Archive jusqu'au 13/septembre/2006

Discus: Le Petit Théâtre de Breitou: Archives 2006: Archive Septembre 2006: Archive jusqu'au 13/septembre/2006
Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Meyer (Meyer) le mercredi 13 septembre 2006 - 01h34:

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Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par P_Nina (P_Nina) le mercredi 13 septembre 2006 - 00h53:

Biber Fils,

Esto son los amigos ! Hombre ! Ijo mio !

Con mucho abrazos !

c:/


Pnina

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le mardi 12 septembre 2006 - 20h53:

la suite demain.


POUR CEUX QUI RENTRENT DANS LE PTB A CETTE HEURE LA...SE REPORTER AU DEBUT 19 HEURES 02...Mr_GERMAIN...


Buena noches amigos.

Alberto.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Breitou (Breitou) le mardi 12 septembre 2006 - 20h49:

N° 10.


Senior Ramirez Guez , un cousin de Pablo est là. Il va leur servir de guide pendant tout le restant du voyage.

Ils rentrent dans Maracaibo.
1499 l'année précédente, Christophe Colomb avait débarqué à la hauteur du delta de l'Orénoque. Amerigo Vespucci, Alonso de Ojeda et Juan de La Cosa remontent le littoral v. l'Ouest. Aux abords du lac de Maracaibo, ils rencontrent une agglomération de maisons sur pilotis, reliées par des réseaux de passerelles ; cette vision évoque pour eux Venise et ils baptisent le Golfe du nom de « Petite Venise », qui deviendra Venezuela. 1559 fondation d'une 1ère cité par Alonso Pacheco que les Indiens prennent et incendient. Rebâtie par Pedro Maldonado, baptisée Nueva Zamora de la Laguna de Maracaibo. 1683 la fin de la Guerre (victorieuse) de l'Indépendance se joue à Maracaibo (vocable adopté v. 1770) au cours d'une bataille où les troupes de l'amiral républicain Padilla mettent à genoux le général espagnol Moralès. XVII°/XVIII° s. Maracaibo, isolée au bord de son lac, noue des échanges commerciaux avec les Indes néerlandaises : prospérité et influence hollandaise dans l'architecture. 1920 la ville ne subit que le contrecoup lointain des évènements politiques et somnole au bord de son lac. Un modeste gisement de pétrole était exploité depuis 1914 sur la rive E. du lac. Le 28 déc. 1920, l'un des puits (N° 2) explose et produit d'entrée 100 000 barils. Les exportations en régulière augmentation passent de 100 000 barils/jour à + de 20 millions) ds les années 1930. Entre les 2 guerres, le Venezuela est le 2ème producteur de pétrole après les USA. La production actuelle se stabilise à 7 millions barils/jour. Aujourd'hui la petite cité provinciale assoupie de 1920 (75 000 habs) est devenue la 2ème ville du pays avec 1 854 300 habs. L'État de Zulia qui entoure le lac de Maracaibo (le + grd lac salé d'Amérique latine), se définit, avec Maracaibo comme capitale, « la Force du Venezuela » car il cumule avec le pactole pétrolier une importante industrie lourde et une riche agriculture des bords du lac. Les Maracuchos, réputés paresseux et machos, sont conviviaux, accueillants et bavards avec les visiteurs. Mais la prospérité n'est pas pour tous : 80 % de la population vit dans la pauvreté, dont une moitié dans la misère.

