Par Albert (Albert) le jeudi 29 avril 2004 - 21h38: |
Par Albert (Albert) le jeudi 29 avril 2004 - 21h33: |
DETOURNEMENTS II Ce soir la suite...!'
Par Albert (Albert) le mercredi 28 avril 2004 - 23h17: |
Par Albert (Albert) le mercredi 28 avril 2004 - 22h35: |
Pour ma chére Ninette en vieux français...
Par Albert (Albert) le mercredi 28 avril 2004 - 22h17: |
Je l'ai mise en valeur DE DIE ZAL...
Par Albert (Albert) le mercredi 28 avril 2004 - 21h52: |
Par Albert (Albert) le mercredi 28 avril 2004 - 21h47: |
Par Albert (Albert) le mardi 27 avril 2004 - 23h07: |
Albert Simèoni.
L' Enfant de la Goulette.
Le 11/8/2003
Tous les évènements narrés dans cette nouvelle sont purement imaginaires et ne peuvent constituer un plagiat de quelle œuvre qui soit. Les noms des personnes cités ainsi que les villes du Jura sont irréels. Aucun fait rapporté ici ne peut être considère comme ayant appartenu à un fait divers passe ou récent.
Roman.
Chapitre I
'…..Détournements…'
Madeleine et Aurélie sont jumelles. Elles ont 5 ans lorsque leurs parents, meurent accidentellement dans l'incendie de leur appartement du côté de l'Avenue Victor Hugo. Des voisins du second étage avaient souhaité, juste avant le drame, prendre les deux petites filles pour tenir compagnie à leurs jeunes enfants, en bas âge.
Elles eurent de la chance, et purent échapper ainsi à une mort atroce.
Les parents des jumelles, de riches propriétaires terriens dans les Vosges étaient aussi négociant dans le bois.
Leur grande scierie fournissait planches et autres bois aux entreprises environnantes. De la région.
Monsieur et Madame Hamelin, fils et fille uniques, n'avaient pas de proches parents pour prendre en charge leur patrimoine. Les deux jeunes enfants seront donc les seules héritières à leur majorité.
Pierre Hamelin et Joséphine née Dubois, se marièrent en la cathédrale de Clermont-ferrand. D'où était originaire Joséphine. Lui était natif de Normandie, de la région de Quimper. Les familles respectives des deux adolescents, André Hamelin et Aristide Dubois, s'étaient rencontrées lors d'un 14 juillet. Leurs enfants, Pierre, 18ans à cette époque et Joséphine 16 ans, à l'insu des parents entretinrent une correspondance assidue, et secrète. Puis l'amour fit le reste. Un mariage s'en suivit. Quatre ans plus tard.
Le jeune couple s'installa dans cette ville de Clermont-Ferrand.
Pierre était décorateur d'intérieur. Tout ce qui était meuble et palissandre l'intéressait au plus haut point. Comme le fût feu son père. Joséphine quant à elle, ouvrit une pharmacie en plein centre ville…'Pour passer le temps ' dit-elle. Pierre voulait concrétiser sa passion et le hasard a voulu qu'il devienne acquéreur d'une fabrique en faillite, de bois en pleine forêt dans les Vosges. Il remonta l'affaire et trois ans plus tard, la Scierie HAMELIN DUBOIS était devenue fournisseur en bois de qualité de toute la région. Sa femme ne supportant pas la trop grande solitude clermont-feroise, malgré son commerce florissant, proposa à son mari d'aller vivre à Paris. Elle y avait de la famille lointaine, sans grande attache mais surtout des amies du temps ou elle était étudiante dans son ancienne université. Son mari était donc partagé entre les montagnes et la ville lumière.
Joséphine donna naissance à deux jumelles, Madeleine et Aurélie. La suite du drame est décrite plus haut.
On plaça les enfants sous tutelle, à la DASS. Elles étaient devenues pupilles de l'état. Plus tard, une famille d'accueil les prit en charge.
