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Archive jusqu'au 13/septembre/2006

Discus: Le Petit Théâtre de Breitou: Archives 2006: Archive Septembre 2006: Archive jusqu'au 13/septembre/2006

Par Breitou (Breitou) le mercredi 13 septembre 2006 - 22h26:

N° 13.

L’ambiance dans la salle invite à la boisson.

Nos trois amis, sous l’effet de l’alcool se laissent aller à des confidences. La commande arrive. Ils mangent tout en fumant et buvant lorsque soudain, là, à quelques mètres d’eux, dans une autre table, Breitou risque de s’étouffer.
Il vient d’apercevoir la Douda en compagnie d’une charmante demoiselle. Il veut se lever pour aller à sa rencontre mais Pablo le retient…
‘…Qu’est ce tou a… ?’
‘…Lui, c’est la Douda, mais qu’est ce qu’il fait là ???’
‘…Attend, ne te précipite pas, il vaut mé lé suivre après le dîner… ! Il se pourrait qu’il trabalio pour le compte de ton escroc… !’
‘…Tu as raison, Pablo, pourvu qu’il ne me reconnaisse pas… !’
‘…Tiens, pose sé sombrero sour ta tête, comme cela, il pourra pas té reconnaître… !’
‘…Le goujat… ! Ah le goujat… ! ll fricote avec lui… !’
Breitou ne perd pas de vue notre homme habillé en costume blanc et nœud de papillon rouge. Il semble être à l’aise.
Deux heures du matin. La Douda et sa compagne se décident à se lever.
Nos trois hommes règlent l’addition et ont font de même. Ils les suivent.
La Douda et la jeune fille montent dans une belle voiture, une chevrolet.
Ramirez démarre et sans se faire remarquer suit la belle voiture.
‘…Ah, le salaud, il travaille pour lui, j’en suis sûr… !’
‘…Soit patient… ! Tiens, il tourne à gauche… !’

A suivre.

Par Breitou (Breitou) le mercredi 13 septembre 2006 - 22h10:

N° 12

Ils garent la voiture à proximité d’un cabaret. Il y a foule. Ils descendent et passent sans encombre la porte du lieu de plaisir. Leurs yeux s’habituent à la pénombre et là ils découvrent une grande piste sur laquelle deux streap- teaseuses se déhanchent se caressant le bas du ventre avec une barre verticale, sous les regards ravis d’une clientèle agglutinée aux abords de la piste. L’air est pollué par l’odeur des cigares. De longs filets de fumée stagnent au-dessus des têtes. Sur le côté de la grande salle, à droite de la piste de danse, des belles filles aguichantes palabrent avec des clients accoudés au bar tout en suivant les circonvallations des professionnelles du spectacle. Un verre de whisky à la main.

Nos trois amis sont invités à s’asseoir. Pas très loin de la piste de danse. Une belles hôtesse vient leur présenter le menu.

Le cousin Guez.
‘…Madre des Dio… ! Qé il mé pardonne… ! Tou a vu le cul que a … ?’

‘…Rami Guez Oil, enfin tou a huit muchachos é tou t’emballe pou un coul comme celoui là ???’
‘…Mà ma femme ca fé longtemps quel ne me fé plou dé noumèro comé celoui là … !’

‘…Elle vous faisait des numéros de streap votre femme, Monsieur Ramirez… ?’

‘…Avant ouai, ma depoui ché je lé trompè, elle né fè plou rien… !’

A suivre..

Par Albert (Albert) le mercredi 13 septembre 2006 - 22h08:

Quel cible pour la balle du pistolet si elle part, fouq kraz'zou.

Par Albert (Albert) le mercredi 13 septembre 2006 - 22h06:

AHAHAHAHA..Zouz khab behdeem...
Elles tricottent.

Par Breitou (Breitou) le mercredi 13 septembre 2006 - 22h04:

N° 11.

Ils se décident à démarrer.
Ils prennent la grande avenue DELLA LIBERTADE, roulent jusqu’à la fin de l’avenue longue de deux kilomètres. Puis, ils tombent sur un grand panonceaux…’ CHANTIERE DEL PETROLE DE MARACAIBO… !’
Ils sortent de la ville et à quelques centaines de mètres, ils aperçoivent d’immenses derricks qui s’élèvent vers le ciel comme des tours Effel.

La ville de l’or noir s’étend à des miles sous leurs yeux.
Ils arrivent devant une grande porte. Un sentinelle en arme sort de sa guérite. Ramirez Guez descend de la voiture. Il parlemente quelques instants et deux minutes plus tard remonte dans la voiture tout terrain. La grande porte s’ouvre comme par magie.
‘..Jé lé soudoyè avec la force d’un verbe blindé.. !’
Ils franchissent le grand portail qui donne accès aux gisements. Des pancartes avertissent les visiteurs de ne pas fumer ‘NO FUMARE’. En anglais et en espagnol.
Des bâtiments modernes, des siéges de société défilent devant leur yeux, La Jaco Oil, Lalla Oil, Mabrouk Oil, Zebilon Oil, Maboulette Oil, Shira Oil, Sibylle Oil Hajkloufette Oil, Mena Oil… etc…Tous des juifs en oil. Ils se renseignent auprès de quelques employés en bleu de travail. Mais en vain, ils ne connaissent pas la MAYER OIL COMPAGNIE ESCROC. Ils tournent en rond. La nuit commence à tomber.
A suivre…

Par Mr_Germain (Mr_Germain) le mercredi 13 septembre 2006 - 21h57:

LES PETROLEURS

Seconde partie bande de voleurs à la tire de CB.

Par Mr_Germain (Mr_Germain) le mercredi 13 septembre 2006 - 21h54:

Résumé.

Meyer et sa complice Arlette sa femme, se sont installés au Venezuela.
Après avoir escroqué Albert à la CB.

Il a acheté un gisement pétrolifère La Mayer Compagnie Oil.

Albert dépêche sur les lieux à Maracaibo Breitou, son homme de confiance qui profitede l'occasion pour joindre l'utile à l'agrèable, faire affaire avec un certain Ramirez Guez, un cousin à Pablo venu l’aider dans sa tâche. Plusieurs milliers de dollars pour l’achat DE FORCE DU VERBE EN BLINDE. zebi.

Breitou et ses deux compagnons sont entrés en ville à la recherche du siége de la Compagnie du voleur….

Mesdames, Mesdemoiselles, Messieurs,

La suite des ‘…Pétroleurs.. !’

Se reporter à la première partie du film passe hier vers les 19 heures…

Merci.

Par Breitou (Breitou) le mercredi 13 septembre 2006 - 21h27:

'...A qui serve la revoluzione????

Breitounez.

Par P_Nina (P_Nina) le mercredi 13 septembre 2006 - 15h24:

Par Toufiq (Toufiq) le mercredi 13 septembre 2006 - 16h20:

senor biber! aqui estamos buscando los barbudos a moelle.
porque (pic) todos estan haciendo (re mi fa sol)
la siesta con su mujeres sin usar el pequeno chino.

Par P_Nina (P_Nina) le mercredi 13 septembre 2006 - 10h41:

Biber Fils !

Ti cherchir pitroul et ti trouver revolution !

Par Albert (Albert) le mercredi 13 septembre 2006 - 08h39:

Tawfiq é suoi Guerilleros P_Nina...!