Archive jusqu'au 21/septembre/2006
Discus: Le Petit Théâtre de Breitou: Archives 2006:
Archive Septembre 2006:
Archive jusqu'au 21/septembre/2006
Biber Man Fils,
Ti a vue comment k'mes deux fils, Fouchiq et Douda, ils sont partir avant toi, a la richerche di trizor diz Incas, si ti ti dépèches pas, ils vont trouver l'or avant Toi, alors ezri ya fils!
Je viens de recevoir une réclamation!
Le directeur du PTB trouve ma carte de voeux vraiment petite ! malgré mes occupations, je vais essayer encore une fois, se souhaiter Bonne année deux fois plutot qu'une ce n'est pas de refus !
Mamili
Biber Fils,
Ca c'i la terre di tes prochaines voyage, d'aprés Man fils Fouchiq, c'est là ou ya man fils Douda, k'il veut ti rencontrer et k'il t'attend, dis moi si ti l'a vu.
Pour vous Madame Michka.
LE FILM QUI VOUS A ETE PRESENTE, PARTI SUR UN SIMPLE VOL DE CB N'AURAIT PAS PU ETRE REALISE SANS LA PARTICIPATION PHOTEGENIQUE DE MADAME MICHKA, P_NINA et vous tous qui suivaient assiduement les délires d'un vieux chnoque qui n'est pas né dans l'Orénoque.
A bientôt dans de nouvelles aventures.
Quoique que le filou à plus d'un tour dans son sac. Vous le saurez dans la suite...
MEYER AU PEROU
Un très long métrage avec plus de 20 Artistes dans des rôles prestigieux.
N° 31.
Breitou, une fois de retour au bercail…
‘…Breitoui chnouè él télègramme ehdè… ?’
‘...Oh ce n’est rien, une variation de style… !’
‘…Tu leur a vendu une variation de style… ?’
‘…Presque…. ! UN BATEAU DU VERBE QUI SE FAIT CHIER… ! Pour 200 000 faux Dollars qu’il m’a refilé l’autre couillon vénézuélien.
Quelques jours plus tard, un navire ‘..LE COSTA DEL BRAZIL lance ses amarres sur le lac
Maracaibo. Ramirez est venu prendre possession de sa FORCE DU VERBE EN BLINDEE.
Dix hommes sont là pour décharger les caisses.
‘…Ma, elles mé paraissent bien légères ces casses… !’
Ramirez ouvre la première caisse. Au fond, il trouve une lettre.
‘…Ras El Poupa… !’
‘..Il a change sa marchandise pour une tête de Poupa… ! Lé Breitou… ! Ca m’apprendra à loui faire confiance… ! ’
Chanson du film chantée par Mamilios.
‘..Mais qui l’eut cruUUU ???///§§§§§§§§§§§§§§§
‘…..Pour un service non rendu,
Il s’est retrouvé à nuUUUU.§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§
Dépouillé mis à saAAAAAc de tous ses dus
Envolés par la faute d’une dizaine de chiffres
Qu’il a confié à son meilleur amIIIIi. §§§§§§§§§§§§
Pour un service non rendu
Il a pourfendu à son insu son ami L’Albert/
Meyer le vioc…. ! Qui l’eut cru…§§§§§§§§
A détourné à son profit tant de tuUUUUnes§§§§§§
Au malheureux AlbeRRRRRRrt.§§§§§
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Bien des abus que l’intrus
A commis sans retenuUUUUUe.
Au pays de l’or NoiIIIIIr, il a creusé son puits
En réussissant l’exploit de détourner aussi mes amis. §§§§§
Il a crée une compagnie d’Oil, lui qui parle la langue d’Oil…§§§§
Qui n’est pas dans sa poche…§§§§
Mais dans le fond, il s’est retrouvé gros jean comme devant.. !
Les dollarRRRRRRs ne valent rieEEEEn devant l’amitié… !’
§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§
NB.
Meyer ne m’a jamais rien prit, c’est un homme intègre, honnête et sérieux. RM.
CATASTROPHE A MARACAIBO.
N° 30.
Et là surprise….La tête du trépan surgit à cent mètres derrière eux….Et une colonne de liquide salé gicle à une vitesse supersonique à mille mètres de hauteur. Une trombe d’eau en panache. Ils ont troué la terre de part en part à cause de la cupidité de Meyer le voleur.
‘…SAUVE QUI PEUT… !’ Crie le MEYER en émoi. ‘…ALERTE…. !’Hurle Arlette qui ouvre son parapluie (nucléaire)
Tout le monde détale comme des lapins.
Le lendemain, à la télé…
‘…Le niveau de l’océan Pacifique a diminué, les scientifiques étudient la question mais sont sceptiques sur cette grande quantité d’eau sans doute évaporée dans la nature… ! le Ministère de l’environnement à ouvert une enquête… !’
Deux minutes plus tard…
Flash d’information.
‘…ATTENZIONE…. ! ATTENZIONE…. ! Aux habitants de Maracaibo… ! Nous les informons qu’un tsunami se prépare. Ils doivent quitter leurs habitations dans les minutes qui suivent cette alerte… ! N’emportez rien, sinon vous serez tous emportés… !’
Meyer. Dans l’avion de retour vers Paris.
‘…Nous avons manqué de chance… !’
‘…Tu as manqué de PUITS… ! Oui… !’
Quelques jours plus tard, Albert reçoit un télégramme. Au PTB.
‘..Senor, Breitou… ! La révoluZione attend la FORCE DU VERBE… ! Merci de confirmer le jour de l’embarquement… !
Signé Commandante Ramirez…’
A suivre….