Par Bekhor (Bekhor) le mercredi 21 avril 2004 - 00h58: |
quelques blagues pour le PTB.
Je n'en suis pas l'auteur mais le rapporteur.
On dit que le premier ministre des finances en Israël était un homme pieux. La kippa (calotte) ne quittait pas sa tête. Il l'arborait même quand il signait les premiers billets de banque. A l'ami qui s'en étonnait, le ministre aurait répondu "c'est là leur seule couverture"...
Anglais et Israéliens : La côte israélienne est très accidentée.
L'instructeur anglais :
- Vous connaissez vraiment tous les écueils, tous les récifs !!!
L'Israélien :
- Tous...
A peine celui-ci a le gouvernail en main, on entend un immense fracas...L'Israélien sûr de lui, apostrophe l'Anglais sur un ton enjoué et lui dit : " vous voyez, ça c'était le premier..."
Une démission attendue : Un Israélien est de passage en France, quand Maurice Schuman démissionne de son poste de ministre des affaires étrangères. Relativement hostile à Israël, sa décision est accueillie avec satisfaction et soulagement dans ce pays. L'Israélien téléphone tous les quarts d'heure à la secrétaire du ministère des Affaires étrangères et demande à parler au ministre, il reçoit invariablement la même réponse, "le ministre a démissionné". Quand la secrétaire s'aperçoit que c'est toujours le même correspondant qui est au bout du fil, elle finit par lui en faire la remarque en précisant qu 'elle ne peut lui donner que cette même et seule réponse. L'Israélien lrétorque : "Mademoiselle, je vous présente toutes mes excuses. J'étais tellement heureux de vous l'entendre dire, que je ne m'en suis pas lassé..."
Le soldat inconnu : des touristes américains voient sur un monument commàmoratif l'inscription suivante : "Ici repose Julien Shlomowitz, le soldat inconnu". Intrigués, ils se renseignent auprès de leur guide, et comme celui-ci est incapable de leur donner une réponse satisfaisante, ils s'adressent directement à un responsable du gouvernement pour connaître le fin mot de cette énigme. On leur répond que c'est très facile à comprendre : Julien Shlomowitz était connu à Tel Aviv comme tailleur mais pas du tout comme soldat.
Fraude : Quand Jonas est parti de Russie pour aller vivre en Israël, le douanier en le contrôlant a découvert avec étonnement, dans ses bagages, un buste de Staline très lourd, entièrement peint en rouge. "Certes, dit Jonas au douanier, j'ai souffert sous Staline, cependant j'ai appris tant de choses importantes pour la vie, sous sa houlette, qu'il me tient à coeur de l'honorer même une fois arrivé en Israël."
Au douanier israélien éberlué lui aussi, il dit qu'il se sentira soulagé en pouvant chaque matin, en se levant, cracher à la figure de ce tyran et ainsi exprimer toute sa haine et sa rancune..
Arrivé à destination, le responsable du Kiboutz le traite de fou en soupesant le buste. Jonas lui rétorque : "pas aussi fou que cela, gratte un peu ce vernis rouge et tu découvriras, convertis en or, les biens que j'ai amassés à la sueur de mon front."
A l'époque du communisme en URSS, les premiers immigrants juifs viennent en Israël. Les journalistes les assaillent de questions :
- Comment se passe la vie culturelle en Russie ?
- On ne peut pas se plaindre...
- Comment est le ravitaillement ?
- On ne peut pas se plaindre...
- Et enfin parlez nous de la situation politique
- On ne peut pas se plaindre...
- Alors pour quelle raison avez-vous quitté votre pays ?
- C'est simple, ici on peut se plaindre.
Dans l'autobus en Israël une mère juive parle en yiddish avec son enfant. L'enfant répond en hébreu. La mère en faisant semblant de ne pas comprendre veut contraindre son fils à s'exprimer comme elle.
- Pourquoi voulez-vous obliger votre fils à vous répondre en yiddish ?
- Pour qu'il n'oublie pas qu'il est Juif.
Les mystères des jugements : Dan, un jeune Israélien, demande à son cousin américain, avant son départ, comment il s’est plu dans le pays de ses ancêtres.
- Je ne peux en dire que le plus grand bien. J’étais choqué par une seule chose, les gens ici ne parlent que d’argent, de nourriture, de bijoux. Chez nous on parle, musique, littérature, art.
- Tu n’as rien compris, c’est facile à comprendre chacun parle de ce qu’il n’a pas.
Par Albert (Albert) le mardi 20 avril 2004 - 23h26: |
A BIENTOTTTTTTTTTT.....
