Archive jusqu'au 05/mai/2004

Discus: Le Petit Théâtre de Breitou: Archives 2004: Archives Mai 2004: Archive jusqu'au 05/mai/2004
Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Douda (Douda) le mercredi 05 mai 2004 - 19h32:

La Douda : ( Hak El Ouet International Tracking Station )

Le Ronchon : Qui ronronne ?

c:/


Wnessou El Douda

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le mardi 04 mai 2004 - 22h00:

Spectacle de rue. Le 28/03/2004.

LES TAMBOURS


Je pose mes pleins pieds sur le quai de ma station de République.

Un écho de roulements de tambours parvient à mes oreilles. Je gravis les quelques marches qui me séparent du boucan. Un grand cercle de badauds s’offre à mes yeux. Les roulements des JEMBE sont plus nets, plus forts. Je m’arrête en tendant le cou. Pose mon cartable à terre. Deux hommes de couleur, des antillais, accompagnés d’un chœur de même couleur accompagnent la mesure en tapant des mains.

L’un d’entre eux chante en créole. Dans sa langue.

Le rythme est saccadé. Les mouvements des frappes sur la peau tendue des ‘Darbouka’ fracassent l’air. Coups d’arrêt intempestifs.Reprises toujours sous les chants des ‘hommes noirs’. Cela me rappelle le tam tam des indigènes des forets tropicales.

Le décor est loin de ressembler à la brousse. Point de grands séquoias que des murs blancs sales.

Les badauds dandinent la tête de gauche à droite. Certains battent la mesure avec leurs pieds. Les roulements des tambours envahissent les couloirs du métro.

Des quidams passent leur chemin, d’autres viennent grossir la masse compacte. Humaine.

Un homme de couleur pourfend la foule et prend le centre de la piste. Il commence a gesticuler. D’abord lentement puis de plus en plus vite. Son corps se contorsionne. Ses bras ballants montent et descendent en suivant le rythme fou. Il sautille par moment. Il frétille par instant.

Son jeu de jambe est saccadé. Il est prit de frénésie. Presque envoûté. Un génie semble être rentré en lui. Il ferme les yeux tout en dansant. Toujours en suivant le rythme endiablé. Hallucinant. Il recommence à sautiller, pieds joints et les yeux presque hagards. Il est prit dans la tourmente des battements des tambours. Il s’arrête net. Pour mieux repartir.

Une dame de couleur, une haïtienne bien dodue prend le relais toujours sous les yeux des spectateurs.

Elle s’agenouille. Elle se relève. Elle tourne sur elle-même en faisant des gestes ronds autour d’elle. On applaudit sa prestation. Elle reprend sa place parmi l’assemblée.

Toujours les roulements des tambours.
Je reprends ma sacoche. Je continue mon chemin. Je croise un romanichel à genoux comme une nonne, les bras en croix sur sa poitrine, tenant une pancarte en carton….’ ..J’ai faim..’

Plus loin, je retrouve mon joueur de Pipo avec sa musique ‘ La Hatikva.. !’

Je suis dans le métro et j’écris. L’instant d’avant.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le mardi 04 mai 2004 - 21h45:

C'est tellement simple
L'aAAAmour
Tellement possible
L'aAAAAmour
AAAAAA qui l'entend
RegarRRRRde autour
A qui le veut
VraiAIAIAIAment
C'est tellement rieEEEEn
D'y croirRRRRRe..§§§§§...
Mais tellement tout
Pourtant
Qu'ilLLLLLLLL vaut la peine
DeEEEEE le vouloir
De le chercher
Tout le temps

Ce sera nouUUUUUUUUUUUUUUUUUs, dès demaiIIIIIIIn
Ce sera nouUUUUUUUUUUUUUUs, le cheEEEEEEEmin
Pour que l'amouUUUUUUUUUUUUUr
Qu'on saura se donner
Nous donnNNNNNNNe l'envie d'aimeEEEEEr