Ils traversent la ville. En land rover.
Senor Ramirez Guez , le cousin, fort de ses relations dans cette ville, joint par téléphone un oncle Senor Da Silva, un riche propriétaire terrien.
Il lui apprend qu’un ‘straniero franssais’ s’est bien installé à 15 kms de Maracaibo et qu’il a acheté une ‘concezione’ de pétrole. LA MAYER OIL COMPAGNIE.
‘…Enfin, D ieu soit loué Pablo, nos efforts ne sont pas restés vains… ! Nous allons demander des comptes à ce goujat et à sa femme… !’
‘…Ecoute Senor Breitou, si tou vé, je pé te donné des hommes de main, de la casa Nastra.. !’
‘…Des bandits…. ?’
‘…No, des hommes dé bien qui manie la gâchette… ! Pour trois dollars, ils toueré leur madre.. !’
‘…Non… ! Non… ! Pas de cela… ! Meyer, malgré toute sa perversité est un homme bon, de bien, honnête… !’
‘…Oneste ??? Ma il a escroqué Albert et tout di de bien…. ?’
‘…Nous verrons, si tout se CORSE, alors là, nous utiliserons la FORCE… DU VERBE.. !
C’est du BLINDE…. !’
‘…C’est une arme ca…. ? Ici on ne la conné pas… ! Où tou l’achéte la FORCE DU VERBE BLINDEE… ?
‘…A Clignancourt… !’
‘…Ici même l’armée, il ni en pas.. !’
‘…Ok, mais cela coûte cher, je suis le représentant de cette firme… !’
‘…Combien… ?’
‘…1000 Dollars la pièce emballée, … !’
‘…Tiens, je te péye content… ! Voilà 100 000 Dollars, pas dé ressu, tout au noir… !’
‘…Ca tombe bien, je travaille au noir… !’
‘…Tou mé le livre cuanto… ?’
‘…Dés que j’aurais termine avec ce goujat… ! Je clos cette affaire et je te les expédie par le bateau ‘TMENIQ… !’’
‘…Ecoute si te ve plous dis le moi…. !’
‘…Ajoute moi encore 100 000 Dollars et tu auras Deux Forces du VERBE en prime… !’
‘…Tiens, voilà plous, pour le cadeau… ! Ti é oun brave type, la révoluzione n’attend pas chez nous, il nous casse les pompes lé CHAT NEZ… !’
Breitou conclut l’affaire sous l’œil intrigué de Pablo qui lui chuchote à son oreille, tout en empochant le fric.
‘…Ma dépuis quand tou é dans les armes toi ???
‘…Depouis ché je souis ici… !
‘…Tou ne l’a pas arnaqué mon cousin…. ?’
‘…Jamais, c’est du BLINDE… !’
‘…Aaaaah des BLINDES… ! .La Force Du Verbe… ! Vous les francèss vraiment vous êtes en avance sour votre temps… !’
‘…Même trop en avance Pablo… !’

A suivre..

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Breitou (Breitou) le mardi 12 septembre 2006 - 20h44:

N° 9

Je délègue Breitou pour la bonne raison que je devais m’occuper du PTB.
Breitou accepte la mission et sans perdre de temps, il téléphone à un ami mexicain du nom de Pablo, un vieil ami qu’il a connu là bas, il y a 35 ans.
Ce Pablo, tout heureux d’entendre la voix de Breitou consent à l’aider.
Sans rechigner.
Breitou décide de s’envoler pour KARAKA.S. Sans perdre de temps.

Deux jours plus tard, Breitou s’envole par le vol 768 VZE. Son ami l’attend avec sa Land Rover. Les deux tombent dans les bras.
Ils vont loger dans un motel, à la périphérie de la capitale, à San Nicola del Piéta.
Entre temps, et grâce aux relations de Pablo, ce dernier apprend que le Meyer est installé à Maracaibo. La région de l’or noir.

Le lendemain matin. Nos deux amis prennent la route pour cette ville.
Trois heures plus tard, ils arrivent à Valencia aux portes des grandes montagnes.
Ils décident de camper et au petit matin, ils prennent la route pour Barquisemeto.
Ce n’est que deux jours plus tard, après moult arrêts qu’ils sont en vue de la ville de Alta GRACIA.
Ils traversent trois heures plus tard le pont qui enjambe le LAC MARACAIBO

 carte du Vénezuela

Source Google.

qui relie cette ville à sa pointe nord à celle de Maracaibo, distante seulement de qqs kilomètres
Une demi- heures plus tard, ils sont de l’autre côté.

( La description est imaginaire.)

A suivre.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Breitou (Breitou) le mardi 12 septembre 2006 - 20h30:

N° 8.

Ma banque n’a jamais voulu annuler cette dernière prétextant du fait qu’après enquête, il s’avère que j’étais, selon leurs dires, de connivence, donc responsable de ce qui m’arrivait.

Tu t’imagines, cela l’arrangeait bien à cause des frais énormes qu’elle prélevait toutes les fois que l’escroc payait alors que je n’utilisais ma CB que pour des menus frais. Et là tout d’un coup des sommes importantes sont prélevées. Une véritable manne pour mon agence.
Bref, quelques jours plus tard, exactement deux mois plus tard, l’inspecteur Boulakia m’apprend que le spécimen escroc a filé à l’anglaise. AU VENEZUELA.

