Par Albert (Albert) le vendredi 09 avril 2004 - 09h21: |
Emile, je ne sais pas comment te dire.
Et je ne me chercherai pas des pretextes.
Tencheq meken mout amin ( Que la faucheuse t'oublie) Tu as raison, mais je ne t 'ai pas oubliè , ca jamais ourass baba.
Je t'attendais pour vendredi au télèphone.
Mou labech..? Raby myak. Envoie moi ton numèro de télèphone, ma femme a éffacè l'ancien tcroyant que tu étais une de mes maitresses..El yib...
Par Maxiton (Maxiton) le vendredi 09 avril 2004 - 01h22: |
Albert,
Je connais tres bien le Professeur en question
Kmisa alli si j'ose dire.
Excellent chirurgien, il a soigné quelques uns de mes patients. Et
toujours avec succès.
Tu es bien tombé.
Fais bien attention en te baissant, et ne porte rien de lourd à
bout de bras
Et pour toi ce sera gratuit ;)
Par Sibylle (Sibylle) le vendredi 09 avril 2004 - 01h04: |
Yatic triha ou darba ya Albert, la Betty va savoir ou elle est ? en vacance sur les vagues océaniques elle fait du surf la médame (avec accent SVP), la doukha c’est certain elle a dû la chopper, et la bichette mechkina croule sous la khédma qu’elle va finir zombie, pendant que toi, zéma tu nous la joue avec ton édentée,heureusement que je t’ai vue faire le beau sur la BD du théâtre. Au fait message de bichette pour toi « Albert tu n’avais qu’a pas t’amuser à faire éteindre les lumières pendant les slows, tu ne serais sûrement pas tombé sur toinette, comme on dit li habe él chébah ma ikol ahe.)
Par Albert (Albert) le vendredi 09 avril 2004 - 00h40: |
Tant que c'est en maillot de bain...!
Par Chantal (Chantal) le jeudi 08 avril 2004 - 23h14: |
29,999 Juifs Francais passent leurs vacances à Eilat. Il ne manque plus que la Douda pour faire un chiffre rond... Un scoop pour lui: "les employés de l'Agence juive sont descendus en maillot de bain, directement sur la plage, pour les traquer!" Il l'a échappé belle!
Par Albert (Albert) le jeudi 08 avril 2004 - 23h33: |
ANNIVERSAIRE DU PTB.....CONTINUATION....
J’ai passe le plus clair de mon temps
A aimer.
Quelque fois
Avec succès.
Mais souvent
Avec des ratés.
J’ai passe le plus clair de mon temps
A frimer.
Souvent devant des filles
A succès.
Et je me suis mis
A rêver.
A rêver à celle qui allait
M’emballer.
Mais voilà je suis tombé sur mon nez
Sur un navet
Qui ressemblait à un poireau
Mal lavé.
Je m’en suis contenté.
J’ai pas eu de chance
Elle s’appelait Toinette.
Ma zette.
Elle zézayait.
Une fille d’ la campagne
Ma compagne.
J’ai donc relevé le défi
De la vie.
Mes chers amis.
Obèse comme je ne le vous raconte pas
Elle fût l’élue de mon cœur, mon papa.
Quel malaise.
Mon cœur en a prit un coup
Et depuis il s’est presque tu.
Je l’ai supporté chaque soir
Dans le noir.
En plein jour, elle me donnait
Allez savoir
La nausée, ma Toinette.
Ma petite Bichette   
Ca fait trente ans que ça dure, cette vie
Entre quatre murs.
J’ai voulu, une idée saugrenue,
M’enfuir.
Elle me rattrapa
A Caliure.
A présent je fais le mort
Et je n’ai pas de remords.
Toinette, un malheureux matin
A baissé les bras
J’ai crains.
Elle est partie, quand même
Par un coup de forte chaleur
A Paris.Sans ventilo.
A un age avancé.
Alors que le mien reculait.
J’ai re-frimè à l’hospice
Devant des vieilles
Edentées qui font choir leurs
Dentiers quand elles me sourient.
Yatic doukha YE BETTY.
Par Albert (Albert) le jeudi 08 avril 2004 - 23h22: |
LA SUITE....
Sans notre présence ici, il y a bien longtemps qu’ils seraient atteints d’un métabolisme caractéristique primaire dû à une affection congénitale. Sans remède. Et c’est ce qui va se produire le jour où tous les juifs sortiront de ce paradis français.
Pour faire notre ALYA. Yè ményach.
Mon calcul distance /horaire était juste puisque, divisant le trajet avec ma vitesse, je tombais pile- poil au alentour de 14 heures.
J’arrive enfin tica tica en m’agrippant à tout ce qui pouvait être un rebord de fenêtre ou un reposoir providentiel ;
J’ouvre la porte de l’ascenseur juste au moment où trois personnes, soutenant une vieille dame dans un état lamentable, presque portée, en sortaient. Meskina.