C'est tellement court
Une viIIIIIIIIe
Tellement fragile
AussIIIIIIIIIIIi
Que de courRRRRRRRRir
Après le temps
Ne laisse plus rien
A viIIIIIIIIIIvre

Ce sera nouUUUUUUUUUUUUs, dès demaAAAAAAAAAin
Ce sera nouUUUUUUUUUUUUs, le chemiIIIIIIIIn
Pour que l'amouUUUUUUr
Qu'on saura se donnNNNNNNNNer
Nous donnNNNNNNNNe l'envie d'aimer

Ce sera nouUUUUUUUUUUUUUUs, dès ce soir
A nouUUUUUUUUUUUs de le vouloir
Faire que l'amouUUUUUUUr
Qu'on aura partagéEEEEEEEE
Nous donnNNNNNNNNe l'envie d'aiIIIIIIIIImer

C'est tellement fort
C'est tellement tout

L'amour

Puisqu'on attend
De vies en vies
Depuis la nuit
Des temps

Ce sera nouUUUUUUUUUs,
Ce sera nouUUUUUUs,
Ce sera nouUUUUs,
Pour que l'amouUUUUUUr
Qu'on saura se donneEEEEr
Nous donNNNNNNNNNNNNe l'envie d'aimer

Ce sera nouUUUUUUs, dès ce soir
A nouUUUUUs de le vouloir
Faire que l'amouUUUUUUAAAAAAAr
Qu'on aura partagé
Nous donnNNNNNNNNNNe l'envie d'aimer...ER ER ER...

Daniel LEVY...

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le mardi 04 mai 2004 - 21h28:

La mort du Loup

Les nuages couraient sur la lune enflammée
Comme sur l'incendie on voit fuir la fumée,
Et les bois étaient noirs jusques à l'horizon.
Nous marchions sans parler, dans l'humide gazon,
Dans la bruyère épaisse et dans les hautes brandes,
Lorsque, sous des sapins pareils à ceux des Landes,
Nous avons aperçu les grands ongles marqués
Par les loups voyageurs que nous avions traqués.
Nous avons écouté, retenant notre haleine
Et le pas suspendu. -- Ni le bois, ni la plaine
Ne poussait un soupir dans les airs; Seulement
La girouette en deuil criait au firmament;
Car le vent élevé bien au dessus des terres,
N'effleurait de ses pieds que les tours solitaires,
Et les chênes d'en bas, contre les rocs penchés,
Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés.
Rien ne bruissait donc, lorsque baissant la tête,
Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis en quête
A regardé le sable en s'y couchant; Bientôt,
Lui que jamais ici on ne vit en défaut,
A déclaré tout bas que ces marques récentes
Annonçait la démarche et les griffes puissantes
De deux grands loups-cerviers et de deux louveteaux.
Nous avons tous alors préparé nos couteaux,
Et, cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches,
Nous allions pas à pas en écartant les branches.
Trois s'arrêtent, et moi, cherchant ce qu'ils voyaient,
J'aperçois tout à coup deux yeux qui flamboyaient,
Et je vois au delà quatre formes légères
Qui dansaient sous la lune au milieu des bruyères,
Comme font chaque jour, à grand bruit sous nos yeux,
Quand le maître revient, les lévriers joyeux.
Leur forme était semblable et semblable la danse;
Mais les enfants du loup se jouaient en silence,
Sachant bien qu'à deux pas, ne dormant qu'à demi,
Se couche dans ses murs l'homme, leur ennemi.
Le père était debout, et plus loin, contre un arbre,
Sa louve reposait comme celle de marbre
Qu'adorait les romains, et dont les flancs velus
Couvaient les demi-dieux Remus et Romulus.
Le Loup vient et s'assied, les deux jambes dressées,
Par leurs ongles crochus dans le sable enfoncées.
Il s'est jugé perdu, puisqu'il était surpris,
Sa retraite coupée et tous ses chemins pris,
Alors il a saisi, dans sa gueule brûlante,
Du chien le plus hardi la gorge pantelante,
Et n'a pas desserré ses mâchoires de fer,
Malgré nos coups de feu, qui traversaient sa chair,
Et nos couteaux aigus qui, comme des tenailles,
Se croisaient en plongeant dans ses larges entrailles,
Jusqu'au dernier moment où le chien étranglé,
Mort longtemps avant lui, sous ses pieds a roulé.
Le Loup le quitte alors et puis il nous regarde.
Les couteaux lui restaient au flanc jusqu'à la garde,
Le clouaient au gazon tout baigné dans son sang;
Nos fusils l'entouraient en sinistre croissant.
Il nous regarde encore, ensuite il se recouche,
Tout en léchant le sang répandu sur sa bouche,
Et, sans daigner savoir comment il a péri,
Refermant ses grands yeux, meurt sans jeter un cri.
J'ai reposé mon front sur mon fusil sans poudre,
Me prenant à penser, et n'est pu me résoudre
A poursuivre sa Louve et ses fils qui, tous trois,
Avaient voulu l'attendre, et, comme je le crois,
Sans ses deux louveteaux, la belle et sombre veuve
Ne l'eut pas laissé seul subir la grande épreuve;
Mais son devoir était de les sauver, afin
De pouvoir leur apprendre à bien souffrir la faim,
A ne jamais entrer dans le pacte des villes,
Que l'homme a fait avec les animaux serviles
Qui chassent devant lui, pour avoir le coucher,
Les premiers possesseurs du bois et du rocher.
Hélas! ai-je pensé, malgré ce grand nom d'Hommes,
Que j'ai honte de nous , débiles que nous sommes!
Comment on doit quitter la vie et tous ses maux,
C'est vous qui le savez sublimes animaux.
A voir ce que l'on fut sur terre et ce qu'on laisse,
Seul le silence est grand; tout le reste est faiblesse.
--Ah! je t'ai bien compris, sauvage voyageur,
Et ton dernier regard m'est allé jusqu'au coeur.
Il disait: " Si tu peux, fais que ton âme arrive,
A force de rester studieuse et pensive,
Jusqu'à ce haut degré de stoïque fierté
Où, naissant dans les bois, j'ai tout d'abord monté.
Gémir, pleurer prier est également lâche.
Fais énergiquement ta longue et lourde tâche
Dans la voie où le sort a voulu t'appeler,
Puis, après, comme moi, souffre et meurs sans parler."
Alfred de Vigny

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le mardi 04 mai 2004 - 21h22:

Bon ANNIVERSAIRE HAIIIIII...MARA 120 ANS....BLECHI YOGAZ....SAIS TU QU'IL Y A UN PERIODIQUE DE LA SECTE DES TEMOINS DE JEOVAH QUI S APPELLE "REVEILLEZ VOUS...! 'Tu veux semer la révolution ou koi...?? :) :) :)

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le lundi 03 mai 2004 - 23h32:

D E T O U R N E M E N T S IV...Jeudi même heure si D ieu veut et si mon ADSL, ne me donne pas du fil à retordre...
Merci...

Betty la vita é bella...! :) :) :)

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le lundi 03 mai 2004 - 22h54:

D E T O U R N E M E N T S III

Albert Simèoni.
L' Enfant de la Goulette.

1° Episode passe le 27/4 et le 29/4.

Le 11/8/2003,

Roman.

Chapitre III

Résumé des précédents épisodes..

Madeleine et Aurèlie Hamelin, suite au décès par accident de leurs parents, dans un incendie de leur appartement, se retrouvent à 5 ans orphelines et sont prises en charge par la DASS. Elles sont pupilles de l'état. Madeleine, au caractère fortement marqué, ne tient pas en place. Mise dans un foyer d'accueil, elle fuit. Reprise, l'administration la place dans un centre de rééducation, là encore, elle se sauve pour tomber à 18 ans entre les mains d'un gigolo. Sa sœur Aurèlie, plus calme et studieuse se destine à des études de droit.
Un certain Monsieur Paul, tombe amoureux de Madeleine et veut la sortir de cet enfer. Mais c'était sans compter avec son gigolo, qui soupçonne sa 'concubine ' de lui préparer un coup…
/


'…..Détournements…'


'…….Et pour mieux appuyer sa menace, il sort une lame bien lisse qu'il passe sur son cou.
Le message était clair. Mais Madeleine bien que sous pression, commença à réfléchir sérieusement à l'offre de Monsieur Paul; S'enfuir avec lui et recommencer sa vie, ailleurs loin de tout ce vice.

