Archive jusqu'au 30/avril/2004

Discus: Le Petit Théâtre de Breitou: Archives 2004: Archives 2004: Archives Avril 2004: Archive jusqu'au 30/avril/2004
Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le vendredi 30 avril 2004 - 21h57:

...§§§§...ET LA BOUKHA DANS SON FRIGOOOOO...§§§§§..ZAIRA EST ARRIVEEEEEE..§§§§§....PAS LOIN DES CHEVALIERSSSSSSS..§§§§.....EN FOUTA ET EN CHLAKA..§§§....

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le vendredi 30 avril 2004 - 21h54:

...§§§§§§...AVEC SA BKAILA ET SA TFINE...§§§§... UN AKOUD SUR LA TETE..§§§§.....

A suivre...

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le vendredi 30 avril 2004 - 21h53:

ZAIRA EST ARRIVEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE...§§§§§

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le vendredi 30 avril 2004 - 21h37:

Début de la SAGA DES BAKHOURAI.....

'...Quatres chevaliers chevauchaient les steppes de LA BOUKHA....' QUANNNNNDDDDDD....

A suivre...

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le vendredi 30 avril 2004 - 21h27:

BIENTOT LA SAGA DES BAKHOURAI...DESCENDENTS DE BEKHORHAI....
A NE PAS CONFONDRE AVEC LES BOUKHARAI...:) :) :)

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le vendredi 30 avril 2004 - 20h56:

Betty, avec toute ma sagesse, je te conseille d'abord un AMOUR VIRTUEL avant de passer au SPIRITUS....Puis, je te conseille ensuite, de faire un cataplasme d'oignon et de sel, et tu laisse ca pendant trois jours ensuite tu me diras ca va mieux pour passer à l'action...Je veux être ton GOUROU ROU....

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Betty (Betty) le vendredi 30 avril 2004 - 16h39:

Mon cher Albert,

Merci pour ta réponse sur l'amour spiriruelle merci. encore........
DIs, du haut de mes 28 printemps, je ne sais quoi t'écrire...mes vacances : snowboard, mattage de beaux mecs...quant à mon boulot ca va.Je crains que mon amie ne met refilé son virus sur l'amour spirituelle! quoi faire! Je sais quand on parle d'amour c'est comme d'une maladie : ca s'attrappe n'importe ou, n'importe quand, ca nous ronge de l'interieur, ca nous fait mal et aucun remede contre ca.........Je penses avoir trouve un amant spirituel Mais n'est ce pas vrai qu' il vaut mieux vivre avec des remords qu'avec des regrets;betty a +

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Breitou (Breitou) le jeudi 29 avril 2004 - 22h35:

LE SHOFFAR ET LES MASQUES

Premier chapitre passè lke 27/04/2004.


Albert Simèoni.
L' Enfant de la Goulette.

Le 11/8/2003

Roman.

Chapitre II

Résumé du précédent épisode.

Madeleine et Aurèlie Hamelin, suite au décès par accident de leurs parents, dans un incendie de leur appartement, se retrouvent à 5 ans, orphelines et prises en charge par la DASS. Elles sont pupilles de l'état. Madeleine, au caractère fortement marqué, ne tient pas en place. Mises dans un foyer d'accueil, Madeleine fuit. Reprise, l'administration la place dans un centre de rééducation; là encore, elle se sauve pour tomber à 18 ans entre les mains d'un gigolo. Sa sœur Aurèlie, plus calme et studieuse se destine à des études de droit. Madeleine subit sa première expérience de 'pute.

'…..Détournements…'


Elle en était dégoûtée. Mais du moment que cela n'était que provisoire, elle n'en fit pas de gorges chaudes.
Mais le pire arriva plus tard, son gigolo, lui redemanda la même chose mais sur le trottoir. Madeleine refusa catégoriquement cette nouvelle épreuve et là les choses se corsèrent. Elle fût mise à l'amende par son protecteur et les coups pleuvaient du matin au soir. Le traditionnel et immuable métier du plus vieux du monde était en marche. Elle ne put résister à son calvaire et se résigna à la chose; offrir son corps à des clients en mal d'amour. Elle avait pris le sobriquet de Claudia. Du côté de Pigalle. Tout son argent allait dans la poche de son maquereau. Du moins au début, puis Germain, après quelques mois consentit à lui laisser le tiers de ce qu'elle rapportait. Le trottoir la répugnait au plus au point et elle s'en confiait sans prendre garde à ses 'amies' qui rapportaient tout à son mec. Nouveaux coups et insultes et cela afin de lui faire comprendre que geindre et gémir auprès des autres putes n 'est pas déontologique. Elle avait pensé un moment, de se détacher de tout cela, fuir, mais où ira t'elle …! On ne lâche pas facilement ce métier sans subir les conséquences. Et elle le saivait par les multiples exemples qui venaient à ses oreilles.

