Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le mercredi 17 mars 2004 - 22h35:

Douda et Albert, j'avais a peine douze an quand j'avais entendu le chef de l'equipe de foot de l'esperance qui disait aux jours demain on a un jeu important, Pas de femmes et pas de Bounita,

Entendu ?

Par Albert (Albert) le mercredi 17 mars 2004 - 22h14:

Chiquita..§§§§...Chiquita...§§§ e muito Bounita..
Saou del paese della Plata...§§§...
Amico mio del la DOUDA....§§§§.... Mach ti somiglia alla FARFALLA
Bel afias yè diwénas.
Chiquita...§§§§...Chiquita
E saou VELLA....§§§... E anche muita BOUNITA..§§§§§....

Ye farzit...Cheyekh oulle deyeckh...?

Par Albert (Albert) le mercredi 17 mars 2004 - 21h35:

Petite queue harissienne en balai.

Par Albert (Albert) le mercredi 17 mars 2004 - 21h30:

Un pieux HARISSIEN.

Par Albert (Albert) le mercredi 17 mars 2004 - 21h28:

Par Albert (Albert) le mercredi 17 mars 2004 - 21h18:

Le livre du manchot solitaire qui tient un livre d'une main et le manche de l'autre..Maxiton. lol.

Par Albert (Albert) le mercredi 17 mars 2004 - 21h16:

Ma chére NONETTE,

Pour le cafè des dattes il suffit de vous enregistrer, voilà l'info.Vous recevrez un mot de passe avec votre pseudo.

Quand à la participation à LA Bounite, je ne crois pas que celà puisse vous interresser, vous n'avez ce qu'on les hommes enfin.
Lisez bien mon récit.

Vous avez du faire rire la planéte entière avec votre participation . Mais bon on pardonne votre naivetè.
Quand à Amelie, vous avez bien raison c'est du délire. Et moi je délire souvent, à vous revoir sur les lignes du PTB.

Par Maxiton (Maxiton) le mercredi 17 mars 2004 - 20h34:

Albert

Jean-Jacques Rousseau parlait des livres qu'on ne lit que d'us
seule main...

c'était quoi ton livre ?

Par Nonette (Nonette) le mercredi 17 mars 2004 - 15h19:

donnez-moi les clés de vos délires!amélie (quelle chance elle a (à lire avec l'accent tune bien sur)opération bounite :je peux y participer d'abord c'est quoi?
comment aller au "café des dattes"il faut un code
different?
j'adore harissa!!!

Par Douda (Douda) le mercredi 17 mars 2004 - 02h21:

La Douda : ( Hak El Ouet International Tracking Station )

Le Ftileur : Bonita !ZEKCH!

Yéh Baabous, choua ekel kakaouéïa, katli : “ Sahebna jè bacouch alech amelt bonita bel saboun “, Tu es comme ChiChi depuis ta communion tu portes un instrument électroneïk contre la surdité,ou alors tu phantasme sur la Bachelot ou quoi? Raconte encore !

Wnessou El Douda

Par Albert (Albert) le mardi 16 mars 2004 - 20h03:

LES MEMOIRES D UN GOULETTOIS
ALBERT SIMEONI


PARIS LE 13/3/2004.

J’ignore en quel temps j’ai pratiqué ce qu’on appelle l’amour du solitaire.

Ces mouvements de main ascendants et descendants qui éjaculent la sève après la puberté.

Je ne me souviens ni de l’heure, ni du jour même approximatif.

Tous les jeunes de mon âge sont passés par cette étape de la masturbation.

J’ai entendu parler de Bounitè de la bouche des grands de mon âge, à l’école pendant les récrès, sur les terrains de jeu après nos joutes sportives. C’était un mot assez courant dans leur bouche et souvent, ils nous renvoyaient de leurs conversations quand nos oreilles curieuses s’allongeaient pour écouter leurs phantasmes.

Ce mot de BOUNITE était utilisé fréquemment chez les ‘adultes’, et l’employaient à tout bout de champ envers les amis qu’ils trouvaient disons en méforme

‘..Chnouè amèlt bounitè… !’ (Quoi tu t es masturbé, sous entendus t’ es pas en forme…)

Ou alors s’il portait de grosse lunettes de myopie, ils disaient de lui

‘ Aïïnei tnèkou bél bounitè… ! ‘ Sa vue a baisse a cause de la branlette).

Bref tout était prétexte pour interpréter une mauvaise action sportive par ce quolibet de ‘Aâmel bounitè..’

Ceci expliquant cela. Même un échec scolaire était dû a trop de branlette pendant l’année. Comme quoi la myopie avait trouvé sa raison d’être dans cet exercice.

La bounitè était donc la bonne excuse pour motiver tel ou tel fait intellectuel ou sportif .
D’après les censeurs. Nous.

Je me souviens d’un récit que me relatais un ami. Un ami plus âgé de quelques années, un peu marrant et surtout blagueur. Mais en ce moment là, je pouvais croire n’import qui.

Encore aujourd’hui ma façon de penser est restée immuable.

Donc mon ami pensant me relatait sa première ‘ forfaiture ‘.