Par Albert (Albert) le mardi 20 avril 2004 - 23h21: |
Jeudi après-midi, j’ai eu l’agréable surprise de voir entrer dans ma boutique, mon ami Printania, accompagné d’une charmante jeune fille.
Arrière-petite-fille d’un médecin illustre en Tunisie.
Une très belle fille au visage d’ange, aux traits fins, avec dans les yeux, le signe qui ne trompe pas, bien connu des descendantes de familles nobles, la RICHE, la plume de noblesse.
Son arrière-grand-père, Docteur Isaac Eugène Hayat, zal, était un grand médecin qui avait créé le centre anti-tuberculeux de l’Ariana.
Mon ami avait déjà inséré un article accompagné d’une photo, et notre Webmaster avait eu la noble réaction d’inscrire ce médecin dans la liste des Tunes célèbres.
Merci Jaco et croyez-moi, quand j’ai vu ce rayon de soleil entrer dans ma boutique, je ne peux définir l’impression que j’ai ressentie.
Voilà pour elle, que D ieu lui donne la BRAKHA. En signe de reconnaissance pour son grand-père...
La demoiselle en question est assise au première loge. Du à son rang.
Une heure avant la prestation...Dans les coulisses...
Plus de 20 musiciens sont sur les tréteaux du PTB....5000 personnes sont assises et la grande salle du PTB est trop exiguë pour contenir ce monde de jeunes et de moins jeunes..
Les spots du PTB s’éteignent....Et la magie s’opère...
Rentre BELEBOU.......
MESDAMES ET MESSIEUUUUUUUUUUUUURS.....POUR LA PREMIERE FOIS SUR LES PLANCHES DU PTB AGRANDIT..............En récital unique..... MONSIEUR CHARLES AZNAVOURRRRRRRRRRRRRR...
LE GRAND CHARLES EN COMPLET GRIS SOMBRE fait son entrée sous les applaudissements de la galerie......
‘...CHARLES ON T AIME............................. !’
NENENENENEENNENENE....§§§§ ...... NENNEENENENEN....NYEEEEEEEEEEEEEEEE..§§§§§§§§..... LALALALILILILILLALALALALALALALAL...... LALIALAIALALALALALALIIIIIIIIALLALALALALALALAL... §§§§§§.. LA LA LILADeux tziganes sans répit........Grattent leur guitare.......Ranimant du fond des nuits..........Toute ma mémoire..§§§§§§§§§§§§§§........Sans savoir que roule en moi........Un flot de détresse.......Font renaître sous leurs doigts...........Ma folle jeunesse
Ekh raz yechtcho raz yechtcho mnogo mnogo raz
Ekh raz yechtcho raz yechtcho mnogo mnogo raz
JoueEEEEEEz tziganes jouez pour moi......Avec plus de flamme
Afin de couvrir la voix...NYE NYE NYEEEEEE..§§§§§§§ ......Qui dit à mon âme........Où as-tu mal, pourquoi as-tu mal ...AAAAAAAAAAAAAh t'as mal à la tête....Mais............ bois un peu moins aujourd'hui .........................tu boiras plus demain ........Et encore plus après-demain.
Ekh raz yechtcho raz yechtcho mnogo mnogo raz
Ekh raz yechtcho raz yechtcho mnogo mnogo raz
Je veux riIIIIIIIIIIre et chanter.......ETTTTTTTTTT soûler ma peEEEEEEine
Pour oublier le passé...............Qu'avec moi je traîne...............Apportez-moi du vin fort...................CAAAAAar le vin délivre................Oh versez, versez-m'en encore........................Pour que je m'enivre
LALAL EH.......
Ekh raz yechtcho raz yechtcho mnogo mnogo raz
Ekh raz yechtcho raz yechtcho mnogo mnogo raz
Deux guitares en ma pensée......Jettent un trouble .......immense...
M'expliquant.......la vanité......De notre existence.......Que vivons................
nous, pourquoi vivons-nous.........Quelle est la raison d'être
Tu es vivant aujourd'hui, tu seras mort demain............Et encore plus après-demain
EkkKKKKKKKKKKKKKKh raz yechtcho raz yechtcho mnogo mnogo razEkhKKKKKKKK.....KKKK raz yechtcho raz yechtcho mnogo mnogo raz
Rapide.
