Par Albert (Albert) le dimanche 21 mars 2004 - 22h01: |
Nonette, c'est bien plus qu'une ignominie c 'est une traitrise du TEMPS.
Par Albert (Albert) le dimanche 21 mars 2004 - 21h50: |
Souvenirs d’un temps passe.. Dans l’oubli…. Mta beit Haim.
Printemps perdus de mon pays…
Passe le 23/03/2004
Rien que des souvenirs qui viennent encore titiller mes narines.
Titiller un mot qui a fait sourire Axelle.
Oui, cela m’arrive de me faire titiller mes narines quand le vent du souvenir frappe à ma porte, à ma mémoire.
J’ai encore dans mon nez juif, cette odeur particulière annonciatrice des beaux jours.
A part les hirondelles qui venaient retrouver leur nid de l’an passe, il y avait ce changement de couleur de la nature si belle et si douce.
Vêtue de son nouvelle habit, la nature se plaisait à nous offrir des fleurs dans les jardins, dans nos près sauvages et terrains pleins d’épines sans compter les ronces qui disparaissaient pour laisser la place à toute ces petites floraisons en tout genre, aux couleurs colibris et j en passe sur les roses écarlates, blanches qui attiraient nos convoitises, allant même jusqu’à mettre nos vies en danger en escaladant les grillages aux pics en fer rouillé, acérées, pour en chaparder quelques unes.
Les bougainvilliers, rhododendrons, capucines, arbres d’eucalyptus en panache qui retrouvaient leur vert pistache, jasmin et fel, mimosas sur les branches qui ployaient sous leur poids, je m’en souviens encore, écrit le poète.
Fleurs de mon pays perdu…§§§§….
La saison de l’avant l’été.. ! A la Goulette….quel kif….. !
Et les insectes n’étaient pas en reste ; libellules, cafards à carapaces qui retrouvaient, après un si long sommeil leurs lieux de villégiature, traînant par leur patte, le long éveil.
Les oiseaux des champs retrouvaient aussi leur cachette comme si tout leur était alloué, permis, sans contrat, un bail éternel. Bergeronnettes, moineaux, ramiers, coucou ( comme moi) pinsons, rossignols etc… se donnaient rendez vous pour nous chanter une symphonie naturelle qui ne leur a pas été dicté. Quel kif…
La seul chose que j’ignorais était la tache des poissons pendant ce réveil de la nature, j’ai pas été voir dans l’abîme marin leurs préoccupations. Blèchi.
Une communauté d’eau qui voulait sûrement rester sans l’incognito. Et bien elle l’est restée à mon grand détriment.
Je pourrais encore à faire l’éloge sur mon Printemps goulettois, mais je crains que je n’ennuie mon monde par ce passe révolu.
Chey meidoum, comme qui dirait la chansonnette.
Brekha ye Rebi...Imi bourakh..
J'ai dis ce que j'avais à dire ici et pas ailleurs, comme ça en nahi tarf feddah élli yannè.
Par Nonette (Nonette) le dimanche 21 mars 2004 - 21h14: |
albert
j'ai beaucoup aimé ton évocation romantique (pas trop en vérité) du temps qui passe!tu as raison ,c'était hier,la henné et les cadeaux,la synagogue de l'avenue de paris,le départ en voyage de noces .. le temps file ,-,tout s'accelère;les enfants ont grandi,se sont mariés,nous voilà grands-parents déjà !françoise giroud disait que la vieillesse est une ignominie,elle avait tort!les rides ne font pas mal,les cheveux ,pon les teint et puis l'amour de cette poignee de petits-enfants qui s'agrippent à vous quel régal....
Par Albert (Albert) le dimanche 21 mars 2004 - 21h40: |
Qu'ils aillent en Israël faire des reportages utiles, ces juifs vendus mais du bon cotè de la barrière.
Au lieu de bronzer comme des idiots sous leurs spots de l'obscuritè. Mta él dlam..
Par Albert (Albert) le dimanche 21 mars 2004 - 21h37: |
Ces faux culs en déplacement...