Un jour me dit-il, quand tu aura fait ta communion, ( j’avais 12 ans à cette époque), tu seras un homme et tu pourras t’adonner à ce plaisir.

Un conseil que je gardais en mémoire jusqu’au jour où ma communion ( bar-mitswa) fut accomplit.

J’allais donc retrouver mon ami pour le mode d’emploi.

Il se fit un plaisir de ‘m’indiquer la marche à suivre. ‘…Soit avec la salive ‘ me dit il ‘Ou alors avec un peu de savon beldi ( savon vert artisanal).

Par économie je choisissais la salive. Je n’avais pas de trop grande rentrée d’argent à cette époque mais je salivais beaucoup donc autant en faire profiter avec mon ‘cordillon’. Bien rose. ‘..Et surtout, pense soit à une fille que tu connais ou alors à une star de cinéma.. !’

Une star de cinéma.. ??? Je cherchais dans ma tête celle qui allait m’aider dans mon entreprise… ‘..Et puis une stars de cinéma..’ me dis-je en moi-même ‘..Ca va me coûter cher… !’

Pour une prétention s’en fut une..

’Pour la star de cinéma, barra qahel âând Jules El Hââjèm ( il avait mille posters de postérieurs accrochés à son mur, de tout gabarit soit en maillots, décolletés soit en soutien gorge largement échancrés) me dit il avec force et conviction.

Mais le problème qui se posait à moi, c’est que je ne lisais pas de roman feuilleton pour dénicher sur place une bonne et belle starlette. Ma littérature se composait de BLEK LE ROC,
BUCK JOHN, CASSIDI, KIT CARSON etc….Alors penser à un Blek pour me la branler était interdit par le rabbinat. A cette époque.

Et en vérité, c’était pas mon genre d’aimer les hommes de fortes carrures, et dans tous les cas, je ne le voyais pas se pencher pour ‘dezen el rmal bss’drou) . Pas plus qu’un Kit Carson ou un Popeye. J’ai pense à Olive mais la pauvre elle était si maigre que mon noyau aurait vite fait de déchirer le papier imprimé.

Je réfléchissais sérieusement à la question. Et là, BB m’est apparut en phantasme.
Il me restait à chercher le lieu, l’endroit pour mon opération Bounitè.

‘….Dans le cabinet de ma maison…. ? C’était impossible, par manque d’espace, car je devais donner à ma bounitè une grande solennité. C’est important la solennité pour la bounitè.

Mon dévolu était tombé sur la buanderie de ma terrasse, qui n’était ni un bordel ni un lieu de culte et puis D ieu ne m’y verrait pas par la lucarne ; il n’y en avait pas.

Je montais donc en ce premier jour de bounitè avec ma salive. Personne en vue à part quelques cordes à linge qui ployaient sous leur poids, encore mouillé.

Il faisait très beau et j’étais en short et tricot de peau.
Je poussais la porte de ma buanderie. Je déplaçais la ‘Kinke mta el saboun’, dans un coin.
Je m’adossais au mur tout en retenant par mon pied, la porte de ‘mon salon humide’ au cas où je serais surpris dans la ‘main-œuvre’.

Sous la fontaine aussi, au cas où si une trop forte poussée d’adrénaline cervicale me serait montée à la tête, je pouvais balancer ma main par-dessus pour éteindre le feu qui allait me brûler.

Il faisait frais et mes petites fesses nues, car j’avais baissé short et culotte petit bateau, ont ressenti la froidure du ciment. Elles étaient donc carrément posées dessus.

Je repliais une jambe laissant l’autre coincer le battant de bois.
Comme serrure.

Je fermais les yeux tout en me concentrant sur ma proie d’artiste. Ma main droite caressant le petit ‘siphon’. Je ne voyais rien venir comme comédiennes alors que leurs visages défilaient dans ma tête à une allure sidérante. J’essayais d’en attraper une de starlettes mais elles étaient toutes si belles les unes que les autres tant et si bien que l’une chassait l’autre.

Mon petit zizi malgré mes caresses restait au point mort.

Ma salive s’échant rapidement, j’y ajoutais un peu d’eau et un petite dose de savon vert.
GHASSRA.

Je donnais de temps en temps un coup d’œil sur la terrasse, l’oreille dressée au cas où…

Je refermais les yeux, bien décidais à prendre la chose en main. J’y allais lentement et là miracle la Brigitte. B vient devant moi. ‘..Ah enfin… ! Lui dis-je tu es venu ye KAHBA… !’
Et là patatras toute ma concentration retomba comme mon petit nœud.
Il ne fallais pas parler mais imaginer.
BB partie, arrive la LOLLO avec ses gros ‘nibars’ de chez JULES LE HAJAM.
Et là reprise en main de mon oiseau sans plume. TAF TAF, la tour de Pise, grandeur miniature reprit son érection, un peu penchée.
‘…Je ne lâcherai pas la LOLLO…. !

‘ Me dis je dans mon inconscient. TAF TAF….

Zut je ne sais pas pourquoi LA MINELLI alors que je la connais pas mais pas du tout entre en scène et là PATATRAS encore ‘…. In yaddin elli khlaq bouq ye MINELLI… !’