Quand je serais ivre-mort... Faible et lamentable...Et que vous verrez mon corps
Rouler sous la table...Alors vous pourrez cesser...Vos chants qui résonnent
En attendant jouez...Jouez je m'abandonne
EkKKKKKKKKKKKKh raz yechtcho raz yechtcho mnogo mnogo raz
Ekh raz yechtcho raz yechtcho mnogo mnogo raz
WAWWWWWWWWWWWWWWWWWWWWWWW......
BADABOUMMMMM.....PA PA PA.......
DéEEEEsormais......On ne nous verra plus ensemble
DésormaiiiiiiIIIIIIIIs....§§§§§§
Mon cœur vivra sous les décoOOOOOrmbes
De ce monde qui nous ressemEMEMEMEMEble
Et que le temps a dévasté
PAN PAN PAN........
DésormaAAAAAAAAAAAAis
Ma voix ne dira plus je t'aimEEEEEEEEEEe
DésormaiAIIIIIIIIIIIIIIIIIs
Moi qui voulais être ton omMMMMMMMMMMMbrRRRRRRRRRRRe
Je serai l'omMMMMMMMMMbre de moi-même
Ma main de ta main séparée
BOUMMMMM....
JamaiAAAAAAAAAAs plus
Nous ne mordrons au mêEEEEEEEEEme fruit
Ne dormirons au mêEEEEEEEEEEEEEme lit
Ne refeRRRRRRRRRRrons les mêmes gestes
JamaAAAAAAAAAAAAAAAAis plus
Ne connaîtrons la mêEEEEEEEEEme peur.........De voir s'enfuir notTTTTTTTTTTTre bonheur........Et du reste .......DESORMAISSSSSSSSSSSSSSSSSSS........
DésormaiIIIIIIIIIIIIIIIIIIs............. §§§§§§§§§§§§§§§......
JaAAAAAAAAAAAAAAAmaiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiis plus
Nous ne mordrons au même fruiiiiiiiiiiiiiiiiiiit
Ne dormirons au mêmMMMMMMMMe liiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiit
Ne referRRRRRRRRRRRRRRRRRons eeeeeEEEEEEEme les mêmes gestes
JaAAAAAAAAAAAAAAMMMMMMaisssss .....PLUSSSSSSSSSS
Ne connaîtrons la même peur
De voir s'enfuir notTTTTTTTTTTTTTre bonNNNNNNNNNNNNNNheur
Et du reste.................... Désormais
PAN PAN...PANN .....
ON NE NOUS VERRA PLUS ENSEMBLeeeeee....§§§........
Breitou fais son entrée auprès de CHARLES......En costume blanc.....
DENG DENG...DENG .....DENG DENG....§§§§§......
Ils sont venus
Ils sont tous làAAA..§§§§§
Dès qu'ils ont entendu ce cri
Elle va mourir, lAAAAA mAAAAAAAAAAAAmma
Ils sont venus
Ils sont tous là
Même ceux du sud de l'Italie
Y a même Giorgio, le fils maudit
Avec des présents plein les bras
Tous les enfants jouent en silence
Autour du lit ou sur le carreau
Mais leurs jeux n'ont pas d'importance
C'est un peu leurs derniers cadeaux
A la mamma
Breitou.
....§§§§§......Jew mèl kol chirè ou chirè
Kif Chemyou el seiha
béch tet ouefè el MaïIIIIIIIIIIIIIIIIIIIma
Jmoya kolinè
Hatte zeddè el gheibin mta Italia
Hatte Giorgou el medyou
Je, myabie bèl tfetef fi yeddDDDDDDou
El zgheïrat deïrin él farch
Yelabou bél chket
Fouk el kaya
Mellè labem me yandou
Hate kima oumen kif
El lekher rigalou..mtayem§§§§§§§§.............
El maïIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIImaAAAAAAAAaaa..§§§§§§….
On la réchauffe de baisers
On lui remonte ses oreillers....Elle va mourRRRRRir,
laAAAAAAAAAAAAAAmammaAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA
Sainte Marie pleine de grâces
Dont la statue est sur la place
Bien sûr vous lui tendez les bras
En lui chantant Ave MariaAAAAAAAAAAAAA
AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAve MaAAAAAAAAAAAAAAAAriaAAAAAAAAAAAAA
Y a tant d'amour, de souvenirs
Autour de toi, toiIIIIII la mamma
Y a tant de larRRRRRRmes et de sourires
A travers toi, toi la mammaAAAAAA
I sekhnou fiè bél baouch
I rigloule el mchéned
Bech tmout elLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLL…MaïmAAAAAAAAAAA……
Ye Merie el chroutat
Elli samba walkfa fel blassa
Tézoula iydkom
Bel ghnè AAAAAAAAAAAAAAAAAAve MeriIIIIIIIIIIIIIeEEEEEEEEEEEEEE….§§§§§….
