Par Nonette (Nonette) le mardi 23 mars 2004 - 13h20: |
oh la la Albert un poème pour moi ..quel plaisir!.j'accepte toutes les rimes quelles soient riches ou pas!"règle et espiègle" pourquoi pas ...espiègle me plait beaucoup ,çà vous a un petit air mutin qui me convient bien.
je m 'amuse beaucoup au PTB et puis j'y apprends plein de choses..vous savez de quoi je parle;mon mari ,depuis, me prend pour une innocente débile.mais je ne savais pas de quoi vous parliez ..heuchmè,je ne m'en remettrai pas!
Par Chantal (Chantal) le mardi 23 mars 2004 - 10h35: |
Albert, le son n'est pas excellent, sur mon ordi aussi.
Par Albert (Albert) le mardi 23 mars 2004 - 13h41: |
Un beau matin, un fermier découvre un oeuf en forme de cube dans son poulailler.
Surpris par cette étrange apparition, il surveille ses pondeuses de près et parvient à identifier la poule responsable de l'exploit.
Il présente sa poule au concours des gallinacés au Salon de l'Agriculture.
Chaque matin, sous les yeux ébahis des visiteurs, sa poule pond un oeuf cubique.
Le Ministère de l'Agriculture, Pêches et Chasse propose une jolie somme d'argent au fermier pour qu'il lui laisse cette poule extraordinaire.
Dès que la poule est sous le contrôle du Ministère, elle se remet à pondre des oeufs tout à fait normaux.
Les responsables du Ministère convoquent le fermier, demandant un remboursement, car ils croient qu'il s'agit d'une fraude.
Le fermier demande à sa poule:
- Ben alors, tu ne pond plus d'oeufs cubiques?
Et la poule répond:
- Crois-tu vraiment que je vais continuer à me casser le cul en quatre, maintenant que je suis devenue fonctionnaire!?
Comme quoi les galinacèes ont des dents.
Par Breitou (Breitou) le mardi 23 mars 2004 - 12h26: |
AU NOM DE TOUS LES MIENS
SHALLOM AAL KOL AAM ISRAEL
Texte déja passe.
‘QUE JE PARTE EN SACRIFICE ....! MON FILS…’
‘.......QOBARA ALLIK..... YA OULDI....’
Jeune célibataire, il était d’un tempérament très doux et surtout soumis à sa mère Fritnèqui elle par contre était d’un caractère impossible. Eric, 30 ans, vivait derrière son père et sa mère.
‘Lé mé tékhdèmech ma oubbouk.....mè tét ââssrouch....’
(Non....ne travailles pas avec ton père.....vous ne vous entendez pas...’
dit- elle un jour à son fils alors que le père Moumou sentant l’âge s’appesantir sur ses épaules émit le souhait de voir son fils l’aider dans sa grande épicerie. Passant par-dessus les simagrées de sa femme, le père engagea le fils à ses cotés. Deux ans plus tard…
Éric convola en justes noces. Les remarques désobligeantes et acerbes à la limite de l’indécence pleuvaient sur lui toutes les fois qu’il rendait visite à ses parents du genre......
-‘Ta femme ne vaut rien......elle est paresseuse... elle n’est pas venue m’aider pour d’écosser les petits pois... ! ..Pour le Shabbat...... !.tu ne peux pas lui dire de m’aider à faire les boulettes.... ?’
ou alors ……
- ‘Ahhh.....tu l’as emmenée à Sousse.....khir mèl méjèlli....’
(‘……………………mieux que ma chance…’)
Et vas -y …..
Eric écoutait.....s’énervait .......et s’en retournait chez lui vers sa femme, les yeux rougis par les larmes. Claudine, se rendait bien compte de l’état piteux de son mari.
-‘Ah.....tu a été voir ta mère........elle t’a fait un shampoing..... ?’
-‘Non....non....je t’ assure ....elle est gentille ma mère.....je suis un peu malade...’
Las.....fatigué.....Éric prétextait à chaque fois une excuse pour assouvir la curiosité de sa femme.....qui savait que son mari mentait.
A la naissance de son premier enfant ......Moumou, son père, décéda après trois mois.
-‘Kléh môkh....oubayék...’ ( il a bouffé la vie de ton père)
dira t’elle un jour à son fils alors que ce dernier lui rendait visite avec son fils Victor.
-‘ Comment se fait t’il que ce mois ci, tu m’as donné que 300 Dinars....’ ( 1500 frs)
- ‘Mais maman, les recettes ont baissé depuis que le Monoprix....’
-‘.....Depuis que ta femme ‘brille’ de haut en bas tu veux me dire....mais dis-moi-toi......qu’est ce que c’est ces vêtements qu’elle achète .... ?….moi à l’époque je reprisais tes chaussettes.... ‘
Une vie infernale.
L’épicerie d’Eric était au nom de la vieille grincheuse. En bon fils, il partageait correctement le surplus de bénéfice avec sa mère soupçonneuse et grande dépensière. Elle harcelait toujours son fils par des …
-‘Qôlli .....tu as acheté une voiture avec l’argent de ton défunt père.....pour ta femme .....la gaspilleuse..’
