Archive jusqu'au 22/août/2006
Discus: Le Petit Théâtre de Breitou: Archives 2006:
Archive Aout 2006:
Archive jusqu'au 22/août/2006
Mon cher Lapid je ne saurai combien te remercier pour tes gentilles paroles.
Etre grands-parents est assumè pour le meilleur et le pire est une tache difficile.
RM
Le cagibi a vu son mur tombé Si y a aussi, que nous reste t'il ??? Personne ne fait attention au MOT SADE puisque tous ces propos non pas étè suivi à la lettre par le cabinet Olmert avant le déclenchement de ce qu'il appelle à présent une forfaiture gratuite. Pourvu que toutes ces innocentes victimes ne soient pas tombès pour rien, Tawfiq.
alors la biber si le cagibi (KGB)s'en mele on aura interet a se planquer,donc rancard au placard,car le temps risque de devenir mossad,avec la CIA (Copain Intime des arabes),un ver ca va mais trois bonjour les degas,et le FB, AIE!!!
Si tu ecrit oeuil comme cela je vais ecrire Cul sans C....
'...les reda- ctions de reda ,un cas bille d'acca-bit...! Dans un cas jibilles...! Y a pas de quoi se leurrer, ces deux là s'aiment et s'arment comme pas possible. Cas touchia et spitfire bientôt Lââziz.
Suivons les, TAWFIQ, la bataille risque de durer. A moins que la pluie ne s'en mêle.
Pourvu qu'il n'y est pas de bléssès.
les reda- ctions de reda ,un cas bille d'acca-bit
contre les detterents de dettere aux normes , des terres enormes.pour partie de catch a quatre,a la carte,invitons douda et nao avec lapid et david eden comme arbitres de touche.
bon en ce qui concerne les yeux et les dents,tendez l'autre oreille,on vous a l'oeuil!
J'ai vecu des moments forts,intenses, pénibles, harassants et aussi de joie, à un tel point que je ne sais plus rire. J'ai perdu mon rire. Il est devenu souvenir.
A celà je ne sais que répondre tellement le choc, P_Nina et vous mes amis, vit en moi.
Paris le 18 Août 2006.
Passe sur Adra et le PTB.
Lettre à ma petite fille Sharon.
Sharon, Ma chérie, Mon amour, Trésor,
Trop petite pour comprendre mais assez grande pour avoir compris une situation critique.
Celle de ton papa qui luttait contre la mort, durant 15 jours.
Tu liras certainement un jour cette missive que j’écris avec mes doigts tremblants.
L’effet, sans doute des médicaments, tranksen et lexomile ingurgités à bonne dose ; mes deux mamelles durant ces jours pénibles y sont pour quelque chose car la situation et les évènements qui ont suivi sa maladie imprévue, l’exigeait.
Ma chérie, mon amour,
Cette lettre, tu pourras la lire un jour, lorsque tu seras en age de lire et de comprendre.
Tu la trouveras dans mes archives ordonnées et classées ou alors dans les archives du site Harissa, si l’envie te prend d’aller faire un tour là où ton papy excelle dans le PTB.
Mon trésor, ma fleur adorée,
Durant ces 45 jours, ta maman enceinte de six mois et toi aviez occupé l’ancienne chambre de ta mère Doris, avant qu’elle n’épouse ton papa chéri. Nous avons ouvert pour la circonstance le ‘clic clac’ afin de partager ensemble cette ‘gzira’ ( tragédie).
Nous étions, nous tes grands-parents, surtout attentifs à tes gestes et à tes mots, essayant de te distraire alors que le cœur n’y était pas. Nous avons veillé des nuits entières, en cachette, ton sommeil souvent brisé par tes cauchemars. Tu te levais au milieu de la nuit pour hurler le nom de ton papa qui t’a cruellement manqué durant les premiers jours et les semaines qui ont suivi.
Nous pleurions ta mamy et moi en silence priant D ieu pour la guérison de ton beau papa.
Nous te consolions en te disant qu’il allait revenir une fois son bobo soigné.
Tu hurlais des ‘Aïe…Aïe..’ Comme si tu étais connectée par un lien invisible à ton Sam qui était alité dans le service de REA trois semaines durant.
Des ‘ ...Aïe.. !’ De douleur qui nous crevaient le tympan.
Nous étions par moment désespères ne sachant que faire devant pareille situation.
Mon amour,
Tu rechignais à manger malgré tous nos efforts et les caresses de ta maman qui te racontait tous les soirs des histoires et des contes qu’elle t’inventait à des heures indues de la nuit.
Nous écoutions dans nos lits, les chuchotements de ta maman qui t’entretenait aussi de la situation de ton papa en employant des mots simples souvent des métaphores que tu devinais.
