h44:

c:/

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mamili (Mamili) le vendredi 12 mars 2004 - 12h00:

ALBERT ! Maintenant que tu m'as dit au café d'où tu tenais cette recette !!!!!

SANS COMMENTAIRES

Mais surveille LA RECETTE sur le BB !

Shabbat Shalom

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le vendredi 12 mars 2004 - 09h37:

Mamili, je me suis renseigné.
Voilà la réponse:
Des poireaux? Pourquoi pas?
Du choux vert? Pas obligatoire.
La cocotte? Pourquoi pas?
Enfin.
Au lieu de critiquer, pourquoi ne pas essayer?
Et n'oublie pas de mettre cette réponse en exclusivité planétaire sur le BB (Sans langes), il est nu, le pauvre.
Rabbi myak

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le vendredi 12 mars 2004 - 08h39:

Wness, je ne comprends plus, tu désertes le PTB en publiant des images de piments là bas....?
Serait-tu devenu traitre..????

-Mamili, je me renseigne et je reviens ok??? A ce soir.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mamili (Mamili) le jeudi 11 mars 2004 - 23h44:

BRASS ALBERT TU SAIS que je t'aime bien !!!!

Mais dis moi ??? d'où tu nous as sortie cette recette de MSOKI cocotte ??? sans choux verts Mais avec des poireaux et j'en passe !
Alors patience en son temps la recette mais la RECETTE ! va paraitre en exclusivité mondiale sur le BB!

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le jeudi 11 mars 2004 - 23h17:

On me fait savoir...


Objet : Georges Perla raconte contes du Yiddishland



En Allant à Varsovie
d'après les contes de d'I.B. Singer

Georges PERLA avec Yashko RAMIC
raconte Musique Tzigane

Samedi 20 mars 2004 à 14 h 30
Médiathèque Municipale
70 bis, avenue Ledru-Rollin - 94170 Le Perreux-sur-Marne
Entrée libre sur réservation, tél.: 01 48 71 38 57

Les personnages de ces contes arpentent un pays aux frontières incertaines :
la Pologne Juive. Ils ont préservé de leurs péripéties, une étonnante faculté d'interroger le monde, de s'inquiéter du destin de l'homme, de nous faire rire et de nous émouvoir...
Il en est ainsi parce que I .B. Singer est un maître dans l'art de raconter des histoires.
Nous allons faire le même périple que Shlémiel qui s'en alla à Varsovie :
En voulant partir loin, nous reviendrons à nous-mêmes, le temps d'une histoire,
le temps d'un voyage.

Yashko Ramic
Accordéoniste, Yashko Ramic interprète le répertoire classique (Bach, Mozart ou les compositeurs russes) tout comme il joue le jazz, mais il est avant tout un connaisseur passionné de la musique de ses origines tziganes et balkaniques.
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Le Tshaïnick
contes du Yiddishland

Georges PERLA
raconte

Jeudi 8 avril, dîner dés 20 h 00, spectacle à 22 h 00
au restaurant Les Uns les Autres
15, rue de Cheveul 75011 Paris - réserva 01 43 70 22 40.

Mon père arrêtait de temps en temps sa machine à coudre et, entre deux coupes de tissus, me parlait du pays qui n'est plus. Ses mots hésitaient entre Yiddish et Français, il avait des lacunes, des oublis, mais ses paroles avaient le goût indubitable du thé qu'on boit le sucre entre les dents, le goût de là-bas! A mon tour, je suis devenu tailleur de contes et je cherche à entendre ce qu'il racontait : C'était hier, il y a longtemps...Ce sont de vieilles histoires! Pourtant, comme les vêtements à retoucher de sa boutique une fois retaillés et transformés, ils vont à merveille pour marcher et découvrir le monde.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Breitou (Breitou) le jeudi 11 mars 2004 - 21h49:

LE SHOFFAR


ALBERT SIMEONI
L' ENFANT DE LA GOULETTE
PAR BEBERT.


Récit véridique. Paris 11/8/2003

Le nom des personnages de cette nouvelle a été change. C'est avec l'autorisation d'un ami que je publie cette histoire qu'il a bien voulu me confier. Avec beaucoup d'état d'âme.

Simple parcours.

Chapitre I

En 1961, l'Algérie recouvre son indépendance.

1964. A 4 heures du matin, une voiture de l'armée populaire, avec à son bord, huit soldats armés investissent une villa retirée sur les coteaux d'Alger. Ils intiment l'ordre, manu- militari, à la famille, un couple et ses trois enfants, d’évacuer les lieux et de monter dans la voiture, sans rien emporter.

Deux heures plus tard, ils atterrissent à Tunis-Carthage. Laissant derrière eux tous leurs biens.