Las d’entendre de pareilles inepties, Eric claquait souvent la porte.....
-‘Ahhhh......wéyne méchine fèl saiéf hèdéééh...’ (Où allez vous cet étèééé..?)
-‘Il n’y a pas de ‘khlayà .....maman .....nous travaillons...’
(de vacances..)
Claudine mit au monde un second bébé....La mère dandinant la tête…
-‘Eye......méch tyâbik bèl sghar.... !’
-(‘Oui.....elle va te remplir de gosses.... !’)
Les malédictions pleuvaient de plus en plus virulentes au téléphone presque au quotidien....toutes les huit heures trente minutes et dix secondes…à mesure que la vieille acariâtre et frustrée, comme je ne vous le dis pas....prenait de l’âge.
-‘Tu as tué ton père .....tu m’as rendue malade....tu......tu......tu.....yâtick.....yâtick...’ (‘Qu’il t’arrive )
Éric écoutait toujours, la rage au cœur.....les malédictions sans fin de ’l’écorchée’ aigrie qui accusait l’univers du malheur de son veuvage....
Il alla, presque, comme il le fait tous les jours, rendre visite à sa mère.
-‘Ahhhh.....tu es venu me quereller....’
- ‘Non....maman....te rendre visite.....’
puis elle lui lança à la figure...
‘Vous êtes des voleurs.....’
Éric vit rouge. Ses nerfs, à fleur de peau et déjà mit à rudes épreuves, ‘court- circuitérent’ dans sa moelle épinière. Il sentit sa tête explosait. Son sang faillit jaillir des yeux, de sa bouche, de ses oreilles et de ses narines. Il se dirigea machinalement à la cuisine, ouvrit le tiroir aux couteaux et saisit une lame à la poignée de bois noir ......il porta des coups d’une violence inouïe sur sa mère...sur celle qui...des journées entières, des mois entiers ....des années de 365 jours sans interruption et cela pendant plus de 25 ans lui rabâchait, jusqu’à l’usure de son âme les même refrains, sans égard pour lui ni pour sa femme ... à n’en plus finir. Une vraie maman ‘teigne’. Il finit par l’égorger. Sa besogne terminée et tandis qu’il enjambait le corps convulsif de sa mère, toute ensanglantée.....il faillit glisser sur une flaque de sang....
Sa maman, voyant son fils déséquilibré, et dans un dernier sursaut de vie lui dit....
‘Mén yaiche alla ouldi.....kôbara âllik.....’
‘Que je ne vive pas après toi mon fils......que je parte en sacrifice...)
Cet épisode n’a jamais existé -que D.ieu nous préserve....seul l’attitude de sa maman était vraie.......c’était seulement pour vous dire que quelque soit la maman qu’on hérite......elle reste jusqu’à la fin de sa vie ...une maman d’amour même si elle débloque.
A bon entendeur salut.......
Par Albert (Albert) le mardi 23 mars 2004 - 12h09: |
Bonjour mes chers amis.
Par Albert (Albert) le lundi 22 mars 2004 - 22h59: |
Domage le son est mauvais.
Cest pas grave avec le temps, il s'amèlilera pour le TAALIL...A moins que celà soit mon ordinateur. QQ un peut t il me le dire???
Merci
Par Albert (Albert) le lundi 22 mars 2004 - 22h54: |
BIENTOT OPERATION....SCIATIQUE....
Par B.A.B.A.S
Breitou Albert Belebou Abraham Simèoni.
Par Albert (Albert) le lundi 22 mars 2004 - 22h26: |
Madame NONETTE…..
Ma chère Dame, c’est une habitude que je cultive
Une tradition, si je puis dire, que je respecte depuis deux ans.
Un péché mignon que je traîne et je m’en excuse,
Celui de composer, mes bienvenues, en vers sans encombre
A ceux qui posent leurs premiers pas au PTB des ombres.
Vous n’échappez donc pas à la bonne règle.
Voilà un petit poème tout en dédicace
Pour vous qui lisez toutes mes cocasses
Drôleries avec votre air de charmante espiègle ( c’est pour rime)
Nonette, votre pseudo se termine par fête.
Ici presque chaque soir, je me prends la tête.
A créer, inventer, selon mon inspiration
Des vers, proses, récits et narrations.
Non point pour vous épater en tournant ma roue de paon
Juste pour attirer votre attention mais plutôt
Pour vous donner l’envie d’écrire sans aucune prétention.
Albert
Par Albert (Albert) le lundi 22 mars 2004 - 21h48: |
ALBERT SIMEONI
L' ENFANT DE LA GOULETTE
PAR BEBERT.
Récit véridique. Paris 11/8/2003
Chapitre IV
Le nom des personnages de cette nouvelle ont été change. C'est avec l'autorisation d'un ami que je publie cette histoire qui appartient à sa famille et qu'il a bien voulu me confier. Avec beaucoup d'état d'âme.
Résumé des chapitres précédents.
1961. L'Algérie est indépendante.
La famille Kouki est réveillée en pleine nuite et expulsée, en 1964, manu-militari en Tunisie.