AAAAAAAAAAveEEEEE……MerIIIIIIIIIIIIIIIIIieEEEEEEEEEEEE….§§§§§….
Kadèch hob ou tefkirRRRRR
Deïrine bik enti ye Meïma el HéninèEEEEEEEEEEEEEEEEEE
Kaddèch bquè ou theïket
Yè MeïmAAAAAAAAAAAAAAAAAAaaaaa ...LazizaAAAAAA...
Et tous les hommes ont eu si chaud
Sur les chemins de grand soleil
Elle va mourir, laAAAAAAAAAAAAAAAA mammaAAAAAAAAAAAAAAAAA
Qu'ils boivent frais le vin nouveau
Le bon vin de la bonne treille
Tandis que s'entrassent pêle-mêle
Sur les bancs, foulards et chapeauAUAUAUAUAUAUAUAUAUx
C'est drôle on ne se sent pas triste
Près du grand lit et de l'affection
Y a même un oncle guitariste
Qui joue en faisant attention
A la mamMMMMmaAAAAAAAAAA
DENG DENG..§§§…….DENG DENG.....DENG..§§§§
Wel chrènè darbèt ââl réjèlè
Fouk él keyèsst el chkhèn
Bech tmout eEEEEEEEEEEEEEEEEl MaïmAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA
Charbin el srab jdid frechk
Eli krèj mel frayè el jdidè
Wel takritat melmoulin Yaâla baïdèm
ââl bnèk mââAAAAAAAA el braAAAAAAAAAAAAAAAAnèEEt...
Oudini hatè had me hech el hazin
Bahd el farh mta el hnènè
Tema zeddè khèl canounji
Yèlyab wi roud ballou
AAAAAAAAAAAAAAAAAl MaîmAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA......§§§§§§§......
(Mon D ieu que d’émotion)
Charles s’approche de Breitou et lui enlace les épaules. Il remarque des larmes qui coulent sur ses joues....Charles lui tapote l’épaules avec un léger sourire compatissant...
DEN DENG....§§§§§...DENG DENG.....§§§§
...§§§§§......Et les femmes se souvenant
Des chansons tristes des veillées
Elle va mourir, laAAAAAAAAAAAAAA maAAAAmmaAAA
Tout doucement, les yeux fermés
Chantent comme on berce un enfant
après une bonne journée
Pour qu'il sourie en s'endormanANANANANANANANt
AveEEEEE MariaAAAAAAAA
Y a tant d'amour, de souvenirs
Autour de toi, toiOIOIOIOI la mammaaaaaaa
Y a tant de larmes et de sourires
A travers toi, toioioioioioii la mammaaaaaaa
Que jamais, jamais, jamaiaiaiaaiAIAIAIAIAIAIAAIAIAIAIs
Tu nous quitteraAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAs...
Wél n’chè tfekrou
El Ghnè lahzin mta el chariyèt mta gbèl
Béch tmout eEEEl MaïMAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA.......
Bechwiyè, yaïnéyèm msakrin
I ghèniou kif elli i teknou oulied
Béch yedhak kbel mè yorkodDDDDDDDDDD....
Bââd nar mta kif
AvEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE MeRIIIIIIIIIIIIIIIIIEEEEEEEEEEEEEEEE.........
Barcha hob ââlik, entiIIIIII Yè MaïmaAAAAAAA
Barcha bkè ou deïhkèt
Deïrin likenti yeEEEEEE el MaïmAAAAAAAAA....§§§§....
MousstahiIIIIIl.. ..MoustaHILLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLL....MoustahILLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLL.....
Béch tfarékNAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA.......§§§§§§§...
La foule se lève et applaudit debout la prestation de Breitou, le meilleur chanteur
Universel du monde.   
Breitou se retire devant la foule enchantée pour laisser Charles continuer son récital.
Silence.
Ne Ne NENENE....§§§...........NenenenNENE....§§§§§§§§§§§
NENENEN DING..NENENE......
‘.....§§§§§.......J'ai mis mon complet neuf ..§§§§§...
Mes souliers qui me serrent
Et je suis prêt déjà ..............depuis pas mal de temps
Ce soir est important caAAAAr c'est l'anniversaire
Du jour où le bonheEEEEEur............... t'avait vêtue de blanc
Mais ......NENENENENEN........je te sens nerveuse....... au bord de la colère...§§§§§§......
