Par Lalla (Lalla) le mardi 16 mars 2004 - 15h48: |
Albert, qui est Amelie?
Par Betty (Betty) le mardi 16 mars 2004 - 15h35: |
Bonjour Raph,
Je suis nouvelle et je trouves que la B.D que tu as publiée est vraiment trés représentative de la goulette. C'est une amie qui m'a fait découvrir ce site et je le trouve excellent. A quand la suite ?
A +
S. BERNICHTEIN
Par Albert (Albert) le mardi 16 mars 2004 - 15h35: |
Mes chers amis, tout ce qui est humain n'est pas HONTEUX NI SCANDALEUX. DANS QUELQUES HEURES, ALBERT VA PASSER UN TEXTE....' OPERATION BOUNITE...' Qu'il vient d'écrire, il y quelques minutes. A ne pas RATER, ca vaut le coup de lire le texte car je crois que nous sommes tous passés par là. A tout à l'heure, le temps que j'astique OPERATION BOUNITE...
Par Albert (Albert) le mardi 16 mars 2004 - 13h50: |
LA DOUDA IL EST BIZARRE TON PIMENT TATIN....IL EST JUIF..? Car je vois de profil qu'il est circonscit.
Par Albert (Albert) le mardi 16 mars 2004 - 13h48: |
A tous les amis et familles
Nous vous demandons de faire juste une petite chose : Merci d'envoyer ce message à tous les juifs que vous connaissez et de leur demander de faire de même. Si cet e-mail pouvait atteindre six millions de juifs avant le jour de commémoration de l'holocauste le 19 Avril 2004, nous auront montré que six millions de juifs sont vivants et se rappellent ceux qui ne le sont plus.
Cliquez ici : http://anatweb.com/yom_hashoa.htm
Cordialement,
Par Douda (Douda) le mardi 16 mars 2004 - 00h33: |
Par Douda (Douda) le mardi 16 mars 2004 - 00h32: |
Par Albert (Albert) le mardi 16 mars 2004 - 00h15: |
Sibylle dans la famille BOCCARA du site en question celui du milieu d'appelle PIERROT BOCCARA mon voisin de palier à la GOULETTE.
Il vit à MARSEILLE et il m'arrive de lui télèphoner. C'est mon ami d'enfance et je parle de sa famille dans un TEXTE PASSE QUI S APPELLE LES VOISINS. Une famille de grènès en OR.
Par Albert (Albert) le lundi 15 mars 2004 - 23h43: |
Ma douce Amélie,
Comme tu le vois
Nul sommeil ne me prend
Dans ses bras.
Mais toi, la belle Mort te bercera
Sous les lambris de tes tracas.
Amélie,
Les tombes le jour - mais qu’importent les matins
Ou les nuits- se ressemblent ; ils ont le même visage d’os
Décharnés sous les linceuls noirs qui pourrissent dans le noir.
Les défunts enfin n’ont plus de couleur
Oh quelle horreur…. ! Serais- tu tentais de hurler
Dans la douleur que tu enfantes sans témoin
Dans le chaudron du diable,
Où ton âme ne trouvera pas sa place.
L’enfer pour toi serait ton Château
De Lucifer et tu respireras les parfums
Des enterrés coupables d’ignominie.
Amélie ne verse point de larmes
Tes yeux sont aussi secs qu’un erg
Et ton âme ressemble au mauvais grès.
Amélie demain au petit jour ou à son milieu
je réciterai encore pour toi des odes funèbres car ici nous sommes dans le lieu où l'émotion et le rire s'unissent dans le corps sans âme des damnès des femmes sans honneur qui te ressemblent.
Par Albert (Albert) le lundi 15 mars 2004 - 23h10: |
Ma chère Amélie,
Toi qui fut ma confidente
Et qui m’as balancée
Ta mort ne serait pas plus douce
Mauvaise chaire, charogne, ma rousse.
Tu as détruit une amitié
Avec ta langue déliée.
Nul honneur, je ne fais à ta vertu
Qui ressemble à celle des putains
Qui cheminent de long en large
Sur les trottoirs, aux petits matins
Tristes comme l’es ta fange en paroles.
Et sur les embarcadères des ports
Tes pieds traînent sur le ciment
De l’horreur.
Des bas quartiers de Paris, de Cologne
Tu parcours les sites,ou de Gascogne
Misérable créature qu’ici je ne cite
A la recherche de ta pitance blanche
Qu’on paye sur tes ‘o baise* ‘hanches * Obèses.
Pour combler ton orifice mal lavé
Tout en recevant sa misérable levèe*. * Fric
A mort la balance….Que je hurle.
Par Albert (Albert) le lundi 15 mars 2004 - 22h06: |
ALBERT SIMEONI
L' ENFANT DE LA GOULETTE
PAR BEBERT.
Récit véridique. Paris 11/8/2003
Chapitre II
Le nom des personnages de cette nouvelle ont été change. C'est avec l'autorisation d'un ami que je publie cette histoire qui appartient à sa famille et qu'il a bien voulu me confier. Avec beaucoup d'état d'âme.
Résumé du précédent chapitre.
1961. L'Algérie est indépendante.
La famille Kouki est réveillée en pleine nuite et expulsée, en 1964, manu-militari en Tunisie.