J’ai eu mal au cœur, et j’avais une envie folle de leur donner un coup de main tellement la vieille faisait peine à voir mais me suis-je dis ‘Hènè yar ménnè.. !’ Qu’est ce que je vais aider… ?’ (Je suis pire qu’elle) . Je suivais du regard cette pauvre dame que les hommes à bras posaient dans un fauteuil roulant. Elle n’était pas handicapée. Seulement ‘Sciatiquisèe’.
Je m’engouffrais dans la cabine de luxe.
Les quatre étages sont avalés. Je tiens mon bassin car les vibrations de la montée ascensionnelle déclanchaient en moi, des maux difficiles à contenir.
Enfin, j’arrive et sonne à la porte. J’attends quelques instants alors qu’il fallait faire deux choses à la fois ; sonner et rentrer.
La secrétaire m’ouvre la porte. Et m’ordonne de me reposer. Je reste debout, cette position verticale me soulage tant soit peu.
Je jette un coup d’œil et je suis émerveillé par le décor, par la richesse du cabinet. Un décor qui me renvoie à la galerie de Glaces du Château de Versailles. Khemche ou khmich.
Des portraits de rabbins étaient accrochés dans le vestibule.
J’ai cru un moment m’être trompé d’endroit tant tout est splendeur et beauté. Des lustres et des tableaux de maîtres accrochés aux murs m’invitaient à la réflexion. Suis-je vraiment tombé dans le bon cabinet ou alors dans un palais…. ? Je fus pris par le doute et me suis demandé si je ne devais pas retourner sur mes pas. Quand la voix de la secrétaire m’interpella.
‘…Monsieur Siméoni…Le professeur vous attend…. !’
Je suivais la bonne dame avec difficulté. Elle m’invita à entrer et je fis connaissance avec le cabinet du professeur ‘ MARRA MTA OULIDETNE… ! ( Je souhaite ça à nos enfants).
Un homme bien simple m’accueille avec le sourire par derrière son bureau. Et quel bureau … ! Même Chichi n’en a pas un comme celui là. Il se leva me serra la main et m’invita là aussi à m’asseoir. Poser mon jean sur ce fauteuil de style LOUIX XVI me donner le vertige.
Une assise comme celle là je l’aurai payé à prix d’argent. Je n’avais pas d’or sur moi.
Il consulta sa fiche puis leva les yeux vers moi alors que les miens se baladaient entre les ors des rideaux et grandeur de l’endroit……Il m’ausculta et arriva à la même conclusion que mon médecin D ieu merci, j’étais atteint d’une sciatique fort aigue nécessitant des infiltrations lombaires.
Pour la première fois de ma vie, mon beau bassin allait être piqué et, joignant le geste à la parole, il sortit d’une verrière une seringue et une pilule.
Pour un coup de maître, s’en fût un, il m’infiltra le liquide avec une telle dextérité que je restais, debout, le pantalon toujours à terre, à attendre l’injection. Je n’avais rien senti.
Avec politesse, il me dit de me rhabiller.
Arrive le moment du paiement et comme je n’avais aucune notion du prix, je tirais 50 francs. Que je posais poliment sur la table au dessus de glace.
A sa grande surprise, il ne dit mot. Et moi, je me levais pour partir. Puis sentant un doute dans son regard….
‘..Je vous dois combien, Professeur… ?’
‘..Mais, je ne vous ais pas fais de feuille de soin, je dois vous en faire une… !’
‘..Mais je n’en ai pas besoin…. !’ ..Mais pourquoi faire cette feuille… ?’
Il se mit à établir la feuille et là mon regard tomba sur le chiffre inscrit en bas …
‘..500 frs.. !’
‘..Chnouè 500…’ Dis je inconsciemment à haute voix… ?’
La sueur fit son apparition et un début de bégaiement nerveux et intempestif inonda ma voix…
Je me laissais tomber comme une masse sur le fauteuil. J’oubliais ma douleur et commençait à réfléchir sur la nouvelle ; la note. 500 frs pour une misérable piqûre.. ?
Mme Spiteri m’aurait pris même pas 500 millimes 1965. Chnouè echtèma el ghlè ehdè kellou ( Mais pourquoi si chère.. ?)
Il comprit ma seconde douleur ; je n’avais pas assez de fric.
Comment allais-je faire pour sortir d’une pareille situation dramatique.
Mes yeux s’embrouillèrent et je commençais à haleter. Il devina mon état désarroi.
Il me regarda mais avant qu’il n’émette un son, je répliquais…
‘…Vous savez je viens de la Goulette, je suis connu là bas, cela fais un mois que je suis ici avec ma famille et j’ai pas assez d’argent… ! Je croyais que les consultations étaient comme chez le Docteur Berrebi …5 Dinars… !’
Il me regarda puis me dit…
‘..Vous êtes Tunisien… !’