Alors je ne dis rien......., mieux vaut être prudent
Si je disais un mot........ ton fichu caractère NENENENENEN..§§§§§
M'enverrait sur les roOOOOses...... et l'on perdrait du temps
Il est huit heures un quaAAAAAAAArt et tu attends la roOObe
Qu'on devait te livreEEERRR....... ce matin au plus tard
Pour comble tes cheveux..................... au peigne se dérobent
Tout semble se lIIIIguer............... pour qu'on soit en retard
Si tout va de ce train......NENENENENEEN............ la soirée au théâtre
Et l'auteur à la mode......NENENENEEN............ on s'en fera un deuil NENENENE..§§§§
Adieu pièce d'Anouilh....NENENENE..§§§......... d'Anouilh ou bien de Sartre
Je ne sais plus très bien.... mais....... j'ai deux bons fauteuils
NENENEN DING...NENENENEEN....
Bon anniversaire ! Bon anniversaire !
Ta robe est arrivée enfin........NENENENENE........... Tu respires
Moi pour gagner du temps.........NENENENENE........ Je t'aide de mon mieux
Tout semble s'arranger mais soudain......NENENENEN............ c'est le pire NENENEENEN
La fermeture s’arrête ..................... et coince............... au beau milieu NYEEEEE NYEEEEEEEEE
On s'énerve tous deux............... on pousse et puis l'on tire (GHASSRA    )
On se mêle les doigts..... NENENENENENENE........... on y met tant d'ardeur
Que dans un bruit affreux........... le tissu se déchire
Et je vois tes espoirs....... NENENENENEENEN............. se transformer en pleurs
Aux environs de onze heures enfin................ Te voilà prête
Mais le temps d'arRRRRRriver.................. Le théâtre est fermé
Viens......... Allez...viens...............On ira souper tous deux en tête à tête
Non................ Tu as le cœur gros................. Non tu préfères rentrer
NENENENENEEN...§§§§§§§§§§§§§
Par les rues lentement....................... Nous marchons en silence
Tu souris.... je t'embrasse et tu souris encore
La soirée est gâchée mais on a de la chance NENENENENENEN
Puisque nous nous aimons l'amour est le plus fort
DA DA DA DEEEEEEEEEEEEEEEEEEE......
Bon anniversaire ! bon anniversaire !
DA DA DA DADEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE
Bon annnnnnnNNNNNNIIII... VersSSSSSSSS...... AAAAAAAire ........ §§§§§§§§§§§§§§§§§...............!
MESDAMES, MESSIEURS AVEC CE RECITAL SE TERMINE
L ANNIVERSAIRE DU PTB...A L AN PROCHAIN KODRET RABI......BEZRA ACHEM.......
Je vous souhaite la bonne santè et que l'an prochain nous soyons toujours en bonne santè et en paix. AMEN....HAI ISRAL HAI.....
Par Albert (Albert) le mardi 20 avril 2004 - 23h12: |
FINAL DANS 10 MINUTES AVEC CHARLES AZNAVOUR DANS UN RECITAL UNIQUE POUR LE PTBBBB
Par Albert (Albert) le mardi 20 avril 2004 - 23h06: |
'Du fond de la salle on entend PIGNOUF HURLER.....'...YE BREITOU YE AAZOZ ALLINE....KADDIN EN CHIKHOUUUUUU....!'
Chichi se retourne...
'..Mais qui est donc cet énergumène...?'
Par Breitou (Breitou) le mardi 20 avril 2004 - 22h56: |
Albert invente les vers intercales avec une chanson arabe….Les vers libres en français ne sont pas la traduction de la chanson.
Je chante ma ville, comme un amoureux qui a quitte sa fiancée.
J’ai donc marié chanson arabe et vers. Et cela s’y prête bien.
Les paroles de cette chanson sont tirées d’une cassette, un seul couplet est de moi.
C’est Breitou, chanteur connu mondialement, même du coté de HALFAOUINE qui va chanter…..NOSTALGIE SUR SA GOULETTE……
‘……..Enssè…§§§§§…..MMMMmmmmmmmMMMM ……
EnssèEEEEEEEèèèèèEEEEEEEni..§§§§…
Met oulchI
NeEEEEEEEEErgataAAAAAAaaani…§§§§§…..
EnssèEEEEEEEE…§§§§§§…..
EnssèEEEEEEèèèèèEEEEEEniiiii….§§§§§…..
Met oulche
NeEEEEEEEErgatèèèèèèèèèhhhhhhhniIIIIIIII….§§§§§…..
Oubelèèèèèèch
BelèèèèèEEEEEEEEEEEEch
Les feuilles mortes se ramassent à la pelle.