Elle n'avait pas oublié, aussi que dans son jeune âge, ses défunts parents possédaient une scierie dont elle n'a plus de nouvelle. Est-elle sous séquestre…? A t'elle était vendue…? Toutes les démarches que les sœurs avaient faites autrefois pour récupérer leur part d'héritage étaient restées vaines.

Leur patrimoine avait comme disparu dans les méandres de la justice. Les banques sollicitées à l'époque, ne trouvaient plus trace de Monsieur et Madame Pierre- Hamelin, comme si une chape de plomb s'était soudainement abattue sur leur bien, après plus de 20 ans, leur fortune qui devait s'élever à plusieurs millions de francs.

A Philadelphie, Les John's fêtaient le premier anniversaire de leur nouveau-né Pierre –Marcus Junior. Tout semblait leur sourir. Les affaires du cabinet ' John- Marcus and Son' étaient au beau fixe. Ils habitaient un très grand pavillon dans la banlieue de Philadelphie et comptaient même acquérir un ranche dans le Colorado, pour passer leurs vieux jours. Aurélie, consultait souvent les journaux français à la quête de nouvelles de sa sœur et pensa même passer dans la célèbre émission 'Perdu de Vue' pour lancer un avis de recherche mais écrasée par le boulot elle ne put tenter cette tentative. Qu'est t'elle donc devenue sa sœur Madeleine se disait-elle souvent ! Dans ses moments de solitude.

Madeleine prit enfin la décision de quitter son 'amant protecteur'. Elle en fit part à Monsieur Paul qui trouvait enfin son intérêt.
- Quand vas-tu lui parler à ton mec…?'
-'Lui en parler…? Mais pas du tout…! Nous allons échafauder un stratagème pour nous enfuir sans attirer son attention.!'
-'Tu ne veux pas que je te rachète à lui…?'
-'Comme une esclave…? Ne trouves-tu pas qu'il a assez gagné d'argent sur ma tête pour lui payer encore une 'dote' à ce vaurien…!'
-'Mais il nous poursuivra jusqu'à la fin de notre vie…?'
-'Il ne nous poursuivra nulle part, nous allons dans les Vosges, habiter…!'
-'Dans les Vosges...?' Pourquoi dans les Vosges…?'
-'Mon père était un riche négociant en bois et je ne suis pas seule dans la vie, j'ai une sœur jumelle Aurèlie et je n'ai plus eu de nouvelles d'elle depuis plusieurs annèes. Je sais seulement qu'elle faisait des études de droit puis plus rien…Et c'est à ce moment que je suis tombée dans les griffes de Germain…!'
-'Une sœur jumelle…? Ca alors…?'
-'Ecoutez Monsieur Paul, et votre affaire qu'allez-vous en faire…? Est- ce que cela vaut la peine de tout laisser tomber pour une pute…?'
-'Ne dites pas cela, je vous vois autrement depuis le premier jour, alors ne prononcez plus ce genre de mots..! J'ai déjà pris mes dispositions et j'attendais votre feu vert. J'ai transféré une bonne partie de mon argent dans une banque suisse, et je pourrais redémarrer…! Et puis votre idée des Vosges ne me déplait pas, le bois et le papier ne se marient-ils pas ensemble…?' On pourrait ouvrir une usine de retraitement du papier avec la sciure de bois etc…! Alors…! Quand partons nous..!'
-'Demain soir, soyez près, vers les 16 heures, vous me trouverez devant l'église Notre Dame de Sainte Rita, c'est mon lieu de prière…!' C'est la patronne des putes...! Des cas désespères..! Ne le suis-je pas…?'
-'Plus maintenant, Madeleine…!'.