Alors m’est venue une idée géniale, pourquoi n’y avais-je pas pensé plus tôt. A une fille d’une classe secondaire plus âgée que moi, une certaine BOUFFA, belle et gracieuse jeune adolescente italienne de 15 ans à la chevelure généreuse. Je refermais les yeux, toujours avec mes petites .ouilles froides sur le ciment.

Je commettais un viol dans mon délire mais qui va me culpabiliser pour un tel forfait puisque elle ne saura pas qui l’a niquée à son insu, dans mon imaginaire.. ?
Au pire je risque quoi ????? Un blâme… ? Au point où j’en étais….Un comme celui là vaut la peine d’être pris. J’assumais.

Je la voyais souvent à la plage, du coté de Goulette Casino, en maillot ? qui lui serrait sa taille.
N….k radaa …. ! Se sera elle. Et là, je n’avais pas l’intention de lâcher le morceau.
TAF TAF TAF TAF…..10 minutes à ‘m’échauder et là aussi rien. Déçu, je le fus.

Mais il fallait bien que j’accomplisse ma première opération Bounitè non ??? Mais qui sera celle qui va relever mon défi….. ! Qui va me faire jouir dans ma solitude… ?

J’étais au bord du découragement quand, par miracle, j’entends des bruits de pas en sabot sur la terrasse.

A quelques mètres de moi, MIRANDA, une italienne aussi, ma voisine, une femme mta RABI, pose sa bassine sur le sol de la terrasse badigeonné à la chaux. En combinaison bleu ciel, toute transparente.

Je n’en croyais pas mes yeux, surtout qu’elle venait assez souvent avec son bébé chez nous. Et quand elle croisait les jambes au bord du lit, je regardais avec mon œil de ‘vicieux’, son entre jambe, pour essayer de deviner ce qu’il y avait dans cette obscurité. Sans succès.

Bref, revenons à mon opération. Elle se cambra donc pour m’offrir son beau fessier, et poser sa corbeille en osier. Je n’en croyais pas ma vue. Mon petit oiseau passa de 3 cm à 4 cm puis à 6 pour s’arrêter enfin à 6, 25 cm. Zghir zebi qen él waqt ehdèk eh’deqoua élli yata rabi. Hamdoulla. (Petit il était en ce temps là, c’est tout que la nature m’a dotée. Grâce à D ieu )

Un rayon de soleil, passant par l’interstice de la porte, vint se poser sur mon glorieux petit gland bien rose et surtout boursouflé, comme une auréole sainte.

Elle était là courbée la MIRANDA sans se douter qu’un petit connard de communié prenait pour cible ses belles fesses. Je fermais un œil tout en laissant l’autre ausculter à loisir le paysage tout en chair qui s’offrait à la vue d’un jeune garçon innocent mais curieux de savoir à quoi aboutit une bounitè.


Et là, ni une ni deux je lançais ma manette, mon moteur de recherche FERNAND, avec encore plus de frénésie et une telle grâce que je n’en pouvais plus. TAF TAF TAF…
MIRANDA resta penchée quelques secondes, découvrant la rainure de ses belles fesses sous la combinaison. Un dialogue imaginaire s’établit entre elle et moi du genre..

‘…Viens ma chérie, ouvre donc……… ! Voilà doucement Chérie… ! Oui comme c’est bon… !’

Et vas y que je délire, mes amis…

TAF TAF TAF TAF et vas y aussi pour la salive, ma bouche était devenue un robinet salivaire et TAF TAF TAF Et là enfin…..Elle se releva la MANDOLINA pardon la MIRANDA.

Quelque secondes m’ont suffit pour voir mon zizi prendre du volume, passer de 8 cm à 9m 25, décoller et sentir monter en moi, pour la première fois une légère douleur annonciatrice d’un petit écoulement blanc puis un jet de coco bien blanc, accompagné par mon petit cri de jouissance, en silence sans être entendu.

J’étais épuisé par cet effort de plaisir que je me suis payé gratuitement avec la connivence de MIRANDA qui ne se doutait de rien.

Ce furent donc les fesses de MIRANDA qui me procurèrent mon premier plaisir.

Nekht ye jmaya bél ah’qèyè ehdi.

AUX LECTEURS..

J’étais heureux.
Heureux d’avoir accomplit ma première bounitè
Heureux d’avoir baise dans ma tête MIRANDA qui n’existait pas.
Heureux de mon ballout sur mesure.

La vérité est que cette version des faits n’est pas la réalité, ce fut lors d’une ‘fausse couche’ survenue la nuit que je polluais mes draps. Après est venue la Bounitè vers mes 15 ans. Normal non.. ?

Je ne crois pas avoir enfreint une quelconque morale car je pense que nous sommes tous passés par là, je devais me la raconter même dans le ballout.
Faites en autant. Merci.

Par Albert (Albert) le mardi 16 mars 2004 - 19h11:

Ne ratez pas OPERATION BOU.....LE PERE NITA....
LA SEANCE NE DURE QUE 24 HEURES PAS UNE MINUTES DE PLUS...OK....? A tout à l heure.
Les absents auront tord.