Archive jusqu'au 29/avril/2004

Discus: Le Petit Théâtre de Breitou: Archives 2004: Archives 2004: Archives Avril 2004: Archive jusqu'au 29/avril/2004
Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le jeudi 29 avril 2004 - 21h38:

59 ANS QUE JE MANGE DU PAIN ET VOILA QUE JE LIS UNE RECETTE BEIT DIN GLAD CACHER DU PAIN....OU ALLONS NOUS...AVEC NOS BASCULES..

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le jeudi 29 avril 2004 - 21h33:

DETOURNEMENTS II Ce soir la suite...!'

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le mercredi 28 avril 2004 - 23h17:

ALBERT SIMEONI

Le Papy de Paris
l'ancien ....ENFANT DE LA GOULETTE.
LE 23/6/2003
Passe déjà le 20/7/2003


Remaque.

Sketch…….


Breitou toujours lui, arpente les planches du Théâtre…..Pour papoter.


'Avant…..! Quand j'étais blanc dans mon pays….!


'…..Je vivais ma vie en fleur. Je sentais à longueur de journée le sel de la mer, le jasmin, les roses en été, les bougainvilliers et même l'odeur nauséabonde du lac de Tunis qui venait me rappeler que la crotte n'était pas loin. Et aussi les égouts…
Que voulez-vous, il a des parfums subtils difficiles à oublier et qui vous poursuivent dans votre exil, non voulu.

J'étais plus blanc que blanc. Je pensais blanc et jamais noir. J'ai travaillé à couper et à graver sur le blanc, la moitié de ma vie, et à respirer à fond la caisse la poussière homogène de ce matériau noble, le marbre. J'en ai bavé de cet extrait de carrière et m'en suis même gavée.

Après 45 ans de bons et loyaux services en tout genre, je suis tombé dans la catégorie des noirs. Poids plumes, mouches, moustiques, poids lourds, légers, poussins, coqs, poules, pygmées bref …'ââlla kôl loun ou krimè…' Sans distinction de couleur, allant du chocolat foncé, au créole, acrylique, 'crépoline', du béké et j'en passe sur les demi-teintes. Un kif à voir.

…Y'à bon banania….' L'homme au chapeau ' stambali' , de la fameuse pub, est dépassé. Il paraît que les états africains, pour une fois solidaires, à cette époque, y ont vu un manque de respect total envers les nègres et même une sorte d'antisémitisme envers la race noire… Bref, le petit noir au service du blanc….? Quelle horreur….! ' Alors que nous, cela fait des millénaires que l'on le subit sans que personne ne s'en émeuve, in yaddin radén…Supportant tous les jours, bien plus que des affiches et quolibets de toutes sortes…


Ils n'auront pas cette satisfaction, les trains à charbon noir sont démodés.

Confidence pour confidence, savez vous que le pain noir est plus comestible que le pain blanc….? Prenez une tranche de mie blanche et faites là passer sur un feu doux et vous obtiendrez une tranche croquante et craquante. Et bien voilà, mes noirs, à part quelques-uns, des chapardeurs et mal honnêtes, sont tous des gens bien qui méritent de devenir blanc, grâce à mes crèmes qui rendent plus blanc que blanc.

Obiod oullè ékhal…..? Kif kif….! Fard khrââ…:) :) :)

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le mercredi 28 avril 2004 - 22h35:

MAROT

Pour ma chére Ninette en vieux français...

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le mercredi 28 avril 2004 - 22h17:

POEME DE DIE....1170


Je l'ai mise en valeur DE DIE ZAL...

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le mercredi 28 avril 2004 - 21h52:

Bekhor, ils sont tous au hamam, pour la tbila et aussi béch i nakiou tarf avounout( pour se purifier) Tu ne vois pas que chacun à son palestos juif,ou juive ici, tiens regarde la Douda il vient d'ouvrir un sujet interréssant kif youjjè tu vas voir, les zrads ( sauterelles) qui vont lui tomber le dessus, je vais compter les points, il va prendre encore une semaine de radda. Moi, je vous dis la véritè, je termine le roman DETOURNEMENTS et je vais aller me détourner chez ....Devinez chez qui....? Je vous laisse le choix de deviner et celui qui trouve, je lui paye un TAYAB AU HAMAM DE BECHIR A LA GOULETTE....