Mes souvenirs aussi.
Sans les brûler ni les enterrer
Je les ai déterrés. Ainsi
Mis en valeur, sorties de ma corbeille.
Comme un album de famille
Je les feuillette.
Point de photos.
Mais des images qui défilent.
..§§§§§§§§§……
Tet raga fiyèEEEEEEE…§§§§§…
Tebki ââllèEEEEEEEyèEEEEEEE…..§§§§§….
Mouch moumken elliouOOOOOOOOuuuum…§§§§§§….
Hadara seEEEEEEmèh….§§§§§..
Tet raga fiIIIIyè
Tebki ââlléEEEyèEEEEEEE
Mouch hanssè ioum
En nétè’ gèEEEEEEEErèh..
Mes filets d’or tout en feuillets
Dégoulinent comme lave qui bave
D’un volcan en chaleur bien inspiré.
Couleur braise.
J’insinue.
Chaude.
Et je continue.
Le puzzle se remet bien en place.
Des lieux, des rues que je ne sache.
Des ruelles, un casino et j’en passe.
Une Jetée sur pilotis, drôle de palace
Un terrain noir plein de crasse
Sur lequel nous étions des as.
Refrain.
\rouge’Tet raga fiyèEEEEEEE
Tebki ââllèyèEEEEEEE…..§§§§§§§§§§§§§§§§..
Mouch moumken liouOOOOOOOOuuuum
Hadara seEEEEEEEmèh..§§§§§§§§§§§§…
Tet raga fiyè..§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§
Tebki alléyèEEEEEEE Mouch hanssè ioum ….En néte’garèh..}
Et un rivage qui a fait nos beaux jours, Nadège
Où, à toute âge, enfants nous n’étions pas si sages.
Nous nous lancions des boules, non pas en neige
Mais de sable formées ainsi de gré, sur notre plage.
Nous bâtissions nos futurs Châteaux
Sous le nez du Bou-Kornine bien endormi
Et des vols de mouettes au dessus de l’eau.
Nous avons passe une bonne vie ceci dit.
Canal de Khérrédine… !
Berges de notre Seine
Au rebord de ciment gris.
Nous nous jetions, Reine
Du haut du pont sans gêne
Dans l’eau trouble nauséabonde.
EzzeEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEi…
Ezzei elbeq i zibèq…§§§§§§…..
E’ssè ââl elbèq habibèq
Ou Zawed narrou war’ TEIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIYYYYY…..
El boyd ehnè thameltou
Zid’ fèl tariqou qemeltou
Tenssar ou koullou marrar..
Ou gueid el noum fi ouli
Khallass ..§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§
Ma Khallass
Elbi Mgareh khalasss..§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§
Elbi Mgareh khalasss..
Qui se souvient donc de nos puantes et hautes montagnes…. ?
Sur leurs flancs, nous roulions en pariant à qui perd gagne.
A celui qui arriverait le premier au bas de la cote.
Nous ressemblions à des nègres ; l’odeur d’égout
Imprégnait nos jeans et culottes courtes, nos têtes
Et tout le reste…Marilou… ! MarilouOUUUUU… !
Nous en prenions plein les yeux ……
KHALLaaaaaaaaaaaaAAAAAAAAAaaaaaaaaaaaaaaaaaaaAAAAAAAAAAASSSSS…§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§ ………………..AHHHHHHH……Me zidch AâliyèEEEE….§§§§§§§§§§§§§§§§….AAAAAAHHHhhh…
Refrain.
\rouge’Tet raga fiyèEEEEEEE……Tebki ââllèyèEEEEEEE…..} Tet raga fiyèEEEEEEE
Mouch moumken liouOOOOOOOOuuuum……..Hadara semèh.. ……….Tet raga fiyè}……… Tebki alléyèEEEEEEE………. Tebki alléyèEEEEEEE Mouch hanssè ioum ..§§§…..En nét’garèh.. ………..Net tetgarah……
DEMMMM DEMMMM DEMMM…BABBABABABA BBBBBB BBBBBBB…
DDDIINNNNGGG…..MMMMMMmmmmmmmm….MMMMMMMmmm§§§§§
DDDDDOUGGG DDGOUG…§§§§§….NYEEEEE NYEEEE..§§§§….….§§§§§§§ …
Bââ
Bââ tiliIIIIIIII khon
KhontiliIIIIIII guey baad HIIIIII……bet hessi biyè
Hob ..§§§….