Bref, pressentant le pire, l’inspecteur confirme son information.
Il me rapporte qu’après avoir fait escale à RIO DE JANEIRO, Meyer et son acolyte ont séjourné 24 heures dans cette grande ville, dans un hôtel du nom de MARA P_Nina, face mer.
Puis, il embarque pour dans un avion, le vol 1267 VZE pour la capitale, KARAKA.S.
Mon sang tourne mille fois. Le Boulak me rassure en me disant qu’il va lancer un mandat d’extradition dans les heures qui suivent.
J’attends les heures qui suivent et bien sur, elles passent devant moi mais je ne vois rien arriver. Je rappelle le Boulak une semaine plus tard et là, il m’informe que les autorités du pays d’accueil demande un tas de documents. Ce qui prendrait des mois.
Au bout du compte las et fatigué, je prends les choses en main.

A suivre…

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Breitou (Breitou) le mardi 12 septembre 2006 - 20h20:

N° 7

Retour en arrière.

( Tous les acteurs cités dans ce film sont imaginaires et ne peuvent prétendre à aucun dédommagement tant il vrai que leur moralité jusqu’à présent est aussi vierge que je le suis.
Il n’y a aucun doute la dessus pas même en dessous. Cette narration écrite en 2006 est frappée du sceau de la prescription. Les acteurs, à cette époque avaient pour le plupart d’entre eux entre 23 et 26 ans sauf Mamili qui en avait 27 ans, mais elle, elle peut toujours courir pour que je la rajeunisse. Meyer était marié, il avait 25 ans. Arlette lui avait mis le grappin dessus au vu de sa grande instruction.)

Paris le 10 juillet 2006.

Albert au téléphone.

‘…Oui Meyer, je veux bien, cela fera plaisir à ma petite- fille. Je te donne tout de suite le numéro de ma CB…. !’
‘…Non, je préfère que tu le fasses toi même Albert… !’
‘…Mais enfin, tu ne vas quand même pas m’arnaquer Meyer…. ! J’ai confiance en toi… !’

Je lui donne mon numéro sur - le-champ.
Il me rassure que le coffret de dessins animés me sera livré dans les cinq jours francs, le menteur. Deux semaines passent et rien n’arrive. J’essaye de le joindre par téléphone. Personne ne répond. J’étais si préoccupé par l’état de santé de ton père, que j’oubliais la commande. Je rappelle un mois plus tard et toujours pas de réponse. J’apprends par certaines sources qu’il est en Israël. Je découvre aussi sur mon relevé bancaire des prélèvements de sommes assez importantes.
Là, je commence à m’inquiéter. Je rappelle et toujours rien.

Pris de panique, je rappelle deux semaines plus tard et là je tombe sur une dame avec un fort mauvais accent français, très accentué, une arabe qui dit se prénommer Messaouda. ( Yatic Ouda, ye la Douda)

Au réalité sa femme Arlette qui maquille sa voix pour ne pas être reconnue. Elle dit être là, fraîchement débarquée et que les anciens locataires sont partis.
Son mari Hamdoun prend la relève pour défendre sa femme.

Je devine cependant la voix de l’escroc, Meyer. Devant tant de mauvaise foi je raccroche. J’utilise par la suite un stratagème. Une heure plus tard, je rappelle en me faisant passer pour l’inspecteur Boulakia. Et là comme par magie, c’est sa femme Arlette qui me répond, par la suite puis le Meyer qui vient à la rescousse et me raconte n’importe quoi pour esquiver le fond du problème. Se sachant coincé, il décide de partir le lendemain matin avec sa femme au Venezuela pour échapper à la justice car j’avais déposé plainte pour détournement de numéro de …… 4978 5667 8935 3121

A suivre.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le mardi 12 septembre 2006 - 20h14:

REPRISE DU FILM



Dario.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le mardi 12 septembre 2006 - 20h12:

Tu es sense être au Vénèzuela et là tu prends la place de Poupèe l'ouvreuse...? Tu lui vole son pain en plus...!

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Meyer (Meyer) le mardi 12 septembre 2006 - 19h42:

Kakis, frigolos, bambalonis, glibettes, caramels, gaufrettes ...

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le mardi 12 septembre 2006 - 19h42:

POUR CEUX QUI RENTRENT MAINTENANT POUR VISIONNER LE FILM

'..LES PETROLEURS....'

A COMMENCE A 19 HEURES 02...

Il n'y aura pas de séance de rattrapage.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le mardi 12 septembre 2006 - 19h41:

PLEIADE...Milles excuses.