Madeleine, grandissante était une enfant espiègle, rieuse pleine de bonne humeur et d'entrain, ce qui donnait beaucoup de fil à retordre aux 'nouveaux parents adoptifs' alors que sa sœur Aurélie était plus calme, sérieuse et studieuse. A dix huit ans, Aurélie eut son bac, à la grande satisfaction de ces derniers. Elle se destinait à des études de droit, tandis que sa sœur n'avait goût à rien. L'administration au vu du peu d'intérêt que portait Madeleine pour les études plaça la jeune fille dans un centre d'apprentissage du côté de Montreuil. Mais devant les fugues répétées de la jeune fille, on la plaça dans un centre de surveillance mais là aussi 'l'indomptable' Madeleine en fit des siennes, et l'autorité de tutelle baissa les bras et 'l'abandonna' à son sort. Jugeant sans doute, qu'elle était majeure et qu'elle pouvait se débrouiller seule dans la vie.
Madeleine aimait sortir dans les boites de nuit en compagnie de ses anciennes amies du centre.
Les nuits parisiennes et ses lumières l'attiraient. Et comme toutes les jeunes filles de son âge, elle s'acoquina avec un jeune garçon aussi désœuvré qu'elle. Sauf que ce dernier avait ses entrés et sorties dans le petit milieu mafieux, cette faune aux aguets de toutes les proies faciles et ça Madeleine l'ignorait. Elle s'amouracha de lui; l'autre étalant son grand jeu de l'amoureux épris, offrait cadeaux, charmes et amour tant et si bien que l'ingénue ne se méfiait aucunement de ce qui l'attendait. Elle ne lui posait aucune question sur la provenance de cet argent qui coulait à flots. Le coup classique. Germain, c'est son nom de petit proxénète, fit part à sa concubine de quelques soucis passagers d'argent et qu'il fallait subvenir au quotidien. Madeleine, amoureuse, accepta de l'aider en voulant travailler croyant sans doute que son petit 'barbeau' se contenterait d'un petit émolument de vendeuse.
-'Ecoute Madeleine, je connais un monsieur qui pourrait nous renflouer, il suffit d'être un peu gentille avec lui et nous sortirons de cette mauvaise passe, tu sais que le proprio du studio nous donne jusqu'à la fin du mois pour quitter les lieux…?'
-'Mais…! C'est pas possible….! Ton travail ne te rapporte plus…!'
-'J'ai été virè il y quatre semaines mais je ne voulais pas te le dire, chérie.'
-'Mais que dois-je faire avec ce monsieur…?'
-'Rien….! Presque rien…..! Juste que tu passe une soirée agréable avec lui, c'est un monsieur très riche qui pourrait te donner un bon magot…!'
-'Expliques toi Germain, quel magot doit- il me donner…?'
-'C'est simple, tu lui offres des gentillesses pendant une ou deux heures et c 'est tout..!'
-'Tu veux dire que je m'offre à lui…?'
-'Enfin, juste un soir pour nous sortir d'affaire…! Et puis demain j'ai un rendez-vous avec un employeur sérieux qui me propose d 'être bar-man…!'
Elle accepta son offre et Madeleine se donna pour un soir à un riche Saoudien pour la modique somme de
5 000 frs.
A suivre…
Par Albert (Albert) le mardi 27 avril 2004 - 08h26: |
Par Albert (Albert) le mardi 27 avril 2004 - 08h24: |
Panne d'ADSL. Hier soir.
Par Albert (Albert) le lundi 26 avril 2004 - 21h55: |
DETOURNEMENTS à suivre le premier épisode...
Par Albert (Albert) le lundi 26 avril 2004 - 21h49: |
Suite II.
EsmeraldaAAA...§§§§...... Esméralda...§§§§§
Toi l’héroïne de L’HUGOOOOOO....§§§§§
Briseuse de cœur du pied bo.OOOO...§§§§
Du bossu malheureux, le pas beaux..§§§§..
Fou de toi il t’a porté dans ses bras le Quasimodo..§§...
Le cœur plein de chagrin en lambeau...§§§§§
Il a chanté sa complainte sur ton corps dans le caniveau..§§...
EsmeraldaAAA...§§§§...... Esméralda...§§§§§
Toi l’héroïne de L’HUGOOOOOO....§§§§§
Ton âme s’est envolée, sous les cloches envolées
De notre Dame désolée..§§§....
Point de sermon ni de litanie..§§....Tu es partie comme une fleure pendue
Par la faute du Frolo ..§§§§§....TOI LA BELLE DE L’HugoOOOOO..OOOOOO..§§§§§
DINGGGG...DING.........DI.......D..§§§§§§......