Hob min hèl ..§§§§§
Ouhè biyè choooOOOOOOOOOOOOOOOO
Choooo elliIIIIIIIIIIIIIIII met oulch LEYEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE
LEYEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE
Mais où sont donc passés mes amis d’hier….
Bichette…. ! Shira….Et toi Lalla , Pierre…
Avez –vous déjà écouté le siroco de mon pays…. ?
Avez-vous senti le dard du soleil brûlant
Qui brûlait nos macadams, chères amies…. ?
’Tet raga fiyèEEEEEEE
Tebki ââllèyèEEEEEEE…..§§§§§§§§§§§§§§§§..
Mouch moumken liouOOOOOOOOuuuum
Hadara seEEEEEEEmèh..§§§§§§§§§§§§…
Avez-tu goûté au ‘frigolo’, Vanilleeeeeeeee…. !
Pendant la sieste et les gaufrettes craquantes
Sorties par un grand gars
Sorties d’un bidon couleur rouge, mon cœur..
Elbi hatitou fel mektoub…Oul Mektoub ghdarni… ! Yè habibi….
We khèlèni mrgharèb ââla bledi….Ahhh… ! Yè li mé fomch el wach…
Me toulch elli ehnè elli khèllitèk……§§§§….Welli thameltou houni
Bel sbar yaditou….( Albert)
Mesdames……
Ou nahki ââlla bledi hatta lekher….
KHALAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAASSSSSS
KHALAAAAAAAAAAAAAAAAAAAASSSSS……
KHALL aaaaaaaaaaaaAAAAAAAAAaaaaaaaaaaaaaaaaaaaAAAAAAAAAAASSSSS…§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§……………….. AHHHHHHH……Me zidch AâliyèEEEE…. §§§§§§§§§§§§§§§§…. AAAAAAHHHhhh…
Refrain.
\rouge’Tet raga fiyèEEEEEEE……Tebki ââllèyèEEEEEEE…..} Tet raga fiyèEEEEEEE
Mouch moumken liouOOOOOOOOuuuum……..Hadara semèh.. ……….Tet raga fiyè}……… Tebki alléyèEEEEEEE………. Tebki alléyèEEEEEEE Mouch hanssè ioum ..§§§…..En nét’garèh.. ………..Net tetgarah……
DEMMMM DEMMMM DEMMM…BABBABABABA BBBBBB BBBBBBB…
DDDIINNNNGGG….. MMMMMMmmmmmmmm….MMMMMMMmmm§§§§§
DDDDDOUGGG DDGOUG…§§§§§….NYEEEEE NYEEEE..§§§§….….§§§§§§§ …
Bââ
Bââ tiliIIIIIIII khon
KhontiliIIIIIII guey baad HIIIIII……bet hessi biyè
Hob ..§§§….
Hob min hèl ..§§§§§
Ouhè biyè choooOOOOOOOOOOOOOOOO
Choooo elliIIIIIIIIIIIIIIII met oulch LEYEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE
LEYEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE
\rouge’Ezzei elbeq i zibèq…§§§§§§§….Enssè ââl elbè habibèq
Ou Zawed narrou war ZEIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIYYYYY…..El boyd ehnè thameltou
Zidi fèl tariqou qemeltou…§§§§§§…..Tenssar ou koullou marrar….§§§§§….Ou gueid el noum fi ouli…….§§§§§§….Khallass ….§§§§§….Ma Khallass elbi ……Mgareh khalasss..
Elbi Mgareh khalasss..
KHALLA SSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSS SSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSS…. §§§§§§§§§§§§§§§§§§…}
’Tet raga fiyèEEEEEEE……….§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§……
Tebki ââllèyèEEEEEEE…..Mouch moumken liouOOOOOOOOuuuumHadara semèh..
Tet raga fiyè…… Tet raga fiyèèèèèèEEEEE…§§§§§§….Tebki alléyèEEEEEEE
Mouch hanssè ioum En nét’garèh..
Tebki ââllèyèEEEEEEE…..Mouch moumken liouOOOOOOOOuuuumHadara semèh..
Tet raga fiyè……} Tet raga fiyèèèèèèEEEEE…§§§§§§….Tebki alléyèEEEEEEE
Mouch hanssè ioum En nét’garèh..
mmmmmmMMMMMMM ….§§§§§§§…….
Merci…EZZZEIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIii …..Elbi yalle elbè ratah…Elbi mgharah….
Par Belebou (Belebou) le mardi 20 avril 2004 - 22h48: |
GRAND FESTIVAL EN L HONNEUR DU PTB AN II CLOTURE..RESTEZ A VOS PLACES LA SOIREE NE FAIS QUE COMMENCEZ........HOUTTE AALINE AAL EL TOUENSSA.....