Elle rentra chez elle, son jules l'attendait.

-'Tu m'as l'air, bien nerveuse, chére femme…! Alors on est heureuse par cet après-midi…? '
-' Ben oui, surtout que ton saoudien, à émit le souhait que j'aille directement à son hôtel et non plus faire l'amour comme une cochonne dans ton trou à rat…!'
-'Ah….! Tiens..! Tiens…! Il veut de l'aisance notre arabe, bon écoute dans ce cas là, tu l'appelles et tu lui dis que c'est 10.000 frs que je veux…! Ok..?'
-'Je lui ai même demandé 15 000 frs…!
-'Toi….! Tu seras un jour mon associé, Madeleine, avec un nez pareil dans les affaires, je vais me faire du pognon à gogo…! Et même me coudre des couilles en or…!'
-'Oui tu en as bien besoin, d'autant plus qu'elles deviennent bien molles…!'

Il est 16 heures piles. Le lendemain. Madeleine aperçoit Monsieur Paul. Il est là au rendez-vous, à l'heure précise. Elle monte dans sa voiture et direction le périphérique. Ils roulent à vive allure vers leur destination. Laissant Paris derrière eux. Et le vice.

Pendant ce temps, Germain téléphone au studio de Madeleine. La sonnerie retentit plusieurs fois mais personne ne soulève le combiné. Il a compris le conard, le beau Germain que quelque chose d'imprévu est arrivé. Il démarre en trombe et se rend au studio. Les vendeuses de charme lui apprennent qu'elles ne l'ont pas vu de toute la journée. 'Elle a fui la garce…! Elle me le paiera…' Tels furent ces derniers mots.

Arrivés dans la ville de Charroux, perché sur les montagnes vosgiennes. Paul et Madeleine sont à présent à l'abri. Il déniche un hôtel pour y passer la nuit et voir plus clair le lendemain matin qui ne va pas tarder à venir. Enfin, ils respirent loin de Paris et surtout des contraintes de cette ville aux cent mille et plaisirs.
Ils passent une nuit reposante et bienfaisante.

Au petit déjeuner, ils prennent la décision de louer tout d'abord un petit appartement dans cette ville. Puis en second plan de s'informer sur cette fameuse scierie dont Madeleine ne connaît même pas l'emplacement.

Elle a 25 ans tandis que Paul en a 45.

A suivre…

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le lundi 03 mai 2004 - 22h44:

'...en fait, doc...!!!!' Doc...MOI...?
DOC GYNECO....???? TU VEUX DIRE...:) :)

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Breitou (Breitou) le lundi 03 mai 2004 - 22h40:

Chanson triste sur un air improvisé de Breitou

Gousch Katif

Le Soleil, ma mère, hier s’est levèEEEE....A L’Est.
Comme il le fait tous les jours dans son ciel serein,
Toujours le même geste.
EclataAAAAAnt....DE lumière.....Brûlant de chaleurRRR.
Sur les chemins du Gousch Emounim....MMMMmmmmm...§§§....

Ma mère, hierRRRR.....Ils étaient sur ce cheminNNNN.....§§§
Le chemin plein de poussière que le vent n’a point levèEEEEE..§§§
Mais la mort HIDEUSE s’est réveillEEEE...§§§§..MMMmmmmmm...

El bareh yé mâAAAAAAA.....Aâllè gheflè
Bel ghadriout jebdou ââl èl mAïmaAAAA...Lyoudiè...
Et sur les enfants aussi....§§§§§....

(Hier, maman, par surprise, par traîtrise ils ont tiré sur la maman juive..)

Ils étaient du Gousch Katif
Ils furent assassinés par des sans ‘Din’. ( sans foi)
Sous la route du soleil, baignée de soleilLLL...§§§§§...