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le mercredi 28 avril 2004 - 21h47:

LES MASQUES

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le mardi 27 avril 2004 - 23h07:

LES DEUX MAINS


Albert Simèoni.
L' Enfant de la Goulette.

Le 11/8/2003

Tous les évènements narrés dans cette nouvelle sont purement imaginaires et ne peuvent constituer un plagiat de quelle œuvre qui soit. Les noms des personnes cités ainsi que les villes du Jura sont irréels. Aucun fait rapporté ici ne peut être considère comme ayant appartenu à un fait divers passe ou récent.


Roman.

Chapitre I

'…..Détournements…'

Madeleine et Aurélie sont jumelles. Elles ont 5 ans lorsque leurs parents, meurent accidentellement dans l'incendie de leur appartement du côté de l'Avenue Victor Hugo. Des voisins du second étage avaient souhaité, juste avant le drame, prendre les deux petites filles pour tenir compagnie à leurs jeunes enfants, en bas âge.
Elles eurent de la chance, et purent échapper ainsi à une mort atroce.

Les parents des jumelles, de riches propriétaires terriens dans les Vosges étaient aussi négociant dans le bois.
Leur grande scierie fournissait planches et autres bois aux entreprises environnantes. De la région.

Monsieur et Madame Hamelin, fils et fille uniques, n'avaient pas de proches parents pour prendre en charge leur patrimoine. Les deux jeunes enfants seront donc les seules héritières à leur majorité.

Pierre Hamelin et Joséphine née Dubois, se marièrent en la cathédrale de Clermont-ferrand. D'où était originaire Joséphine. Lui était natif de Normandie, de la région de Quimper. Les familles respectives des deux adolescents, André Hamelin et Aristide Dubois, s'étaient rencontrées lors d'un 14 juillet. Leurs enfants, Pierre, 18ans à cette époque et Joséphine 16 ans, à l'insu des parents entretinrent une correspondance assidue, et secrète. Puis l'amour fit le reste. Un mariage s'en suivit. Quatre ans plus tard.

Le jeune couple s'installa dans cette ville de Clermont-Ferrand.

Pierre était décorateur d'intérieur. Tout ce qui était meuble et palissandre l'intéressait au plus haut point. Comme le fût feu son père. Joséphine quant à elle, ouvrit une pharmacie en plein centre ville…'Pour passer le temps ' dit-elle. Pierre voulait concrétiser sa passion et le hasard a voulu qu'il devienne acquéreur d'une fabrique en faillite, de bois en pleine forêt dans les Vosges. Il remonta l'affaire et trois ans plus tard, la Scierie HAMELIN DUBOIS était devenue fournisseur en bois de qualité de toute la région. Sa femme ne supportant pas la trop grande solitude clermont-feroise, malgré son commerce florissant, proposa à son mari d'aller vivre à Paris. Elle y avait de la famille lointaine, sans grande attache mais surtout des amies du temps ou elle était étudiante dans son ancienne université. Son mari était donc partagé entre les montagnes et la ville lumière.

Joséphine donna naissance à deux jumelles, Madeleine et Aurélie. La suite du drame est décrite plus haut.

On plaça les enfants sous tutelle, à la DASS. Elles étaient devenues pupilles de l'état. Plus tard, une famille d'accueil les prit en charge.

Madeleine, grandissante était une enfant espiègle, rieuse pleine de bonne humeur et d'entrain, ce qui donnait beaucoup de fil à retordre aux 'nouveaux parents adoptifs' alors que sa sœur Aurélie était plus calme, sérieuse et studieuse. A dix huit ans, Aurélie eut son bac, à la grande satisfaction de ces derniers. Elle se destinait à des études de droit, tandis que sa sœur n'avait goût à rien. L'administration au vu du peu d'intérêt que portait Madeleine pour les études plaça la jeune fille dans un centre d'apprentissage du côté de Montreuil. Mais devant les fugues répétées de la jeune fille, on la plaça dans un centre de surveillance mais là aussi 'l'indomptable' Madeleine en fit des siennes, et l'autorité de tutelle baissa les bras et 'l'abandonna' à son sort. Jugeant sans doute, qu'elle était majeure et qu'elle pouvait se débrouiller seule dans la vie.