Tes questions trouvaient toujours réponse à tes craintes allant jusqu’à dire un soir à ta maman
en lui caressant le visage ‘…Ne t’inquiètes pas maman… ! Tout va s’arranger…’ ! Et tu l’embrassais avant de t’endormir pour une heure ou deux, blottie contre elle.
Si petite mais si ‘hnina’ (affectueuse)
Moi, je te racontais l’histoire de ‘ Félix le chat et la souris Jerry’, encore un conte sorti de mon crû. Que de fois, tu me demandais de la répéter et moi je te la répétais, sans me lasser, avant que tu ailles rejoindre ta maman épuisée, ton doudou entre les mains et la sucette aux lèvres.
Mon trésor,
Il y a eu ensuite ce jour, cet après-midi, si beau, si inespéré où l’on nous annonçait que tu pouvais rendre visite à ton papa au bas du pavillon. Sa première sortie à l'air libre.
Ta maman t’habillait d’une petite jupe rose et d’un débardeur. Belle et bien coiffée, comme une jolie mariée allant à la rencontre de son fiancé, tu avais hâte de le rejoindre.
Une heure plus tard, nous abordions les parages de l’hôpital juste au moment où ton papa arrivait assis sur une chaise roulante ( il était très fatigué pour pouvoir marcher seul) poussé par son papa Paul. Nous t’avons soustrait à sa vue afin de ne pas te choquer.
Tu es descendue de voiture et main dans la main avec ta mamie Line, comme tu l’appelles, tu as vu ton papa assis sur le banc. Tu t’es blottie d’abord entre les bras de ta maman toisant ton père en blouse bleu et les mains gantées. Tu hésitais avant de l’embrasser, cela a prit une bonne demi-heure avant que tu ailles vers lui.
Ton papa a pensé que tu l’avais oubliée et il s’est mis à pleurer à chaudes larmes en cachant son visage.
Puis, comme mue par ton instant, tu as enfin consenti à t’asseoir près de lui et à lui caresser ses épaules avant de t’asseoir carrément sur ses genoux. Puis tu l’as embrassée en disant ‘... Papa.. ! Papa… !’
Nous étions à distance raisonnable et nous suivions la scène avec joie, le déroulement de cette première rencontre entre une petite fille et son papa retrouvée.
Les craintes de ton papa se sont vite dissipées et là il a compris que tu ne l’avais pas oubliée.
Ma chérie, ye omri,
Ce fut pour nous, la plus belle chose au monde que nous avons vécue.
La séparation, une heure plus tard, fut pénible. Tu disais ‘... Pourquoi papa ne rentre pas avec nous…. ?’ A cela, ta maman t’avait réconfortée en te disant qu’il devait d’abord dîner et ensuite rentrer à la maison. Tu ne paraissais pas très rassurée par notre mensonge.
Maman Doris, t’avais promis que tu reviendrais le voir les jours suivants ; Ce qui fut fait.
Ce soir là, tu avais dit à ta maman alors qu’elle te racontait une énième histoire
‘ J’ai perdu mon papa… !’ Nous étions abasourdis par ta phrase que nous n’avons pas comprise et encore aujourd’hui on se demande pourquoi tu l’as proférée.
Ma chérie, mon tendre amour,
Les jours suivants ne furent que du bonheur et pour une fois tu t’es trompée.
Ton papa...! Tu ne l’as pas perdu, haj vechallom, puisque tu l’as vue tous les jours, depuis 10 jours et ce vendredi soir passe, nous étions tous réunis avec tes autres grands- parents chez Babette, la tante de tes oncles.
Vous logez aujourd’hui, en attendant la remise complète de l’état de santé de ton pére SAM, bezra Achem, chez tes grands-parents paternels. Ensuite tu retrouveras ta chambre et tes jouets très prochainement avec ton papa.
Ma chérie, comme tu nous manques déjà.
Nous sommes cependant rassurés puisque nous te verrons comme d’habitude tous les jours après ta sortie de crèche.
Nous, qui t’aimons et te chérissons.
Papy Breitou, Mamie Line et Vicky.
LETTRE A MA PETITE FILLE SHARON.
Suivi plus tard par 'UN SHABATH PAS COMME LES AUTRES...!!!'
'...Il va falloir que tu prennes un atlas qui fait référence à l'histoire ancienne !!!
De Deutè...
Lui qui vient des Aures ouvrir l'Atlas ca va lui être difficile.
Pour le moment léger avantage Deutè, normal c'est un livre sacrè ouvert tous les jours de la semaine....Chiffer toura bel tech'fir..!
Avec commentaires.