Par Albert (Albert) le mardi 20 avril 2004 - 22h45: |
Chirac....
'...Qu'est ce vous avez a gigotè RAFOU...?Vous ne pouvez pas reter tranquille, il me semble que vous raccourcisez à vue d 'oeil...?'
'...Euh....! J'ai mal au ventre, j
Je crois que les glaces étaient pourries...!'
'..Vous devez y être habituè pourtant, avec tous vos minisres à la con, pourris, moi j'habite les chiottes au numèro 55....!'
Par Albert (Albert) le mardi 20 avril 2004 - 22h41: |
JE REMERCIE LE WEBMASTER D AVOIR BLOQUEE LA POLITIQUE....QU IL TROUVE LA TOUTE MA RECONNAISSANCE..I TAWEL OMRAK...AMIN OUN CHALLA TEFRAH BOULIDETEK...
LA DIRECTION
Par Albert (Albert) le mardi 20 avril 2004 - 22h39: |
Albert monte sur la scéne.....juste après sa petite fille qu'on applaudit...Elle embrasse son papy...' MERCI CHERIE...RM...'
‘MOTS RIRES… !’
Rires gauches… !
Rires adroits…
Rire de tout
Rire surtout
Surtout de ce qui est drôle.
Rire sans interdit
Sans somation
Sans réflexion
Sans sens interdit.
Rire, c’est la bonne humeur.
L’aspect positif.
Visage expressif.
Rire excessif.
Rires, maux de cotés
Point.
Je larmoie.
Je m’esclaffe
Je suffoque.
J’étouffe
A force Des MOTS RIRES…..
Par Sharon (Sharon) le mardi 20 avril 2004 - 22h32: |
SHARON SE PREPARE....KOBAARA AALIK YE BENTIIIII.....5X5 POUR TOI....
Poème lu par Sharon....Habillée en petite robe blanche..
Elle rentre en scéne...
‘….Je t’aime ....Albert….’
Ou allaish lè… !
M’a t’elle dit, un jour, dans mes 21 ans. Takrib meghir gdeb.
Et pourquoi pas, moi qui astiquait mon physique d’Apollon.
Sportif, musclé, bien bâtit comme une charpente en ‘iron.’
Elancé, toujours frais en ce temps, où je n’étais pas ‘Meddèb’.
Hein … ? Et pourquoi ne m’aimerait elle pas… ?
Riche, ayant en poche deux dinars par semaine,
De quoi lui offrir un cornet de vanille en ‘djilat’.
Et je gardais le reste pour mon ticket de T.G.M.
Grand généreux, j’étais. A mes souhaits.
Surtout qu’on en allait souvent au ciné
Voir la belle et future ‘ââlka’ la Binoche.
Pendant l’entracte quand elle voulait un chocolat
En barre glacée, je tournais la tête. Et ma Julia
Prenait acte. Elle n’était pas très belle, la fada.
Je m’enfonçais dans mon rouge fauteuil.
Quand l’ouvreuse portait sur moi, son œil.
Un jour, j’en ai eu marre à cause de sa longue combinaison
Qui dépassait de son jupon.C’était pas beau à voir.
Elle en a fait des ros ros.
Moi des Rons Rons comme le Ronchon. Des gémissements.
Cela a duré un jour, notre grand amour. Juste le temps
De m’enfuir pour lui dire que je gardais cette amitié
Dans mes souvenirs enveloppés dans du papier glacé.
Ech nââmèl..Brabi…..Mé zretch ââla qualbi.
Babounout ââle sidi bne’dèm….
Me’ghir mah’kraniya…
Que voulez vous que je fasse. Elle n’a pas glissé dans mon cœur.
Autant pour le pauvre être.
Sans mépris.
Par Albert (Albert) le mardi 20 avril 2004 - 22h30: |
Raffarin se léve et se met en JOOGING...
'...Où allez vous comme ça vous..????'
'...Faire un tour de piste...!'
'....Ecoutez dites à SARKO que demain je veux le voir au con seil des ministres, qu il m'apporter quelques valises....!'
'...Pourquoi faire Chef...?'
'...Je dois allez à BREGAN CON et j 'ai vu un Chateau en Espagne, je veux que notre ami à présent LA PANCHO VILLA vienne passer ses vacances près de moi....L'Iraq va lui manquer..!'
'...Ca va nous couter cher....!'
'...UN CHATEAU EN ESPAGNE...? Mais enfin tu rêves mon RAF....FARINE