Par Albert (Albert) le dimanche 21 mars 2004 - 21h36: |
'...Mounia...? Ils iront filmer un peu le patrimoine juif au moins au zoo du Bélvèdaire...? La bande à Mitterand..?
Par Albert (Albert) le dimanche 21 mars 2004 - 20h55: |
LE PRB FETE SON SECOND ANNIVERSAIR LE 2/4/.
Donc je demande aux habituès du site de composer tout ce qui passe par leur tête, en sachant que cet anniversaire sera placè sous le signe de L'Amour.
A votre guise de composer poéme ou conte comme il vous plaira. Mais sachez que l'abstinence serait mal vu par son Directeur.
A vos plumes dés maintenant.
Merci..
Par Albert (Albert) le dimanche 21 mars 2004 - 20h44: |
Ma chérie de femme,
Zut et flûte comme le temps passe vite.
Nous nous regardons vieillir sans nous regarder dans le miroir.
Ce coup de vieux si impromptu depuis que nous sommes devenus grands-parents, me donne
un coup de blues.
Zut et flûte je te dis et encore hier, je te disais au coin de l’oreiller
‘Zeckh comme on a vieillit d’un seul coup…’
Et toutes nos images d’avant me sont revenues comme un leitmotive.
Quel coup de blues, femme, en si peu de temps.
Je te demandais comme pour me rassurer si dés fois, on est encore potable comme l’eau.
Tu as ris sans rien dire. Je t’ai rappelle alors nos premiers moments, où jeunes mariés nous habitions encore dans la pays de l’insouciance et de l’aisance.
Dans le pays qui nous a vu nous unir, toi en belle jeune fille et moi en beau jeune homme sans calculer notre avenir. Comme si nous étions des habitués du mariage.
Zut et flûte, j’ai un coup de blues.
Et puis nous avons sans que l’on nous le demande fait un enfant.
Des enfants comme si cela était normal d’avoir des enfants. Et oui, nous avons faits ce que
nos parents ont fait bien avant nous, des gosses, avec différentes recettes.
Nous avons tirés de bons numéros.
Et là encore ‘Zeckh’ le blues me revient. Je les vois, les petites faire leurs premiers pas dans le jardin de notre première villa. Puis, plus tard, marcher allègrement et courir dans la cour de notre seconde villa pas très loin de la mer.
Quel kif, cela était de les voir se balancer sur cette balançoire que j’avais confectionnée avec des éléments épars pris dans ma marbrerie.
Zeckh, chérie comme le temps passe vite.
Je ne me souviens même plus comment elles ont pu grandir. Heureusement que nous avons leurs photos pour revenir un peu en arrière et nous rendre compte qu’elles étaient petites.
Sinon je n’aurai jamais cru qu’elles étaient passées pas là, par leur enfance.
Zeckh él wakt , comme il ne nous laisse pas le temps d’apprécier les bonnes choses de la vie.
Ficha Ficha mè terba, ( il est vite passe) comme mon père que je n’ai pas vu vieillir.
Quelle allure, a donc ce temps qui s’enfuit, sinon de nous rappeler notre destination future sans pitié pour nous.
Serais-je là dans 10 ans, dans 5 ans. ??? Va savoir chérie dans quel ‘Neiha’ je serais.
Quel merde ce temps et cette vieillesse qui ne peut pas s’arrêter alors que j’ai une grande envie de continuer à voir mes enfants et mes petits enfants autour de nous.
Quoi merde… ? Quoi…..Enfin…. ? Allaish yè zédi, méchi comme un âne sans savoir ce qui va m’attendre…..Ah….Allaish…. ? Parce que c’est la vie, c’est ça ce que tout le monde dit et bien moi j’ai pas envie d’écouter l’avis sur la vie des gens.
Nous voulons vivre, ma chérie, le plus longtemps possible même sous les ailes d’un moucheron qui sent la caca mais au moins sur terre.
Rien que pour emmerder les autres.
Chérie…. ! Viens ma chérie que je t’embrasse… ! Viens comme tu es devenu belle malgré tes 25 ans…   
‘Tu ne dors pas, Bébert… ?’