‘..Juif….. !’ En adoucissant ma voix fanée et douloureuse, dis-je dans le but avoué de faire baisser sa prétention ….Entre gens de même communauté me suis-je dis , en mon for intérieur, peut être qu’il aura pitié de ma situation ‘ de pauvre immigrant sans papier’ et qu’il reverrait son dû..
‘..Je suis de Tunis… !’ Me dit t’il.
Je respirais enfin l’air chauffé de son salon, poussant un ouf de soulagement. Un tunisois, un confrère. En plus.
Je pris de l’assurance et la sueur sécha nette sur mon front laissant cependant une goutte suspendue, comme une stalagmite, sur le bord de ma paupière.
Et là, nous avons échangé des souvenirs d’autrefois.
Puis, il ajouta avec gentillesse…..
‘..Ici en France les honoraires sont chers, pouvez vous m’ajouter quelque chose à vos 50 Frs… ?’
Quelque chose… ? Oullet zdaka lahkèyè … ! ( Une obole)
Je tirais avec précipitation, de ma poche, encore 30 frs….
‘..Voilà c’est tout ce que j’ai mais……. ‘…Ourass Chiffer Toura …. !
Et là, il piqua une de ces crises de rire que je ne vous raconte pas….Nous sommes au 16 ième, dans le bureau de LOUIS XVI, et invoquer le Seffer Tora dans cet arrondissement équivaut à faire circuler une charrette de guergeb ( figues de barbarie) sous L’ARC DE TRIOMPHE , tirée par un Breitou en short et manches relevés. GUERGUEB HARA BDOUROU…
Puis il me dit …
‘…Ecoutez, cher ami, passez chez ma secrétaire, elle va vous inscrire pour la semaine prochaine …Pour une nouvelle infiltration…. ! Vous pouvez revenir…. ! ‘
Et là, je le regardais dans le fond des yeux pour lui dire…..
‘….Docteur, vous savez, je suis un homme de parole, la semaine prochaine je vous rapporte le reste… ! Merci… !’
Je pris congé de lui, bien soulagé.
Ce professeur Charles………..vaque à ses occupations encore à Paris dans un autre quartier aussi huppé de la capitale. Lors d’un mariage d’un de mes beaux frères, j’ai eu le plaisir de le croiser et il m’a reconnu. Nous avons relaté cet incident et il m’avoua qu’il en avait bien ri avec les siens. Il m’a effectivement repris pendant 4 séances. Au prix de 500 frs. Bien sur.
En sortant par le vestibule, j’ai vu un de ces rabbins en cadre accroché, me faire un clin d'oeil.
Fin.MERCI.
Par Albert (Albert) le jeudi 08 avril 2004 - 23h18: |
Belli yain ara.
Par Albert (Albert) le jeudi 08 avril 2004 - 23h10: |
Il y a quelque chose qui change
Lorsque l'enfant paraît !
Tout semble moins dense
Par la naissance du bébé.
Après avoir fait la fête.
Je vais me prendre la tête.
Boire et danser sans retenue
Assouvir ma joie avec chahut.
Plus tard j’attendrais l’instant
Où dans les bras de ses parents
Dans notre foyer, à tout moment
Ils rentreront avec leur enfant
Notre Sharon.
Lorsque nous irons dans leur foyer
Sans' bonjourner', ni 'bonsoirer'
Vers son berceau, l'adorée, la bien aimée.
Nous nous pencherons.
Pour la chouchouter
L'embrasser
La prendre dans nos bras, la chérir cette vie
Tout en la regardant dans les yeux, à l'infini.
Lorsque l’Enfant parait.
ALBERT
Tout en Vers.
Chaque soir vous aurez un poème en vers libres.
Par Albert (Albert) le jeudi 08 avril 2004 - 22h32: |
Quand le chat n est pas là, les souris dansent.
El bey i tcheb fi ghyèbou..
Le bey s 'insulte pendant son abscence.
Par Albert (Albert) le jeudi 08 avril 2004 - 22h30: |
LES AMIS LA DOUDA EST EN VACANCES...ALLEZ Y DITES TOUT CE QUI VOUS ¨PASSE SUR LE COEUR...
YE LA DOUDA YE BLID..YE RKIK ..YE METBAK..( LOURD) YE MARD....YELLI DJIB ELL GHASSRA AVEC TES PERLES...( Tu apportes l'angoisse avec tes perles) YE HALLOUZ....MAIS DEPUIS QUE TU ES EN VACANCES JE ME SENS SEUL....TU ME MANQUES YE HLOU....TU ES LE MEILLEUR MEME AVEC TON MINOU...BON ON T ATTENDS YE BABOUSS...
DANS QQ INSTANTS LA SUITE DE OPERATION....BOU...SIATIQUE....
Par Lalla (Lalla) le jeudi 08 avril 2004 - 18h52: |
nous en bavons d'envie,sacre tenteur!!
et ce chat superbe...y en a qui savent se la couler douce...