Abdessalem le père, homme d'affaire, délaissé de ses biens, pour des motifs inconnus, se remet de sa mésaventure dans son pays natal. Il remonte la pente. Mais, garde en lui des séquelles de la perte de ses biens. Sans doute déprimé, il s'en prend à ses enfants. Mohsen, son cadet se prédestine à un métier de sertisseur à Florence. Il rencontre une jeune juive américaine et une relation amoureuse s'en suit. Ils partent aux States. Le père milliardaire est PDG d'un grand holding.
Mohsen, abandonne les pierres précieuses pour le métier de Golden Boy. La relation Mohsen/Devorah ne tient pas le coup. Ils se séparent. Mohsen immigre à Hongkong. Il est nommé directeur d'une unité de confection de chaussures. Habile, il prend possession des rebuts de cuir de ses patrons italiens.
A l'insu de ses derniers, il concurrence ses patrons et ouvre sa première boutique sous l'enseigne Tornado's. Son affaire prospère. Il est repère par la maffia locale qui lui impose des sommes faramineuses pour la protection de son affaire. Il est menacé et se cloître chez lui. Son frère Mounir vint à la rescousse. Ils fuient à Paris en utilisant un stratagème. A Cologne, Mohsen, achète une BM. Il rentre à Tunis.
Une régularisation du visa annuel de sa voiture, l'oblige à traverser la frontière algérienne. Il est emprisonné pour acte de désertion. Un ancien général à la retraite, une vieille relation ancienne le tire d'affaire après huit mois de prison.
Simple parcours.
Amaigrit mais pas du tout abattu, notre héros remis de sa pénible incarcération, et sans se décourager pensait à reprendre du service. Après quelques semaines de remise en forme, il décida de retourner à Hongkong après 13 ans d'absence. Qui va se rappeler encore de lui se dit- il..?
On n'arrête pas l'histoire ni le destin d'un jeune homme qui n'a pas froid aux yeux.
Presque démuni, avec seulement 200 dollars que son frère lui avait remis, notre homme retrouva le chemin de l'hôtel à Hongkong.
Il réussit à trouver une place comme serveur dans une pizzeria.
Tout en servant avec zèle sa clientèle, il surprit une conversation entre deux italiens venus faire affaire dans cette grande ville. Mohsen, comme je l'ai dit, comprenait très bien la langue de la botte. Il interrompit les deux interlocuteurs, tout en se présentant, et leur fixèrent rendez-vous à la fin de son service. A toutes fins utiles.
Nos deux hommes tout heureux de trouver un compatriote parlant la même langue, se confièrent à notre ami. Ils étaient là pour projeter une ouverture d'une pizzeria. Petite au début. Notre Mohsen, grand connaisseur dans les affaires proposa donc son aide d'autant plus qu'il connaissait la place. Ce fut un succès. Les transalpins apportèrent les capitaux et Mohsen son savoir-faire dans une profession qu'il ignorait.
Son intelligence et son dynamisme étonnèrent les mangeurs de macaronis à la Bolonaise. Ils ouvrirent une seconde affaire, puis une troisième et prirent le risque d'ouvrir un laboratoire. Une vingtaine de pizzeria virent le jour. Plus tard.
Ici s'arrête la véritable histoire. Mohsen est gérant d'une grande pizzeria et il est rémunère en pourcentage sur le chiffre d'affaire. Jusqu'à aujourd'hui encore.
Ballout.
Un jour, qu'il passait devant la fabrique, il vit qu'une bonne partie, de farine travaillée, était jetée, il demanda à ses patrons, s'il pouvait récupérer, ce surplus. Il ramassa donc par benne toutes ces boules de pâte et ouvrit un atelier de confection de 'bombalonis', frites et beignets à l'huile en plein centre de Hongkong. Son affaire a eut un tel succès que les beignets, sfenj et autres makrouds signés FRITA'S AND KENDEL'S MOHSEN'S sont devenus célèbres à travers le monde entier….
Je remercie mon ami que je ne citerai pas de m'avoir relaté un morceau de son patrimoine. L'an dernier.
Mohsen El Ftairi, peut jouir de son enseigne, bidon. Aux amateurs.
Ce qu'ils sont devenus aujourd'hui. Vrai.
La maman des enfants est décédée.
Le père est toujours vivant mais seul.
Mounir est commerçant à Sousse. Marié avec deux enfants.
Mohsen est toujours à Hongkong. Célibataire.
Latifa, la sœur est divorcée avec deux enfants et vit toujours à Oslo.
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Par Maxiton (Maxiton) le lundi 22 mars 2004 - 15h50: |
" Mais sachez que l'abstinence serait mal vu par son Directeur. "
donc pas de bonite le 2 avril ??
Par Dansh (Dansh) le lundi 22 mars 2004 - 07h00: |
Une vidéo du Borgel, d'un nouveau documentaire israélo-américain "Taalil" :
http://www.winisp.net/dansh/files/trailers/tunis-borgel.mpg
Par Albert (Albert) le lundi 22 mars 2004 - 08h14: |
Opèration Bounite revue et corrigèe dans Accueil.