Madeleine aimait sortir dans les boites de nuit en compagnie de ses anciennes amies du centre.
Les nuits parisiennes et ses lumières l'attiraient. Et comme toutes les jeunes filles de son âge, elle s'acoquina avec un jeune garçon aussi désœuvré qu'elle. Sauf que ce dernier avait ses entrés et sorties dans le petit milieu mafieux, cette faune aux aguets de toutes les proies faciles et ça Madeleine l'ignorait. Elle s'amouracha de lui; l'autre étalant son grand jeu de l'amoureux épris, offrait cadeaux, charmes et amour tant et si bien que l'ingénue ne se méfiait aucunement de ce qui l'attendait. Elle ne lui posait aucune question sur la provenance de cet argent qui coulait à flots. Le coup classique. Germain, c'est son nom de petit proxénète, fit part à sa concubine de quelques soucis passagers d'argent et qu'il fallait subvenir au quotidien. Madeleine, amoureuse, accepta de l'aider en voulant travailler croyant sans doute que son petit 'barbeau' se contenterait d'un petit émolument de vendeuse.

-'Ecoute Madeleine, je connais un monsieur qui pourrait nous renflouer, il suffit d'être un peu gentille avec lui et nous sortirons de cette mauvaise passe, tu sais que le proprio du studio nous donne jusqu'à la fin du mois pour quitter les lieux…?'
-'Mais…! C'est pas possible….! Ton travail ne te rapporte plus…!'
-'J'ai été virè il y quatre semaines mais je ne voulais pas te le dire, chérie.'
-'Mais que dois-je faire avec ce monsieur…?'
-'Rien….! Presque rien…..! Juste que tu passe une soirée agréable avec lui, c'est un monsieur très riche qui pourrait te donner un bon magot…!'
-'Expliques toi Germain, quel magot doit- il me donner…?'
-'C'est simple, tu lui offres des gentillesses pendant une ou deux heures et c 'est tout..!'
-'Tu veux dire que je m'offre à lui…?'
-'Enfin, juste un soir pour nous sortir d'affaire…! Et puis demain j'ai un rendez-vous avec un employeur sérieux qui me propose d 'être bar-man…!'

Elle accepta son offre et Madeleine se donna pour un soir à un riche Saoudien pour la modique somme de
5 000 frs.

A suivre…

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le mardi 27 avril 2004 - 08h26:

YPM ASMAOT

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le mardi 27 avril 2004 - 08h24:

Panne d'ADSL. Hier soir.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le lundi 26 avril 2004 - 21h55:

DETOURNEMENTS à suivre le premier épisode...

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le lundi 26 avril 2004 - 21h49:

Suite II.

EsmeraldaAAA...§§§§...... Esméralda...§§§§§
Toi l’héroïne de L’HUGOOOOOO....§§§§§
Briseuse de cœur du pied bo.OOOO...§§§§

Du bossu malheureux, le pas beaux..§§§§..
Fou de toi il t’a porté dans ses bras le Quasimodo..§§...
Le cœur plein de chagrin en lambeau...§§§§§
Il a chanté sa complainte sur ton corps dans le caniveau..§§...


EsmeraldaAAA...§§§§...... Esméralda...§§§§§
Toi l’héroïne de L’HUGOOOOOO....§§§§§
Ton âme s’est envolée, sous les cloches envolées
De notre Dame désolée..§§§....

Point de sermon ni de litanie..§§....Tu es partie comme une fleure pendue
Par la faute du Frolo ..§§§§§....TOI LA BELLE DE L’HugoOOOOO..OOOOOO..§§§§§

DINGGGG...DING.........DI.......D..§§§§§§......