Abdessalem, le père, homme d'affaire, délaissé de ses biens, pour des motifs inconnus, se remet de sa mésaventure dans son pays natal. Il remonte la pente. Mais, garde en lui des séquelles par la perte de ses biens. Dépité, sans doute dépressif, il s'en prend à ses enfants. Mohsen, son cadet se prédestine à un métier de sertisseur à Florence. Il rencontre une jeune juive américaine et une relation amoureuse née. Ils partent aux States. Le père milliardaire est PDG d'un grand holding.
Simple parcours.
Ils étaient fous amoureux l'un de l'autre. Au point de vouloir 'nocer' aux States. Elle lui proposa de venir s'installer dans le pays du rêve. Il accepta l'offre et voilà nos deux tourtereaux dans cette grande ville. Le père fit connaissance du jeune homme qu'il prit en estime et lui proposa de l'initier dans le métier de la haute finance. Il progressa si vite, que le 'beau-père' lui confia un poste dans son entreprise.
Golden-Boy dans la finance. Il se découvrit donc, une autre passion ; la vente des titres et autres échanges en bourse. Un métier qui rapporte gros. Bien plus que celui de rester assis, avec des loupes à coincer des pierres pour un rendement financier sans commune mesure avec ce qu'il lui était prédit.
Adieu diamants et rubis et machin chouette. Il en oublia même les couleurs.
Le 'beau-père ' pensa un instant le projeter comme Directeur dans une de ses succursales à Boston. Seulement, les relations entre le couple Devorah-Mohsen, commencèrent à battre de l'aile et la jeune fille se confia à son père. Sans doute que la vie trépidante américaine y est pour quelque chose et que les sentiments ne s'unissent pas facilement avec le monde des affaires. Ne lui laissant aucune autre alternative, le vieux se débarrassa diplomatiquement de son ancien 'gendre'. Sans regret mais avec quelques compensations en dollars. Une rupture à l'amiable.
Le jeune homme, qui ne savait pas se reposer, décida d'aller voir ailleurs.
Chez les Anglais, à Hongkong. Il débarqua donc, avec sa fortune, dans cette ville, diamétralement opposée au mode de vie des 'amérlocs'. Il déposa donc sa valise dans un hôtel pour tâter le pouls de sa nouvelle ville.
Il n'avait pas besoin de grand chose pour l'instant, juste un lit et une douche pour repenser, à tête reposée, à une autre voie.
Demain, il fera jour. Il avait à peine 28 ans et toute la vie devant lui. Un peu de chance se dit-il ne lui fera pas de mal. Une chance sur les 10 millions de 'King-Konkgais' Cela ne doit pas être dur à trouver. Une relation parmi les quelques chinois dénudes, ce n'est quand même pas difficile à dénicher.
Il se mit à rêver. Et voilà que, se souvenant d'une ancienne amitié américaine, qu'il avait lié lorsqu'il était golden boy, un ancien boursier du temps où il occupait son poste à New-York, lui mit la puce à l'oreille.
Sans perdre de temps, il alla à la bourse de Hongkong et là, Madame Chance a voulu que son ancien ami préside encore aux échanges financiers dans la salle des cris et des hurlements.
Les retrouvailles se firent dans un restaurant huppé de cette métropole.
Son ami l'aiguilla chez un grand maroquinier de la place, confectionneur et fournisseur de sacs et autres chaussures de haute gamme, une enseigne très connue dans toute l'Asie du Sud Ouest.
Il fut embauché, quelques jours plus tard, sur recommandation, dans cette grande fabrique tenue par des italiens. Lui qui maîtrisait ce parle, il n'eut aucune difficulté à se faire comprendre et surtout apprendre les ficelles de ce nouveau métier.
Au bout de quelques mois, on lui confia une petite unité en déclin. Il ne lui fallu pas longtemps pour tripler son chiffre d'affaire. La direction le nomma gérant d'une plus grande entreprise.
Un jour que le PDG de l' usine lui rendait visite, pour une inspection de routine, notre Mohsen, sans perdre de sa prestance, lui proposa d'acheter les petits rebuts; ces chutes de cuir provenant de la grande usine de découpe de sac et chaussures, que l'entreprise jetait à la poubelle. Par tonne.
Notre PDG, s'en se douter un instant de la suite, accepta l'offre. Son gérant s'appropria gracieusement de ces petits oripeaux sans grande valeur. Le cimetière des peaux perdues, appartenait à présent à notre malin de Mohsen.
Des rebuts…? Mohsen allait en faire bon usage. Il monta secrètement avec l'aide de quelques chinois, un atelier clandestin de confection de petits sacs de fausse marque, imitation parfaite de ceux que commercialisaient son patron, mais sous un autre nom, Tornado'S. Qu'ils vendaient à des intermédiaires chinois sous le manteau, à des prix défiant toute concurrence.
A suivre….
Par Albert (Albert) le lundi 15 mars 2004 - 22h04: |
LA DOUDA TES PIMENTS SONT TRES BEAUX ET C EST LA L AVIS D UN ARTISTE QUI CONNAIT ET APPRECIE TON ART.
RABY LEI I NAHIQ YE BABA AU COEUR TENDRE.
TOI T ES UN AMI ENFIN SUISSE COMME UNE MONTRE..