Archive jusqu'au 06/mai/2004

Discus: Le Petit Théâtre de Breitou: Archives 2004: Archives Mai 2004: Archive jusqu'au 06/mai/2004
Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le jeudi 06 mai 2004 - 21h35:

Monsieur LEBLANC, se parer de plumes de PAON me donne la nausèe et je ne ressemble nullement à ce volatile comme le décrit la Douda, par contre je trouve Monette franchement trés belle en tenue de marièe...Nonette, je crois que je vous aime avec cette 'gouneïla' en évantail, n'oubliez pas que c'est l'humour, et non votre humeur envers moi, qui prime ici.

Je sais que vous ne pouvez pas me piffer mais celà n'est pas trés important, l'essentile est de vous lire, et j'en suis heureux.

Je ne crois pas aussi que Mr le Webmaster puisse bloquer vos réponses ici, je lui serai reconnaissant au contraire, de laisser la critique suivre son chemin,sans la censurer.

Soyez la bienvenue et baroukh abba.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le jeudi 06 mai 2004 - 21h21:

La Douda quel Aeron...PAON...GE...de photos..

Vraiment yatic el Saha....

Bienvenue Monsieur Leblanc...

Axelle, un rêve découle toujours d'un subconsicent, votre désir ardent d'aller vivre enj Israêl vous emeut profondément...Quand à donner un vrai sens à votre rêve, je ne saurai trop vous conseiller sur son interpretation.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Douda (Douda) le jeudi 06 mai 2004 - 19h02:

La Douda : ( Hak El Ouet International Tracking Station )

Le Ftileur : On se pavane chez Breïtou .

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Wnessou El Douda

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Leblanc (Leblanc) le jeudi 06 mai 2004 - 18h25:

je voulais simplement protester contre la dérive d'adra Qui de
mieux que La Fontaine ? J' aurai pu tout aussi bien choisir : les
animaux malades de la peste.
Ce qui toute réflexion faite aurait mieux convenu

on ne peut pas affubler d'un nom d'oiseau, un correspondant qui
n'est pas d'accord avec une de vos interventions.

Il semble que ce soit devenu une habitude sur le site.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Bekhor (Bekhor) le jeudi 06 mai 2004 - 16h00:

Monsieur Leblanc, s'il vous plait veuillez nous eclairez sur votre phamphlet, est ce une alusion a notre ami Breitou?
Le maitre de ces lieux?
Je suis bien heureux que vous l'avez surpris en plagiat, je m'en doutait depuis longtemps, pourtant j'avais cherché et je n'avait rien trouvé. eclairez nous SVP.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Nonette (Nonette) le jeudi 06 mai 2004 - 13h18:

j'avais oublié la fable de ce bon La Fontaine;
merci Leblanc!se parer des plumes du paon ne donne en effet ni talent ni esprit...

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Axelle (Axelle) le jeudi 06 mai 2004 - 11h59:

UN BIEN ETRANGE REVE ...

Cette nuit, je me suis réveillée vers 5 h du matin encore sous le coup de l'émotion par ce rêve que je venais de faire. Le voici.
Je me suis retrouvée tout à coup dans une ville jusque là, encore inconnue pour moi. Mais, cette ville datait de plusieurs siècles. Les pierres et les maisons étaient très anciennes.
Je marchais dans une rue de cette ville. ( elle était magnifique ). Les gens, me souriaient, pourtant, je ne les connaissais pas. Ils semblaient si heureux ...
Et, soudain, j'aperçus, au loin, un vieil homme qui marchait lentement et qui venait vers moi.
Petit à petit, les gens qui se trouvaient dans cette rue partirent doucement, non, sans avoir salué le vieil homme.
Je continuais de marcher, et, le vieil homme en arrivant près de moi, mit sa main sur mon épaule et me dit ceci :
Ma fille, laisse-moi te donner ce livre. Tu le liras quand tu le voudras. Il contient les paroles de la sagesse. Ce livre était très ancien, mais très beau. Puis, avec un regard remplit de tendresse, me dit ceci :
Suis cette route et tu trouveras ta voie.
Il reprit sa route tout en marchant lentement avec sa canne. J'ai voulu le rattraper, mais, plus j'essayais de courir, plus je ne pouvais pas !
Et, pourtant, j'aurais tant voulu lui témoigner mon affection, car ce vieil homme avait été si gentil avec moi.
J'ai repris ma route, toute seule, car cette rue était toujours vide. Et je marchais, je marchais ...
Puis, je me suis réveillée ! triste de ne pas connaître la suite de ce merveilleux voyage.
Ce matin, j'ai raconté ce rêve à mon mari, qui ne semblait pas surpris du tout !
Je dois vous dire quelque chose, dans quelques mois nous devons partir en Israël. Et, l'autre jour, je faisais part de mon inquiétude à mon mari, devant les évènements tragique qui se sont déroulés. Ce qui n'enlève pas ce désir profond d'y aller.
Mon mari m'a dit : Nous irons en Israël, ne t'inquiète pas. Puis, avec un regard remplit de tendresse m'a dit : n'oublie jamais, l'Eternel est ton berger.
Alors, depuis cette nuit, je me pose beaucoup de questions sur ce rêve. J'aimerais connaître vos réflexions et ce que vous en pensez. Ce rêve m'a profondément troublée. Si seulement la nuit prochaine je pouvais en connaître la suite ...