‘Zekch, j’ai encore tout le temps pour dormir, chérie… ! Pour l’instant je veux apprécier la nuit avant le jour, pour ce qui me reste à vivre…. !’
le 21/3/2004
Par Albert (Albert) le dimanche 21 mars 2004 - 18h56: |
En fait LALLA, on peu rimer autant qu'on veut pour les berceuses. Nous y allons avec nos coeurs et nos joies intenses devant ces petits visages d'ange.
Que D ieu nous les garde en bonne santè. Amen.
Par Lalla (Lalla) le dimanche 21 mars 2004 - 17h11: |
cher Albert
voici une berceuse que je chante a mes 2 petites filles de 1 an et demi et de 1 mois et demi:
chenouai el benna ya louled?ouadi bennet hout el oued!!!vous connaissez?c'est mon grand pere qui me la chantait ..ya hassra...
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Par Albert (Albert) le dimanche 21 mars 2004 - 16h50: |
Sans oublier que l'on disait souvent d'une fille ou d'un garçon cèlibataire ..'Malqache Mektoubou...! Ou maktouba..! 'Il n'a pas trouvè sa moitiè ou sa dulcinèe...Son bonheur..!
Ce qui revient à dire que LE MEKTOUB( déstinè et non pas poche ) ne lui a pas permis de trouver bague à son doigt. Son bonheur.
Ici aussi nous rentrons dans le domaine de l'éspoir ou le désèspoir.
'Méchkin oullè méchkinè mè lkatch mektouba..!'
( Le pauvre, ou la pauvre...Elle ou il n'a pas trouvè son bonheur au masculin ou féminin..)
Dis avec des trémolos dans la voix pour un pére ou une mère.
Nous connaissons aussi cette expréssion parfois prisè par les imbus qui disent 'El mektoub ehnè el kessrou..!'
La mektoub, moi je le casse..!
Sous entendu 'Je le commande.'
Par Albert (Albert) le dimanche 21 mars 2004 - 14h08: |
Tinkerbelle
‘…Me voilà …. ! Aurait dit D’Artagnan….
Si ma mémoire est encore bonne et d’aplomb.
Je me souviens de ce fameux soir
Où tu rentrais avec ton désespoir.
Sans me connaître, tu as étalé
Sans respect pour ma recette pascale
Tes paroles qui ressemblaient à un râle.
Or si je me souviens le récipiendaire
Slim m’a bénit par un ‘ BARKALLAH OU FIQ BREITOU’ ;
Humble Monsieur Slim… ! Le musulman des States du bout
Du nouveau monde. Reconnaissant, élogieux, prévenant, le Ben Debba
M’a remercié dans sa langue natale, invoquant D ieu dans sa parole.
Alors que toi, Tinkerbelle, tu as vomi de ta grosse demba
Cette partie grasse qui ressemble à ta langue puante
Ton mépris pour mon msoki. Arguant du fait qu’il me fut donnée
Par un ami dont tu es certainement jalouse.
Ma cocotte en ‘msoki’, tu es bien arrogante et je pousse
Ma critique en te disant que tu es une grande impolie.
Même médisante, toi qui dis être grand-mère et demi
Alors qu’il n’en ai rien car cachée sous un pseudo.
Mais est-ce à toi que s’adressait donc cette recette.. ?
Est-ce normale même si elle n’était pas à ton goût
De t’immiscer comme dans une orgie, par ton bagout
Pour mon ragoût.. ? Chou rave que tu es…Boutakalla.
Mais TINKERBELL…. ! Pourquoi … ?
Toi qui est sans doute juive
T’es tu faites passer pour une mégère… ?
Alors que personne chère grand-mère
Mta jénèm…El Hamra… !
Ne te demandais rien sauf que de taire
Comme dans un lugubre cimetière.
Ecoutes reste à ta place la prochaine fois, chippie.
Je te le demande poliment, rastaquière… !
Pour te réconforter le grand Maître d’ici
L’a accrochée sur l’autre site, sur le parvis.
Des seigneurs, Ma bonne recette.
Rien que pour t’emmerder. Ma chère ennemie.
Erkhini ou ekhtani…Marra jeï.