1955. Abdessalem Kouki, convole en justes noces avec Mademoiselle Nefoua Bent Aouini, de Tunis, fille d'une riche famille de commerçant. Esprit entreprenant et affairiste jusqu'au bout des ongles, Abdessalem, décide, sur un coup de tête d'aller tenter sa chance en Algérie, alors que la guerre dans les Aurès bat son plein.

Le couple s'installe, dans un studio en plein centre d'Alger El Baida.

Ils ont une vue admirable sur la mer. Muni de quelque argent, Abdessalem décide d'ouvrir une petite boutique d'appareils ménagers. C'est un homme qui a du flair, et surtout très prévisible. Il avait la certitude qu'à l'approche de l'indépendance, le pays manquerait de tout et aura besoin de tout.

Sa petite affaire commençait à porter ses fruits et il décida de s'agrandir. Après l'indépendance, il noua quelques connaissances avec des responsables du quartier puis avec des petits dignitaires proches du régime sous l'ère Ben Bella. Bakchich aidant, il put importer ainsi des marchandises en provenance du bloc soviétique. Il commençait à avoir ses entrées dans certains ministères. La corruption battait son plein. Ils eurent 3 trois enfants. Deux garçons et une fille. Mounir, Mohsen et Najiba. Tout allait pour le mieux dans leur nouvelle vie et villa, achetée en 1962. Jusqu'à ce fameux matin, à l'aube, où tout s'écroula sur leur tête.

On vit donc débarquer cette famille, sans aucun motif de 'bannissement', à Tunis. Des proches parents sont venus les accueillir.

Quelques mois plut tard, grâce à l'argent qu'il avait, quand même pu sauver, le père reprit le chemin des affaires, à Tunis; Un domaine qu'il maîtrisait à merveille. Il remontât la pente avec courage mais son 'expulsion sans motif' et forcée d'Algérie et surtout la perte de son patrimoine, lui avait laissé quelques stigmates mal cicatrisés; l'homme avait change. Cette cassure morale, sans doute dépressif sans le savoir, lui fêla la tête. Agressif, et ne tolérant aucune contradiction, il commençait à battre ses jeunes enfants et sa femme bien que tout lui souriait.

Ils habitaient une villa du côté de la cité d'El Manar.

Sa sévérité envers ses gosses, était devenu presque quotidienne au point d'attacher un jour, son cadet à un arbre pour le fouetter. Et le laisser sous la pluie. C'est cet enfant au destin, assez intéressant, que je vais raconter.

Mohsen, à dix huit ans, décide de poursuivre des études dans le domaine des pierres précieuses. Le sertissage de ces dernières sur des bagues. Son père lui propose, d'aller faire ses études à Florence, en Italie. Une passion, pour tout ce qui brille, est née en lui. Le voilà donc dans cette ville pour améliorer ses connaissances dans les minéraux.

Son frère aîné, Mounir, dut aussi quitter la maison pour les states. La sœur Najiba, quitta aussi le giron familial pour la Scandinavie. Elle se maria dans ce pays.

Ils ont fui ce père 'martyrisateur', pour échapper à sa dictature. Ils voulaient l'oublier et ne plus se rappeler son nom. Ne plus s'avoir qu'il existe. Aujourd'hui encore, ce père assez âgé n'est plus reconnu par ses enfants. Triste privilège que celui du reniement du père.

A Florence, Mohsen, toujours passionné pas ses minéraux, excellait dans son apprentissage au point de décrocher après trois années d'études son brevet dans cette matière. Il sortait major de sa profession.

Le destin réserve parfois de ses surprises alors que l'ont croit être arrivé en fin de parcours. Et que tout est tracé comme du papier à musique.

Il rencontra quelques mois plus tard, une américaine de passage à Florence, Devorah, une juive habitant New-York dont le père milliardaire est Président Directeur Général d'une grande compagnie de courtage à Wall-Street.

A suivre….

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le jeudi 11 mars 2004 - 21h19:

Fin. Dans un instant le premier volet de UN SIMPLE PARCOURS.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le jeudi 11 mars 2004 - 21h18:

WNESS


Wness en plein dans la petite moule.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le jeudi 11 mars 2004 - 21h13:

ATTENTION TOUTES CES PHOTOS SONT DEDIEES A LA FONDATION HARISSA.
TOUS DROITS RESERVES.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le jeudi 11 mars 2004 - 21h11:

SIBYLE ET LE LELOU


Sibylle et Lelou tout en BOUGUI BOUGUI, c'est d'un charme fou surtout que le SIBYLE porte un canotier EVIAN. :) :) :)
Vous êtes les plus beaux 5X5.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le jeudi 11 mars 2004 - 21h05:

MAXITON, tu as raison, tu sais ce que j'ai fais pour m'assoeir, un trou sous mon fauteuil comme ca je peux bien intercaler mes deux petits 'piments rouges' en boulle.

Tu va aussi être bientôt en piment.