La terre fut éclaboussée hier ma mère
Par leur sang innocent, pur et fierRRRR....§§§§§...

Ahhhhhh...AHHHHHHHH..........

OU...OU...QadechHHHHHHHHHHHH KADDICH.......§§§....
Fouk el ard ehdi mkodchaaaa ..§§§§..
Yesser mébloula ââla sidi bnédèm, bel dém el ghèliIIIIIIIiiii Elli khèrèj mél b’dènèm...§§§....
..§§§§§...Maktoul bél dolm...§§§§§§

(Et combien de prières des morts, Sur cette terre sacrée.
Elle est trop arrosée par le sang de la gente humaine qui coule de leurs corps
Injustement tués.)


OhhhhHHHHHH...§§§§§..OhhhhhhHHH.......Maman, j’ai vu le père
Hurler son chagrin sur ces chers qu’on allait enterré...§§§...MMMMmmmmmmmm
Enveloppés dans des linceuls blanc comme de la soie...§§§..

Ou Qadéch ‘ChemAAAAA....’ tââlyine lél chmè
Ou qadéch chmââ mchaylin, ya MâââÂAAA....§§§§§..
Belli kotrou él éwè tahraq, ou kloubèm zeddèHH......§§§§...
Ou aïneyèm djarhou bél dmou...OUUUU...§§§§§.....

( Et combien de ‘Chemââ’ qui montent au ciel
Et combien de bougies allumées, maman...
Il y a en tellement que l’air sent le brûlé et leurs cœurs aussi.
Leurs yeux sont blessés par les pleurs..)


Le soleil, ma Mére....Ma MérrRRE....s’est arrêté un instant
Sais tu qu’il est à présent sans épouse et enfants
Le père David du Goush Emounim...Le père de la foi.....§§§§§§§§§...

Le soleil s’est couché à l’ Ouest
Ainsi que la maman et ses enfants du reste...
Hila - Hadar - Roni et Mérav

MMMMmmmmmmmm________MMMMMmmmmmmm_____ §§§§§§

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Belebou (Belebou) le lundi 03 mai 2004 - 22h28:

Il n'y a point de crise dans l'amour, il n'y a pas non plus d'âge dans l'amour. Il y a des moments de bonheur qu'il faut savoir reconnaitre.
Il faut surtout savoir aimè parfois sans contrepartie, et comme le dit Azanavour, savoir quitter la table sans se retourner...Savoir gérer dans le calme et la sérènitè, savoir d'abord s'aimer soit même, respecter son égo, avant de te lancer dans des 'chimères' qui vont perturber ta vie au quotidien car sans doute tu ne dois pas l'ignorer, il n'y a pas pire qu'un amour sans retour ou alors d'une passion ignorèe par autrui. On n'en sort pas intacte.

Mais, si tu as la force, le courage et la foi d'assumer en pensant que peut être, il n'y aura pas de lendemains, alors dans ce cas là, vit ton réve jusqu'à l'épuisement comme ça tu pourra dire
'...Oui, j'ai révè de qq chose qui m'a fait espèrè..!'.

Je te souhaite vraiment de conclure et peu importe l'âge de celui qui te fais craquer. :) :) :) Il ne faut pas que tu meures idiote un jour et que surtout tu es des remords.

Quant le coeur a parlè, le corps souffre parfois.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Breitou (Breitou) le lundi 03 mai 2004 - 22h17:

C'est elle qui ne m'aime pas La Douda, je le sens.

{2{DETOURNEMENTS} dans quelques instants.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le lundi 03 mai 2004 - 21h48:

La crainte esr le début de la peur Betty.
Il y a un temps pour tout...Alors n'oublie pas que rien ne vaut la santè, le reste c 'est du pipo...Ce soir Betty, ,je chante une chanson triste, très triste...PUIS Il y aura la suite du récit Détournements et je vais voir comme je termine, lis moi, je vais te consoler et surtout t'aider moralement dans ton 'amour' sans raison. Mais de Platon.