Cordialement. Axelle.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Leblanc (Leblanc) le jeudi 06 mai 2004 - 10h42:

a propos d'oie

Un Paon muait ; un Geai prit son plumage ;
Puis après se l'accommoda ;
Puis parmi d'autres Paons tout fier se panada,
Croyant être un beau personnage.
Quelqu'un le reconnut : il se vit bafoué,
Berné, sifflé, moqué, joué,
Et par Messieurs les Paons plumé d'étrange sorte ;
Même vers ses pareils s'étant réfugié,
Il fut par eux mis à la porte.
Il est assez de geais à deux pieds comme lui,
Qui se parent souvent des dépouilles d'autrui, Et que l'on
nomme plagiaires.
Je m'en tais ; et ne veux leur causer nul ennui :
Ce ne sont pas là mes affaires.

Le Chameau et les Bâtons flottants

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le jeudi 06 mai 2004 - 08h37:

La Douda, pour la photo des canards, tu ne pouvais pas me trouver une autre compagne que cette oie...?

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le jeudi 06 mai 2004 - 00h16:

D E T O U R N E M E N T S I V

Domani sera al 20 32 15 ....Grazie mille.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le jeudi 06 mai 2004 - 00h01:

La Femme de l’Ile d’Yeu.

Je me souviens de ce jour
Où j’ai croisé ses yeux
Du coté de l’Ile d’ Yeu.

Le vert de ses pupilles à cet instant
A éclairé mon terne regard marron.

Sa couleur émeraude a rafraîchit
Mes idées et j’ai osé l’aborder
Sans grandes illusions.

Sa voix ressemblait à ces doux clapotis
De l’onde claire, fine, surtout délicieuse.
Naïade, se nommait la bien gracieuse.

Naïade… ? Un nom pas commun
Sorti d’une feuille de parchemin,
D’un jeune grimoire vierge.

Ses longs cheveux, en épis, coulaient comme de l’or
Sur ses épaules nues, cachant le contour de ses seins.
Ils balayaient ses hanches et la chute de ses reins.

Ma vue malsaine s’est voilée par pudeur.
Ignorant son corps habillé de splendeur.

Je lui tendais mes mains fripées.
Elle me tendit les siennes.
Ses doigts effilés non grimés
Vinrent caresser les miennes.

J’avançais mon visage
Vers ce doux paysage.
Une larme coula sur sa joue.
‘J’appartiens au monde
Je suis Naïade la muse… !’

J’ai compris que la beauté bien sage
De l’Ile d’Yeu n’était qu’un mirage.
Une grâce qui voyage au fil des ages
Libre et sans contrainte
Dans les esprits des hommes poétisant.

Quel bonheur de pencher ses écrits
Sur des naïades qui vous inspirent
En tout temps, l’amour qui se dit
Tout simplement sans trop d’ire.
Mais avec des vers. Je vous le redis.

‘Voyage… ! Voyage … ! Naïade… !
Au fil de l’eau ou au fil du temps
Je serais sur tes berges, en amont
Sur tes lisières serties de diamants
A nos rendez- vous secrets d’amants
Pour goûter à tes lèvres ‘vers- millons.’

Et quand dans le clos de ma chambre
L’obscure lumière viendra me tendre
Son rideau d’apparat, je me laisserai
Couler vers toi et ainsi m’emporter
Vers ton abîme sans fond. Me noyer
Dans tes profondeurs sans un mot
Sans un cri.

Paroles d’Albert.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le mercredi 05 mai 2004 - 21h24:

C'est un agriculteur qui est marié depuis 4 ans avec une ravissante jeune femme, et qui n'arrive pas à avoir d'enfants.
Il décide alors d'aller rendre visite à son voisin du dessus qui est médecin et qui lui a 4 enfants...
- Bonjour Docteur, j'ai besoin d'aide
- Que puis-je faire pour vous ?
- Voilà, j'aimerais savoir comment vous faites pour avoir des enfants, car je n'y arrive pas depuis 4 ans.
- Ben, dis le Docteur, je fais comme tout le monde...
- Oui, mais moi cela ne marche pas. S'il vous plaît, donnez-moi un truc pour avoir des bébés.
- Bon dis le Docteur, je vais vous aider. Il vous faut 3 choses pour y arriver : 1 - un savon, 2 - du parfum, 3 - un balai.
L'agriculteur prend note et demande :
- Bon, alors, le savon c'est pour quoi faire ?
- Quand vous voudrez faire un bébé, vous donnez un bon bain à votre épouse avec le savon.
L'agriculteur note et demande :
- Et avec le parfum ?
- Quand elle est bien lavée et séchée, vous la portez sur votre lit et vous la parfumez...
- Ah bon, dit l'agriculteur qui note toujours. Et avec le balai, je fais quoi avec le balai ?
- Bon, dis le Docteur, quand elle est bien lavée, parfumée et prête sur le lit, vous tapez 3 fois au plafond avec le balai, et j'arrive de suite...