Elle était très belle Madeleine et avait un grand succès auprès de la clientèle masculine qui attendaient sa présence sur le trottoir pour monter dans le studio. Ce qui attirait souvent la jalousie des autres femmes.

De son coté, Aurélie ayant réussit sa maîtrise en droit à Toulouse avait tout fait pour retrouver sa sœur et malgré toutes les demandes de recherches déposées à la police, aucune d'entre elles n'aboutit. Les affaires de proxénétisme sont des affaires sérieuses, et secrètes. Il est rare que les enquêteurs, souvent débordés par d'autres faits plus graves, poussent les investigations dans le domaine du milieu. Devant tant de découragement, elle décida de quitter la France pour s'installer aux Etats-Unis. Elle se convertit dans le droit américain et passa avec brio tous les concours dans sa branche. Elle connut entre temps un jeune américain, avocat dans un grand cabinet de New-York. Elle devint Madame John- Marcus Stephenson. Deux ans plus tard, ils emménagèrent à Philadelphie pour voler de leurs propres ailes.

Un soir comme à son habitude, Madeleine, monta un client devenu assidu à ses charmes…Monsieur Paul.

-'Mademoiselle Madeleine…!' Lui dit il…' Ce n'est pas par hasard à que je tiens à faire l'amour avec vous. Vous êtes la seule personne dans ce bas monde qui m'offrait un peu de joie et de jouissance. Je n'ai personne d'autre..!'

Des confidences comme celles là, Madeleine en entendait toutes les minutes. Des pleurs et des lamentations d'hommes - clients étalant leur misère à une plus misérable qu'eux, constituaient sa brioche, son petit lait, son déjeuner et son dîner au quotidien; elle n'y prêtait même plus attention. Elle avait perdu toute émotion, larmes et peines envers tout ce qui ressemble à un homme.

Elle avait déjà remarqué que Monsieur Paul s'était éméché d'elle mais que pouvez t 'elle faire…? Elle ne pouvait que le rassurer….Et encaisser son fric. Mais celui là, il lui donnait trois plus qu'un client normal. Le surplus, Madeleine le cachait dans une encoignure secrète de son studio. Elle ramassa, à l'insu de son protecteur, un appréciable fond de caisse.

-'Je suis prêt à payer ton maquereau pour qu'il te libère Madeleine….! Et puis nous irons habiter loin d'ici….!'

Elle capta la nouvelle mais fit l'indifférente. Monsieur Paul revenait souvent à la charge, il ne baisait plus avec elle dans ce sordide studio mais payait quand même pour le temps passe à se raconter. A lui faire la cour.

Monsieur Paul, était propriétaire d'une entreprise de papier. Mais personne dans son entourage ne se doutait de sa mauvaise fréquentation. Madeleine connaissait sa situation et sa fidélité envers elle, ce qui attira les soupçons de Germain….Un soir…..

-'Alors ma cocotte, Monsieur Paul veut t'épouser ou quoi…..?'
-'M'épouser…? Tu crois qu'on peut m'épouser, mon cher protecteur….?'
-'Tu es très belle et attirante, tu as de la classe et pour cela tu peux me rapporter gros, tu sais…! Le Jack –pot..!'
-'Ah….! Parce que tu crois que Monsieur Paul a les moyens de payer ma libération….?'
-'Ben écoute…..! A 300 francs la passe tous les jours, je me demande d'où il apporte son fric…! Tu dois avoir une idée toi….! Hein sur ce qu'il fait…?'

-'Il est Directeur d'école…!'

-'Directeur d'école… ? Tu te fous de moi ma petite, tu veux que je te rafraîchisse la mémoire, ton Paul est proprio d'une usine à papier, une grande entreprise PAUL CARTON ET EMBALLAGE, 18 Rue Marcadet, dans le 18ième….! Cela ne te dit rien…?'

-'Et alors, si je dois me renseigner sur la véritable identité et fonction des clients qui montent, il me faudrait tenir des dossiers à longueur d'année, je te laisse le choix de t'informer mais sache qu'il n'est qu'un simple client comme Monsieur Robert ou Madame Bertrand qui vient avec son comateux de mari me faire la nique sous les yeux de cette délurée qui applaudit son mari toutes les fois qui jouit pour la modique somme de 1000 francs. Eux aussi sont des clients fidèles et même presque journaliers et tu n'a rien à redire sur eux…? Ou alors tiens….! Ton vieux gâteux, qui se met à quatre pattes pour aboyer comme un chien, on me disant ' Je t'aime Claudia…!' Tu ressembles à ma femme Clotilde…!' C'est un asile de dingues qu'il leur faut…!'

-'Tu es bien maligne Madeleine, attention de me faire une entourloupette, je te fais confiance, tu sais après de si belles années passées ensemble, il est regrettable que tu te retrouve au fond d'un trou incognito ou nageant entre deux eaux que même la police aura du mal à te reconnaître…!'

A suivre…LUNDI...VERS LES 20H 30..MERCI...

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le jeudi 29 avril 2004 - 22h26:

 POEMES


Sonnet d'étè.

Pour la Ninette.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Breitou (Breitou) le jeudi 29 avril 2004 - 22h15:

RESUME



Madeleine et Aurèlie Hamelin, suite au décès par accident de leurs parents, dans un incendie de leur appartement, se retrouvent à 5 ans, orphelines et prises en charge par la DASS. Elles sont pupilles de l'état. Madeleine, au caractère fortement marqué, ne tient pas en place. Mises dans un foyer d'accueil, Madeleine fuit. Reprise, l'administration la place dans un centre de rééducation; là encore, elle se sauve pour tomber à 18 ans entre les mains d'un gigolo. Sa sœur Aurèlie, plus calme et studieuse se destine à des études de droit. Madeleine subit sa première expérience de 'pute.

DETOURNEMENTS...II
Ne ratez pas la suite, le second épisode....

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Belebou (Belebou) le jeudi 29 avril 2004 - 21h48:

Madeleine.....Oh....Madeleine...§§§§
Je ne nourrie pas de haine.
Mon amour est toujours dur comme du PAIN
Pour toi......§§§...Oh ma CHERIE...§§§§§..

Madeleine.....§§§§§.....Oh.....Madeleine...
Tu m’as piquée mon bas de laine
Pendant mon doux sommeil
Et je me suis retrouvé nu à mon réveil...§§§§§

MadeLEINEEEEEEEEEEE..........
Elle est partie avec mon bas de laine
Et je maudis son jour de baptême.
Je la vomis de toute mon haleine....§§§....

Elle qui pleurait comme une Madeleine
Le jour où elle je l’ai rencontré, la sans gêne
Juste pour m’apitoyer la chienne...§§§§...

J’ai pas tardé à trouver une Hélène...§§§§....
Une belle pied bo de la région de l’Ain.
On s’est marié du coté de Saint Germain (en Lay)
Devant le maire, un natif de St Ouen.
Un descendant des vieux mérovingiens
Qu’il nous a dit, durant la cérémonie.

Hélène émue, coulait ses larmes jusque sur ses seins
Quand il nous a unit pour le pire et nos lendemains.
Déjà que mon Hélène chérie ne se tenait pas très bien
Elle a osé poser son court pied sur le mien
Pour être à la bonne taille, ce n’était pas malin.

Nous sommes sortis ainsi main dans la main
Son pied dessus sur le mien pour le maintien.
Pour tenir en équilibre durant tout le chemin.

En attendant les enfants, nous avons adopté deux chiens.
Romus et Romulus. Deux caniches pygmées ; des maliens.
Au bout de six mois, Hélène tomba enceinte un matin.
Nous étions heureux dans notre ferme avec Rintintin.
Notre vieux canasson. A cheval nous montions Hélène
Et moi, quand nous allions chez notre cher voisin Adrien
Pour lui vendre notre petit lait bien frais tous les matins.

Puis un jour, Hélène est partie, elle aussi avec mon bien
Que j’ai trouvé inerte en chemin, mon brave Rintintin...

Et puis.....bon c’est tout...je voulais jouer au malin....
Sans trouver une bonne fin, car j’ai faim.....

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le jeudi 29 avril 2004 - 21h43:

Après le temps des rigolotess
Voici arrivé celui des khalotes.

Celui des pains pains
De mes tartines du matin.
Mon cher Jano.
Au lieu de raconter des brioches.
Chére à la Marie Antoinette...Tiens Tiens..

Que restent ils de leur belles mémoires
Qui ressemblent à de la mie de pain.
Mais ça c’est de la vieille histoire.